Parti de la Mer -Normandie

« Parti de la Mer » : Les élus payés au SMIC

 

 

AVERTISSEMENT : Ce billet fait partie d’un ensemble de notes qui sont autant d’ébauches pour la création d’un nouveau parti politique, le « Parti de la Mer ». Les considérations que vous y trouverez ne sont pas forcément définitives. Ce sont juste des éléments de réflexion qui permettent d’avancer afin de définir les caractéristiques et le programme du « Parti de la Mer », un parti politique de droite, du type « libéral maîtrisé », humaniste, caractérisé par une action privilégiée en faveur des jeunes, et de l’Europe, au moyen du développement de la navigation en équipage à bord de grands voiliers.

 

L’année 2011 commence plutôt mal pour notre déficit budgétaire qui s’élève à 28 milliards d'euros à la fin du mois de février, contre 21,8 milliards un an plus tôt.

C’est donc près de 14 milliards d’euros qui sont empruntés par mois dès le début 2011 pour boucler le budget !... Nous sommes bien partis pour  faire mieux qu’en 2010 qui était déjà une année record !...

Et la montée du baril de pétrole ainsi que la crise japonaise ne vont rien arranger pour l’année en cours.

Le déficit budgétaire a été de 138 milliards en 2009 et de 149 milliards d'euros en 2010, soit un déficit public au sens de Maastricht qui s'établit à 7,9% de PIB en 2009 et à 8,2% de PIB en 2010.

Ce qui nous fait un endettement de 1.841,5 milliards d'euros selon les critères de la comptabilité publique française (passif financier brut) et de 1.489,0 milliards d'euros (78,1 % du PIB) selon les critères de Maastricht.

Nous sommes le 19ème pays le plus endetté du monde et, par rapport à notre PIB, notre dette publique se situe entre celle de l'Uruguay et du Portugal.

Allons-nous nous retrouver à un moment ou l’autre dans la situation de la Grèce, de l’Irlande et du Portugal, que nous aidons par ailleurs ?…

J’en ai bien peur.

 

Mais, à un moment, il faudra bien rééquilibrer les comptes et cela passera par une période de rigueur pour tout le monde, sauf les banquiers, bien entendu…

Car sauver les banques, ça, c’est vraiment important !...

Mais parfois cela coince comme avec les Islandais qui viennent de refuser par référendum de payer des impôts pour sauver leurs banques, qui avaient oublié que l’argent n’est rien d’autre que le travail des citoyens, et dans lesquelles les Anglais et les Hollandais avaient investis des sommes rondelettes, avec des rendements miraculeux…

Car la finalité d’un banquier c’est, parfois, l’argent pour l’argent, ce qui fait que si cette mentalité se répand dans tout le système bancaire celui-ci peut s’effondrer sous le poids de ses propres excès.

La cause principale est, dans le cas qui nous préoccupe, l’ultralibéralisme.

La dernière fois c’était dans les années 1930.

On connait la suite…

 

Quand je pense, qu’en 2012, je vais prendre les commandes d’un « Titanic » en train de couler !...

Un vrai bonheur !...

Il va falloir gérer une multitude de situations dramatiques causées par les caisses vides laissées par « Bling-bling », notre « Divin et Ô combien vénéré président ».

Aussi, la première décision symbolique que je prendrai sera de vendre le « Bling-bling One » et de réduire de 70% à 80% la flotte de l’Etec, ce qui m’obligera à voyager avec Air France sur long-courrier !... Un réseau et une compagnie que je connais bien puisque j’y ai été pilote pendant 20 ans…

C’est mon « Bling-bling » qui va être horrifié !...

Car notre « Divin et Ô combien vénéré président » ne pourrait jamais supporter une telle promiscuité à bord d’un avion de ligne parce qu’il surchauffe tellement ses neurones qu’il lui faut le plus grand calme pour élaborer des stratégies enviées par tous les analystes politiques de la planète !...

Il pourra toujours louer le « Bling-bling One », redevenu civil, à titre personnel, pour faire des conférences aux quatre coins de la planète lorsqu’il aura pris sa retraite de président.

C’est Carla qui va être contente !...

Mais vendre le «Bling-bling One » ne sera pas suffisant pour réduire le train de vie de l’Etat.

Il faudra faire beaucoup plus.

Pour réduire de façon draconienne les dépenses d’une multitude de services et bien il faudra commencer par montrer l’exemple.

Aussi, je commencerai par me payer au SMIC, c’est à dire 9 euros brut de l’heure.  

Mais, comme je serai en fonction 24 heures sur 24, cela fera 8 heures de Smic au taux normal, plus 4 à 25 %, plus 12 à 50 %, sur 5 jours par semaine, plus les 22 jours de congés payés travaillés, plus 52 week-end et 10 % de vrai CP sur un an de 365 jours.

Ainsi, je devrais tourner à 7.300 Smic par an, c’est-à-dire à environ 65.700 € brut soit encore 5475 € brut mensuel.

C’est-à-dire 3,8 fois moins que mon « Bling-bling » dont le salaire s’élève à 21 000 € brut en comptant une indemnité de fonction de 4 226,22 €.

Initialement, je comptais faire un référendum pour que les citoyens décident du salaire du président, mais je me suis rangé à l’idée de « I-Cube », qui est bien plus simple et moins coûteuse pour le budget de l’Etat.

J’appliquerai évidemment la même méthode aux ministres qui seront eux aussi payés au Smic H24, soit 5475 € brut mensuel alors que le Premier ministre gagne actuellement 19.800 € et un ministre environ 12.000 € net par mois.

De sérieuses économies en perspective et qui permettront d’aller plus loin et de payer ensuite TOUS les élus au SMIC !...

 

Car, si le président est payé au  SMIC, les élus le seront, bien sûr, eux aussi !...

D’ailleurs, concernant les élus, je reprends les propositions disponibles à cette adresse :

 http://infreequentable.over-blog.com/article-pour-en-finir-avec-les-conflits-d-interets-58242902.html

  1 – Plus de cumul de mandat !

À partir d’un certain niveau de responsabilité (ville de 10.000 habitants ?), les mandats publics sont incompatibles avec toute autre activité du même foyer fiscal !

Un cas d’empêchement absolu.

Et un seul mandat à la fois, jamais deux.

  2 – Deux mandats publics d’affilée, jamais trois !

Et quel que soit la nature des deux qui se succèdent.

« Tiers-temps » de suspension avec un éventuel troisième mandat public.

  3 – Plus de passe-droit pour réintégrer la filière professionnelle de « l’ex » : Sitôt après la première période des deux mandats passée, il redevient comme n’importe quel autre citoyen qui vient de se faire licencier, y compris de la fonction publique.

Et contrôle à tout moment (pas de prescription) de n’importe quel juge, des conditions de « réinsertion »…

  4 – Paiement de tous ces messieurs, au seul taux horaire du SMIC.

Au-delà, directement ou indirectement, c’est passage obligé par la case prison.

Et la case « prison » (ou seulement constatation d’un délit quel qu’il soit), c’est inéligibilité absolue et automatique pendant un période double des mandats déjà exécutés, y compris le « tiers-temps » de vacances du point deux ci-dessus.

  Alors certes, on va vraisemblablement se passer de quelques « talents ». Tant mieux : D’autres pourront émerger.

Et les « bons talents » feront autre chose pour la « chose publique », s’ils l’aiment tant : il y a mille façons de se rendre utile au pays ».

 

En conclusion, et après avoir retenu d’autres propositions de « I-Cube », il n’y aura plus de rémunération pour aucun des mandats et fonctions représentatives pour le personnel politique lorsque je serai élu.

Ce sera dans le programme du « Parti de la Mer ».

Seul sera possible un SMIC horaire d'indemnisation forfaitisé pour tout le monde, et exonéré d'impôt (il n’y a pas de raison), en commençant par le successeur en personne de « Bling-bling-le-Dépensier » !...

Et ce sera peut-être aussi l’occasion d’augmenter le SMIC à titre provisoire et sous réserve d'une loi de ratification à venir.

Mais il faudra surtout que les élus pointent comme tout le monde sur le lieu de travail, c'est-à-dire dans leurs hémicycles respectifs, ou leurs commissions, pour espérer toucher quoique ce soit !

Ils ont globalement 9 mois de 22 jours de 8 heures, voire 10 de travail, et un seul mandat, ce qui fait 229 smic horaires par mois ou encore 2060 € brut mensuel.

En compensation, les indemnités périphériques seront conservées: il n'est pas question de les empêcher de travailler pour le plus grand bien de la Nation.

Evidemment, beaucoup de personnes vont me faire remarquer qu’avec des niveaux de rémunérations aussi bas il sera difficile de trouver des personnalités de très haut niveau qui accepteraient d’être président, ministre ou élu.

Il est évident que pour avoir 8% de déficit budgétaire annuel, et pour endetter l’Etat à hauteur de 1.800 milliards d’euros, il faut vraiment être très fort et que ce n’est pas à la portée de tout le monde !...

Et bien, ceux qui accepteront d’être élus le feront uniquement dans l’intérêt commun, pour la chose publique, et pas pour faire, sur des décennies, des carrières somptueuses tout en ayant des rémunérations indécentes.

Et, en plus, si seulement ils faisaient correctement leur travail !...

Mais la France est devenue, avec la bande de pervers mégalos, de bouffis et de fats, qui nous dirigent depuis trois décennies, l’un des pays les plus corrompus de la planète puisque nous sommes au 25ème rang de la corruption dans le monde et que nous perdons des places chaque année.

Ainsi, non seulement, nos élus et dirigeants politiques nous coutent extrêmement cher mais, en plus, ils ne sont même pas dotés de l’éthique et du sens moral nécessaire à leur fonction.

Il est temps de tourner la page sur cette gestion de notre démocratie et de donner le pouvoir à des citoyens motivés en priorité par le souci du bien commun.

Voilà l’une des décisions - la rémunération des élus au SMIC - qui donnera le ton du programme du « Parti de la Mer ».

 

Jean-Charles Duboc

P.S. (Ajout du 4 mai 2011)

Le « Parti de la Mer » sera composé d’un réseau de partis régionaux totalement indépendants comme le « Parti de la Mer – Bretagne » ou encore le « Parti de la Mer – Martinique ».

Un parti politique est simplement une association loi 1901 auquel est liée une association pour le financement.

Ainsi, toute personne peut créer un « Parti de la Mer régional ».

Si vous êtes intéressé vous pouvez me contacter par email :

[email protected]

 


« Parti de la Mer » : Pas de cumul de mandat !...

 

AVERTISSEMENT : Ce billet fait partie d’un ensemble de notes qui sont autant d’ébauches pour la création d’un nouveau parti politique, le « Parti de la Mer ». Les considérations que vous y trouverez ne sont pas forcément définitives. Ce sont juste des éléments de réflexion qui permettent d’avancer afin de définir les caractéristiques et le programme du « Parti de la Mer », un parti politique de droite, du type « libéral maîtrisé », humaniste, caractérisé par une action privilégiée en faveur des jeunes, et de l’Europe, au moyen du développement de la navigation en équipage à bord de grands voiliers.

 

La démocratie permet à chacun de se présenter aux élections pour recevoir, en fonction de son programme, un mandat des « autres », mais il faut avouer que chez nous il y a tellement de gens stupides que nous sommes obligés de donner à nos élus plusieurs mandats, et cela parfois pendant 20 ou 30 ans, car ils sont irremplaçables !... 

En effet, la France est le royaume des cumulards tout simplement parce que le niveau culturel et intellectuel de la population est si bas que nous devons accorder à une poignée d’entre nous la possibilité de nous diriger pendant des décennies.

Puis-je vous rappeler cette célèbre apostrophe adressé à un péquenot : « Casses-toi Pov’Kon » !...

Tout un programme !...

Les abus des cumulards ont conduit à des lois interdisant les cumuls de :

-          mandat de député et celui de sénateur ;

-          mandat à l’Assemblée nationale avec celui de parlementaire européen ainsi qu’avec l’exercice de plus d’un des mandats suivants : conseiller régional, conseiller à l’Assemblée de Corse, conseiller général, conseiller de Paris, conseiller municipal d’une commune de plus de 3.500 habitants.

Mais il n’y a pas de limitation des mandats dans les collectivités territoriales - communautés urbaines, de communes, d’agglomération, syndicats mixtes ou intercommunaux.

 

Une situation qui est une véritable anomalie en Europe car le cumul des mandats est beaucoup moins important chez nos voisins – normal, ils ont beaucoup plus de gens éduqués !...

En Grande-Bretagne, seuls 15 % des parlementaires détiennent un mandat local.

En Allemagne, les situations de cumul sont rares et une partie des Länder suspendent les indemnités de leurs élus qui siègent au Bundestag.

En Belgique, un parlementaire ne peut siéger dans une assemblée régionale ou provinciale, mais il exerce souvent un mandat communal.

En Espagne, les députés n'ont pas le droit d'être élus dans un Parlement de communauté autonome contrairement aux sénateurs qui le peuvent mais ne perçoivent alors que leur indemnité parlementaire.

En Italie les députés et sénateurs n'ont pas le droit d'être conseillers régionaux.

Dans les nouveaux pays de l’Union européenne -  les républiques baltes et d’Europe centrale, Malte et à Chypre - le cumul des mandats est interdit tout comme en Norvège.

Le cumul des mandats est pratiquement impossible au Portugal.

Au Danemark, comme aux Pays-Bas, ce  sont les partis politiques qui se chargent d’interdire le cumul.

 

Et bien je dois vous avouer que les Danois et les Hollandais m’inspirent beaucoup.

Ils m’inspirent, car le Danemark et la Hollande seront des destinations privilégiées pour les grands voiliers-écoles qui prendront le cap vers le nord de l’Europe – des navigations organisées par les élus du « Parti de la Mer -  mais aussi, et surtout, parce que je retiens cette caractéristique de leurs partis politiques : le cumul des mandats y est interdit !...

Et c’est aussi ce que je retiens pour le « Parti de la Mer » qui interdira, dans ses statuts, sous peine d’exclusion, tout cumul de mandat de ses élus.

Et puis, pour faire bonne mesure, j’ai aussi l’intention de limiter à deux mandats dans la vie, et des mandats différents, le nombre de mandats que pourra avoir un citoyen.

Juste histoire d’éliminer tous les abus des uns et des autres qui sont parfois élus pendant des décennies.

Mais il est vrai qu’ils sont tellement géniaux !...

 

Jean-Charles Duboc

P.S. (Ajout du 4 mai 2011)

Le « Parti de la Mer » sera composé d’un réseau de partis régionaux totalement indépendants comme le « Parti de la Mer – Bretagne » ou encore le « Parti de la Mer – Martinique ».

Un parti politique est simplement une association loi 1901 auquel est liée une association pour le financement.

Ainsi, toute personne peut créer un « Parti de la Mer régional ».

Si vous êtes intéressé vous pouvez me contacter par email :

[email protected]

 


Parti de la Mer : Premier article dans le Progrès de Fécamp

 

 

AVERTISSEMENT : Ce billet fait partie d’un ensemble de notes qui sont autant d’ébauches pour la création d’un nouveau parti politique, le « Parti de la Mer ». Les considérations que vous y trouverez ne sont pas forcément définitives. Ce sont juste des éléments de réflexion qui permettent d’avancer afin de définir les caractéristiques et le programme du « Parti de la Mer », un parti politique de droite, du type « libéral maîtrisé », humaniste, caractérisé par une action privilégiée en faveur des jeunes, et de l’Europe, au moyen du développement de la navigation en équipage à bord de grands voiliers.

 

Le premier article sur le « Parti de la Mer » est paru dans le « Progrès de Fécamp » du 2 mars 2011.

Vous en trouvez ci-dessous le texte.

 

Saint-Pierre-en-Port. Une association pour donner des valeurs aux jeunes : tel est l’objectif de Jean-Charles Duboc

Il crée le Parti de la Mer

En cette période d’élection, il est des citoyens qui souhaitent mettre en œuvre des actions politiques pour changer la société en s’attaquant aux bases même de celle-ci. Jean-Charles Duboc est l’un de ceux-là en lançant un sondage pour la création du Parti de la Mer St-Pierrais.

Cet ancien pilote d’Air France aux origines Saint-pierraises se revendique de droite, cependant : « Ce parti sera à l’image d’un navire voguant librement sur les flots où l’équipage doit maîtriser en continu les risques de la navigation ».  Mérite, ordre, sécurité, tradition, sont les bases de la vie à bord d’un navire que souhaite développer Jean-Charles Duboc dans le Parti de la Mer : « Ce sont des valeurs de droite auxquelles s’ajoute celle de la solidarité, valeur de gauche mais qui a cours sur les navires ».

Un parti libéral maîtrisé.

Fort de ces principes, Jean-Charles Duboc veut créer un réseau d’associations qui sera à la base du « Parti de la Mer » avec, pour premier objectif, la création d’écoles de voile de haute mer dans lesquelles les jeunes pourraient découvrir les côtes françaises et celles d’autres pays européens en suivant des programmes éducatifs et sociaux.

« Pour réaliser ces actions, il est nécessaire de rassembler les citoyens afin qu’ils puissent décider par eux-mêmes du financement, de la construction et de l’armement de grands voiliers-écoles destinés à la formation maritime et humaine des jeunes Français et des jeunes Européens. L’ambition, à moyen terme, sera de créer un véritable Erasmus maritime, qui permettra aux jeunes Européens de découvrir l’Europe en naviguant le long des côtes ».  Jean-Charles Duboc songe ensuite étendre ces échanges avec les jeunes d’Afrique du Nord.

Pour ce faire, il a créé en novembre dernier un instrument financier, le fonds de dotation Euroclippers : (http://euroclippers.typepad.fr/fonds_de_dotation).

Le Parti de la Mer, constitué d’un réseau associatif en métropole, en Outre-mer et en Europe, présentera alors des candidats aux élections pour faire aboutir son programme : « L’objectif visé pour la prochaine législative est d’avoir un groupe de Parti de la Mer, d’environ trente à cinquante députés avant de se présenter aux Européennes ».

Pas de temps à perde pour Jean-Charles Duboc qui doit convaincre les citoyens de créer des associations du Parti de la Mer. Un premier sondage est effectué dans son village auprès des Saint-Pierrais.

 En PDF:

Téléchargement Article Progrès de Fécamp 

 

Après avoir discuté de ces propositions avec Alain Bazille, Conseiller général de la Seine-Maritime, avec Jean-Paul Hervieux, maire de Saint-Pierre-en-Port, et avec des Saint-Pierrais, je dois reconnaître que le sondage s’est avéré très positif.

En conséquence, la première association du « Parti de la Mer » sera créée à Saint-Pierre-en-Port, vraisemblablement durant la deuxième quinzaine d’avril 2011, et aura pour nom le « Parti de la Mer du Pays de Caux » !...

Le sigle en sera le « Parti de la Mer Cauchois ».

En effet, autant débuter le programme de création des « Partis de la Mer » avec une entité suffisamment importante pour avoir rapidement un véritable poids lors des élections.

Et le pays de Caux, c’est près de la moitié du département de la Seine-Maritime, soit 300 à 400 communes !...

Un pays peuplé à l’origine par les Calètes, installés lors de la dernière invasion celte au IVème siècle avant J.C., puis par les Vikings lors des invasions de la fin du premier millénaire.

Le pays est caractérisé par de hautes falaises de craie, qui longent le littoral de Dieppe au Havre, ainsi que par un habitat de « clos-masures ». Les principaux ports en sont Dieppe, Saint-Valéry-en-Caux, Fécamp et Le Havre. La vallée de la Seine est l’une des régions les plus industrialisées de France.

Le Pays de Caux est riche d’histoire et présente un potentiel important pour le développement d’un « Parti de la Mer » qui apportera un nouveau type d’activité maritime fortement attractif.

Faut-il rappeler que les rassemblements de grands voiliers attirent 10 millions de personnes tous les cinq ans à Rouen ?...

Un événement exceptionnel qui révèle un véritable besoin humain de « mettre les voiles » !...

Et ce sera le but du « Parti de la Mer du Pays de Caux » qui aura pour premier objectif d’armer des grands voiliers-écoles pour les jeunes Cauchois, les jeunes Français et les jeunes Européens !...

 

Jean-Charles Duboc

P.S. Amusant coïncidence - Un OVNI est passé au dessus de St-Pierre-en-Port le jour de la parution de l’article consacré au « Parti de la Mer » :

http://euroclippers.typepad.fr/exopolitique/2011/03/un-ovni-au-dessus-de-st-pierre-en-port.html

 P.S. (Ajout du 4 mai 2011)

Le « Parti de la Mer » sera composé d’un réseau de partis régionaux totalement indépendants comme le « Parti de la Mer – Bretagne » ou encore le « Parti de la Mer – Martinique ».

Un parti politique est simplement une association loi 1901 auquel est liée une association pour le financement.

Ainsi, toute personne peut créer un « Parti de la Mer régional ».

Si vous êtes intéressé vous pouvez me contacter par email :

[email protected]

 

 


Le « Parti de la Mer », un parti politique maritime, européen, humaniste et libéral

AVERTISSEMENT : Ce billet fait partie d’un ensemble de notes qui sont autant d’ébauches pour la création d’un nouveau parti politique, le « Parti de la Mer ». Les considérations que vous y trouverez ne sont pas forcément définitives. Ce sont juste des éléments de réflexion qui permettent d’avancer afin de définir les caractéristiques et le programme du « Parti de la Mer », un parti politique de droite, du type « libéral maîtrisé », humaniste, caractérisé par une action privilégiée en faveur des jeunes, et de l’Europe, au moyen du développement de la navigation en équipage à bord de grands voiliers.

Comment définir le « Parti de la Mer » ?...

Je rappelle que le slogan du « Parti de la mer » sera « Des grands voiliers-écoles pour les jeunes Français et les jeunes Européens !...», mais c’est tout de même un peu juste pour être classé politiquement !...

Le « Parti de la Mer » sera tout d’abord un parti maritime, le seul en France, et même en Europe, dont la stratégie sera principalement axée sur la mer.

L’objectif est d’avoir des élus dans chaque port de France de façon à être représenté dans les conseils municipaux, les régions et départements, afin de créer une école de voile de haute mer dans chaque port de Métropole et d’Outre-mer.

Evidemment, cette volonté d’être représenté localement s’étend bien sûr à la représentation à l’Assemblée Nationale et au Sénat.

Vous imaginez un groupe d’une cinquantaine de députés à l’assemblée nationale en train de chanter (en picolant…) : « On veut un ministère de la mer !... » ?...

Succès garanti !...

La représentation ne s’arrêtera pas, bien sûr, au niveau national car les élections européennes présenteront un intérêt majeur pour le « Parti de la Mer ».

En effet, le « Parti de la Mer » ambitionnera de faire naviguer des jeunes Français et des jeunes Européens le long des côtes européennes mais aussi entre des ports et des régions européennes qui n’ont aucun contact entre-elles !...

Un fantastique défi dont le but est d’accroitre les échanges entre les jeunes Européens qui prendront mieux conscience de leur histoire commune et de ce qu’il a fallu comme souffrances avant de construire l’Europe : des siècles de conflits, massacres et guerres, que nous avons du surmonter.

C’est aussi un projet humaniste, car il s’adresse à tous les jeunes, quelles que soient leurs origines sociales, religieuses et ethniques.

Un projet dont l’Europe a plus que jamais besoin au moment où les partis xénophobes et racistes refont surface dans quasiment tous les pays européens.

Un phénomène qui nous rappelle la funeste montée des extrémismes durant les années 1930.

Il faut à l’Europe une solution pour contrer la réapparition de sa « face sombre » en lui donnant un nouveau et puissant moyen de développer les échanges entre les jeunes Européens et enrichir la compréhension mutuelle de ses 500 millions d’habitants, et ce sera le « Parti de la Mer » qui l’apportera.

Par contre, tout ceci n’est pas suffisant pour définir les grands axes d’une politique économique et je me dois de développer la philosophie « libérale maîtrisée » qui sera retenue par ce parti.

Et, pour cela, je reprends un extrait d’un texte rédigé par « I-Cube » et disponible à l’adresse suivante :

http://infreequentable.over-blog.com/article-les-constats-de-vcrm-66722548.html

La « casse des services publics », voilà la justification principale des syndicats et partis de gauche pour affirmer que le libéralisme s'est emparé de la « Gauloisie sociale », sous la pression des directives européennes (l'exemple emblématique est donné avec EDF et la SNCF).

Or la « sauvegarde des services publics » (comprendre « sous leur forme actuelle ») est présentée comme l'un des « piliers » du « modèle social français » menacé par le libéralisme outrecuidant.

Ceci est une pure invention des étatistes.

Les « Services d'Intérêt Général » prennent des formes très différentes selon les pays, tout en ayant une efficacité équivalente voire meilleure qu'en « Gauloisie éclairée » où des formules différentes ont été expérimentées avec succès (ex les « points poste » tenus par les commerçants).

Faute de s'en tenir à l'essentiel et de faire les choix qui s'imposaient pour ne pas verser dans le « toujours plus », ce modèle n'est plus qu'une machine à produire des échecs.

L'essentiel du « modèle social français », en amont de ses résultats catastrophiques est constitué, comme le dit R.Cayrol (Institut CSA), de 4 « piliers » :
– Le droit à l'éducation gratuite ;

– Le droit à l'assurance maladie gratuite ;

– Le droit à la retraite ;

– L'indemnisation des chômeurs.

Ces points sont effectivement plébiscités par les « gaulois » qui y sont viscéralement attachés (et on les comprend).

Or, il faut faire preuve d'une mauvaise foi manifeste pour oser affirmer que le libéralisme met en péril ces points clés du système actuel, même si des aménagements y sont apportés : Serait-il si scandaleux que l'enseignement supérieur soit payant, sans aide pour les familles aisées et avec un système de bourses renforcé pour les plus démunies (ce qu'a fait T. Blair en GB) ?

Ils ne sont d'ailleurs pas une exclusivité « Gauloise » dans la mesure où tous les pays européens, y compris les plus libéraux, les respectent, avec des variantes d'application bien entendu.

Le tableau suivant pour juger des risques de menace (réels ou imaginaires) qui pèseraient sur nos ces acquis sociaux, dans l'optique d'un libéralisme modéré (je dis « maîtrisé »), par comparaison avec « l'ultra libéralisme ».

Bien entendu, la « menace » est claire et assumée pour certaines « corporations » qui verraient leurs propres « avantages acquis » (en fait des privilèges qu'elles présentent comme des acquis pour l'ensemble du « peuple des Gaules ») supprimés ou à tout le moins sérieusement entamés.


On y trouve, pour chacun des thèmes, les points clés ...
– De la situation française actuelle (« étatiste ») ;

– De la solution « libérale maîtrisée » ;

– De la version « ultralibérale » (que je ne fais pas mienne !) :

THEME

ETATISTE

LIBERAL

ULTRA-LIBERAL

SERVICES PUBLICS

sureffectifs
statut lourd et dévoyé
monopoles sur services marchands
privilèges pour entreprises publiques (réductions de tarifs, horaires, retraites)

réduction drastique des effectifs
révision du statut
vraie GRH
concurrence sur services marchands
suppression des privilèges

régalien pur

EDUCATION

égalitarisme --> inégalités
sureffectifs administratifs (mammouth)
enseignement supérieur "gratuit"

décentralisation autonomie
réduction effectifs admin
enseignement supérieur payant (avec bourses)

chèque éducation
privilégier le privé

SANTE

Dilution des moyens
(hôpitaux)
peu/pas d'optimisation de l'administratif

Optimisation des moyens
Quantitatifs-Qualitatifs
Moyens pour CHUs
Hôpitaux privés à but non lucratif

privatisation

RETRAITES

Uniquement répartition

Mixte répartition/capitalisation

uniquement capitalisation

PROTECTION SOCIALE

Monopole d'État

Suppression du monopole
renforcement de la mutualité

libéralisation totale

FISCALITE

système complexe
niches
ISF démagogique

3 tranches
suppression des niches
suppression ISF

Flat-tax

suppression ISF

CODE DU TRAVAIL

complexe et lourd
fuite en avant sur le smic
35 h
restriction des licenciements --> frein à l'embauche + précarité
protection des emplois

contrat unique
contrat de mission (seniors)
modération du smic baisse des charges
35h privé : le mal est fait
35h public : augmentation pour 35h vraies
libéralisation des licenciements
protection des personnes

idem
35h : abolition
idem
idem

SUIVI DES CHOMEURS

laxisme des contrôles
pas d'accompagnement
allocation/durée moyennes

+ contraignant
+ sérieux (oblig. résultat) + délégation au privé
fortes allocation/durée

très contraignant
privé pur
faibles allocation/durée

ENTREPRISES

maintien en survie artificielle des industries obsolètes
subventions

abandon contrôlé industries obsolètes
subventions avances sur cdes de l'État
incitations à la recherche

laisser aller laisser faire

RECHERCHE

peu de recherche privée car pas d'incitation
peu de stratégie
gabegie (CNRS)
saupoudrage des moyens

pôles excellence
incitation privé
vraie réforme CNRS suppression disciplines/labos non « stratégiques » concentration des moyens

idem

Au vu de ce tableau, comment peut-on décemment affirmer qu'on a déjà passé au pays entier une « camisole libérale » ?

A contrario, il montre clairement que, dans les grandes lignes, la même politique a été menée depuis 30 ans, tant par la « gauche » que par la « droite ».

Qu'attendent les médias pour l'affirmer et le démontrer haut et fort ?

S'il est une carence de l'information, c'est bien celle-là !

Et bien, voilà !... Si vous voulez avoir une idée du programme politique du « Parti de la Mer » et bien c’est dans la colonne Libéral !...

Et où ce serait placé à l’Assemblée Nationale ce parti là ?...

Et bien là où se trouve l’UMP !...

C’est mon « Bling-bling » qui va être content !...

Mille millions de mille sabords !...

« Capitaine Haddock »

P.S. (Ajout du 4 mai 2011)

Le « Parti de la Mer » sera composé d’un réseau de partis régionaux totalement indépendants comme le « Parti de la Mer – Bretagne » ou encore le « Parti de la Mer – Martinique ».

Un parti politique est simplement une association loi 1901 auquel est liée une association pour le financement.

Ainsi, toute personne peut créer un « Parti de la Mer régional ».

Si vous êtes intéressé vous pouvez me contacter par email :

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« Parti de la Mer » : les grands voiliers-écoles retenus

 

 

Je reprends une présentation des navires étudiés par le Fonds de dotation Euroclippers, et qui sont de bons candidats pour la construction de nouvelles unités grands voiliers-écoles :

 

Le « Statsraad Lehmkuhl », voilier-école norvégien basé à Bergen.

Le Statsraad Lehmkuhl est un navire de 98 mètres hors tout, construit en 1914 par Johann C. Tecklenborg AG à Bremerhaven-Geestemünde (Allemagne) pour la formation des élèves de la marine marchande allemande et qui navigue toujours.

Noms antérieurs: «Friedrich Grossherzog » (1914-1923) et «Westwärts» (1940-1945) ; Type: trois-mâts barque / voilier-école

Longueur hors tout : 98,00 m

Longueur de coque : 84,60 m

Longueur à la flottaison : 73,00 m

Largeur : 12,60 m

Hauteur maximale : 48,00 m

Tirant d'eau maximal : 5,20 m

Tonnage brut : 1 516 t

Nombre de voiles : 22

Surface totale de la voilure : 2.026 m2

Vitesse maximale à la voile : 17 nœuds

Vitesse maximale au moteur : 11 nœuds

Nombre maximum de stagiaires pour les croisières-écoles : 150 ; Nombre maximum de passagers pour les navigations dans les fjords: 350

Le coût à la construction est estimé entre 40 et 45 millions d’euros, en fonction de l’aménagement et du nombre d’exemplaires construits.

 

 Vidéos et photos du « Statsraad Lehmkuhl » sur :

http://www.youtube.com/watch?v=Iik2E1GQ-9o

http://www.youtube.com/watch?v=aYlr4rgwAmU

http://www.lehmkuhl.no/

 

S’il y a un voilier-école à retenir en priorité pour créer une école de voile de haute mer, c’est celui-ci car :

1/ Il a été conçu dès l’origine en tant que voilier-école ;

2/  Il navigue depuis presque un siècle et une évaluation a permis de conclure qu’il pouvait naviguer encore 50 ans ;

3/ Il est armé par une Fondation qui arrive à équilibrer ses comptes depuis sa création, c'est-à-dire depuis 1978.

 

Le « Cisne Branco », voilier-école de la Marine brésilienne.

Le Cisne Branco est destiné à la formation des équipages de la Marine brésilienne et il est armé pour 8 officiers, 12 marins professionnels et 58 midships. 

 Le Cisne Branco, qui signifie en portugais "Cygne Blanc", est une réplique des Clippers extrêmes du milieu du XIXème siècle qui participaient chaque année à la fameuse course du thé vers l’Asie.

Il a été livré à la Marine brésilienne, en janvier 2000, par le chantier naval Damen Oranjewerf d’Amsterdam, et possède un sister-ship, le Stad Amsterdam, qui a été lancé en 1998 pour le Millénium.

Si les formes de ces deux voiliers ne sont pas aussi extrêmes que celles de certains clippers américains de la grande époque, elles n'affichent pas une différence fondamentale par rapport aux meilleurs marcheurs des années 1860 et restent proches, par exemple, de celles du fameux clipper du thé Thermopylae.

Le navire est aussi équipé d’un moteur principal de 1014 CV, et d’un propulseur d'étrave de 420 CV.

Conformément à la tradition, toutes les voiles carrées sont rentrées par l'intermédiaire de cargues classiques car les systèmes modernes à rouleau ne sont pas de mise sur le Cisne Branco qui reste un voilier authentique.

Longueur hors tout : 78 m;

Longueur au pont : 60,50 m;

Longueur entre perpendiculaires : 55,84 m ;

Largeur max. : 10,50 m;

Tirant d'eau : 4,8 m;

Tirant d'air max : 46,50 m;

Déplacement : 1038 tonnes;

Vitesse au moteur : 11 kt;

Vitesse sous voile max : 17,5 kt;

Le navire est équipé d’un moteur principal de 1014 CV, et d’un propulseur d'étrave de 420 CV.

 Le Cisne Branco porte jusqu'à 2200 m2 de toile, pour 31 voiles, et la vitesse maximale est de 17,5 nœuds, ce qui correspond aux meilleures performances des anciens clippers.

Le Cisne Branco et son sister-ship, le Stad Amsterdam, ont pour designer le bureau d’étude Gérard Dijkstra & Partners à Amsterdam.

 Un magnifique voilier qui est le deuxième voilier-école retenu par le « FDD Euroclippers » en raison de son architecture du milieu du XIXème siècle, de ses performances, de la qualité de la construction, et de la possibilité de l’évaluer par une navigation à bord de son sister-ship le Stad Amsterdam.

Le coût à la construction est d’environ 30 à 35 millions d’euros en fonction du nombre d’exemplaires construits et des aménagements intérieurs.

Vidéos du « Cisne Branco » et du « Stad Amsterdam »:

 http://www.youtube.com/watch?v=5DIneoNJ07s

http://www.youtube.com/watch?v=QZ_afHN22KM

 

Le « Tarangini » voilier-école de la Marine indienne.

Le  Tarangini, qui signifie "celui qui glisse sur les vagues", est le voilier-école de la Marine indienne et il a été lancé en 1998.

Son  designer est l’architecte naval Colin Mudie et le navire peut être équipé pour les handicapés.

Longueur hors tout : 51,70 m ;

Longueur au pont : 43 m ;

Largeur : 8,5 m ;

Tirant d'eau : 4,1 m ;

Déplacement : 420 t ;

Voilure : 1035 m2 ;

Moteur : 2 fois 260 CV.

Ce navire navigue toute l'année et son autonomie au moteur est de 2000 miles nautiques dans des conditions normales de vent. Il a embarqué à son bord des cadets de 13 différents pays  lors de la circumnavigation qu’il effectua en 2003/2004.

Il est possible d’évaluer en Europe son sister-ship qui est le Lord Nelson, voilier britannique destiné aux handicapés, de 43 m de longueur au pont, pour 20 membres d’équipage et 40 passagers.

Coût à la construction entre 20 et 25 millions d’euros en fonction du nombre de navires construits et des aménagements.

 Vidéos du « Lord Nelson », sister-ship du « Tarangini »:

http://www.youtube.com/watch?v=q0bi8toMooQ

http://www.youtube.com/watch?v=n9wSez5RkIw

 

Un outsider : la goélette "Atlantic".

Ce navire a connu un vrai succès auprès des administrateurs du « FDD Euroclippers », bien qu’il ne soit pas encore catalogué comme voilier-école.

La goélette Atlantic a détenu le record de traversée de l’Atlantique, en 12 jours et quatre heures, pendant 75 ans. Ce record a été établi en mai 1905 lors de la première édition de la Kaiser’s Cup lorsque les 2.925 miles nautiques entre New York et le cap Lizard ont été parcouru par « Atlantic », commandée par Charlie Barr, à une moyenne de 14 nœuds.

Un voilier absolument remarquable dont une réplique a été lancée récemment.

Pour savoir si ce navire convient à une école de voile de haute mer il devra être évalué par le comité scientifique du « FDD Euroclippers ».

 Construction acier sur le chantier hollandais Van der Graaf en 2008.

 Longueur hors tout : 69 m ;

Longueur de coque : 56 m ;

Longueur flottaison : 41 m ;

Maitre beau (largeur) : 8,8 m ;

Tirant d’eau : 5 m ;

Déplacement : 395 t ;

Lest : 120 t ;

Voilure : 1 721 m2 ;

Équipage : 50 personnes.

Plus d’infos : Atlantic Schooner.

Le coût à la construction devrait être d’environ 25 millions d’euros pour une finition assez rustique mais suffisante pour un équipage d’adolescents et de jeunes adultes qui ont avant tout envie de partir à l’aventure.

 

D’autre part, il est à préciser que les navires seront construits sur les chantiers navals français car, dans la demande de « Rescrit fiscal » qui permettra la défiscalisation des dons, il a été bien spécifié que les navires construits par le « FDD euroclippers » le seront sur nos chantiers dans un but d’intérêt général.

Un point important au moment où la construction navale s’interroge sur son avenir.

 

Jean-Charles Duboc

 


La marque « Parti de la Mer » enregistrée à l’INPI !...

 

 

La première étape pour créer un parti politique est de lui trouver un nom !...

Celui que j’ai choisi pour développer le projet Euroclippers  est le « Parti de la Mer » et la marque a été déposée à l’Institut National de la Propriété Industrielle (INPI) le 31 octobre 2010.

Cette marque est maintenant en vigueur en France sous le Numéro : 3778543, pour les classes 35 et 41 :

http://bases-marques.inpi.fr/Typo3_INPI_Marques/marques_resultats_liste.html

Il ne reste plus qu’à définir le programme du « Parti de la Mer - Normandie » puis rédiger les statuts (deux à trois mois) et créer ensuite ce nouveau parti politique qui doit satisfaire un besoin de rassemblement libéral, normand et maritime.

 

 

Jean-Charles DUBOC

 

P.S. (Ajout du 4 mai 2011)

Le « Parti de la Mer » sera composé d’un réseau de partis régionaux totalement indépendants comme le « Parti de la Mer – Bretagne » ou encore le « Parti de la Mer – Martinique ».

Un parti politique est simplement une association loi 1901 auquel est liée une association pour le financement.

Ainsi, toute personne peut créer un « Parti de la Mer régional ».

Si vous êtes intéressé vous pouvez me contacter par email :

[email protected]


Ça y est !... J’ai décidé de créer le Parti de la Mer !...

 

 

J’ai, enfin, décidé de créer le Parti de la Mer !...

 

 

 

 Le slogan de campagne du « Parti de la Mer » sera « Des grands voiliers-écoles pour les jeunes Français et les jeunes Européens !... ».

Parce que, dans ma vie d’adulte, j’ai souvent eu envie de « mettre les voiles ».

Et la meilleure façon est encore de partir à bord d’un grand voilier afin de parcourir le monde, de voguer sur les océans, de découvrir la planète.

 

J’en suis arrivé à la conviction qu’il me fallait créer ce parti politique - un parti libéral, mais « libéral maîtrisé » – pour arriver à développer le projet Euroclippers qui a l’ambition de créer une école de voile de haute mer dans chaque port de France, et d’Outre-mer, pour les jeunes Français et les jeunes Françaises :

http://euroclippers.typepad.fr/mon_weblog/2008/10/crise-financire.html

 

 

 

Jean-Charles Duboc

 

P.S. (Ajout du 4 mai 2011)

Le « Parti de la Mer » sera composé d’un réseau de partis régionaux totalement indépendants comme le « Parti de la Mer – Bretagne » ou encore le « Parti de la Mer – Martinique ».

Un parti politique est simplement une association loi 1901 auquel est liée une association pour le financement.

Ainsi, toute personne peut créer un « Parti de la Mer régional ».

Si vous êtes intéressé vous pouvez me contacter par email :

[email protected]