AVIGOLFE (III) : témoignage de Christian Prud’Homme

 

Le dossier du détournement par « Mythe-Errant » des indemnités de la guerre du Golfe 1991 virés à la France par le Koweït, les Emirats Arabes-Unis et l’Arabie Saoudite, a été envoyé le 16 avril dernier au syndicat « Magistrats pour la Justice » qui doit, en toute logique, l’envoyer au procureur de la République conformément à l’article 40 du code de procédure pénale.

Ce dossier est composé de 16 documents téléchargeables dans lesquels vous trouverez des informations inédites :

http://euroclippers.typepad.fr/alerte_ethique/2014/04/dossier-transmis-au-procureur-de-la-r%C3%A9publique-1.html

Je rappelle que le total des fonds détournés représente près de 7 milliards de dollars de 1991, soit, en valeur actuelle, une somme supérieure à 15 milliards d’euros !...

Il est aussi nécessaire de rappeler que cet incroyable détournement de fonds a été réalisé à la même époque que l’escroquerie sur l’extinction des 1.100 puits de pétrole en feu au Koweït.

Une escroquerie impensable qui se monte à 22 milliards de dollars de 1991, soit, en valeur 2014, à plus de 45 milliards d’euros.

C’est « l’affaire Basano / Ferrayé ».

Des détournements de fonds monstrueux, indignes d’une démocratie, et qui ont été rendu possible par le niveau de corruption de la classe politique et la neutralisation de gêneurs comme Pierre BÉRÉGOVOY, François de GROSSOUVRE ou encore Jean-Edern HALLIER.

Il faut savoir aussi qu’une partie de ces sommes semble avoir été récupérée puis placée dans le « Grand Emprunt 2010 », encore appelé « Programme d’investissement pour l’avenir », pour un montant de 35 milliards d’euros auquel s’ajoute 12 milliards d’euros budgétisés en 2014, soit un total de 47 milliards d’euros.

Sachant que le « Programme d’investissement d’avenir » a seulement décaissé 7 milliards d’euros, il y a encore 40 milliards de disponibles pour les engagements en cours.

Et c’est là où je veux en venir.

 

Parce qu’il y a quand même au moins deux choses inadmissibles dans cette histoire de détournement de fonds publics qui devaient, d’une façon ou de l’autre, revenir à la Défense Nationale.

La première est qu’une prime de guerre d’environ 500.000 francs (valeur 1991 soit 180.000 euros en valeur 2014) avait été promise aux soldats qui ont participé à l’Opération Daguet.

Il se trouve que le ministère des Finances a commencé à verser cette prime puis a, soudainement, annulé les remboursements et même exigé que soient remboursées les sommes déjà versées !...

Mais, 22 ans après, les fonds pour payer la prime promise à nos soldats semblent être disponibles dans le « Grand Emprunt 2010 » qui ne serait qu’un montage financier cachant la récupération des fonds détournés de la guerre du Golfe.

Nous devrions avoir prochainement les éléments pour commencer une action en justice.

Le deuxième fait qui me gêne – Que dis-je ?.. qui me révolte !... – est que les soldats qui souffrent du syndrome du Golfe n’ont jamais été indemnisés alors que beaucoup ont payé de leur vie leur participation à l’Opération Daguet ou à la guerre des Balkans.

Et là, on dépasse les limites de l’innommable car si nos soldats, maintenant handicapés ou même décédés, n’ont jamais touché d’indemnisation, quelques élus se sont mis des milliards dans les poches !...

De nouveau, je signale qu’il semble y avoir des fonds dans le « Grand Emprunt 2010 » qui seraient notamment ceux de la guerre du Golfe et qu’il doit être possible d’indemniser décemment nos militaires handicapés et les ayants-droits des soldats décédés.

 

Vous trouverez des informations sur le syndrome du Golfe sur le site de l’association AVIGOLFE :

http://www.avigolfe.com/

 

Afin de rappeler la situation dramatique où se trouve nombre de nos anciens combattants de la Division Daguet, je mets en ligne deux vidéos qui rappellent ce scandale.

CHRISTIAN PRUD'HOMME, VÉTÉRAN DE LA GUERRE DU GOLFE SUR FRANCE 3 AVEC L'ASSOCIATION AVIGOLFE (Juin 2004).

 

 

Ancien combattant de la guerre du Golfe, Christian PRUD'HOMME manifeste le 29 juin 2005 avec Hervé DESPLAT, président de l'Association AVIGOLFE devant l'Assemblée Nationale.

L'association Avigolfe qui soutient les vétérans de la guerre du Golfe a une nouvelle fois interpellé la ministre de la Défense, Michèle ALLIOT-MARIE.

« Quatorze ans après, le gouvernement n'a toujours pas reconnu la réalité chimique et radiologique des opérations et les conséquences sur la santé des participants » déplore Hervé DESPLAT.

Christian Prud'homme est un ancien de la section approvisionnement de la 1ere compagnie du bataillon du matériel. Il a servi en Arabie Saoudite et en Irak d'octobre 1990 à mars 1991 où il était notamment chargé du nettoyage, procédant par exemple à des destructions de stocks de munitions.

A 37 ans, l'ancien brigadier est atteint d'une cécité à l'œil droit, de sérieux troubles neuromusculaires, et est obligé de prendre quotidiennement une quinzaine de médicaments.

Il se déplace souvent en fauteuil roulant.

 

Christian PRUD'HOMME vétéran de la guerre du Golfe au journal télévisé de France 2 en 2008

  

Je reprends le commentaire disponible :

CHRISTIAN PRUD'HOMME, MON FRÈRE, ÉTAIT BRIGADIER DANS LE 6 EME RÉGIMENT DE COMMANDEMENT ET DE SOUTIEN DE L’OPÉRATION DAGUET FORMÉE SUITE À L'INVASION DU KOWEIT PAR L'IRAK DANS LA GUERRE DU GOLFE (1990-1991)

DURANT SES ÉTATS DE SERVICES DANS LA GUERRE DU GOLFE, CHRISTIAN A MANIPULÉ DES PRODUITS HAUTEMENT TOXIQUE ET IL N'A EU CESSE PENDANT PLUS DE 20 ANS APRÈS SON RETOUR DE LA GUERRE DE CONTINUER UN COMBAT POUR FAIRE RECONNAÎTRE QUE LES PATHOLOGIES QUI DÉTRUISAIENT SA SANTÉ ÉTAIENT BIEN LIÉES...

CHRISTIAN EST DÉCOUVERT MORT DANS SON APPARTEMENT LE 6 DÉCEMBRE 2010 A 9H ET, D’APRÈS LES CONCLUSIONS D'UN SIMPLE MÉDECIN TRAITANT, C'EST UNE MORT NATURELLE !!!...

AUCUNE ENQUÊTE, PAS D'AUTOPSIE.

CHRISTIAN A ÉTÉ INCINÉRÉ ET C’EN ÉTAIT TERMINÉ DE L'HISTOIRE DE CHRISTIAN PRUD'HOMME ET DE SES ACTIONS QUI DÉRANGEAIENT.

COMME TOI, TOUS CEUX QUI ONT PARTICIPÉ À CETTE SALE GUERRE DANS LE GOLFE N'OBTIENDRONT JAMAIS RIEN DE L'ÉTAT QUI REFUSE DE VENIR EN AIDE À SES SOLDATS MALADES.

POURTANT, POUR CEUX ENCORE EN VIE ET QUI SOUFFRENT IL FAUT CONTINUER À SE BATTRE POUR LES AIDER ET LEUR TÉMOIGNER DE NOTRE SOUTIEN EN DIFFUSANT AU PLUS GRAND NOMBRE CE SCANDALE DE NOTRE ARMÉE FRANCAISE !!!...

 


« Charlotte » n’est pas un agent de la CIA !...

 

Le capitaine de corvette Paul de Bréveuil, alias « Charlotte » n’est pas un agent de la CIA, et ne l’a jamais été !...

Parce que là, j’ai franchement dérapé dans la note « Un programme d’investissement d’avenir (PIA) sans avenir » où j’explique comment « Charlotte » a récupéré les fonds disparus des indemnités de la guerre du Golfe ainsi que les fonds escroqués lors de l’extinction des puits de pétrole en feu au Koweït en 1991, et que ceux-ci ont servi à capitaliser le « Grand Emprunt 2010 » à hauteur de 47 milliards d’euros !...

En effet, j’écris : « Parce qu’il semblerait que « Déesse-Kha » soit l’un des grands organisateurs de ces détournements de fonds !...

D’ailleurs, il a réussi à racheter la compagnie financière Anatevka qu’il devait capitaliser à hauteur de deux milliards de dollars sur le marché chinois !...

Avec quel argent ?...

Très vraisemblablement avec les "queues" des placements des fonds disparus de la guerre du golfe !...

Pas de chance, le "pot aux roses" a été découvert et « Déesse-Kha » se demande s’il ne va pas se faire fusiller par son ex-partenaire qui risque de tout perdre dans cette affaire !...

La vie devient dure pour ce pôvre « Déesse-Kha » qui se retrouve sans un "radis" devant lui car ses comptes gaulois ont été vidés par le capitaine de corvette Paul de Bréveuil, alias « Charlotte, agent de la CIA !...

En effet, les Américains ont très mal pris ces détournements de fonds !...

Grâce au programme Promis, ils ont mis vingt ans à localiser les fonds et à les récupérer sur les comptes helvètes, ou autres, de nos dirigeants politiques sachant que ceux-ci en ignoraient l’existence comme « Titi-Breu-Tonton », ancien ministre des Phynances de Gauloisie, qui s’est fait vider son compte au Lichtenstein ouvert au nom de son épouse !... ».

Je me dois de corriger dans l’urgence cette erreur car il est hors de question d’être pris à partie par le capitaine de corvette Paul de Bréveuil lors de la prochaine réception chez l’amiral Gustave Morthe-de-l’Argentière !...

« Charlotte » n’a jamais été, n’est pas, et ne sera jamais agent de la CIA !...

D’ailleurs, afin que cela soit bien clair, je reprends le démenti outragé de « I-Cube » disponible dans "Mains Invisibles V" :

http://infreequentable.over-blog.com/article-mains-invisibles-5-123434733.html

Mille millions de mille sabords !....

 

 Amiral Karlson Padock

 

 

 

Mains invisibles (…/5/…)

Extrait : « Charlotte » agent de la CIA ?

 

Du grand n’importe quoi !

Alors je profite de cette journée de « manifs-plurielles et unitaires » pour remettre les pendules à l’heure en réponse aux accusations éhontées de « l’Ami-râle » jusque sur son blog

 

 Il se trouve qu’au mois d’août 2012, la veille du « premier extrait » du futur roman d’été déjà en ligne, l’amiral Gustave Morthe-de-l’Argentière soumet à la question « Charlotte » avant de décider de le recruter dans sa future unité « Comité Libecciu »…

 

 « Ok ! Je vois le topo. Et la suite de votre parcours sous les drapeaux est connue. Toutefois, reste un « petit » mystère. Une fois que vous avez démissionné de l’aéronavale pour rentrer au pays à bord du Lisbeth, comment êtes-vous rentré au service de la CIA, mon petit-vieux ? »

À part feu le directeur Almont, les services n’ont relevé aucun contact postérieur à l’épisode Emily Lison.

Paul en rigole de nouveau.

« C’est une légende, ça, amiral ! Je n’ai jamais émargé à la CIA, ni quand j’étais sous l’uniforme, ni après. Une légende construite de toute pièce par les américains à mon avis.

Vous faites allusion à mes opérations d’exfiltration je suppose ? »

Affirmatif.

« Eh bien, c’est encore de votre faute, amiral. »

De quoi parle-t-il ?

« – Souvenez-vous, je fais feu sur des Talibans pour dégager un pilote américain abattu, sans votre auguste autorisation. Bon. Vous me collez aux fers … C’est la règle du jeu !

Et vous cite à l’ordre du jour de la flotte…

– … Oui, passons, ce n’est qu’un détail. Parce que je suis consigné 90 jours au sol et rapatrié en métropole dans la foulée. Et je passe deux mois à me morfondre au camp de Fox-Amphou en compagnie du chef Rémarde.

– Et de son épouse, la sulfureuse Lydia. »

Sulfureuse, sulfureuse, pas tant que ça, mais un « bon coup » quand même, même si elle se croit irrésistible à porter des tenues de pute, style « cuir-et-clous » pour mouler ses formes flasques et épaisses.

« Je vous rappelle que le chef, il passe justement son temps aux putes de Toulon quand il a fini son boulot à faire caguer les biffins détachés sous ses ordres…

Ce n’est pas le propos. Car, comme si ça ne suffisait pas, l’état-major me mute à Mururoa à guetter les improbables écolos de Greenpeace, parce que je suis aussi qualifié sur F1.

Mururoa, c’est paradisiaque, mais c’est mortel ! Et question femmes, à part les cantinières, il faut quatre heures de vols pour arriver jusqu’aux bordels de Papeete ou sur le boulevard à draguer la vahiné ! »

Il n’y a rien à faire à Mururoa, sinon boire, fumer, dormir et jouer à la belote.

« Or, les vols sur F1 étaient contingentés faute de carburant. En revanche, il y avait aussi deux hydravions de récupération de la dernière guerre du pacifique : un vieux Catalina sur lequel j’ai fait mes premiers déjaugeages et un aussi vieux Grumman G-21 Goose datant de 1939 qui fonctionnaient non pas au kérosène, mais avec l’essence des jeeps qu’il fallait juste filtrer pour éviter d’encrasser les moteurs. »

Oui bon et alors ?

 

« Eh bien, notre grand jeu, dans le team des pilotes, c’était d’amerrir dans un cercle de bouées placées au milieu du lagon, d’un diamètre de 10 mètres et de ne pas sortir au-delà d’un second cercle de 70 mètres de rayon avant de s’arrêter. »

Une bonne école d’apprentissage de la manœuvre d’amerrissage.

« Fallait être précis, ne pas arriver trop vite, enfoncer le nez de l’appareil dans les flots dès que possible et savoir faire virer le Goose un coup à bâbord, un coup à tribord ou inversement pour ne pas sortir du second cercle. »

Une trajectoire en point d’interrogation tracée de bas en haut, le manche à balais enfoncé vers l’avant pour faire monter l’eau jusque sur le capot, histoire d’augmenter la traînée et de ralentir plus vite…

Mais pas trop, parce que les hélices n’aimaient pas la densité de la flotte !

Pareil pour les déjaugeages. Totalement acrobatiques !

« Il fallait lancer la machine, lui sortir le nez de l’eau à l’arraché au deux tiers des 140 mètres et partir en chandelle en mode décrochage dès que possible. »

Une fois en l’air, il fallait tenir la position le plus longtemps possible, mais pas trop pour ne pas casser abusivement la vitesse, et ensuite piquer pour reprendre de la manœuvrabilité et de la portance.

« Celui qui retouchait l’eau hors le cercle des bouées, il payait la tournée au mess. »

Une manœuvre impossible à faire avec le Catalina, bien sûr.

 

L’amiral s’impatiente : il ne voit pas le rapport avec sa question.

« C’est pourtant simple. Un jour, on apprend qu’un ingénieur de chez Framatom, je crois que ça s’appelait comme ça à l’époque, en vacances en Corée du sud se fait enlever avec sa famille, à l’occasion d’une sortie en mer, par des nordistes et est retenu par le régime pour être accusé d’espionnage.

J’ai suivi ça dans la presse qui arrivait seulement deux fois par semaine, parce que c’était un camarade de promotion que j’avais pu croiser sur le plateau de Saclay.

Vous ne vous souvenez plus, amiral ? »

Pas vraiment…

« Ça avait pourtant fait grand bruit et la diplomatie avait réussi à sortir la femme et les gamins, mais pas le bonhomme.

Enfin bref, l’état-major se met en tête de parachuter un commando pour sortir le gusse manu-militari de sa prison nord-coréenne. Trop précieux avec ce qu’il avait dans la tête, sans doute.

Le problème de l’opération, c’est de faire ressortir ledit commando sans casse avec l’otage.

Les hélicos, c’était un peu « tendu » question rayon d’action. Et il y a bien un lac en contre-bas de la prison, mais ils n’ont que de pilotes de Canadair de la sécurité civile à se mettre sous la dent.

Et c’est là que notre colon nous demande si on ne serait pas candidat pour l’opération.

Vous pensez bien qu’on aurait tout fait pour se distraire de notre sort de « puni ».

On a totalement bluffé les équipages de Canadair avec nos acrobaties, d’autant mieux que le De Havilland est plus puissant que notre Goose.

Alors nous l’avons fait. À deux hydravions. »

 

Oui mais ça n’explique pas les autres missions pour la CIA.

« Mais si amiral ! Les américains ont eu vent de la réussite de cette première « virée » et de la façon de mener ce raid. Ils se sont mis en rapport avec la Présidence, et j’ai dit oui, même une fois dans le civil, à toutes les propositions d’exfiltration qui se présentaient à Matignon. Juste pour le fun et pour la patrie. »

Et pas un kopek ni du gouvernement, ni des américains.

« En revanche, on m’a expliqué plus tard que le ministère émettait une facture au Pentagone… »

Paul en a fait beaucoup ?

« Secret d’État, je n’ai pas à vous répondre. Mais disons que la première pour les américains a été de sortir, avec le De Havilland que j’avais fait parqué à la fondation archéologique de Fox-Amphou, un transfuge de Mourmansk. J’en ai fait d’autres dans les caraïbes, en mer Caspienne, en mer Noire, dans le canal de Formose, et pas que pour les américains. J’ai même fait l’extraction sanitaire d’un toubib tombé dans le coma pour être tombé direct sur la tête depuis une marche, sur une plate-forme pétrolière norvégienne en mer du Nord par un temps épouvantable.

Les hélicoptères ne parvenaient pas à l’hélitreuiller… Je n’en menais pas large pour avoir à amerrir vent et mer de travers, comme j’avais appris à le faire, en surf sur de furieuses déferlantes parfois croisées, la peur au ventre de noyer ma turbine. Et je ne vous raconte pas le décollage dans les mêmes conditions, sur les crêtes de la houle ! Sportif.

Quant à la dernière, c’était en Afghanistan pour sortir un pilote de F 16 abattu dans les montagnes alors que l’équipe de l’air-rescue envoyée pour le récupérer, était tombée dans un piège de snipers isolés… »

D’ailleurs, ils avaient mis les moyens, puisque deux vagues de B 52 partis de Diego-Garcia étaient venues jusque sur les rives du lac le plus proche pour couvrir de leurs tapis de bombes l’arrivée et le départ de son hydravion, en deux vagues de largage.

« Alors, agent de la CIA, pas vraiment. D’autant que l’agence s’est affolée quand il a s’agit d’aller récupérer en urgence un ingénieur atomiste iranien et sa famille il va y avoir deux ans de ça. Ce con de Krasoski, il m’avait fait mettre en quarantaine et privé de tout, y compris d’hydravion, pour avoir démantelé la fondation de Risle.

Résultat, je crois que le transfuge et sa famille ont été exécutés par les gardiens de la révolution locaux. »

Les conséquences de l’affaire Risle…

« Justement, vous savez pourquoi cette disgrâce présidentielle ? Dans le service on n’a pas compris… Après tout vous étiez « Charlotte », celui qui a ramené les milliards perdus. »

Secret d’État.

« Mais je vais vous dire, amiral, le Président n’a jamais su qui était « Charlotte ». Alors la liquidation de la fondation ne lui était pas attribuée, au moins dans son esprit. En revanche, il m’en a sans doute voulu d’avoir perdu 50.000 dollars à cette occasion… Que je lui ai d’ailleurs remboursé plus tard… »

Par chèque qui n’a jamais été encaissé.

« On va y revenir, mais il est une rumeur, que nous n’avons pas « bouclée », qui circule à ce sujet », fait l’amiral.

Laquelle donc ?

« Que lors de son voyage au Mexique, le président avait justement rencontré un chirurgien-plasticien de renom pour se faire greffer un appendice sexuel plus long… D’où les 50.000 dollars qui n’étaient qu’un acompte… »

Paul reste silencieux.

« Nous savions qu’il s’était fait greffer un implant dans la verge au moment de sa rencontre avec sa seconde épouse. Ce qui lui donnait cette démarche d’ours des Carpates particulière, parce que c’est particulièrement inconfortable pour les petites tailles de caleçon des petits-culs. Serait-ce donc ça, à l’occasion d’une exigence de sa troisième épouse ? »

« Je ne peux pas vous dire, j’ai « oublié » ce détail », répond Paul. « Mais bouclez donc votre information auprès de vos collègues canadiens. Ce sont eux qui m’avaient averti et la chose a été confirmée par le directeur Almont de la CIA… »

Il confirme alors ?

« Je n’ai rien dit, mais Almont s’est débrouillé pour me remettre dans le circuit, je ne sais pas comment, et j’ai atterri chez vous le jour du mariage de votre fille. »

Ahurissant, si c’est bien ça pense pour lui Gustave Morthe de l’Argentière !

Mais cohérent.

 

« Encore une chose… Quand vous êtes allé faire le zouave en Mer de Corée sur un Mig de récupération, ce n’était pas pour la CIA, là aussi. »

Secret défense…

« Je vous rappelle que j’étais encore sous l’uniforme et que la mission avait été commandée à notre ministère par le SAC, pas par la CIA. Et puis, je n’y suis allé que parce que les pilotes américains pressentis ont fini tous par se désister, tellement c’était casse-gueule. D’ailleurs c’était un piège ! »

À cause de l’agent Miho Mihado ? « L’avez-vous baisée, au moins ? »

Pas vraiment sur le moment, mais plus tard, à bord du vol circumpolaire au moment de « la sieste » du capitaine haddock.

« Et alors, qu’est-ce qui s’est passé avec elle au sémaphore de Saint-Florent ? »

Merde, pense pour lui Paul. L’amiral est vraiment bien curieux et au courant de beaucoup de choses…

C’est secret d’État, là.

« Je vous l’ai déjà dit, je l’ai déjà oublié. »

En fait pas du tout. Il l’avait embastillée après qu’elle ait tenté de le kidnapper, dans les douves du phare pendant 48 heures, enchaînée, sans rien à boire ni à manger et dans le noir total avec pour seule compagnie les rats du maquis corse.

Puis il a surgi avec Lydia, l’épouse du chef Rémarde, déguisée en pute et lui en sauvage où ils simulent tous les deux un viol… violent, pendant plusieurs dizaines de minutes.

Le tout était que Miho soit persuadée que Paul était sorti de ses gongs jusqu’à en tuer Lydia, avec force détonations dans la cuisine au-dessus où il l’a traînée sans ménagement, simulant la colère-furieuse, et que ça allait être son tour à elle de déguster.

N’importe qui aurait parlé et avoué n’importe quoi. Mais elle, elle en était restée à la première version de son interrogatoire.

 

Est-ce assez clair, désormais ?

 


Un Programme d’investissements d’avenir (PIA) sans avenir ?...

 

Nous sommes au milieu d’une semaine décisive où nos dirigeants, et les contre-pouvoirs en place comme la presse et les médias, choisiront de continuer à enfoncer le pays dans un totalitarisme mafieux ou bien prendront la décision d’une véritable rupture en révélant au public le véritable niveau de corruption des années « Mythe-Errant ».

Une corruption qui dépasse l’imagination et dont le summum a été atteint lors du détournement des 7 milliards de dollars des indemnités de la première guerre du Golfe (15 milliards d’euros en valeur 2014) auquel s’est ajoutée l’escroquerie sur les puits de pétrole en feu au Koweït en 1991.

Une escroquerie qui bat tous les records puisqu’elle s’établit à 22 milliards de dollars en valeur 1991 soit près de 50 milliards d’euros en valeur actuelle !...

C’est-à-dire que le total du détournement des indemnités de la guerre du Golfe et de l’escroquerie sur l’extinction des puits de pétrole en feu au Koweït représente environ 60 milliards d’euros !...

Nous avons atteint des sommets dans la corruption et nous sommes maintenant totalement décrédibilisés au Proche-Orient et au Moyen-Orient car il ne faut pas imaginer que ces affaires sont inconnues des services de renseignements des pays arabes ou encore de la Russie !...

Même pour Israël nous ne sommes plus des partenaires fiables !...

Peut-on imaginer qu’un dirigeant politique israélien aurait pu dérober des milliards de dollars à la Défense de son pays sans une vigoureuse réponse de Tsahal ?...

C’est ce qui me fait penser que « Déesse-Kha » ne sera même pas bienvenu dans un kibboutz au fond du désert du Néguev lorsque l’affaire sera rendue publique !...

Parce qu’il semblerait que « Déesse-Kha » soit l’un des grands organisateurs de ces détournements de fonds !...

D’ailleurs, il a réussi à racheter la compagnie financière Anatevka qu’il devait capitaliser à hauteur de deux milliards de dollars sur le marché chinois !...

Avec quel argent ?...

Très vraisemblablement avec les "queues" des placements des fonds disparus de la guerre du golfe !...

Pas de chance, le "pot aux roses" a été découvert et « Déesse-Kha » se demande s’il ne va pas se faire fusiller par son ex-partenaire qui risque de tout perdre dans cette affaire !...

La vie devient dure pour ce pôvre « Déesse-Kha » qui se retrouve sans un "radis" devant lui car ses comptes gaulois ont été vidés par le capitaine de corvette Paul de Bréveuil, alias « Charlotte, agent de la CIA !...

En effet, les Américains ont très mal pris ces détournements de fonds !...

Grâce au programme Promis, ils ont mis vingt ans à localiser les fonds et à les récupérer sur les comptes helvètes, ou autres, de nos dirigeants politiques sachant que ceux-ci en ignoraient l’existence comme « Titi-Breu-Tonton », ancien ministre des Phynances de Gauloisie, qui s’est fait vider son compte au Lichtenstein ouvert au nom de son épouse !...

Cela fait partie du plan machiavélique de « Mythe-Errant » et de sa clique de crapules : Ouvrir dans les paradis fiscaux des comptes bancaires au nom de nos dirigeants, de gauche comme de droite, de façon à les tenir !...

Le cas le plus célèbre est celui de Christina Basano qui s’est découvert un compte de 8 milliards de dollars !...

C’est « l’affaire Basano / Ferrayé » !...

Et bien maintenant, que tous se rassurent !...

Ils ont été vidés par « Charlotte » !...

C’est raconté de cette façon dans le roman « Mains Invisibles » de « I-Cube » :

http://infreequentable.over-blog.com/article-mains-invisibles-1-121872254.html

 

Mais que sont devenus tous ces fonds récupérés ?...

Et bien, d’après le roman « Juliette-Siéra » de « I-Cube », ils auraient été placés dans le « Grand Emprunt 2010 » encore appelé « Programme d’investissement d’avenir » !...

Parce que, semble-t-il, il n’y a jamais eu d’emprunt sur les marchés financiers !... Ce qui explique aussi qu’il n’y a eu aucun appel à l’investissement auprès du public !...

Juste un montage financier ?...

Ces fonds seraient ceux des indemnités de la guerre du Golfe et de l’escroquerie sur l’extinction des puits de pétrole en feu au Koweït qui auraient été placés dans le « Solutré-Jarnac Trust » à Londres !...

Une hypothèse romanesque, bien sûr, mais qui ne doit pas être bien loin de la réalité !...

Ce qui est amusant, c’est que le Programme d'Investissements d'Avenir (PIA) a été placé le 22 avril sous l'autorité du ministre des Finances, Arnaud Montebourg, alors que jusqu’à maintenant il dépendait du Premier ministre !...

On se demande bien pourquoi ?...

Il est vrai que le 7 avril j’ai mis en ligne le billet « La Divulgation aura lieu fin avril/début mai 2014 !... ».

Mais il est tout aussi vrai qu’il y a encore beaucoup d’argent disponible, car les 35 milliards initiaux se sont gonflés, on ne sait par quel miracle, de 12 milliards supplémentaires !...

On en est maintenant à 47 milliards d’euros à investir, dont 7 ont été décaissés pour l’instant !...

Un pactole qui suscite des convoitises !...

Suite à ce soudain et inexplicable changement d’affectation, les deux vice-présidents du FIA, Alain Juppé et Michel Rocard, ont démissionné !...

Alain Juppé, ancien Premier ministre, s’en explique :

« Nous avions été informés du projet il y a une dizaine de jours, explique le maire de Bordeaux. J'ai téléphoné à Michel Rocard qui est plus en cour que moi auprès du gouvernement pour qu'il aille expliquer à Manuel Valls que c'était une erreur. Ça n'a pas suffi donc nous avons choisi de démissionner."

Alain Juppé l'assure, la personnalité d'Arnaud Montebourg envers lequel il n'éprouve aucune sympathie n'est pas en cause. "Ce programme était extrabudgétaire et interministériel puisqu'il dépendait du Premier ministre, rappelle Alain Juppé. Ce que nous redoutons avec Michel Rocard, c'est que, dans cette période de disette budgétaire, l'argent du PIA attire beaucoup de convoitises dans les différents ministères et serve à boucher quelques trous, ce qui n'est nullement la vocation de ce programme qui doit financer des projets innovants ».

Je comprends très bien Alain Juppé, car la Défense risque d’avoir de gros besoins dans un très proche avenir !...

En effet, il faut que des fonds puissent être décaissés immédiatement pour satisfaire les urgences des militaires si le scandale du détournement des indemnités de la guerre du golfe est révélé au public !...

L’Etat-major des Armées va exiger le versement immédiat des 15 milliards d’euros récupérés sous peine de voir les militaires, capitaines en tête agitant un drapeau tricolore, défiler dans les rues pour demander des explications sur les fonds disparus !...

Il va falloir donner aux soldats qui ont participé à l’Opération Division Daguet la prime de guerre promise et jamais versée (près de 2 milliards d’euros) mais aussi indemniser ceux qui souffrent ou sont décédés du syndrome du Golfe…

Et c’est sans compter sur la création de la Fondation Division Daguet.

Le reste sera particulièrement bienvenu pour les OPEX, l’entretien du matériel, etc…

Aussi, il me semble que tout se met en place pour une Divulgation au public du détournement des indemnités de la guerre du Golfe !...

La première urgence sera de rendre, enfin, aux militaires l’argent qui leur est dû.

Avec le « Programme d’investissement pour l’avenir » directement géré par le ministère des finances ce sera beaucoup plus facile !...

 

Jean-Charles DUBOC

 

 


22 avril 2014 : début d’une semaine décisive…

 

 

Le dossier du détournement des 7 milliards de dollars des indemnités de la guerre du golfe de 1991 vient d’être transmis au syndicat « Magistrats pour la Justice ».

En valeur actuelle, ce détournement de fonds publics représente près de 15 milliards d’euros.

Le site Alerte éthique a été créé exclusivement pour révéler au public ce détournement.

Les informations disponibles sur Alerte éthique sont reprises sur MEDIAPART. La dernière synthèse est disponible dans la note « Lettre humoristique à Edwy Plenel » mise en ligne le 22 décembre 2013.

Vous y découvrirez des courriers envoyés depuis 1998 à différents ministres des finances dont Dominique Strauss-Kahn.

Il me semble nécessaire de faire le point car une nouvelle étape a été franchie avec l’information du New York Times selon laquelle 84 milliards de dollars ont été virés, au titre des frais de guerre, par les banques centrales du Koweït, des Emirats arabes-Unis et l’Arabie Saoudite, aux pays de la coalition de l’Opération Tempête du Désert, les USA, la Grande Bretagne et la France.

Des informations plus précises sont disponibles dans les archives de l’ONU, en particulier celles de la Commission d’Indemnisation des Nations-Unies (CINU).

De plus, d’après les courriers reçus du ministère des finances et du ministère des armées par une association de militaires en retraite, nous savons maintenant qu’aucune somme n’a été virée à la France au titre des indemnités de la guerre du Golfe !...

Ce détournement de fonds est une réalité !...

L’ensemble de ces documents, notamment les courriers envoyés aux ministres des finances depuis 1998, ont été envoyés au syndicat « Magistrats pour la Justice » dont la présidente-fondatrice est Alexandra Onfray, ancienne conseillère de Rachida DATI, ministre de la Justice.

 

 En fonction de ces informations, il y a deux possibilités :

 

1/ Le dossier est transmis  par le syndicat « Magistrats pour la Justice » au procureur de la République.

Celui-ci envoie un réquisitoire introductif au président du Tribunal de Grande Instance qui saisira un juge d’instruction pour l’ouverture d’une instruction.

Il s’en suivra alors une information dans la presse et les médias.

C’est-à-dire que la DIVULGATION au public de cette incroyable affaire, celle d’un détournement de fonds publics de près de 15 milliards d’euros, commencera !...

Une crise politique très grave ne peut que s’en suivre.

Elle permettra aux citoyens d’exiger de faire de profondes modifications dans nos institutions afin de pouvoir repartir sur des bases saines.

Parmi celles-ci, et afin de développer de réels contre-pouvoirs, devraient apparaître le tirage au sort d’une partie des représentants du peuple (ex : les sénateurs), la limitation à deux mandats des élus, et deux mandats différents (avec une période de carence de 1/3 pour ceux qui voudraient être réélus), la création de parlements régionaux (comme en Allemagne) et le paiement au SMIC de tous les élus !...

De quoi créer une Assemblée Constituante par tirage au sort comme en Islande !...

 

2/ Le totalitarisme mafieux dans lequel nous sommes immergés a encore suffisamment de nuisance pour étouffer cette affaire, tant au sein de la Magistrature qu’au sein de la presse et des médias, et il ne se passera rien !...

Dans ce cas-là, l’actualité sera bien plus paisible et notre pays continuera sa lente dégringolade économique, morale et financière, pour évoluer, un peu plus, vers une société où la « peste brune », caractérisée notamment de l’extinction des libertés, va continuer à se développer.

Aussi, la semaine qui commence est celle où l’Histoire peut changer de direction : d’un côté, le retour vers la démocratie, et, de l’autre, la poursuite de la dégringolade vers un enfer totalitaire.

 

Pour tous ceux qui veulent en savoir plus sur les dessous de cette affaire, je vous recommande le billet « Pour "mes" Présidents » de « I-Cube » qui a développé plusieurs hypothèses romanesques sur ce détournement de fonds auquel s’ajoute l’escroquerie sur l’extinction des puits de pétrole en feu au Koweït en 1991:

http://infreequentable.over-blog.com/article-pour-mes-presidents-123356822.html

 

Bonne lecture !...

 

 Jean-Charles DUBOC

 

 

 

 


Dossier transmis au Procureur de la République

 

Vous trouverez, ci-dessous, l’email que j’ai envoyé au Syndicat de la Magistrature, ainsi qu’à Magistrats pour la  Justice, au sujet du détournement des indemnités de la guerre du  Golfe de 1991.

En toute logique, ce dossier doit être transmis par ces syndicats au Procureur de la République conformément à l’article 40 du code de procédure pénale qui spécifie que :

« Le procureur de la République reçoit les plaintes et les dénonciations et apprécie la suite à leur donner conformément aux dispositions de l'article 40-1.

Toute autorité constituée, tout officier public ou fonctionnaire qui, dans   l'exercice de ses fonctions, acquiert la connaissance d'un crime ou d'un délit est tenu d'en donner avis sans délai au procureur de la République et de transmettre à ce magistrat tous les renseignements, procès-verbaux et   actes qui y sont relatifs ».

Mais je n’ai absolument aucune certitude que ce dossier ait été transmis au Procureur de la République, car une fausse manipulation   du clavier aura pu l’envoyer directement à la corbeille !...

Aussi, je le mets en ligne, afin que tous les citoyens qui en prendront connaissance, qu’ils soient membres d’une autorité constituée, officier public, ou fonctionnaire, puissent l’imprimer et l’envoyer, en recommandé avec accusé de réception, au Procureur de la République.

Vous découvrirez dans ces documents des informations totalement inédites !...

 

 Jean-Charles DUBOC

…………..

 

Jean-Charles DUBOC

   à
    Magistrats pour la Justice
    Syndicat de la Magistrature
   
   
    Mesdames, Messieurs,
   
   
    Puis-je vous demander, conformément à l’article 40 du code de procédure  pénale, de transmettre au Procureur de la République, sans délai, le  dossier ci-joint concernant un très important détournement de fonds publics.
   
    Il s’agit des indemnités de la guerre du Golfe 1991 dont il n’y a aucune trace dans les comptes     du ministère de l’Economie et des Finances ni dans les comptes du ministère  de la Défense.
   
    Le montant de ce détournement de fonds serait de plus de 7 milliards de dollars.
   
    Les documents disponibles sont :
   
    1/ Les lettres envoyés aux différents ministres des finances depuis juin 1998 à ce sujet ;
   

2/ La demande de prime d’aviseur adressée à Laurent FABIUS le 13 juin 2000.  Cette demande de prime d’aviseur lève la prescription des 10 ans ;
   

3/ Un article du New York Times de septembre 1992 qui précise que les  banques centrales du Koweït, des Emirats Arabes Unis et de l’Arabie saoudite,  ont virée aux USA, à la Grande Bretagne et à la France, un montant total de 84 milliards de dollars au titre des frais de guerre ;
   

4/ La réponse du chef de cabinet de Christine LAGARDE, à une association  d’anciens militaires, qui spécifie qu’il n’y a rien à ce sujet dans les  comptes du ministère des Finances ;
   

5/ La réponse de Hervé MORIN, ministre de la Défense, qui estime que les allégations ne sont pas fondées.
    
Le fait que le New York Times diffuse une information selon laquelle plusieurs milliards de dollars ont été virés à la France, et les réponses  négatives adressées à une association d’anciens militaires, confirment ce détournement de fonds.
     
Ce dossier est aussi disponible en ligne sur le site ALERTE ETHIQUE spécifiquement dédié à ce détournement de fonds :
http://euroclippers.typepad.fr/alerte_ethique/indemnit%C3%A9s-de-la-guerre-du-golfe-1991/

   Je vous prie de bien vouloir agréer, Mesdames, Messieurs, l’expression de toute ma considération.
    
Jean-Charles DUBOC   

                      
   

21 fichiers

   
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                     
     

                                                                                                                                                     

     
     

Capture NYT Gulf War       1.PN

     
     

            

     
     

Capture NYT Gulf War       2.PN

     
     

            

     
     

Guerre Golfe 010001.pd

     
     

            

     
     

Guerre Golfe 02 Strauss-Kahn 8 juin 19980001.pd

     
     

            

     
     

Guerre Golfe 03 Lettre du ministère 6 juillet       19980001.pd

     
     

            

     
     

Guerre Golfe 10 Fabius 20 juillet 20000001.pd

     
     

            

     
     

Guerre Golfe 11 Thierry Jean-Pierre 6 nov       20000001.pd

     
     

            

     
     

Guerre Golfe 12 Fabius 20 juillet 20000001.pd

     
     

            

     
     

Guerre Golfe 13 DEMANDE DE PRIME 29 janv       20010001.pd

     
     

            

     
     

Guerre Golfe 14 C. Lagarde 20 jun 20080001.pd

     
     

            

     
     

Guerre Golfe 15 LAGARDE 14 août 20090001.pd

     
     

            

     
     

Guerre Golfe 16 LAGARDE 12 mai 20100001.pd

     
     

            

     
     

Guerre Golfe 17 MOSCOVICI 29 janvier 20140001.pd

     
     

            

     
     

Guerre Golfe 4 Strauss Kahn 29 août 19980001.pd

     
     

            

     
     

Guerre Golfe 5 Strauss-Kahn 23 nov 19980001.pd

     
     

            

     
     

Guerre Golfe 6 C. Sautter 27 déc 19990001.pd

     
     

            

     
     

Guerre Golfe 7 C. Sautter 21 fev 20000001.pd

     
     

            

     
     

Guerre Golfe 8 Fabius 3 avril 20000001.pd

     
     

            

     
     

Guerre Golfe 9 Fabius 13 juin 2000 Prime0001.pd

     
     

            

     
     

Lettre BIHAN 1.jp

     
     

            

     
     

Lettre BIHAN 2.jp

     
   
   
                       
     

Télécharger les fichier

     
   
   
         
   

Certains des fichiers téléchargeables contiennent des informations confidentielles et sont disponibles uniquement sur demande.

Mais vous pouvez prendre connaissance des quatre plus importants qui permettent de se faire une idée de la réalité de ce détournement de fonds :

Capture NYT Gulf War 1.PNG

Capture NYT Gulf War 2.PNG

Lettre BIHAN 1.jpg

Lettre BIHAN 2.jpg

Ces fichiers expireront le 9 décembre

   

La ῝Divulgation῝ aura lieu fin avril/début mai 2014.

 

 Il me semble nécessaire de reprendre les actions récentes pour comprendre ce qui s’est passé ces derniers douze jours, et ce qui va se passer…

 

  1/ 25 mars 2014, mise en ligne de la note : « Anatevka, Strauss-Kahn et les frais de guerre de la Division Daguet ». 

 

J’ai écrit cette note lorsque j’ai réalisé que la divulgation sur le détournement des indemnités de la guerre du Golfe 1991 était imminente, compte-tenu de l’avancement du dossier, des documents disponibles, et des diverses associations qui envisagent de déposer une plainte contre les ministres des Phynances depuis 1998, pour complicité de détournement de fonds publics.

Mais, j’ai aussi envisagé les conséquences immédiates d’une telle révélation.

 

Je me suis penché, notamment, sur « Titi-Breu-Tonton », ancien ministre des Phynances, et directement concerné par l’affaire.

Son profil de chef d’entreprise, ses déclarations, et ses vidéos, permettent de se faire une idée assez précise de sa personnalité. Indiscutablement, il est l’un des meilleurs chefs d’entreprise de Gauloisie.

Extrêmement intelligent, il est, en plus, doté d’une haute éthique, m’a-t-il semblé. Ce qui est plutôt rare par les temps qui courent.

Cela allait être du gâchis, une catastrophe humaine pour lui, ses proches et son entreprise.

Et je me suis posé la question de savoir s’il était possible de le prendre pour partenaire sur cette affaire. Pas évident, car il me connaissait, relativement bien, pour différentes raisons.

 Et j’ai tenté le coup.

 

J’ai rédigé une note franchement « hard » (modifiée par la suite) mais dont le but principal était d’annoncer que j’allais ῝tuer῝ « Le Grand queutard cinglé » !...

Puis, j’ai informé « Titi-Breu-Tonton » de cette note, tout simplement en passant par son blog.

La réponse a été très rapide.

 

 

2/ Passage d’un Transall, le 30 mars 2014

Il  faut d’abord savoir que personne, absolument personne, ne savait qui était le ministre ῝très connu῝ à qui j’avais proposé de transmettre le dossier des indemnités de la guerre du Golfe au procureur de la République.

Je n’ai, en effet, informé aucun de mes partenaires habituels.

Curieusement, cinq jours après la mise en ligne du billet « Anatevka, Strauss-Kahn et les frais de guerre du la Division Daguet », un Transall est passé au-dessus de mon village à très basse altitude, puis il a fait un second passage dans la valleuse voisine :

http://euroclippers.typepad.fr/alerte_ethique/2014/04/un-transall-au-dessus-de-st-pierre-en-port.html

Très surprenant.

 

 Il y a plusieurs possibilités : ce survol basse altitude, absolument interdit aux pilotes civils, peut être une initiative personnelle d’un pilote de l’Armée de l’Air qui me connaitrait, une demande de l’Etat-Major, une coïncidence, ou encore autre chose…

Qu’un pilote survole la maison d’un proche, ou d’un ami, n’a rien d’extraordinaire. Ainsi « Pouliche » a survolé en Super-Etendard ma longère, il y a une vingtaine d’années, à très basse altitude !...

Une pratique assez courante pour les pilotes des forces aériennes. Et c’est valable dans tous les pays. C’est un entraînement en condition réelle, à basse altitude, pour une passe de tir ou une intimidation !...

Mais il y a une autre hypothèse.

Il y a, en effet, la possibilité que quelqu’un de ῝bien placé῝ ait fait la demande de survol en Transall, à titre d’entrainement. C’est tout à fait dans le cadre des exercices de nos pilotes pour entrainement au largage des commandos du KOS en zone de guerre. Et cette personne pourrait bien être « Titi-Breu-Tonton » !...

Parce qu’en fait, si « l’Amiral Padock » a des contacts plus que sérieux avec la DPSE, le ministre « Titi-Breu-Tonton » en a au moins autant, sinon beaucoup plus, vu le niveau éminemment stratégique de son entreprise.

 

Car ce passage à basse altitude n’est tout de même pas un hasard !...

C’est hautement improbable.

En effet, c’est la deuxième fois que cela arrive !...

La première fois était en juin 2008, après une lettre à « Christine Regarde-Là », ministre, elle aussi des Phynances. Le survol avait été fait, là aussi, à une altitude extrêmement basse, par trois Transall en formation !...

Le maire de notre petit village cauchois, qui n’avait jamais rien vu de tel, a pu les observer avec surprise !... 

C’est tout de même plus que curieux, ces coïncidences !...

 

 Pendant dix jours, j’ai alimenté en continu le blog de « Titi-Breu-Tonton » pour arriver à une conclusion absolument extraordinaire que le public découvrira en temps opportun.

Mais, je n’attends aucun email de « Titi-Breu-Tonton ».

Tout a été dit.

J’apprendrai la ῝Divulgation῝ par la presse, en même temps que tout le monde, sachant que je n’aurai absolument aucune déclaration à faire car le dossier sera transmis à la justice !...

« Titi-Breu-Tonton » est maintenant ῝aux manettes῝.

Il en a pour deux à trois semaines afin de définir la stratégie de la Divulgation : contact avec le procureur de la République, information des rédacteurs en chef des grands quotidiens et des chaines de télévision, puis information des ténors de l’UMP afin qu’ils montent au front, au moment opportun, sabre au clair !...

« Titi-Breu-Tonton » est en train de créer sa ῝meute῝.

La ῝Divulgation῝ aura lieu fin avril, ou bien début mai 2014 !...

Le printemps sera chaud, très chaud.

 

 « Amiral Padock »

P.S. Evidemment, je peux me planter complètement dans cette analyse…

 

 

 


Un Transall au-dessus d'un petit village du Pays de Caux...

  

30 mars 2014

 

Nous sommes le lendemain du deuxième tour des élections municipales. Les électeurs ont signifié au gouvernement le rejet de la politique menée par François Hollande.

Le mécontentement est général et les gens lucides sont conscients que les « Soces » mènent le pays à l’abime.

Je viens de proposer à un ancien ministre de Jacques Chirac, très connu, de transmettre au procureur de la République les informations sur le détournement des 7,3 milliards de dollars d’indemnités de la guerre du Golfe par François Mitterrand en 1991.

La somme détournée représente 17 milliards d’euros en valeur actuelle, soit trois porte-avions avec leurs Rafale.

Ce dossier est une véritable « bombe atomique politique » qui « vitrifiera » la gauche, le jour où le missile sera tiré !...

C’est le moment.

Les documents disponibles dans la rubrique « Indemnités de la guerre du Golfe 1991 » de mon blog sont suffisants pour ouvrir une instruction pour détournement de fonds publics, sachant que la prescription des dix ans a été levée par la demande de prime d’aviseur faite à Laurent Fabius le 29 janvier 2001.

J’ai demandé, pour solde de tout compte, seulement 1% des fonds détournés.

Mais, cela fait tout de même 73 millions d’euros !... Aussi, j’ai décidé que la quasi-intégralité de cette prime sera destinée à créer la « Fondation Division Daguet » qui indemnisera nos soldats tués ou blessés au combat, ou souffrant de divers syndromes comme le syndrome du Golfe.

  

La discussion du matin avec le « Baronne » est évidemment orientée sur les élections ainsi que sur les ravages de la politique actuelle et les chances que le ministre contacté transmette le dossier au Procureur.

Pour ma part, j’estime la probabilité à 70%...

-      Moi, je l’estime à 30%... réplique la Baronne.

-      Même 30%... C’est absolument énorme comme probabilité… Cela fait, en fait, 50% de chance pour que le scandale éclate dans les jours qui viennent…».

 

 Nous partons ensuite pour Cany-Barville pour le marché du lundi matin. En sortant du village, la « Baronne » me dit « Tiens !... Un avion sur la gauche !... ».

Et qu’est-ce que je vois à environ 500 mètres ?... Un Transall à une altitude de 200 pieds (60 mètres), en légère descente, à environ 200 noeuds (400 km/h), se dirigeant vers mon petit village de 700 habitants.

Et qu’est-ce qu’il fait ?... Une légère baïonnette !... Un petit virage à gauche, puis un léger virage sur la droite, pour survoler le centre du village !... Directement au-dessus de la longère de « l’Amiral Padock » !...

Je le vois disparaître au-dessus du village, à une altitude extrêmement basse, entre 50 et 100 pieds (15 à 30 mètres), puis remonter doucement pour ensuite faire un virage par la gauche, pour suivre, à basse altitude, la falaise, direction Fécamp !...

J’étais réellement stupéfait !...

Mais aussi extrêmement reconnaissant à l’Armée de l’Air pour cette nouvelle démonstration qui veut dire « Nous avons bien pris les dernières informations !... ».

Ça vaut toutes les médailles…

 

 

 

Ce n’est pas la première fois qu’un Transall survole le village à basse altitude… La dernière fois, c’était le 25 juin 2008, quelques jours après avoir envoyé une lettre de rappel à Christine Lagarde sur le dossier des frais de guerre de la Division Daguet.

Il était midi. J’étais en train de prendre un café, au soleil, en regardant mon jardin orienté au sud, lorsque j’ai vu surgir, à une altitude d’environ 200 pieds, trois Transall en formation, l’un blanc, les deux autres kaki, à la vitesse de largage para !...

Un passage du COS pour remercier le « Capitaine Haddock » de son action envers la Défense !...

Cela m’a fait vraiment plaisir, car, même si le dossier n’était pas rendu public, et bien cela signifiait qu’il était plus qu’attentivement suivi par l’Etat-major des Armées.

Je le savais déjà.

J’avais reçu, notamment, quelques années auparavant, une lettre manuscrite d’un général trois étoiles des Chasseurs alpins qui me remerciait pour mon action auprès de la ministre de la Défense.

Toujours est-il, qu’avec la « Baronne », nous sommes repartis absolument stupéfaits, et satisfaits, de ce passage à basse altitude d’un Transall.

Mais, j’ai comme l’impression que, lorsque le détournement des indemnités de la guerre du Golfe sera révélée aux Français, et aux Françaises, ce sera une Flotille de Rafale Marine qui viendra survoler mon petit village cauchois, fondé et peuplé par tant de marins-pêcheurs à Terre-Neuve.

Une autre histoire.

  

Jean-Charles DUBOC

 

  


Anatevka, Strauss-Kahn et les frais de guerre de la Division Daguet

 

 

 Dans la note « Lettre à DSK du 8 juin 1998 », j’ai raconté comment j’avais arrêté la grève des pilotes de ligne de juin 1998.

 Cette grève avait été lancée par mes petits camarades du syndicat des pilotes de ligne (SNPL).

 Elle a commencé au début de la première semaine de la Coupe du monde de football afin d’avoir un impact maximum auprès du public, du ministère des transports et de la compagnie Air France.

 La tension était garantie.

 J’étais à l’époque en contact avec Jean-Charles CORBET et Carlos GARCIA, président et vice-président du SNPL – Carlos est de ma promotion A 14 de l’Ecole Nationale de l’Aviation Civile.

 Cette grève, très dure, a duré une semaine et a eu un retentissement planétaire !...

 Mais cela aurait pu être beaucoup mieux…

 

 En effet,  j’avais déposé le 22 février 1998, à la BCR du Havre, des informations sur le détournement des indemnités de la guerre du Golfe 1991 par François Mitterrand.

 Compte-tenu des enjeux de cette grève, et de la tension qui montait, j’ai envoyé, le 02 juin 1998, à Jean-Pascal BEAUFFRET, directeur général des impôts, un courrier de rappel sur ce dossier.

 Puis j’ai envoyé, le 08 juin 1998, à Dominique STRAUSS-KAHN, ministre de l'Économie des finances et de l'industrie, une demande d’explication sur l’enquête en cours, tout en l’envoyant aussi à une grande partie des suceurs et suceuses de bites de présidents journalistes de la presse et des médias.

 Il avait été entendu, auparavant, avec Jean-Charles CORBET que, si la présidence de la compagnie déclenchait une forte offensive dans la presse et les médias, le SNPL allait lâcher sur les ondes, en mondovision, l'information du vol des indemnités de la Guerre du Golfe par l'Arsouille.

 L'effet était garanti. La grève s'est arrêtée dans la nuit du 8 au 9 juin.

 Avec mon avocat, maître Jean-Paul BADUEL, nous avons été extrêmement surpris de cette capitulation, en ῝rase campagne῝…

  

Et, depuis bientôt seize ans, j’ai envoyé des courriers à quasiment tous les ministres des finances sur le détournement des indemnités de la guerre du Golfe qui se monte, d’après les dernières informations, à 7,3 milliards de dollars de l’époque, soit plus de 15 milliards d’euros en valeur actuelle.

 Excusez du peu.

 Un rappel de mon action est disponible dans la « lettre humoristique à Edwy Plenel » disponible sur MEDIAPART.

 J’attends toujours un démenti personnel du ministère des finances à mes accusations.

 

 Le seul courrier du ministère des finances sur ce sujet a été adressé en 2008 à une association d’anciens militaires pour les informer qu’il n’y avait absolument rien dans les comptes de l’Etat au titre des frais de guerre de la Division Daguet !...

 Une réponse identique est venue d’Hervé MORIN, ministre de la défense…

 De qui se moque-t-on ?...

 

En effet, un article du NEW YORK TIMES de septembre 1992 précise que « L’information relâchée à une réunion de banques centrales aux Emirats Arabes Unis, dit que, en plus, les gouvernements d’Arabie Saoudite, du Koweït et des Emirats du Golfe, ont versés 84 milliards de dollars en paiement direct aux Etats-Unis, à la Grande Bretagne et à la France pour les dépenses militaires (…) ».

 Ainsi, une somme de plusieurs milliards d’euros a été virée à la France, mais il n’y a rien dans les comptes du pays !... La seule conclusion acceptable est que ce détournement de fonds est une réalité.

 Où allons-nous avec des dirigeants qui sont d’authentiques mafieux ?... L’Omerta est terrible. Elle a déjà un coût énorme dû à la perte de l’intérêt général par les politiques : chômage, faillites d’entreprises, déficit budgétaire, dette, les jeunes qui fuient le pays, etc…

  

Mais, au bout de plus de quinze ans d’efforts, je dois avouer que je commence à saturer.

 A tel point que, pour me distraire, j’ai commencé un roman d’aventures et de science-fiction dont le thème principale est l’incroyable détournement par le président de la République des indemnités de la guerre du Golfe de 1991 !...

 D’ailleurs, cette affaire a déjà fourni de la matière à « I-Cube » pour écrire son roman « Opération Juliette-Siéra » où il raconte comment ces fonds ont été récupérés et placés dans le « Grand Emprunt 2010 » en même temps que ceux provenant de l’escroquerie sur l’extinction des puits de pétrole en feu au Koweït.

 Et là, il y a en a pour 23 milliards de dollars détournés !...

 C’est l’affaire « Ferrayé Basano » :

 http://euroclippers.typepad.fr/alerte_ethique/affaire-basanoferray%C3%A9/

  

Ces détournements de fonds ont été réalisés à l’initiative de « Mythe-Errant » avec l’aide de quelques complices dont « Roulant-du-Mât », l’avocat tordu, et « Mi-Shel-Char-Ass », le porc à gros cigares et grosses bretelles.

 Ceux qui savaient, et se sont rebellés, l’ont payé de leur vie comme Pierre Bérégovoy, Premier ministre, François de Grossouvre, conseiller du président, et Jean-Edern Hallier, célèbre journaliste et fils de général.

 Ces ῝suicides῝ et ῝accidents῝ expliquent le mutisme de l’opposition, de la presse et des médias, des hauts fonctionnaires ainsi que l’incroyable ῝ignorance῝ des ministres des finances depuis 1998.

 

Malgré tout, il faut un cerveau financier pour placer les fonds détournés et les gérer.

 Et c’est là où intervient « Déesse-Khâ », ministre de l’Industrie en 1991, bien placé pour gérer des sommes colossales tout en prenant sa part du butin pour service rendu.

 Il faut savoir que le premier ῝paradis fiscal῝ de la planète est actuellement Hong-Kong.  C’est ce que dévoile Pierre Condamin-Gerbier, ancien de la banque Reyl, dans sa déclaration devant les sénateurs le 12 juin 2013 (vidéo).

 En effet, les Suisses ont renforcé, sous la pression des Américains, la lutte contre le blanchiment d’argent et ont fait fuir de nos contrées des sommes énormes placées jusqu’à maintenant dans les coffres forts helvètes.

  

Très curieusement, notre éminent « Chimpanzé en rut » vient de créer « Anatevka », un « hedge-fund » de deux milliards de dollars financé sur le marché chinois !...

 Manœuvre :

 1 – « Depuis près de deux ans, « Déesse-Khâ » œuvre dans le monde entier en tant que conseiller de gouvernements étrangers, notamment pour la Serbie ou le Soudan du Sud, et de plusieurs entreprises, telles que la Banque Russe de Développement des Régions, le Russian Direct Investment Fund, la National Credit Bank ou un consortium de banques marocaines » nous dit-on.

 « Afin de développer ces nouvelles activités, l’ancien Ministre de l’Économie et des Finances a souhaité s’appuyer sur les équipes et la présence internationale de la Compagnie Financière Anatevka, un groupe fondé en 1994 par Thierry Leyne, un entrepreneur de la première heure dans le secteur bancaire et financier (Co-fondateur de Consors, Synthesis Bank, EBPF-Financière de l’Echiquier, Assya, Firstcaution …) ».

 « Anatevka Compagnie Financière compte une centaine de collaborateurs répartis dans 6 pays : Luxembourg, Belgique, Monaco, Israël, Suisse, Roumanie. Le Groupe rassemble aujourd’hui différents pôles d’activités financières réglementées, à savoir la gestion d’actifs (Groupe Assya), le corporate finance, l’intermédiation financière et l’assurance (Groupe Firstcaution). »

 La société restera cotée sur Nyse Euronext Paris (Code Isin LU0834474271 – Code Mnemo MLANA).

 Site de l'entreprise : http://www.anatevka.lu

 Thierry Leyne, le fondateur, en déclare : « Je suis heureux et honoré de (son) arrivée à la présidence de notre Groupe. Grâce à sa vision globale et son expertise unique, nous allons développer un pôle de banque d’affaires, tout en privilégiant notre culture entrepreneuriale internationale. Ce pôle regroupera le conseil aux États, aux sociétés et aux entrepreneurs pour leur développement stratégique international, leur financement, la restructuration de leur dette et les acquisitions et cessions d’entreprises. »

 

Le monde de la finance criminelle est une grande famille où les vautours se rassemblent pour piller la Grèce, le Portugal, la Gauloisie, des pays mal gérés qui paient vraiment très cher la corruption et la stupidité de leurs élites.

 Malgré tout, la rumeur monte avec plus ou moins de facilité sur le web.

 Elle est maintenant étudiée par « Russia Today » et en particulier par son journaliste vedette Peter Lavelle.

 Il est vraisemblable que nous n’allons pas tarder à nous amuser.

 L’hypothèse du financement du « Hedge-Fund » Anatevka par les ῝queues῝ des fonds détournés lors de la première guerre du Golfe est développée d’une façon plus détaillée et plus romanesque ici :

 http://infreequentable.over-blog.com/article-anatevka-123041070.html

 Bonne lecture !...

  

Jean-Charles DUBOC

 

 

COMMENTAIRES DE "L'AMIRAL PADDOCK"

 

   

COMMENTAIRE 

Dimanche 6 avril 2014

18H50

 

Le capitaine de corvette Paul de Bréveuil, alias "Charlotte", agent de la CIA

 

Il en a des malheurs ce pauvre « Chimpanzé en rut » !...

Cette année, « Déesse-Khâ » vient de perdre le contrôle du « Hedge-Fund LSK » qu’il avait créé avec Thierry Leyne. Celui-ci ne lui pardonnera jamais de l’avoir pris pour un « Pov’Kon », car il risque lui-même de tout perdre et de se retrouver devant la justice.

Le pot aux roses est découvert !...

Ambiance.

 L’année dernière, le « Grand Queutard », qui va de partouze en partouze avec une boite de viagra dans la poche, s’était fait vider ses comptes gaulois par le capitaine de corvette Paul de Bréveuil, alias « Charlotte », un agent de la CIA !...

L’arroseur arrosé.

C’est la raison pour laquelle « Déesse-Khâ » a vendu, à son épouse, pour 200.000 euros, les parts d’une SCI sur un immeuble place des Vosges. (C’est dans les actualités du 9 mai 2013).

Il faut bien se renflouer !...

Il était franchement à sec.

Qu’elle rigolade !...

 Les Américains ne lui ont, en effet, jamais pardonné l’affaire les détournements de fonds de la guerre du Golfe, et ils ont mis tous leurs moyens pour le ῝plumer῝ !...

Et il va finir, très probablement, sur la paille…

 Si vous voulez en savoir plus sur « Charlotte » et la raison pour laquelle il a reçu des mains du président des Etats-Unis la « médaille présidentielle de la Liberté » (Presidential Medal of Freedom), il faut aller voir du côté de « l’Opération Juliette-Siéra » :

http://infreequentable.over-blog.com/article-operation-juliette-siera-xxxi-53522256.html

 Bonne lecture

"Amiral Padock"

 


La Terre au bord de l’apocalypse nucléaire

 

Les aventures de « Tin-tinne » et de « l’Ami-râle Pad-Ock »  (VII)

 

AVERTISSEMENT : Les noms de lieu et des acteurs de ce billet humoristique ne désignent absolument personne en particulier.

Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite !    

En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou humoristique ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle !

Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

 

 

22 décembre 2013 (suite)

 

La « Coupole mafieuse » de Bercy vient d’être frappée par un missile ASMP-A équipé d’une tête de 1 kt.

Le missile est arrivé à plus de Mach 2, soit près de 700 m/sec. L’explosion a été instantanée et a vaporisé la structure en nanotubes de carbone sur près de 10 mètres de profondeur. La chaleur et la pression ont provoqué un intense frittage et des fissures dans un rayon de 15 à 20 mètres.

Malgré tout, elle a gardé son intégrité car les 30 mètres d’épaisseur de carbone-carbone demandent bien plus de puissance pour être détruits.

Cette mégastructure a été livrée par les UMMO, une civilisation extraterrestre qui étudie la Terre. Située sur le plateau « d’Halle-Byon », elle abrite l’un des plus importants ministères de l’Etat, celui des Phynances, là où sont cachés tous les secrets de notre « Ré-Pue-Blik-Bananière ».

L’onde de choc s’est propagée le long des trois kilomètres de diamètre de la Coupole et s’est focalisée en son centre sur les bâtiments qui viennent d’être terminés... Quelques vitres explosent…

Les ῝petits hommes en gris῝ de Bercy se mettent à courir dans tous les sens. De lourdes portes de 10 mètres d’épaisseur tombent et ferment les quatre accès.

« Moscou-vicié », le ministre des Phynances ne comprend pas ce qui se passe. La sécurité lui rapporte qu’un missile supersonique est venu frapper la coupole.

Elle est soudainement isolée du monde extérieur.

 

Le missile a été tiré d’un Rafale biplace piloté par « Pouliche », un ancien de la 11F. Une fois le tir effectué, il a pris une assiette de 50 degrés. A  500 nœuds, le vario affiche 40.000 pieds/minute…

Une minute plus tard, « Pouliche » stabilise le Rafale au niveau 400 à 0.8 de Mach.

Il est assisté de « L’Ami-râle Pad-Ock », un ancien captain de B747 à « d’Air Transe », qui a été nommé commandant de la flotte de Méditerranée par « François III ».

C’est lui qui doit diriger les assauts contre la « Coupole mafieuse de Bercy » afin de récupérer les documents classés « secret défense » dans le coffre-fort de « Moscou-vicié » et de lever le voile sur trois décennies de corruption.

C’est, bien sûr, le  Président « François III », le chef suprême des armées,  qui a déclenché le feu nucléaire, après mûre réflexion, sachant que… s’il ne faisait rien, « Jack-Ouille », l’ancien président, allait lâcher au Château le terrible bichon Léon, celui qui mord au « Kul » tous les voleurs !...

Les deux pilotes sont cap au Nord-Ouest et ils observent l’incendie qui consume la « Coupole mafieuse » de Bercy.

Les Trackers et les Canadairs de la Sécurité Civile de Marseille ne vont pas tarder à entrer en jeu. Ils arroseront la coupole avec des produits retardant puis avec de l’eau afin d’arrêter rapidement son embrasement. Pas la peine d’avoir les ῝Verts῝ sur le dos…

Le centre de contrôle du « porte-avions CSG » a immédiatement transmis l’information au Château… Mais le Président « François III » a disparu...

 

A 40.000 pieds, « Pad-Ock » déclare solennellement dans son masque à oxygène : « Petite mise en pression pour Moscou-vicié !..

« Pouliche » : « Tu crois qu’avec cela il va lâcher les infos sur les milliards disparus de la Division Daguet ?... ».

« Pad-Ock » : « Cela m’étonnerait, je pense qu’il va falloir tirer une bonne douzaine de missiles pour arriver à quelque chose !... ».

« Pouliche » : « Sur la droite, un A380 d’Air Transe !... »

« Pad-Ock » : « Effectivement, je le vois sur l’écran de contrôle. C’est le Jobourg-Roissy. Il est au FL 430 ».

« Pouliche » : « On va se faire une petite interception !... »

« Pad-Ock » : « Extra !... »

Le Rafale monte et rattrape l’A380, puis « Pouliche » se met en patrouille avec lui.

« Pad-Ock » : « Air Transe 995… Coucou !... »

« Air Transe 995 » : « Coucou !... Qui c’est ?... »

« Pad-Ock » : « Regardez sur votre gauche… C’est Pad-Ock… »

« Air Transe 995 » : « Pad-Ock en Rafale ?... Qu’est-ce qui t’arrives ?... C’est Valérie Chauf’Hours…Tu nous interceptes ?... ».

« Pad-Ock » : « Valérie !... Comment vas-tu ?... Cela fait vingt ans que je ne t’ai pas vu… Depuis que nous avons observé un gigantesque OVNI au-dessus de Paris !... »

« Air Transe 995 » : « Quel souvenir !...C’est quoi cette explosion ?... »

« Pad-Ock » : « Juste un compte à régler avec des mafieux… »

 « Air Transe 995 » : « Je croyais que tu étais en retraite…».

 « Pad-Ock » : « J’ai repris du service… On peut t’accompagner jusqu’à Roissy ?...»

« Air Transe 995 » : « On a déjà 7 heures de retard…. On n’est plus à ça près… Mais tu as un plan de vol ?... »

« Pad-Ock » : « Non, je prends cela sur moi… On reste en patrouille et on fera une remise de gaz à l’arrivée… »

 

Le vol se continue au-dessus de la Gauloisie. « Pad-Ock » et Valérie échangent leurs souvenirs. La descente débute à 140 milles nautiques du terrain. L’espace aérien gaulois est fermé. L’A380 est l’un des derniers avions à se poser à Roissy.

Le plafond est de 2000 pieds. « Pad-Ock » est aux commandes, toujours en patrouille avec l’A380. Il maintient une vitesse de 140 nœuds pour une approche finale piste 26R, face à l’ouest.

« Pad-Ock » fait un briefing rapide à « Pouliche » : « Je fais un break à 1000 pieds, puis je survole la cité Air Transe à 300 pieds en mettant la PC pour une remise de gaz vers 2000 ft QNH ».

« Pouliche » : « Heureusement que tu as répété au simulateur… Je m’occupe de la rentrée des trainés… ».

« Pad-Ock » vire sur la droite et descend à 300 pieds tout en s’alignant dans l’axe de la Cité « Air Transe ». Il se stabilise en palier, puis pousse la manette des gaz à fond et la place dans le cran postcombustion.

Il survole les 300 mètres de bâtiments de la cité « Air Transe » dans un fracas assourdissant qui fait vibrer toutes les vitres.

Des hôtesses rassemblées sur le parking, près de la biroute de « Cri-cri-d’Amour », font des grands signes à « Pad-Ock ». Une folle rumeur va se répandre progressivement dans les galleys : le « Six-coups-du cockpit » est de retour !...

Au troisième étage de la Cité, la rédactrice des actualités du magazine LA REVUE « d’Air Transe » entend à peine le hurlement assourdissant des réacteurs du Rafale. Elle est plongée dans les documents relatifs aux OVNI observés par les pilotes civils et militaires depuis 1945.

Elle prépare un article pour l’été 2014, car, depuis l’AIR PROX d’un A320 qui a évité de justesse un OVNI au-dessus de Londres en juillet 2013 et l’incroyable fermeture en janvier dernier de l’aéroport de Brême en raison d’un trafic inconnu, des navigants de la compagnie demandent des explications sur les OVNI.

Il est temps de faire une information, même minime, pour les pilotes, mais aussi pour les passagers…

 

Le Rafale accélère au taux incroyable de 25 nœuds/sec. « Pouliche » rentre le train, la crosse et les volets tandis que « Pad-Ock » affiche 3° en monté sur l’indicateur de pente potentielle du HUD. Puis il se stabilise sous la couche.

« Pouliche » : « Tu as vu que tu as déjà 300 nœuds !... »

« Pad-Ock » : « Quelle fusée cet avion !... Tu prends les commandes… On fait comme prévu… »

« Pouliche » garde la vitesse et suit les infos du directeur de vol qui l’éloigne jusqu’à 16 milles nautiques de Roissy puis il vire sur la gauche jusqu’au cap sud-est pour intercepter l’axe La Défense-Louvre.

Une fois aligné, il met la manette de poussée en avant pour accélérer jusqu’à 600 kts vers les immeubles de la Défense où il commence une mise en descente sur un plan 3 degrés.

La distance entre la Défense et le bas des Champs Elysées est de 3 milles nautiques. A 600 nœuds, c’est 300 mètres qui sont parcourus chaque seconde, et, en 20 secondes, le Rafale survole, dans un bruit terrifiant, Neuilly, l’avenue de la Grande armée, l’Arc de Triomphe, puis les Champs Elysées.

Les badauds qui circulent sur la plus belle avenue de la planète réalisent à peine ce qui se passe. Il y en a peu qui ont le temps de prendre une photo.

Sous l’Arc de Triomphe, « Pouliche » et « Pad-Ock » ont le temps d’apercevoir un immense drapeau bleu-blanc-rouge agité par « I-Cube ».

Dans le bas des Champs Elysées, à 500 pieds, « Pouliche » tire sur le manche et prend une assiette de 3°. Puis  il réduit la poussée et enchaîne deux tonneaux en survolant le Louvre et la Bastille.

Pendant la ressource, un scooter entre au Château. Le conducteur est tellement surpris par le vacarme du Rafale qu’il heurte la grille d’entrée et tombe. Il se relève et enlève son casque. Sa passagère fait de même.

Un photographe de Closer qui passait par là prend un cliché. L’analyse révélera une inconnue !... C’est une jeune femme de 30 ans !... C’est « Petite copine N° 3 » !... Un nouveau scandale éclatera au printemps !...

Le Rafale se stabilise à 2000 pieds et « Pouliche » met le manche sur la droite jusqu’à 80° d’inclinaison et tire à fond. Les commandes de vol électriques limitent l’accélération à 7 g…

« Pad-Ock », malgré sa combinaison anti-g, découvre le ῝voile noir῝...  Il récupère ses moyens en vent arrière, au-dessus du périphérique, avec la Tour Eiffel et les Champs-Elysées sur sa droite.


La démonstration du Rafale - Démo commentée... par Dassault-Aviation 

 

L’appareil décélère rapidement et « Pouliche » sort toutes les trainées à 250 nœuds. Il enchaine un dernier virage et se stabilise à 160 nœuds au-dessus de la Défense où il prend de nouveau un plan de descente de 3 degrés, pleine poussée, post combustion allumée, et recommence le passage précédent, tous les phares allumés.

Une présentation qu’il a faite maintes fois lorsqu’il était pilote de démonstration sur Super Etendard.

Le Rafale accélère d’une façon extraordinaire dans un vacarme qui attire de nouveau l’attention des passants. Les appareils photos sont prêts. Une multitude de clichés et de vidéos sont pris par des touristes du monde entier sur les Champs Elysées.

Le colosse « I-Cube » est toujours sous l’Arc de Triomphe. Il agite de nouveau  son immense drapeau bleu-blanc-rouge à l’attention de « Pad-Ock » et de « Pouliche ». Des gendarmettes, toutes folles de son corps, se sont rassemblées autour de lui afin de prendre des photos et obtenir un autographe…

En bas des Champs Elysées, à 600 nœuds, « Pouliche » tire à fond sur le manche et affiche une assiette de 60° en montée. « Pad-Ock » est plaqué une nouvelle fois sur son siège et redécouvre le ῝voile noir῝ !...

Le vario indique 60.000 pieds/ minute et l’appareil passe le mur du son à 15.000 pieds, toujours en accélération. Toute la région parisienne entend le « bang » supersonique.

Arrivé au FL 290, « Pouliche » fait un virage sur la droite et met le cap sur le « porte-avions CSG » qui navigue au large de la « Corsica-bella-tchi-tchi ».

La vitesse est ramenée à Mach 0.8 pour économiser le carburant.

Malgré tout, la consommation des deux réacteurs M88 Snecma est telle sur une longue mission avec, en plus, une démonstration avec PC allumée où la consommation est de 400 kg par minute, qu’il est nécessaire de faire un ravitaillement en vol, même avec les trois bidons de 2000 litres qui ont été embarqués.

Un ravitailleur KC 135 est prévu au retour près de Dijon.

« Pouliche » éteint le radar, se rapproche du KC 135 et se maintient à cinq mètres du panier en attendant la stabilisation. Une fois ῝connecté῝, il faudra cinq minutes pour transférer 5000 litres de carburant.

Une heure plus tard, une descente économique est commencée à la vitesse de 280 noeuds.

Une approche standard est effectuée pour un appontage sur le porte-avions. La vitesse finale est de 120 nœuds. Le Rafale accroche le premier brin et décélère en moins de 90 mètres.

« Pad-Ock » s’évanouit. Il n’en peut plus.

« Pouliche » suit les ordres du ῝chien jaune῝, dégage l’appareil de la zone d’appontage, puis coupe les moteurs. Il ouvre la verrière.

 

Les secours arrivent rapidement car « Pad-Ock » est manifestement inconscient. Arrêt cardiaque !... Il avait pourtant été prévenu !... Son cardiologue, qui ne le quitte pas, le docteur « Coup-Dur-Riez », essaie de le ranimer !... Rien à faire !...

« Maitre Rouflaquette », à bord pour une période de réserve, fait des footings entre les catapultages et les appontages. Il a 25 kg à perdre pour prendre part à l’assaut final sur la Coupole !... Il déclare à « Pad-Ock » qu’il va lui préparer un « bœuf-carottes » bien arrosé !… Rien n’y fait !… Le terrible bichon Léon, qui accompagne toujours « Maître Rouflaquette », hurle à la mort !…

Le cas semble désespéré, mais « Maître Rouflaquette », qui connait bien « Pad-Ock », tente une dernière action !... Il ouvre, près du mourant, une bouteille de Loch Lomont, le whisky préféré « de Pad-Ock » !... Celui-ci ouvre un œil !... Il respire le goulot du flacon et se réveille pour de bon !... Sauvé !...

« Pad-Ock » se lève, saisit la bouteille de Loch Lomont et s’en sert une longue rasade !... Puis hurle « A l’abordage !... » !... Manifestement, il n’a pas récupéré tous ses esprits… C’est le CEMA en personne qui le conduit en cellule de dégrisement…

 

Le général « Deux-Villes-Liées » invite « Pad-Ock » à pénétrer dans la cellule réservée aux membres d’équipage aux arrêts : « Pad-Ock, Vous avez violé routes les règlements en cours dans l’aéronavale… Interception sans raison d’un avion de ligne… Approche, puis survol d’un aéroport international sans plan de vol… Et surtout, survol des Champs Elysées à 600 nœuds !...

Le président est furieux !... Il a fait une chute en scooter à cause de vous et « Petite copine N° 3 » lui a fait une scène pas possible dans le PC Jupiter !... Il a décidé de vous mettre en prison !... Aussi, je n’ai pas d’autre choix que de vous mettre en cellule avec Pouliche

Vous aurez droit à deux heures de promenade par jour. Mais vous aurez aussi l’autorisation d’accorder des interviews à des journalistes car vous pouvez imaginer que votre petite démonstration a été suivie et retransmise par tous les médias de la planète… ».

« Pad-Ock » : « J’ai l’habitude. Je suis déjà passé 24 heures en boucle sur la CNN après la conférence au NPC à Washington sur les OVNI »

Général « Deux-Villes-Liées » : « S’il n’y avait que cela... Le détournement des milliards d’euros des indemnités de la guerre du Golfe provoque de plus en plus de ressentiment envers les politiques… AVIGOLFE commence à s’agiter sérieusement… Ils savent maintenant qu’ils peuvent déposer une plainte pour complicité de détournement de fonds publics contre tous les ministres de Phynances depuis 1998: Déesse-Khâ, Fafa l’Empoisonneur, Christian Sauté, Thierry Normand, Christine Regarde-là»

« Pad-Ock » : « J’espère qu’ils vont le faire. Ils sont au moins 400 anciens combattants de l’Opération Daguet à souffrir du syndrome du Golfe... Ils n’ont absolument aucune indemnité alors que des fonds énormes ont été virés par les pays arabes… »

Général « Deux-Villes-Liées » : « Cela commence à hurler au KOS. Nous avons des tués et des handicapés dans chacune de nos opérations extérieures.  Maintenant, tous savent qu’ils peuvent partir au combat, ne jamais revenir, ou alors être mutilés, et qu’ils ne toucheront aucune indemnisation alors que le Président peut détourner l’intégralité des indemnités de guerre s’il y en a… »

« Pad-Ock » : « Un article du New York Times de 1992 spécifie que les banques centrales du Koweït, d’Arabie Saoudite, des Emirats Arabes-Unis, ont virés directement 84 milliards de dollars au titre des frais de guerre aux pays de la coalition: les USA, le Royaume-Uni et la Gauloisie »

Général « Deux-Villes-Liées » : « Et ce qui est le plus grave est que la ministre des Phynances Christine Regarde-là, et le ministre de la Défense Mort-Un, ont reconnu qu’il n’y avait aucune ligne de virement dans les comptes au titre de l’Opération Daguet ».

« Pad-Ock » : « Cela veut dire que n’importe quelle association de Kontribuables peut déposer une plainte contre les ministres au même titre que l’association AVIGOLFE …»

Général « Deux-Villes-Liées » : « Cela peut vraiment se mettre à chauffer… Je risque d’avoir du mal à tenir mes troupes qui vont vouloir participer à des manifestations, et en découdre… les capitaines en tête de défilé...»

« Pad-Ock » : « Il y aura peut-être pire… Les complices de Mythe-Errant qui sont encore en vie risquent de se retrouver dans un sac avec des fers aux pieds et de passer par-dessus-bord !... »

Général « Deux-Villes-Liées » : « C’est ce que je crains le plus… »

 

Pendant ce temps-là, la situation se dégrade à vitesse accélérée au PC-Jupiter, le poste de commandement personnel du président situé dans le sous-sol du Château. Le chef du cabinet militaire annonce au président : « C’est Au-Bas-Mât qui veut vous parler… »

« François III » : « Barak, quel plaisir de t’entendre !... »

« Au-Bas-Mât  » : « C’est quoi ce bordel !... Nos satellites ont détecté un flash gamma sur la coupole de Bercy !... C’est les Russes qui attaquent ?... »

« François III » : « Non, non, rassures-toi !... C’est juste une opération pour faire céder Moscou-vicié, mon ministre des Phynances… Je n’arrive pas à connaître le contenu du coffre secret-défense de Bercy… ».

« Au-Bas-Mât  » : « Quoi !... Tu déclenches une attaque nucléaire parce que tu ne peux même pas te faire obéir par ton ministre des Phynances !... ».

« François III » : « C’est pire que cela !... C’est sur demande de Jack-Ouille, l’ancien président, qui m’a menacé de lâcher le terrible bichon Léon au Château !... »

« Au-Bas-Mât  » : « Mais c’est vraiment n’importe quoi !... Tu as déjà failli déclencher la troisième guerre mondiale en voulant attaquer la Syrie et maintenant tu ouvres le feu à l’arme nucléaire pour régler un compte personnel !... »

« François III » : « Oui, mais, en plus, Petite copine N° 3 m’a fait un scandale pas possible !... Ça me gâche la journée !... C’est la faute à Pad-Ock !... Je l’ai fait mettre en prison !... »

« Au-Bas-Mât  » : « Tu ferais mieux de lui construire des grands voiliers-écoles pour son projet Euroclippers, ce serait quand même moins kon que de mettre le feu à la planète !... »

Le chef du cabinet militaire est atterré.

C’est la première fois qu’on a un ῝ado attardé῝ au Château. Les dégâts sont considérables pour l’image du pays et la sécurité de la planète.

 

Le chef du cabinet militaire : « Monsieur le Président, vous avez « Put-In » sur le téléphone rouge. »

« François III » : « Vladimir !... Comment vas-tu ?... »

« Vladimirrr » : « Très mal, ce sont les fascistes américains qui vous attaquent ?... »

« François III » : « Mais non, mais non, Vladimir, ce sont juste des règlements de comptes entre Gaulois… Juste une histoire de corruption qui tourne mal… Très mal… »

« Vladimirrr » : «  Su tu veux un coup de main, on a nos derniers missiles stratégiques équipés de têtes nucléaires de 500 kt et on va te vaporiser la Coupole. Ce n’est pas un problème !... »

« François III » : « N’en fait rien… N’en fait rien… J’ai mis le principal responsable,  l’Ami-râle Pad-Ock en prison… Cela va se régler… »

« Vladimirrr » : « Kamarrrade François, tu es stupide et dégénéré… déjà que tu marries les gays… Et maintenant, tu mets Pad-Ock en prison !... Tu es complètement cinglé !... Tu ferais mieux de construire des grands voiliers-écoles pour les jeunes… »

« François III » : « Je vais réfléchir pour les voiliers… »

« Vladimirrr » : « Réfléchis bien… Pour l’instant, on s’occupe de l’Ukraine… Tu veux qu’on vienne faire le ménage chez vous ?... »

« François III » : « Nooonnn !... »

« François III » raccroche, tétanisé. Vladimirrr s’y met. Et il n’est pas spécialement connu pour avoir de l’humour.

Le Président se tourne vers son chef de cabinet militaire : « Dites-moi, c’est combien un grand voilier-école ?... »

-      « Je vais demander à l’amiral Fort-Hisser »…

 

Ensuite, ce seront les présidents chinois, indous, pakistanais, et les premiers ministres britanniques et israéliens, qui téléphoneront personnellement à « François III » pour savoir ce qui se passe en Gauloisie.

L’angoisse monte progressivement.

Les pays nucléarisés de la planète sont tous passés en ῝Alerte rouge῝.

Leurs missiles stratégiques sont prêts à partir…

 

Le soir, un OVNI survole le parc du Château.

C’est un drone de reconnaissance de la Police intergalactique.

 

 

 

 

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Crazy Horse

 

Je commence vraiment à saturer avec le détournement, réalisé en 1991, des 15 milliards d’euros d’indemnités de l’Opération Daguet, par François Mitterrand et sa bande de mafieux.

Ce blog a été créé, en juin 2008, pour expliquer ce qui s’est passé.

La première note est celle-ci.

Après 159 billets, et 130.000 connexions, il va être temps de passer à autre chose !...

D’ailleurs, c’est déjà commencé puisque j’ai débuté la rédaction d’un roman de science-fiction qui est un pastiche des aventures de Tintin et du Capitaine Haddock (j’ai changé les noms pour ne pas être accusé de plagiat…).

Il est intitulé « Les aventures de Tin-tinne et de l’Ami-râle Pad-Ock » !...

C’est une histoire qui mêle les ῝affaires῝, l’aviation, la Marine, un avocat, « Maître Rouflaquette » et son inséparable et « terrible bichon Léon », « Tin-tinne », fondateur de Mediapart, le docteur « Cap au large » qui poursuit « Bling-bling » pour lui passer la camisole, la « marquise de B. » pour laquelle « Pad-Ock » aura un extraordinaire coup de foudre à la passerelle du « porte-avions CSG », et bien d’autres personnages encore…

Mais j’ai surtout ajouté les UMMO !...

Les UMMO sont des extraterrestres qui font des études sur les Terriens et surtout les Terriennes !...

En effet, sur leur planète, située à près de 14 années-lumière, la nudité est intolérable. C’est une punition, donnée au titre d’une humiliation, et qui remplace la peine de prison en cours chez nous.

Aussi, les UMMO étudient spécialement un cabaret très connu, le « Crazy Horse », où ils envoient leurs meilleurs ethnologues !...

Un jour, l’un des membres de l’expédition UMMO entre au « Crazy Horse » pour étudier le curieux comportement des Terriennes qui sont vraiment différentes des femmes d’UMMO : elles se déshabillent et dansent sur scène dans des postures incroyables !...

Soudainement lorsque l’ethnologue d’UMMO se lève, les danseuses descendent de la scène et se jettent toutes sur lui !...

Faut-il s’en étonner ?...

Tout d’abord, un UMMO mesure en moyenne 2,1 mètres et est bâti comme une ῝armoire à glace῝ !...

De plus les scans cérébraux pratiqué par les UMMO ont découvert, qu’en société, un Terrien pense au sexe chaque 30 secondes, tandis qu’une Terrienne pense au sexe chaque minute !...

Alors avec un UMMO, les danseuses ont craqué !...

Par contre, on ne peut pas savoir ce qui s’est passé car le drone insectoïde qui enregistrait la scène a été écrasé par la 5èm bouteille de champagne !...

Toujours est-il que ce scientifique d’UMMO ressort du Crazy Horse avec une danseuse quasiment nue à chaque bras !...

Et qu’un photographe de Closer, qui passait par là, a pris une photo !...

La photo d’un UMMO entourée de deux Terriennes nues fait le tour de la planète Terre, mais aussi de la galaxie !...

La honte sur UMMO !...

De plus, l’UMMO ethnologue a disparu pendant quatre jours, avec les deux Terriennes, dans un palace parisien…

Il ne réapparaîtra que pour dormir…

La totale…

La tension est à son maximum dans la station spatiale UMMO dans les astéroïdes.

Il n’y a plus rien à faire, c’est trop tard !...

Le code de bonne conduite des UMMO sur Terre n’a pas été respecté, il faut revoir la formation des expéditionnaires !...

Je n’en dis pas plus, vous découvrirez la suite, en plus détaillé (mais toujours très correct), dans les prochains chapitres…

Pour ceux qui ne connaissent pas le « Crazy Horse », je mets aujourd’hui en ligne une vidéo évocatrice.

 

Bonne soirée

« L’Ami-râle Pad-Ock »

 

 


L’économie française vue de Chine

 

J’ai failli mourir de rire !...

Il faut voir les Chinois parler de l’économie française !...

Le vénérable professeur Kuing Yamang nous explique l'économie de la vieille Europe, et particulier celle de la France, sur la chaîne Libertarian.tv

Il ne parle pas encore du détournement des 15 milliards d’euros d’indemnités de l’Opération Daguet virés, en 1991, par le Koweït, l’Arabie Saoudite, les Emirats Arabes-Unis, aux membres de la coalition de « l’Opération Tempête du désert », les USA, le Royaume-Uni et la France, et qui ne sont jamais arrivés en France.

La Suisse, c’est tellement mieux !...

Mais lorsque l'information circulera sur le web au niveau mondial, notre pays va devenir un sujet de moquerie général jusqu’au fond des campagnes chinoises…

A découvrir dans cette vidéo :

http://www.youtube.com/watch?v=-CzUktC_EAQ

 

 

 

 


François Hollande rend hommage au communisme

Cinq millions de chômeurs, six millions de fonctionnaires, bientôt 2.000 milliards d’euros de dettes publiques, près de 4% du PIB de déficit budgétaire, les jeunes qui veulent en découdre, etc…

Notre pays va mal…

Ajoutons, aussi, un détournement de fonds de près de 15 milliards d’euros, celui des indemnités de l’Opération Daguet virés en 1991 par le Koweït, l’Arabie Saoudite, les Emirats Arabes-Unis, aux membres de la coalition de "l’Opération Tempête du désert", les USA, le Royaume-Uni et la France, et toujours soigneusement caché au public.

Des mafieux nous gouvernent.

Il faut dire qu’ils ont de curieuses références politiques, intellectuelles, philosophiques.

Je vous recommande la vidéo « François Hollande rend hommage au communisme » :

 


Histoires Corses, les vraies : « Macagna » de Dumè.

Diverses…

   

Place San-Nicolao à Bastia, Ange sort du café des sports complètement « sborgné » (saoul).

Le lendemain il réapparait devant ses copains de comptoir, complètement platré de partout.

«  – Aò, Ange ! Qu’est-ce qui t’es arrivé ?

– Eh bè, il m’est arrivé qu’à peine sorti du café hier soir, j’ai trébuché et une moto m’a roulé sur le bras gauche.

– Et ensuite ?

– Ensuite ? Ensuite je n’ai pas eu le temps de me relever qu’un train me passe sur le bras droit. Là je tente de me redresser… et c’est un hélicoptère qui me percute la tête. Quant aux jambes, c’est la faute à la voiture de pompiers.

– Aiò , Ange ! Tu nous macagnes, là ?

– Ho dites, si vous ne me croyez pas, vous n’avez qu’à aller demander au type qui tient le manège, là-bas sur la place ! »

 

Le maître fait sa leçon d’arithmétique aux élèves de l’école municipale de Vivario.

« – Bien, maintenant nous allons passer aux exemples. Tiens, toi Mattèu. Ton père achète une bonbonne de vin de 10 litres. Sachant que le vin coût 1 euro le litre, combien ça fait ?

– Euh… ça fait, ça fait… trois jours !

– Comment ça « trois jours » ? Tu ne connais pas l’arithmétique ?

– Non, mais je connais mon père ! »

 

Trois copines font leur jogging sur la plage de Marana au sud de Bastia.

À un moment elles tombent sur un type allongé sur le sable, complètement nu, avec juste Corse-matin déplié sur la tête.

« – Mì comme il est beau ! Il est pas de Bastia, celui-là.

– Pfff, même pas Corsu, il sera !

– En tout cas, ce n’est pas ton mari ! »

 

Les trois même, une fois rabibochées, se retrouvent à la pause déjeuner pour papoter.

Elles discutent de tout et de rien, et souvent de sexe. Ce jour-là, il est question de fellation.

« – Je ne sais pas si ça vous fait pareil, mais moi quand je lui fais une fellation à Mattèu, eh bé il a le sexe chaud et les testicules froids.

– Tiens c’est vrai ça ! Moi aussi, quand je lui fais une fellation à mon Anton, il a le sexe chaud et les testicules froids !

– Eh bé moi, je ne sais pas. Je ne lui ai jamais fait. »

Le lendemain à l’heure du café matinal la troisième arrive avec des lunettes de soleil sur le nez.

« – Mì ! Pourquoi tu portes des lunettes de soleil, toi ? Il y’en a même pas ce matin !

– C’est pour cacher mon œil au beurre noir…

– Un œil au beurre noir ? Montres-nous ! Bouh ! Mais qu’est-ce qui s’est passé ?

– Eh bé, té ! J’ai fait la fellation à mon homme pour savoir s’il avait le sexe chaud. Mais bizarrement, les testicules aussi… Alors je le lui ai fait remarquer. Et comme il me demandait pourquoi, je lui ai dit que c’est pas comme Mattèu et Anton. Et je me suis pris un gros pattòne dans l’œil ! »

 

Deux carabins bastais font leur internat à la Timone.

Un jour, ils voient un type marcher péniblement devant eux dans le couloir. Et l’un dit à l’autre :

« – Mon cher confrère, cet homme qui marche devant nous souffre à l’évidence d’une hernie discale.

– Certainement pas, cher confrère, cet homme souffre indéniablement d’hémorroïdes ! »

Dumè se retourne pour avoir reconnu leur voix et leur fait :

« Vi sbagliate tutti duie, a-va mi scapà a càga ! »

(Vous n’y êtres pas du tout, j’ai juste besoin d’aller vite chier !)

 

Calvi, semper fidelis, sa citadelle et ses touristes.

L’un d’eux demande à Dumè si Christophe Colomb est bien né dans la citadelle, comme le prétendent les archives baptismales.

« Ah, ça je ne peux pas vous dire. Mais je peux vous montrer la maison où il est né ! »

 

Épitaphe à l’adresse de Tino Rossi : « Il marinait là » !

 

Dans le monde, il n’y a que deux sortes de gens : Les Corses et ceux qui rêvent de l’être !

 

« À Paris, vous avez les Bobos (Bourgeois-Bohèmes). Chez nous à Bastia, nous avons les « in-in », les intellectuels-intermittents ! »

 

« En Corse, tout le monde dit que son village est le plus beau. Sauf que le mien, c’est vrai… »

 

« Moi, je viens d’un petit village perdu au milieu de la Corse. Poggio di Verde. 32 habitants, 250 votants, 623 bulletins de votes…

Sur les 32, y’en a 5 qui se parlent !

On n’est pas nombreux, mais attention, c’est du concentré ! »

 

« En Corse, on a aussi une autoroute. Furiani-Furiani. On ne la prolonge qu’au mois de juillet. Comme ça les touristes voient qu’on travaille un peu ! »

 

Deux Natios en planque le long de la route que doit emprunter l’homme à abattre à la sortie de l’autoroute Furiani-Furiani.

Deux heures qu’ils se cachent, immobiles, à attendre.

Alors que la lune décline, l’un deux, impatient fait à l’autre :

« Ayò ! Tu ne vois pas qu’il lui sera arrivé un malheur ? »

 

Bon week-end à toutes et tous !

 

 

Reprise de http://infreequentable.over-blog.com/article-histoires-corses-les-vraies-macagna-de-dume-85821757.html

 


Hommage à Jean-Edern Hallier

 

A la suite de la note « Lettre humoristique à Edwy Plenel », « Jo » a fait ce commentaire :

« Drôle d'idée que de s'adresser à Edwy Plenel concernant un sujet aussi grave.

Sans vouloir amalgamer la rédaction de Médiapart à l'un de ses fondateurs, on se souviendra concernant M. Plenel, alors directeur de la rédaction du Monde, de sa brillante prestation vis-à-vis de Denis Robert lorsque que celui-ci révèle péniblement l'affaire Clearstream (la vraie, celle qui concerne une chambre de compensation luxembourgeoise d'envergure internationale, pas le feuilleton de série Z franco-gaulois opposant Sarkozy et de Villepin) :

http://www.acrimed.org/article3735.html

Une belle marque de courage et d'intégrité.

Vous vous adressez aux mauvaises personnes, cher Ami-râle... »

 

Il est possible que le comportement d’Edwy Plenel soit parfaitement critiquable, mais ma première réaction au commentaire de « Jo » a été de considérer qu’Edwy Plenel était ῝mauvais῝, comme tous les ῝autres῝ !...

Comme tous les autres journalistes qui ont couvert le détournement, par François Mitterrand et quelques complices, des 15 milliards d’euros d’indemnités attribuées à la France par le Koweït, l’Arabie Saoudite, et les Emirats Arabes-Unis, au titre des frais de guerre relatif à l’Opération Daguet.

Et puis, je me suis dit que, là, il y avait quelque chose qui ῝clochait῝…

Comment une telle infamie est-elle possible ?...

En fait, cela signifie qu’une suite d’événements s’étalant sur plus de trente ans, a muselé les journalistes.

C’est aussi simple que cela.

Le premier de ces événements est le ῝suicide῝ de Robert Boulin.

Mais il y en a eu d’autres, comme les ῝suicides῝ de Pierre Bérégovoy et François de Grossouvre.

Progressivement, le premier des contre-pouvoirs s’est effacé face à un niveau de corruption, d’exigence de soumission, de peur, de crainte, atteint dans aucune autre grande démocratie de la planète.

Et puis, j’ai pensé à la disparition de Jean-Edern Hallier, qui ne m’avait pas plus troublé que cela il y a une quinzaine d’années.

 

Jean-Edern Hallier, écrivain polémiste, pamphlétaire, journaliste, critique littéraire, animateur de télévision, est né le 1er mars 1936 à Saint-Germain-en-Laye.

Il est décédé le 12 janvier 1997 à Deauville.

Jean-Edern Hallier est le fils du général André Hallier (1892-1988), héros de la Première Guerre mondiale, qui possédait un manoir familial à Edern dans le Finistère, et de Marguerite Leleu (1903-1984), d'origine protestante alsacienne.

Se situant à ses débuts dans la mouvance du nouveau roman, celui qui fut directeur de « Tel Quel » en 1960, en est exclu en 1963, à la suite d'une virée rocambolesque de Philippe Sollers, dans sa famille, en Suisse.

Après de multiples péripéties, Hallier a hébergé en 1977 la première radio pirate déclarée — « Radio Verte », de tendance écologiste — qui fera beaucoup parler d'elle en tant qu'écho d'un phénomène nouveau.

Dans la lignée des événements de Mai 68, il a également créé en octobre 1969 le journal satirique « L'Idiot international » - patronné à ses débuts par Simone de Beauvoir qui, par la suite, prendra ses distances avec le journal -, ce qui vaudra plus tard à Hallier d'être accusé d'entretenir un réseau « rouge-brun ».

Aux yeux de certains journalistes, le polémiste était d'autant plus suspect qu'il avait, depuis quelques années, entamé un dialogue avec Alain de Benoist, publiant notamment un de ses essais aux éditions Libres-Hallier : Les Idées à l'endroit (1979).

En 1982, l'écrivain est soupçonné d'avoir simulé son propre enlèvement et commandité un attentat contre l'appartement de Régis Debray.  Les sources de ces faits rapportés sont nombreuses : récemment l'auteur de sa biographie a confirmé le fait, ainsi que Gilles Ménage.

Un authentique ῝allumé῝ !...

En juin 1991, National Hebdo affirme que Jean-Edern Hallier va rallier le Front national. Dans un entretien accordé au Monde, l'écrivain dément, mais ajoute : « Le Pen représente beaucoup de Français de la France profonde. Il faut réconcilier Doriot et Thorez », tout en se déclarant « de gauche ».

Critique littéraire, il est également animateur d'émissions littéraires sur Paris Première avec le « Jean-Edern's Club », où il se permettait tout, même de jeter les livres par-dessus son épaule ou dans une poubelle, et sur M6, avec « A l'ouest d'Edern »…

 

Le pamphlétaire, alors en villégiature à Deauville (Normandy Barrière), meurt le matin du 12 janvier 1997.

A ce sujet, je reprends un article de Harware.fr :

Il enfourche sa bicyclette pour rallier le Cyrano, bar des jockeys. Toujours très entouré, cette escapade matinale, est l’un des très rares moments de solitude du polémiste.

En guise de petit-déjeuner, un viandox. C’est sur le chemin du retour, peu avant 8 heures que se produit l’accident. Sans témoins. C’est l’employé d’un casino qui découvre son corps. Son visage face contre le bitume baigne dans une mare de sang.

Des ecchymoses sur le dessus des mains laissent à penser qu’il n’a pas eu le réflexe de se protéger lorsqu’il a chuté, sans doute déjà inconscient. « Malaise cardiaque » pour les uns, « embolie cérébrale » pour d’autres, autant d’hypothèses qui ne seront jamais confirmées. Faute d’autopsie.
 
Une autopsie relève de l’autorité judiciaire lors d’un accident sur la voie publique. Elle est réclamée par le Parquet dans le cas d’une mort brutale ou simplement suspecte. N’importe quel quidam un tant soit peu connu a droit à son autopsie. C’est le privilège de la notoriété, une façon pour les autorités de se prémunir contre les rumeurs qui accompagnent souvent le décès d’une « personnalité ».
 
Hallier n’y a donc pas droit. On prend quand même soin de lui pourtant.
 
Moins de deux heures après son décès, ses proches ont la surprise de constater que son visage a été embaumé à la morgue. Il est comme « plâtré ». Initiative prise sans autorisation de la famille, par on ne sait qui, avec pour seule explication le souci de le rendre « présentable ».
 
Au même moment, sa suite de l’hôtel Normandy reçoit beaucoup de visiteurs. Un mystérieux policier qui exhibe une carte tricolore, d’autres non identifiés mais bien renseignés.

Dans la confusion des allées et venues qui suivent le décès, disparaissent du coffre de sa chambre une importante somme d’argent (1 million de francs), un dessin de Picasso et plusieurs dossiers confidentiels concernant ses têtes de turcs préférées : Mitterrand, Dumas et quelques autres. Indélicatesse d’un proche ? Barbouzerie ? Aucune enquête ne s’attachera à l’élucider.

Toutes les plaintes déposées par sa garde rapprochée et notamment pour « assassinat » sont classées sans suite sous des prétextes divers.
 
Mais y a-t-il une affaire Hallier ? Pas pour la presse.

Pourtant habituellement friande de « mort mystérieuse », elle traite cette disparition comme un non-événement.

Depuis des années sa religion est faite. Mythomane, maître chanteur, alcoolique, mégalo, escroc, le triste sire ne mérite guère que l’on s’attarde sur son cas.
 
Voilà le portrait que dresse Dominique Jamet : « Menteur, mythomane, escroc, plagiaire, comploteur, cynique, voyou. Hallier n’avait pas l’ombre d’une conviction. La bassesse conformiste de l’époque a seule fait de l’équipée de l’Idiot international, pépinière de talents, une aventure, la routine de la télévision a donné du relief à son émission littéraire. Ci-gît Jean-Édern Hallier, connu surtout par sa notoriété. »

Tontonphile notoire, Jamet sera remercié de sa fidélité par la présidence de la Très Grande Bibliothèque de France, mais c’est lui qui tient à souligner dans cette nécro la « bassesse conformiste » des années Mitterrand.
 
Pour le dixième anniversaire de sa disparition refait néanmoins surface dans plusieurs ouvrages.
 
Le plus captivant, « La mise à mort de Jean-Édern Hallier », n’est pas le plus chroniqué. Rien que de très normal. Ne commettant pas l’erreur de s’embarquer sur des hypothèses invérifiables, de vraies fausses pistes sur ce qui a pu se passer ou pas à Deauville ce 12 janvier, les auteurs Dominique Lacout et Christian Lançon se contentent, si l’on peut dire, de nous faire revivre la longue traque dont Hallier fut l’objet sous deux septennats sans que personne n’y trouve à redire.
 
Ils dressent en particulier l’inventaire effarant des moyens de l’État et d’ailleurs, mobilisés pendant ces années pour réduire au silence un homme qui, quoique puissent être par ailleurs ses diverses tares, y avait ajouté celle de refuser de se taire ou tout simplement de se soumettre.

Enjeu principal de ce duel, on le sait, la vie privée du chef de l’État, sa deuxième famille et bien au-delà son passé interdit : les relations avec Pétain, la Francisque, et encore son cancer que Jean-Édern Hallier avait tenté - sans succès - de mettre sur la place publique quelques semaines seulement après le 10 mai 1981, dans son bloc-notes du Matin de Paris.

L’homme le plus écouté de France.
 
Secrets de famille, secrets de jeunesse, secrets médicaux, que la raison d’État imposait à Mitterrand de préserver.

Hallier allait, plus tard, aggraver son cas en s’attaquant à quelques-uns des puissants barons de la mitterrandie.

Avec ceux-là Dumas, Kiejman, Lang, Hernu, Tapie, Charasse, Hallier n’avait jamais rien partagé. Mitterrand lui avait octroyé le privilège rare d’être son avocat, et c’est le même Mitterrand qui l’avait placé comme écrivain « au premier plan de sa génération ».
 
En vertu de quoi, Hallier sera l’homme le plus écouté de France. 640 écoutes téléphoniques illégales (prouvées !) pour la seule période du 4 septembre 1985 au 19 mars 1986 et réalisées par la fameuse cellule de l’Élysée dont la mission originelle consistait à lutter contre le terrorisme.

Femmes de chambre, imprimeurs, relations, bistrots fréquentés par l’écrivain, aucune ligne n’échappe ainsi à l’indiscrétion des hommes du Président.

Autant d’informations qu’il s’agit ensuite d’exploiter.

C’est l’ensemble des moyens de l’État qui est ainsi mis à contribution pour le réduire au silence. Les banques sont invitées à lui couper les vivres, le fisc à lui réclamer subitement de régler ses impôts. Éditeurs, imprimeurs sont eux informés des « risques » encourus à le publier…

La suite sur :http://forum.hardware.fr/hfr/Discussions/Actualite/jean-edern-hallier-sujet_71320_1.htm

 

En fait, la lecture de ce texte nous replonge dans une époque qui semble terriblement lointaine.

Celle où internet n’existait pas, et où le pouvoir se devait de maîtriser l’information à un niveau à peine imaginable aujourd’hui.

Je rappelle que peu de temps après la découverte du corps d’Edern-Hallier, il a été constaté que le coffre-fort de sa chambre d'hôtel — qui contenait des photocopies de documents concernant François Mitterrand et Roland Dumas — avait été vidé.

Son appartement parisien avait également fait l'objet d'une visite semblable.

Il devait déjeuner quelques heures plus tard avec le journaliste Karl Zéro, qui fut d'ailleurs appelé pour l'identification du cadavre.

L'hypothèse de son assassinat a été plusieurs fois avancée, notamment par son frère, Laurent Hallier dans une entrevue accordée à Christian Lançon pour le magazine Généreux en novembre 1998, ou par le même Christian Lançon et Dominique Lacout dans « La Mise à mort de Jean-Edern Hallier ».

Cependant, les plaintes déposées contre X n'ont pas été jugées recevables.

Edern Hallier connaissait-il le scandale du détournement des fonds de la Division Daguet ?...

Probablement, car, comme j’ai pu le constater, l’information était bien connue à l’Etat-major des armées à la fin 1997.

Il ne faut pas oublier que son père était général et que le fiston était tout désigné pour recevoir des informations sur le détournement des indemnités de la guerre du Golfe

Et de les rendre public.

Si c’est cela, il n’avait aucune chance de s’en sortir.

Les tueurs de Béré et Gros-Souvre étaient encore là, et terriblement dangereux…

 Fidèle, à sa réputation de ῝tête brûlée῝, Jean-Edern Hallier a vraisemblablement eu l’intention de révéler ce scandale.

 Peut-être l’a-t-il payé de sa vie…

 

 Ainsi, les journalistes d’un certain âge, comme Edwy Plenel, ont vécu dans une ambiance hostile absolument incroyable.

Ce qui explique la peur, pour ne pas dire la terreur, que provoque chez encore beaucoup de journalistes toute révolte, toute critique sérieuse du pouvoir.

Les ravages de l’horrible mentalité des années où l’Arsouille était au pouvoir se font encore sentir.

N’y voyez rien d’autre comme cause principale au mutisme de la presse et des médias sur le scandale du détournement des indemnités de la guerre du Golfe par François Mitterrand.

La peur sévit encore.

Mais le monde change, et les vieux schémas comportementaux sont en train de s’effondrer progressivement.

Les jeunes ne tolèrent plus cet aveuglement qui les condamne à vivre dans une société qu’ils rejettent.

Il suffit de lire un article récent du Monde sur le malaise d’une jeunesse qui rêve d’en découdre.

Comme Jean-Edern Hallier l’a fait ?...

 

Jean-Charles DUBOC

 


Commission d’indemnisation des Nations-Unies (CINU) : communication du 23 janvier 2014

 

J’ai repris dans la note intitulée « Indemnités de guerre de l’Opération Daguet : Réponses de Christine Lagarde et Hervé Morin » les courriers adressés au président d’une association d’anciens militaires au sujet des indemnités de la « Division Daguet ».

Ces courriers ont été expédiés par Hervé Morin, ministre de la Défense, et  par Christian Dufour, chef de cabinet de Christine Lagarde, ministre de l’économie, de l’industrie et de l’emploi.

Dans ces deux courriers, daté l’un du 7 octobre 2008 et l’autre du 26 février 2009, le chef de cabinet de la ministre de l’économie, ainsi que le ministre de la défense, avouent n’avoir aucune trace, dans leur ministère respectif, d’un quelconque virement au titre des frais de guerre de l’Opération Daguet de 1991.

C’est tout de même extrêmement gênant.

 

En effet, dans un article du New York Times, du 8 septembre 1992, il est possible de découvrir que :

« The report, released at a central bankers' meeting in the United Arab Emirates, said that in addition, the governments of Saudi Arabia, Kuwait and the gulf emirates made $84 billion in direct payments to the United States, Britain and France for military expenses. Officials said payments to Egypt and Syria, who were also members of the coalition opposing Iraq, may have totaled $3 billion to $5 billion »

Traduction : « L’information relâchée à une réunion de banques centrales aux Emirats Arabes Unis, dit que, en plus, les gouvernements d’Arabie Saoudite, du Koweït et des Emirats du Golfe, ont versés 84 milliards de dollars en paiement direct aux Etats-Unis, à la Grande Bretagne et à la France pour les dépenses militaires (…) ».

Sachant que, pour les USA, le coût militaire de la guerre du Golfe 1991 est de 61 milliards de dollars, et bien cela signifie qu’il y a eu, sur 84 milliards de dollars versés à la coalition, 23 milliards destinés à la Grande Bretagne et à la France.

De plus, comme les Britanniques étaient deux fois plus nombreux que les Français, on arrive à environ 7 milliards de dollars virés à notre pays !...

En valeur actuelle, cela fait environ 15 milliards d’euros pour la France.

En conclusion, lorsque l’on réalise qu’il n’y a aucune trace de virement dans les lignes de comptes des Douanes, du Trésor public et de la Défense, alors que le New York Times parle d’un total de 84 milliards de dollars pour les frais de guerre, et bien cela signifie qu’il y a eu un énorme détournement de fonds, en 1991/92, au détriment de notre pays.

 

Avec ces éléments, toute association de défense des contribuables peut déposer plainte pour complicité de détournement de fonds publics contre les ministres des finances qui se sont succédés à Bercy depuis 1998 !...

En effet, j’ai envoyé à la plupart des ministres qui se sont succédés au ministère des finances, depuis cette époque, un courrier, avec accusé de réception, leur demandant, à chaque fois, toujours à peu près la même chose : « J’aimerais connaître le montant des frais de guerre de l’Opération Daguet remboursés à la France par le Koweït, l’Arabie saoudite et les Emirats Arabes Unis et à quelle date ils ont été virés… ».

Je souligne que la prescription des 10 ans a été levée par la demande de prime d’aviseur que j’ai faite le 29 janvier 2001 à Laurent FABIUS, ministre de l’Economie, des Finances et de l’Industrie.

 

Je termine en soulignant qu’il faut bien distinguer les 84 milliards de dollars virés à la coalition, au titre des frais de guerre, par les banques centrales du Koweït, de l’Arabie Saoudite et des Emirats Arabes Unis, des sommes versées par la CINU, la Commission d’indemnisation des Nations-Unis, pour les autres indemnisations.

A cette fin, je reprends ci-dessous un ῝billet῝ intitulé « La CINU communique » mis en ligne par « I-Cube ».

Jean-Charles DUBOC

 

Jeudi 27 février 2014

La CINU communique

Genève – CH-1211, Villa La Pelouse, Palais des Nations, le 23 Janvier 2014

 

« La commission d’indemnisation des Nations Unies (CINU) paie 1,03 milliard US $ aujourd'hui au gouvernement de l'État du Koweït (…).

(http://www.uncc.ch/pressrel/Press%20release%20-%20Payment%20of%2023%20January%202014.pdf)

 La Commission d'indemnisation des Nations Unies a été créée en 1991 conformément aux résolutions 687 (1991) et 692 (1991) pour traiter les demandes et verser une indemnisation pour les pertes et dommages subis par les particuliers, les entreprises, les gouvernements et les organisations internationales suite de l'invasion et de l'occupation du Koweït (2 Août 1990 au 2 Mars 1991).

 La Commission a reçu environ 2,7 millions demandes et a conclu son examen de toutes les demandes en 2005.

Environ 52,4 milliards d’US $ ont été attribués à plus de 100 gouvernements et les organisations internationales pour environ 1,5 millions demandes de toutes les catégories de revendications confondues.

 Les fonds reçus sont versées par le Fonds d'indemnisation des Nations Unies, qui reçoit 5 % des recettes générées par les ventes à l'exportation de produits pétroliers et de produits pétroliers iraquiens conformément à la résolution 1483 (2003) du Conseil de sécurité, réaffirmé dans un certain nombre de résolutions ultérieures, notamment et plus récemment, la résolution 1956 du Conseil de sécurité (2010).

 Conformément à la décision 267 (2009) du Conseil, les paiements sont effectués sur une base trimestrielle en utilisant tous les fonds mis à disposition par le Fonds d'indemnisation.

 En comptant le paiement d'aujourd'hui, la Commission aura versé 44,5 milliards d’US $, en laissant environ un solde de 7,8 milliards US $ restant à payer, correspondant au montant d'un « préjudice moral » (…).

Cette catégorie « E » des demandes a été présentée par le Gouvernement de l'État du Koweït au nom de la « Petroleum Corporation Koweït » qui a déjà obtenu 14,7 milliards de dollars en 2000 pour la perte de production et de ventes de pétrole à la suite des dommages subis par les champs de pétrole Koweïtien.

Ce montant représente le montant le plus important payé par la Commission.

 Pour plus d'informations sur la Commission, y compris le texte des décisions de son Conseil d'administration, le site de la Commission d'indemnisation des Nations Unies se trouve à l’adresse suivante : www.uncc.ch. »

 « Rappelons que la Commission d'indemnisation des Nations Unies a reçu environ 2,7 millions de demandes pour un montant d’environ 352,5 milliards de dollars en compensation de la mort, des blessures, de la perte ou des dommages aux biens, des réclamations commerciales et des demandes de dommages à l'environnement résultant de l'invasion illégale de l'Irak et l'occupation du Koweït en 1991.

 Les plaintes ont été réglées par des comités dont chacun est composé de trois commissaires qui sont des experts indépendants dans différents domaines tels que le droit, la comptabilité, de l'assurance et de l'ingénierie.

Experts et de consultants techniques ont fait leurs vérifications et l’évaluation des revendications pour présenter leurs recommandations sur les revendications présentées au Conseil d'administration pour approbation.

  Le Conseil des gouverneurs est l'organe de l'élaboration des politiques de la Commission d'indemnisation et ses membres ont la même composition que celle du Conseil de sécurité (de l’ONU), dont la Commission est un organe subsidiaire.

À ce jour, le Conseil des gouverneurs a adopté l'ensemble de ses décisions, y compris des recommandations sur la rémunération et les paiements, par simple consensus.

 Le secrétariat de la Commission de rémunération aide le Conseil d'administration et, lors de la phase de traitement des réclamations, a assisté les comités de commissaires.

Le secrétariat distribue les paiements d'indemnités conformément aux Règles provisoires de la Commission selon la procédure réclamations et des décisions du Conseil d'administration.

Depuis la création de la Commission en 1991, son personnel a été reçu dans près de 60 pays différents.

  L'approbation par le Conseil d'administration des derniers rapports et recommandations des comités de commissaires dans sa session de juin 2005, a clôturé 12 années de traitement de toutes les demandes présentées à la Commission d'indemnisation et a mis un terme aux travaux des comités de commissaires.

Environ 52,4 milliards de dollars américains ont été approuvés pour environ 1,54 million de revendications, ce qui représente environ 14,9 % des sommes réclamées.

Le traitement d'un nombre aussi important de demandes pour de tels montants réclamés sur une aussi courte période est sans précédent dans l'histoire de règlement des revendications international.

  

À ce jour, la Commission a mis à la disposition des gouvernements et des organisations internationales à environ 22,5 milliards US $, pour une redistribution aux demandeurs retenus, dans toutes les catégories de préjudices, la grande majorité d'entre eux ont été payés en totalité.

 Les fonds pour payer ces indemnités ont été reçus par le Fonds d'indemnisation des Nations Unies, qui reçoit lui-même un pourcentage des recettes générées par les ventes à l'exportation de produits pétroliers et de produits pétroliers iraquiens.

Conformément à la résolution 1483 (2003) du Conseil de sécurité, 5 pour cent des recettes sont actuellement déposés dans ce Fonds d'indemnisation.

  

À compter du 1er Juillet 2007, le secrétariat de la Commission a été réduit à un format résiduel, conformément à la décision sur la suppression progressive de la Commission d'indemnisation prise par le Conseil d'administration à sa cinquante-huitième session de Décembre 2005, pour ne maintenir le Fonds d'indemnisation que dans le cadre du contrôle continu du Conseil d'administration, appuyé par un petit secrétariat.

 La Commission concentrera son travail sur les paiements de bourses aux demandeurs et le suivi du Programme pour surveiller les aspects techniques et financiers des projets d'assainissement de l'environnement approuvés par le Conseil à sa cinquante-huitième session de Décembre 2005. »  

http://www.uncc.ch/pressrel.htm

 

Un organisme resté dans l’ombre de la grande presse d’opinion de nos pays de « Liberté de la presse »… ou de liberté tout-court, notez bien.

 Les rapports sont pourtant disponibles même s’ils restent « synthétiques-dispersés ».

Dispersés car le Conseil s’est réuni plusieurs fois par an depuis 1999 ;

Synthétiques, parce que si le détail par pays et typologies de demandes d’indemnisation payées est bien retracé, il n’y a aucun détail en ligne des bénéficiaires …

Il faut faire confiance aux agents et commissaires de l’ONU.

 Je me suis permis de surligné en gras trois chiffres :

 – Le coût effarant 352,5 milliards de dollars, heureusement rejeté, qu’aurait coûté cette guerre à la seule charge des irakiens.

Pas leurs chefs ou dictateurs, ils sont morts. Non, le peuple irakien…

 – Les 52,4 milliards de dollars américains approuvés dont 44,5 milliards d’US $ ont été payés au titre des dommages civils et militaires de la coalition et autres pays ou compagnies…

Solde : 7,9 milliards à percevoir…

 – À rapprocher des « environ 22,5 milliards US $ » tenus à la disposition de tous tiers par la commission… qui pourtant ferme ses activités !

Mais déjà et aussi les 14,7 milliards de dollars payés à la « Petroleum Corporation Koweït » en 2000.

On rappelle que les opérations d’extinction de puits en feu n’a pas coûté 1 milliard de dollars en usant du « procédé Ferrayé », déposé à l’INPI Gaulois et volé par quelques aigrefins…

En revanche, Basano vous expliquera le détail d’une opération signée à Paris et usant d’identités volées (dont la sienne, pour 8 milliards) pour un montant de près de 23 milliards de dollars…

J’ai d’ailleurs repris ses prétentions (avec sa permission) devant le Tribunal de Grande Instance de Paris (et même la copie du jugement rendu…).

 Naturellement, je poste ce billet pour la postérité, parce que ce n’est pas du tout ce que je cherchais, mais seulement le coût des opérations militaires.

J’avais le détail, mais sur un disque dur devenu muet depuis quelques années.

Il y en aurait eu pour plus de 84 milliards de dollars…

Dont les fameuses indemnités de la « division Daguet ».

Et ces informations sont désormais enfouies aux fins fonds des pages dans les moteurs de recherche : Je n’ai pas le temps de refaire ce travail !

 Si je vous en reparle aujourd’hui remettant à plus tard le post prévu sur « Menuet-Valse » et son « scandale » au Parlement, c’est que j’ai aujourd’hui la preuve, « l’attestation-ministérielle » officielle, que ni le ministère des finances (direction du Trésor, des Douanes, etc.) ni le ministère de la défense, n’ont jamais entendu parler des indemnités de la « Division Daguet », rabaissant ces « rumeurs » à de simples absurdités, alors que jusque-là, ce n’était, à mes yeux, qu’une simple hypothèse.

 Réponse logique, puisque ces sommes, pour avoir bien été décaissées des comptes du Koweït en Suisse du gouvernement en exil, elles n’ont jamais été encaissées par leur destinataire, mon pays (que j’aime tant…)

Déni de réalité qui est officiellement exprimé là, il n’en découle qu’une seule chose aussi incroyable que cela puisse être :

IL Y A BIEN EU DÉTOURNEMENT !

 Parce que bon, avouez que les milliards ont drôlement circulé, et par dizaines, depuis cette époque et jusqu’au mois dernier et pas la moindre mention dans les lois de finances, mêmes rectificatives de mon pays (celui que j’aime tant…)

 

La suite sur :

 http://infreequentable.over-blog.com/article-la-cinu-communique-122737209.html

 


Indemnités de guerre de l’Opération Daguet : Réponses de Christine Lagarde et Hervé Morin

 

J’ai rappelé, le 22 décembre dernier, dans une lettre humoristique à Edwy Plenel, fondateur de MEDIAPART, comment j’ai envoyé, depuis juin 1998, une quinzaine de lettres aux ministres des finances au sujet du détournement des indemnités de la guerre du Golfe 1991 attribuées à la France.

En fait, à chaque fois, ma question était toujours la même : « J’aimerais connaître le montant des frais de guerre de l’Opération Daguet remboursés à la France par le Koweït, l’Arabie saoudite et les Emirats Arabes Unis et à quelle date ils ont été virés ».

C’est mon droit le plus élémentaire de pouvoir demander au ministère des Finances comment est encaissé et dépensé l’argent public, conformément à la Constitution.

J’ai très largement informé à ce sujet les associations de militaires, notamment lors de la lettre ouverte à Christine Lagarde du 20 juin 2008.

Je viens de recevoir la réponse, en date du 7 octobre 2008, de Christian Dufour, Chef de cabinet de Christine Lagarde, ministre de l’économie, de l’industrie et de l’emploi, ainsi que la réponse de Hervé Morin, ministre de la Défense, à un courrier adressé par le président de l'UNSOR.

 

Voici le texte du premier courrier :

  Lettre BIHAN 2

7 octobre 2008

 

Ministère de l’Economie,

de l’Industrie et de l’Emploi

 

Le Chef de Cabinet

 

139, rue de Bercy

75572 PARIS CEDEX 12

  

Monsieur le Président,

 Par courrier en date du 12 août 2008, vous avez porté à la connaissance de Madame le ministre de l’économie, de l’industrie et de l’emploi, différents éléments relatifs à des indemnités qui auraient été versées notamment par le Koweït. Il vous semble que ces sommes seraient allées au bénéfice des militaires ayant participé à l’Opération « Tempête du désert ».

 Vous indiquez que certains adhérents de votre association, ainsi que Monsieur Jean-Charles DUBOC, vous ont affirmé que ces sommes auraient été détournées, sans pour autant préciser qui en aurait bénéficié.

  Cependant malgré les recherches effectuées en ce sens par les services du ministère, aucun élément d’information susceptible de confirmer ou d’infirmer ces allégations n’a pu être trouvé. En outre, les documents auxquels vous faites allusion sont inconnus du ministère.

  J’ai donc transmis votre courrier à toutes fins utiles au ministère de la Défense, seul compétent pour en connaître…

 Veuillez agréer, monsieur le Président, l’expression de ma considération distinguée.

 

Christian Dufour

  Destinataire : Une association de militaires en retraite…

 

 

Je me permets d’en faire l’analyse.

Tout d’abord, le chef de cabinet précise que « ….différents éléments relatifs à des indemnités qui auraient été versées notamment par le Koweït… ».

Une petite recherche sur Internet permet d’en savoir nettement plus que le chef de cabinet de la ministre de l’économie, qui parle au conditionnel…

Je cite, par exemple, un article du New York Times du 8 septembre 1992 :

New York TIMES 7 sept 1992

 TRADUCTION :

 Les coûts de la guerre du Golfe estimés à 620 milliards de dollars

 Par YOUSSEF M.IBRAHIM

 Publié le 8 septembre 1992

 PARIS, 7 sept. – L’invasion irakienne du Koweït et la guerre du Golfe Persique qui en a résulté a coûté aux pays Arabes 620 milliards $, selon un rapport officiel paru dimanche.

 Le « Rapport économique Arabe », une étude annuelle effectuée par le Fonds monétaire arabe, la Ligue arabe, l’Organisation des pays arabes exportateurs de pétrole, et d’autres institutions importantes, ont déclaré que la destruction des puits de pétrole et des pipelines, des télécommunications, des routes, bâtiments et usines ont coûté au Koweït 160 milliards $ et 190 milliards à l’Irak.

 Le rapport, dévoilé lors d’une réunion des banquiers centraux aux Emirats Arabes-Unis, révèle qu’en plus, les gouvernements d’Arabie Saoudite, du Koweït et des Emirats du Golfe ont fait pour 84 milliards $ de paiements directs aux Etats-Unis, à la Grande Bretagne et à la France pour les dépenses militaires. Les officiels ont déclaré que des paiements à l’Egypte et à la Syrie, qui était membres de la coalition opposée à l’Irak, ont pu totaliser entre 3 milliards $ et 5 milliards $.

 Le support logistique direct pour les 600.000 troupes américaines et alliées en Arabie Saoudite entre août 1990 et mars 1991, plus les travaux pour construire des piste d’atterrissage militaires et des bases, ont coûté 51 milliards $ supplémentaires, qui ont été largement payés par l’Arabie Saoudite et le Koweït.

  

Pour retrouver la source de l’information, il suffit de contacter le « Fonds Monétaire Arabe » !...

 Le site Internet (Arab Monetary Fund) est celui-ci : 

http://www.amf.org.ae/

 

Là, on décrit une réalité : « les gouvernements d’Arabie Saoudite, du Koweït et des Emirats du Golfe, ont versés 84 milliards de dollars en paiements directs aux Etats-Unis, à la Grande Bretagne et à la France pour les dépenses militaires ».

Sachant que, d’après différents sites américains, le coût militaire de la guerre du Golfe 1991 est de 61 milliards de dollars, et bien il reste, sur 84 milliards versés, 23 milliards pour la Grande Bretagne et la France.

De plus, comme les Britanniques étaient deux fois plus nombreux que les Français, on arrive à environ 7 milliards de dollars virés à notre pays !...

En valeur actuelle, cela fait environ 15 milliards d’euros.

 

Je continue :

« Cependant malgré les recherches effectuées en ce sens par les services du ministère, aucun élément d’information susceptible de confirmer ou d’infirmer ces allégations n’a pu être trouvé. En outre, les documents auxquels vous faites allusion sont inconnus du ministère »

Bien sûr que les services du ministère n’ont trouvé aucun élément d’information susceptible de confirmer ou d’infirmer ces allégations !...

Je ne vois pas comment les Douanes, qui sont chargées de vérifier les flux d’argent rentrant en France, ou encore le Trésor Public, auraient pu trouver quelque chose !...

Si les fonds ont été virés en Suisse, ou ailleurs, il n’y a, naturellement, aucune ligne dans la comptabilité du pays ni dans aucun document au ministère des finances à ce sujet.

 

La deuxième réponse est celle d’Hervé Morin, ministre de la Défense :

  Lettre BIHAN 1

MINISTÈRE DE LA DÉFENSE

 Le Ministre

 Paris, le 26 février 2009 – 002572

  

Monsieur le Président,

  Par une lettre du 12 août dernier vous aviez appelé l’attention de Madame Christine Lagarde, ministre de l’économie, de l’Industrie et de l’emploi, qui m’a transmis votre correspondance concernant un prétendu détournement des indemnités attribuées à la France pour sa participation à l’Opération « Tempête du Désert ».

 Depuis plusieurs années, Monsieur Jean-Charles Duboc, bien connu de mes services et qui n’a de cesse d’intervenir de manière polémique, revient régulièrement sur cette affaire.

 Ces allégations, qui ne reposent sur aucun élément sérieux, n’apparaissent pas fondés, et il n’est, dès lors, pas donné suite à ces propos.

 Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président, l’assurance de ma considération distinguée.

 

Hervé Morin

  

Destinataire ; Une association de militaires en retraite

   

Analyse de cette lettre.

« …Un prétendu détournement des indemnités attribuées à la France pour sa participation à l’Opération « Tempête du Désert ».

On voit bien qu’Hervé Morin, ministre de la défense, ne lit pas le New York Times, en tout cas pas celui du 8 septembre 1992 !...

Il aurait alors réalisé qu’il y avait une ῝anguille sous roche῝ de 84 milliards de dollars !...

D’ailleurs, ce serait plutôt une « baleine » !...

Et une ῝baleine῝ de cette taille, de plusieurs dizaines de milliards de dollars, c’est vraiment difficile à cacher…

 

« Depuis plusieurs années, Monsieur Jean-Charles Duboc, bien connu de mes services… ».

Ce n’est pas tout à fait ça.

J’étais bien connu à l’Etat-major des Armées !...

Ce n’est quand même pas ῝mes services῝ !...

J’étais très connu à l’Etat-major de la Royale car j’avais fondé, en octobre 1993, un laboratoire d’idées, les Clippers de Normandie, qui avait pour  objet :

1/ De participer, à partir de stages embarqués sur des grands voiliers assurant une pratique de la voile et la découverte de la mer, à l’éducation, la formation et la réinsertion d’adolescents et d’adultes.

  2/ De rechercher au préalable des partenaires publics ou privés pour le financement et l’exploitation de ses bateaux à voile.

 

J’étais très honoré d’en être le président, car j’avais, en tant que membres du Bureau, d’éminentes personnalités du monde maritime dont le Vice-amiral d’escadre Charles-Henri Méchet, préfet maritime de la Manche et de la Mer du Nord, qui fut ensuite nommé président de la Mission interministérielle à la Mer.

Cette association est devenue par la suite les « Clippers de France ».

Elle a compté jusqu’à trente amiraux dont trois anciens chefs d’Etat-major de la Marine.

Mais, malgré le fait que nous avions au sein de l’association l’élite du monde maritime français, nous n’avons jamais réussi à convaincre les dirigeants politiques de construire des grands voiliers-écoles pour les jeunes.

Aussi, je dois en conclure que, pour un dirigeant politique qui détourne des fonds publics d’un montant considérable, c’est mentalement impossible de financer des grands voiliers pour les jeunes.

On se demande bien pourquoi…

 

J’étais aussi très connu à l’Etat-major de l’Armée de l’Air, mais pour une autre raison.

C’est expliqué dans la note « Un gigantesque OVNI au-dessus de Paris ».

Vous pouvez aussi consulter, sur le même sujet, la vidéo numéro trois de la note « Le secret américain  », où j’apparaît à côté du général Bernard Norlain, ancien chef d’Etat-major de l’Armée de l’Air.

 

Je continue : « … et qui n’a de cesse d’intervenir de manière polémique… ».

Ce n’est pas du tout une polémique.

Je demande simplement au ministère des finances des explications sur les ῝Frais῝ de guerre de l’Opération Daguet remboursés à la France.

Plusieurs sources étrangères en parlent, mais aucun ministre, aucun dirigeant politique, aucun journal, aucun média national, ne les a jamais évoqués.

C’est quand même curieux…

 

Le bouquet final : « Ces allégations, qui ne reposent sur aucun élément sérieux, n’apparaissent pas fondés, et il n’est, dès lors, pas donné suite à ces propos. »

Promis !...

Je vais me fendre d’un abonnement au New York Times pour Hervé Morin afin qu’il en sache un peu plus sur cette affaire !...

 


Et puis, il aurait aussi pu prendre connaissance de l'article paru dans Courrier International du 26 novembre 1998 :

NUMéRISATION0000

 

Mille millions de mille sabords !...

Jean-Charles DUBOC

 


Je suis un Ukrainien…

 

J’ai le cœur qui se serre…

Parce qu’elle est jeune, belle, et qu’elle défend sa peau.

Parce qu’elle lutte pour sa liberté.

Parce qu’elle lutte contre la corruption, contre les abus.

Parce qu’elle joue l’avenir des enfants qu’elle aura un jour…

Elle est Ukrainienne, et je relais son message de détresse, d’aide.

 

 

 

Voici la traduction de son message (en anglais) :

« Je suis Ukrainienne, native de Kiev. En ce moment, je suis sur Maidan, la partie centrale de mon pays.

 Je veux que vous sachiez pourquoi des milliers de gens sont descendus dans la rue partout en Ukraine.

 Il n'y a qu'une raison à cela : nous voulons nous libérer de la dictature, nous voulons nous libérer des politiciens qui ne travaillent que pour eux… Prêts à frapper, à blesser, à abattre des personnes uniquement pour sauvegarder leur argent, leurs maisons et leur pouvoir.

 Je veux que les gens qui sont ici, dignes et courageux, puissent vivre à nouveau normalement.

 Nous sommes des gens civilisés, mais notre gouvernement est barbare.

 Nous ne sommes pas en Union Soviétique !

 Nous voulons que la corruption cesse, nous voulons être libres.

 Demain, nous pourrions nous retrouver sans téléphone, ni connexion internet, nous pourrions nous retrouver seuls, isolés.

 Les policiers pourraient alors nous assassiner un par un dans l'obscurité…

C'est la raison pour laquelle nous vous demandons de nous aider.

 Cette liberté, nous l'avons dans nos cœurs et dans nos têtes.

 Vous pouvez nous aider à construire cette liberté dans notre pays, en racontant cette histoire, simplement en partageant cette vidéo.

 S'il vous plaît, parlez à vos amis, parlez à vos familles, parlez à vos gouvernements…

Montrez-nous votre soutien. »

 

Ce message, ainsi que le travail des diplomates européens, semblent avoir engendré l'effet escompté.

Un accord de sortie de crise doit être signé vendredi 21 février par le président Viktor Ianoukovitch et l'opposition politique.

Une première avancée.

En attendant, si c’est une leçon à tous les citoyens-libres de cette planète, contre la corruption et les totalitarismes-corrupteurs, prenons-en de la graine !

Car nous aussi, nous jouons notre avenir en nous opposant à la corruption et aux dérives totalitaires qui menacent notre pays.

Jean-Charles DUBOC

 

Source :

http://infreequentable.over-blog.com/article-sublime-122665495.html

 


Feu nucléaire sur la « Coupole mafieuse » de Bercy

 

Les aventures de « Tin-tinne » et de « l’Ami-râle Pad-Ock » (VI)

 

AVERTISSEMENT : Les noms de lieu et des acteurs de ce billet humoristique ne désignent absolument personne en particulier.

 Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite !    

 En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou humoristique ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle !

 Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

 

22 décembre 2013

 

Par un beau temps ensoleillé, le « porte-avions CSG », encadré par la flotte de la Méditerranée, navigue au large de la "Corsica-bella-tchi-tchi".

L’équipage est en tenue d’apparat pour recevoir une personnalité dont l’identité n’a pas été divulguée. Les rumeurs de coursive sont toutes les plus folles les unes que les autres. En effet, la flotte a été mise en état d’alerte pour une durée indéterminée, sans aucune explication. La seule chose certaine est que le vice-amiral d’escadre « Pad-Ock  », le commandant de la flotte, est sur le porte-avions depuis deux jours, en briefing avec les pilotes de Rafale.

Une autre surprise est la "qualif" sur Rafale de « Pouliche », un ancien pilote de Super Etendard de la 11F, actuellement chef pilote des Trackers de la Sécurité Civile à Marignane. Une situation absolument anormale et inexpliquée compte-tenu de son âge, près de 60 ans, et du coût d’une "qualif machine"…

Un hélicoptère NH 90 est annoncé en provenance du continent. Après une approche standard, il se pose sur le pont dans le souffle puissant de ses pales. La porte s’ouvre et les marins voient avec surprise descendre le général « Deux-Villes-liées », le nouveau chef d’Etat-major des armées, le CEMA… Celui-ci est accueilli par le capitaine de vaisseau « Van-Dit-Hé », commandant du navire, par « l’Ami-râle Pad-Ock » et le capitaine de corvette Paul de Bréveuil,  ainsi que par les principaux officiers du navire.

Après le passage en revue de l’équipage, le CEMA et ses hôtes se retrouvent dans le carré des officiers pour mettre un point final à la stratégie développée dans le plus grand secret depuis près de deux semaines

Général « Deux-Villes-liées » : « Messieurs, c’est vraiment une sale affaire !... Nous sortons franchement des "clous" !... »

« Ami-râle Pad-Ock » : « Général, l’engagement prévu n’est même pas anticipé dans le pire des scénarios,  mais c’est sur demande personnelle du chef suprême des Armées, le président « François III » !...  Après mûre réflexion, il faut bien avouer qu’une telle situation ne peut plus durer, la grogne monte dans les équipages et bientôt c’est la hiérarchie qui ne sera plus écoutée… ».

« Deux-Villes-liées » : « Le mécontentement dans l’armée de terre s’aggravent de jour en jour et je viens d’en faire part au ministre de la défense « Le Riant », qui rigole de moins en moins… ».

« Pad-Ock » : «  C’est la même chose dans la Royale, cette affaire des fonds détournées de la guerre du Golfe 1991 est en train de pourrir les relations entre les militaires et les politiques et au train où la situation se dégrade nous risquons une véritable insurrection un jour ou l’autre ».

« Deux-Villes-liées » : « C’est un détournement de fonds de plus de 15 milliards d’euros au détriment de la défense nationale, et l’information se répand à vitesse accélérée dans les unités… Et, en plus, Bercy bloque toute révélation et tout virement de ces fonds alors qu’ils ont été récupérés et placés dans le Grand Emprunt 2010… Une situation incroyable… Combien de temps les militaires vont-ils accepter de passer pour des Pov’Kons alors que nos soldats victimes du syndrome du Golfe ne sont même pas indemnisés !.... ».

« Pad-Ock » : « C’est ça le plus terrible, c’est franchement indigne pour notre pays !... Il n’y a aucune reconnaissance pour ceux qui vont au combat et en reviennent tués, blessés, mutilés ou souffrant du syndrome post traumatique !... ».

« Deux-Villes-liées » : «  Et la seule solution pour toucher les fonds est de récupérer les documents secret-défense qui sont dans le coffre de Moscou-vicié, le ministre des Phynances !...».

« Pad-Ock » : « Compte-tenu du fait qu’il est impossible de pénétrer dans la Coupole de Bercy par les tunnels d’accès, il faut percer un orifice de 100 mètres de diamètre  pour laisser passer nos NH 90 et les commandos… C’est faisable avec les derniers missiles ASMP-A équipés de têtes nucléaires de  1kt… On va pouvoir la découper en pointillés… »

« Deux-Villes-liées » : « J’ai fait prévenir nos attachés militaires auprès des puissances nucléaires de la planète pour qu’ils en touchent un mot aux Etats-majors Russes, Américains, Chinois, Indous, etc…, afin de préparer le terrain… Ce n’est pas la peine de déclencher un conflit nucléaire mondial… »

« Pad-Ock » : « Sage précaution, parce que je ne suis pas sûr François III réalise tout à fait ce qu’il fait… Apparemment, il n’a même pas prévenu Au-Bas-Mât !... ».

« Deux-Villes-liées » : « Et non, Il est trop occupé par Petite copine N° 2 !… »

« Pad-Ock » : « Occupé par Petite copine N° 2 ?… Mais il se prend pour le Six coups du cockpit !... »

Cela rigole ferme car le surnom de « Six-coups-du-cockpit » de « l’Ami-râle Pad-Ock » est bien connu des équipages de la Royale… Une réputation qu’il tient de l’époque où il était pilote à « Air transe »…

Général « Deux-Villes-liées » : « Revenons aux choses sérieuses… C’est quand même incroyable cette histoire de coupole de 3 km de diamètre, de 30 mètres d’épaisseur, en nanotubes de carbone, livrée par des extraterrestres, les UMMO… ».

« Ami-râle Pad-Ock » : « Nous avons vraiment très peu d’informations sur les UMMO, mis à part que le contrat a été signé le 13 mars 2011 entre un émissaire de cette civilisation galactique et Bling-bling notre ex Divin-et-Ô-combien-vénéré-président… Un contrat conclu contre une cargaison annuelle de 500 tonnes de thon rouge pendant 300 ans !... Incroyable !... Ces aliènes raffolent du thon rouge qu’ils ont braconné durant des décennies dans nos eaux territoriales… La livraison de la coupole a été effectuée l’année dernière par un gigantesque vaisseau qui l’a déposée sur le plateau d’Halle-Byon… Et depuis, plus rien !... Plus de nouvelle !... Mis à part par les infos divulguées par les (F)Ummistes, des allumés qui analysent les fameuses lettres ummites… ».

« Deux-Villes-liées » : « Et dont vous faites partie, si j’ai bien compris ?... »

« Pad-Ock » : « Effectivement, mais il y a tellement d’anomalies et d’incohérences dans ces courriers que c’est manifestement un canular… ».

« Deux-Villes-liées » : « Mais ce qui est troublant c’est l’observation d’un de vos collègues, Carlos Garcia Rodrigo, qui a observé un gigantesque OVNI au-dessus de l’Espagne avec, au-dessous, un sigle formé d’un « H » avec barre au milieu, la marque d’UMMO…».

« Pad-Ock » : « Complètement inexplicable, et qui complique fortement le dossier… Toujours est-il que c’est le premier accord commercial avec une civilisation extraterrestre, que toute la planète nous envie, et que nous allons tirer dessus à l’arme nucléaire pour pouvoir y pénétrer afin de récupérer les secrets financiers de Bercy !... Car nos dirigeants se sont empressés d’utiliser la Coupole pour planquer toutes leurs magouilles et combines financières des trois dernières décennies !… Les UMMO  nous avaient pourtant bien prévenus dans leurs courriers que tout transfert de technologie sera inévitablement utilisé par les dirigeants pour asservir un peu plus les citoyens ou développer des armes de guerre… »

Paul de Bréveuil : « Vous savez bien que l’utilisation des armes nucléaires est contre ma conscience et que je suis totalement opposé  à cette option… Ce sont des armes qui doivent être détruites dans tous les pays de la planète… C’est la raison pour laquelle j’ai refusé votre offre d’effectuer un tir à l’ASMP sur la coupole… ».

« Pad-Ock » : « C’est une décision qui vous honore… D’ailleurs, c’est ce que j’ai pu constater à l’Ecole Navale lorsque j’ai présenté le projet Euroclippers en avril 2009…  Il est souligné régulièrement aux élèves-officiers qu’ils doivent refuser un ordre s’il est contre leur conscience !… ».

Paul de Bréveuil : « Ainsi, un commandant de sous-marin stratégique peut refuser l’ordre de tirer ses missiles nucléaires s’il perçoit une faille dans le comportement et la lucidité des dirigeants politiques… ».

« Pad-Ock » : « C’est la même chose pour le tir sur la Coupole… Je ne l’exécute que parce qu’il n’y aura aucune victime… Il faut y aller, je m’absente une dizaine de minutes pour passer ma combinaison anti-g… ».

« Deux-Villes-liées » : « Mais pourquoi  faire ?... Vous n’allez tout de même pas monter dans le Rafale biplace qui va tirer l’ASMP sur la coupole !... Vu votre âge et votre santé vous allez revenir en miettes, si vous revenez !... ».

« Pad-Ock » : « Et bien justement, au moins je mourrai debout, en homme libre… Et en défendant mon pays jusqu’au bout !... ».

« Deux-Villes-liées » se dit que, manifestement, « l’ami-râle » va encore une fois confirmer sa réputation de "tête brûlée"…

 


Rafale appontage&catapultage par hanouk 

 

Le Rafale biplace est sur le pont, équipé d’un ASMP-A, la dernière version du missile supersonique qui équipe nos forces aériennes. Il emmène trois bidons de 2000 litres de kérosène pour la mission.

L’Ami-râle, conformément à la tradition, s’approche du missile et inscrit au feutre noir un message à destination de Bercy : « Lettre humoristique à Edwy Plenel ».

« Pouliche » monte et s’installe à la place avant tandis que « l’Ami-râle » le suit pour son installation à la place arrière. « L’Ami-râle » a fait une dizaine de séances de simulateur et connait suffisamment la machine pour assurer le minimum d’actions vitales compte-tenu de ses 12.000 heures de vol sur des avions de ligne. Les deux pilotes, 122 ans à eux deux, mettent leur masques à oxygène et vérifient l’interphone, la radio, les commandes de vol, les ordinateurs de bord. Les paramètres de vol sont enregistrés dans la centrale de pilotage ainsi que les coordonnées GPS de l’objectif.

Le général « Deux-Villes-Liées » appelle par la radio « Pouliche » pour lui signifier que le tir de l’ASMP nucléaire vient d’être donné par « François III ».

« Pouliche » démarre les moteurs et exécute les check-lists après mise en route. Le croc de catapulte est accroché au train avant. Les deux pilotes saluent le " chien jaune" qui les informe que tout est prêt. La poussée décollage est appliquée. Les deux pilotes collent leur tête contre le dossier.

La catapulte donne toute sa puissance et l’appareil est accéléré à 150 nœuds en 2 secondes. Une accélération terrible qui stupéfie « l’Ami-râle ». La Postcombustion est aussitôt allumée et une assiette de 30 ° est prise pour une montée vers le niveau 200. La croisière se fait à 500 nœuds, la vitesse de tir de l’ASMPA.

Les zones de Marseille, Salon et Orange sont dégagées, les terrains sont fermés tout comme l’espace aérien inférieur.

L’appareil descend à 3000 ft sol et à 30 nautiques de l’objectif « L’Ami-râle » déclenche la séquence de tir du missile

L’ASMP est éjecté vers le bas à 5m/s. Après 1,2 secondes le bloc de poudre est mis à feu avec mise en pression du réservoir de kérosène. Accélération vers Mach 2. A 1,6 seconde le réservoir est prêt pour l’allumage du statoréacteur. A 5,9 secondes, largage de la tuyère d'accélération. Ouverture des entrées d'air du statoréacteur. Éjection des obturateurs de la chambre de combustion. Injection du kérosène puis allumage du statoréacteur.

A 6 secondes, commence le vol de croisière en mode horizontal à la vitesse de 700 m/sec.

Les environs de la Coupole ont été dégagés pour éviter des dommages collatéraux.

« Pouliche » allume la postcombustion et l’appareil grimpe à 30.000 pieds/minute vers le niveau 390.

Le missile percute la « Coupole mafieuse » de Bercy et explose instantanément. La chaleur au cœur de l’explosion est de plusieurs millions de degrés, l’effet de souffle, les radiations, la température, sont mortelles dans un rayon de trois kilomètres, mais il n’y  aucune victimes compte-tenu de la sécurisation de la zone.

L’émission de rayons gammas, significative d’une explosion nucléaire, est enregistrée par les satellites d’observation russes, américains et chinois.

L’Alerte nucléaire est immédiatement lancée par tous les Etats-majors des grands pays nucléarisés de la planète.

Mais pas que sur la Terre…     

 


La démonstration du Rafale commentée - Bourget... par Dassault-Aviation                            

 

Dans la station spatiale des UMMO, dans la ceinture d’astéroïdes, la tension est à son comble depuis deux semaines. Les drones insectoïdes installés au Château ont retransmis des informations sur l’extrême gravité de la situation sur Terre. Les craintes d’une attaque nucléaire décidée par le président « François III »  pour investir la Coupole en nanotubes de  carbone installée par les UMMO se précisent chaque jour.

Afin de se réfugier en cas de conflit nucléaire, les UMMO ont installé trois bases en Europe qui sont autant de lieux de vie. Les endroits les plus importantes pour la survie sont la cuisine, où ils peuvent se préparer les meilleures recettes de thon rouge, et la cambuse où ils ont accumulés les meilleurs grands crus de Niellucciu, St-Emilion, chianti, beaujolais, ainsi que des flacons de Loch Lomont, cognac, calvados, etc.... Il y a de quoi tenir des dizaines d’années. Des réserves très importantes pour le moral dans le cas où ils se retrouveraient isolés sur une planète barbare au bord de la guerre nucléaire !...

Leur  base centrale est au Danemark, tandis qu’il en existe une autre à Berlin et une troisième près de Madrid. Mais il y en a aussi  plusieurs autres dans les montagnes du Tibet. Ces bases permettent la survie avant un rapatriement sur  la station spatiale située entre les orbites de Mars et de Jupiter.

Les UMMO voyagent à bord de leurs vaisseaux spatiaux qu’ils appellent des OAWOOLEA UEWA OEMM en utilisant les plis de l’espace-temps de notre cosmos. Afin de ne plus dépendre des plis de l’espace-temps, qui sont imprévisibles, ils voyagent aussi en prenant des « portes de Idrss », des mégastructures de centaines de kilomètres-cube reliant une « porte de Idrss » à une autre.

Elles ont été construites par une très ancienne civilisation, qui a disparu depuis longtemps, mais dont les robots continuent à les entretenir et à les accorder afin de permette le développement des échanges commerciaux entre les civilisations de l’espace.

Les UMMO sont nettement plus grand et nettement plus forts que les humains. Ils adorent le thon rouge et leur sport favori est la navigation en haute mer, en équipage, à bord de grands voiliers. Un UMMO a la force, à lui seul, de border un grand hunier !... L’Amiral « Fort-Hisser » est prêt à les embaucher !...

Ils ne supportent pas la chaleur qui restreint leur mobilité et dorment à ciel ouvert. Seule une pluie ou une neige intense ou les grandes tempêtes peuvent rompre cette habitude. Ils supportent aussi très mal la forte luminosité du soleil. Ils privilégient les activités hibernales, crépusculaires ou nocturnes.

Les UMMO sont sur la Terre pour réaliser des études sur la vie biologique de la planète, sur le niveau scientifique des Terriens, mais aussi sur leurs caractéristiques anatomiques et leurs coutumes. Ils apprécient beaucoup la créativité et les capacités musicales des humains de la Terre. Ils sont aussi là pour présenter aux Terriens une vue de l’Univers bien plus développée que celle qu’ils en ont et arriver, un jour, à développer un contact officiel.

Leur plus grande inquiétude est celle de voir les Terriens s’autodétruire au cours d’une guerre nucléaire, avec des armes biotechnologiques ou à plasma, comme des millions de planètes de la galaxie dont les espèces se sont autodétruites lors de la phase de développement technologique.  Elles sont devenues des "planètes cimetières"…

Le dossier le plus important suivi par les UMMO est celui des 4000 têtes nucléaires opérationnelles qui constituent une menace pour l’avenir des Terriens. Ceux-ci n’arrivent pas toujours à maîtriser leurs tendances belliqueuses en grande partie parce que, bien souvent, les chefs qu’ils se choisissent sont d’authentiques sociopathes…

Les UMMO font des rapports constants à l’OUMMOAELEWE, l’instance suprême de direction de leur planète, le Conseil d’Oummo. Un contact télépathique entre OUMMOAELEWE est maintenu en permanence avec les peuples avec lesquels ils sont en relation. Le lien télépathique est en effet le seul à permettre un contact simultané entre deux systèmes stellaires.

Leur loi morale (UAA) les empêche d'interférer dans le processus évolutif de la culture d'une autre humanité galactique. S’ils le faisaient sur Terre, cela pourrait provoquer de terribles distorsions dans notre Réseau Social et ils seraient ainsi responsables, de fait, de remises en cause, conflits, et même de guerres pouvant conduire à l’extermination des Terriens.

Dans ce cas les UMMO seraient responsables de la disparition d’une espèce humaine de la galaxie, ce qui les terrorise au plus haut point. Ils devraient en effet s’expliquer devant le Conseil galactique, en être exclus, et ensuite supporter une culpabilité pendant des millions d’années.

« E IXOO 7 », fils de « OURIEE 29 »,  et « AYIOA 1 », fils de « ADAA 67 », discutent en dégustant un verre de grand cru classé de Saint-Emilion, un breuvage dont ils abusent souvent lorsqu’ils veulent se remettre d’un voyage sur la Terre, car la vie sur cette planète profondément immature les stress très souvent.

« E IXOO 7 » : « Heureusement que les Terriens produisent d’excellents vins comme ce Petrus 1951. Il nous faut bien cela pour supporter un tel stress !... Ils sont encore une fois au bord de la guerre nucléaire et c’est à nous d’essayer de gérer une telle situation !... ».

« AYIOA 1 » : « Qu’est-ce que tu veux gérer ?... C’est leur planète, s’ils veulent s’autodétruire c’est leur affaire, pas la nôtre… Et puis, si on intervenait, la situation pourrait devenir encore plus dramatique car nous déstabiliserions leur réseau social… Et puis tu sais très bien que le contact n’est prévu qu’entre 2030 et 2050, en fonction de leur développement… »

« E IXOO 7 » : « Mais si ça se passe mal, on pourrait mettre leurs principaux dirigeants sous contrôle psychique… D’ailleurs un plan d’intervention pour sauver la Terre a été développé… Il est radical et simple à mettre en pratique… Il suffit de placer sous tutelle psychique leurs principaux dirigeants… ».

« AYIOA 1 » : « Et tu auras une planète de cinglés à gérer !... Bon courage !... Je vais ouvrir une seconde bouteille de Petrus pour évacuer le stress d’envisager une telle opportunité… ».

Les UMMO sont en fait les principaux responsables de la monté des cours des grands vins de bordeaux et d’ailleurs. Ils en font une telle consommation que même les Chinois s’en plaignent dans leur shopping dans les caves gauloises en raison des prix qui grimpent.

 Dans le plan d’intervention pour sauver la Terre développé par les UMMO, le Terrien affecté prend conscience de quelques altérations de son état mental qu’il attribue à des signaux de stress, épuisement anorexique, dépression, symptômes d’anxiété, de fugaces lipothymies suivies d’amnésie et des épisodes de courte durée qui vous rappellent, aux médecins, le syndrome de Ganser.    

Les désordres seront si rapides que le gouvernant affecté décidera certainement de les oublier ou alors il fera l’objet d’une triviale consultation dans les cliniques spécialisées, qui probablement ne saisiront pas leur véritable pathogenèse.

Dans ces conditions, le libre arbitre est totalement annulé, et les modèles de décision sont soigneusement manipulés pour ne pas éveiller des soupçons chez les cadres gouvernants de rang inférieur.

C’est ainsi que les UMMO prépareraient la phase BIIEYUU XOOE. Dans celle-ci, des frères du corps expéditionnaire demanderaient audience à ces chefs d’Etat, en les forçant à la concéder, dans le cours d’une crise générée par eux et soigneusement contrôlée. Au cours de ces entrevues, les UMMO montreraient ouvertement leur identité en apportant des preuves concluantes,  et exigeant un transfert progressif et secret du pouvoir.

Les dirigeants, en pleine conscience de la gravité de la situation, mais sans capacité neuropsychique pour décider par eux-mêmes, consulteront leurs propres cabinets, mais la majorité de leurs membres aura subi une manipulation corticonucléaire similaire.

Dans une phase immédiatement postérieure, la zone des cadres gouvernementaux contrôlée par les UMMO leur sera suffisante pour que toutes les décisions importantes des chambres législatives et de l’exécutif, se trouvent opérationnellement sous leur censure, et que les plus importantes lignes du pouvoir dirigeant du cabinet soient dictées par mes frères.

«  E IXOO 7  » : « Vraiment excellent ce Petrus !... Il nous en reste beaucoup ?... »

« AYIOA 1 » : « Pas tellement, il va falloir retourner sur Terre pour se réapprovisionner… Il est temps de vendre un peu d’or pour se fournir en devises car les Terriens ne prennent pas le picotin, la monnaie galactique… ».

«  E IXOO 7  » : « Si la police intergalactique apprend que nous vendons au black de l’or extrait sur Mars pour remplir la cambuse on risque de se prendre un PV galactique avec suppression du véhicule !… »

« AYIOA 1 » : « Et au prix de nos derniers OAWOOLEA UEWA OEMM le conseil d’UMMO va vraiment mal le prendre !... La carrière est finie, tout comme le thon rouge et les excellents vins et liqueurs terriennes… ».

«  E IXOO 7  » : « Arrête, ça me casse la moral… J’ouvre une troisième bouteille de Petrus… ».

A ce moment-là, la sirène d’alarme indiquant que la Terre passe en « Alerte rouge » retentit. Les deux UMMO sortent précipitamment de la cambuse pour voir un voyant rouge clignoter sur une image de la Terre en trois dimensions, à un endroit qu’ils surveillent : le plateau « d’Halle-Byon » dans le sud de la Gauloisie.

Quelques minutes plus tard des voyants oranges s’allument dans les différents pays nucléarisés de la planète : Russie, USA, Grande Bretagne, Chine, Inde, Israël, Pakistan… Un quart d’heure plus tard, ce sont tous les pays nucléarisés qui passent en alerte rouge… Les bases terrestres et les sous-marins stratégiques doivent s’apprêter à armer leurs missiles… Si un seul d’entre eux les tire, la probabilité d’un conflit nucléaire généralisé est de 98,5%...

Les UMMO attendent de savoir avec anxiété si un pays ne va pas lancer une frappe préventive. C’est en effet, la première fois depuis 1945 qu’une attaque à l’arme nucléaire est déclenchée sur des infrastructures civiles.

La planète est au bord de l’apocalypse nucléaire.

« AYIOA 1 » et «  E IXOO 7  » lancent les procédures de sauvegarde et enjoignent à leurs frères en mission sur Terre de rejoindre le plus tôt possible les bases secrètes de survie. Tous les vols à destination de la Terre sont suspendus. Ceux qui sont en cours sont alertés et un dégagement vers la base lunaire leur est demandé.

« AYIOA 1 » : « Il faut mettre la Terre en quarantaine et en interdire l’accès à toutes les missions extraterrestres en cours. Toutes les autres ethnies doivent évacuer la planète tant qu’il en est encore temps !... ».

«  E IXOO 7  » : « Tu es sûr ?... Cela va peut-être s’arranger… Le président « François III »  va peut-être arrêter son aventure guerrière… »

« AYIOA 1 » : « Il a déclenché le feu nucléaire sur demande de « Jack-Ouille » qui le menace de lâcher le terrible bichon Léon au Château !... »

«  E IXOO 7  » : « Du jamais vu dans l’histoire de la galaxie !... Tout cela à cause du niveau de corruption dément de leurs leaders politiques… »

« AYIOA 1 » : « Et s’il n’y avait que cela… Les Gaulois ont élu un authentique adolescent attardé qui se déplace Incognitoto en scooter pour aller voir "Petite copine N° 2" !... Incroyable !...»

Le téléphone rouge des urgences galactiques sonnent. «  E IXOO 7  » décroche. C’est le représentant Kameulf, une des plus vieilles ethnies de la Galaxie. Ils mènent un programme d'amélioration biologique des espèces autochtones qu’ils ont entrepris depuis des millénaires, notamment sur la Terre.

-      « Le feed-back temporel nous a averti qu’une alerte rouge était déclenchée sur la Terre… Qu’est-ce que vous faites ?... »

«  E IXOO 7  » : « On ne sait pas trop… »

-      « Comment cela vous ne savez pas trop ?... La planète doit être mise immédiatement en quarantaine avec interdiction absolue à toute civilisation galactique, et au-delà, d’entrer en contact avec les Terriens !... »

«  E IXOO 7  » : « Vous êtes sûr ?... »

-      « Oui !... Nous étions là avant vous… D’ailleurs  nous avertissons immédiatement la police intergalactique. »

«  E IXOO 7  » : « Bien compris… »

Les deux UMMO de garde sont atterrés. La Police intergalactique !... Il ne manquait plus que cela !... Cela ne va pas être une partie de plaisir, surtout pour les dirigeants Terriens qui sont à l’origine d’un conflit qui va peut-être détruire l’une des plus belles planètes de la galaxie…

 

 

 

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AVIGOLFE (II) : Communiqué de presse sur les indemnités de la guerre du Golfe 1991.

 

Dans l'histoire contemporaine, nous devons notre liberté à tous nos soldats qui sont allés se battre en Opérations extérieures, souvent au péril de leur vie.

Certains ne reviennent pas, tandis que d’autres sont blessés, mutilés, ou souffrent du stress post-traumatique de guerre.

D’autres souffrent encore de divers problèmes de santé, des années après le retour au pays.

C’est le cas, notamment, des anciens de la guerre du Golfe 1991 qui sont atteints d’une ensemble de pathologies invalidantes comme des maux de têtes persistants, des troubles de la mémoire et de la concentration, des douleurs chroniques étendues, des difficultés cognitives, une fatigue inexpliquée, mais aussi d'autres catégories de désordres telles des démangeaisons, des problèmes intestinaux et respiratoires, et d'autres anomalies que les examens courants ne peuvent expliquer.

La maladie de la Guerre du Golfe touche de très nombreux soldats français mais aussi énormément de soldats américains.

Car, aux USA, c’est un soldat sur quatre, c’est à dire entre 175.000 et 210.000 vétérans, sur un total de 697.000, qui souffre d’affections diverses !...

Le syndrome est maintenant reconnu, mais aucun dédommagement, indemnité ou pension n’est versé à nos anciens combattants invalides de guerre.

Et pourtant, il y a eu des indemnités qui ont été versés à la France par le Koweït en 1991, au titre des frais de guerre, après l’Opération Tempête du Désert, mais qui n’ont jamais été virées à la Défense.

Je remets en ligne, ci-dessous, le communiqué de presse du 29 novembre 2010 de l’Association AVIGOLFE et dont l’objet est : « Que sont devenues les indemnités versées par l'Arabie saoudite à la France après la guerre du Golfe de 1991 ? ».

Ce communiqué de presse a été ignoré de la presse et des médias.

Au nom de quoi ?...

Combien de temps faudra-t-il encore pour que les journalistes fassent leur métier, et ne soient plus ῝aux ordres῝ du pouvoir ?...

Faudra-t-il que le système tremble sur ses bases pour que les contre-pouvoirs, qui sont le garant d’une démocratie, se réveillent ?...

Jean-Charles DUBOC

 

 

COMMUNIQUE DE PRESSE de l’Association AVIGOLFE

Date : 29 novembre 2010

Objet : Que sont devenues les indemnités versées par l'Arabie saoudite à la France après la guerre du Golfe de 1991 ?

 

AVIGOLFE qui, vingt après la guerre du Golfe (16 janvier 1991) et dix ans après sa création et l'ouverture d'une instruction diligentée par la juge BERTELLA-GEFFROY, attend toujours de l'Etat français qu'il assume ses responsabilités envers les victimes civiles et militaires.

L'association demande que soit mise en place une commission d'enquête parlementaire afin de faire toute la vérité sur l'affaire du détournement présumé des indemnités de la guerre du Golfe versée par l'Arabie saoudite.

Il s'agirait de 3,5 milliards de dollars (valeur de 1991) qui ne serait jamais arrivés dans les caisses de l'Etat, selon l'informateur, Jean-Charles DUBOC, qui a transmis le dossier en janvier 1998 au ministère des Finances, ainsi qu'au TGI de Paris, aux termes de l'article 40 du Code de Procédure pénale.

Le 29 mars 2001, Jean-Charles DUBOC était entendu par la juge d'instruction Michèle VAUBAILLON, du Pôle financier du TGI de Paris.
Edouard Balladur aurait, selon Jean-Charles DUBOC, été informé de ce détournement par les autorités saoudiennes, alors qu'il était Premier ministre sous la présidence de François Mitterrand.

Le 21 août 2001, Roseline BACHELOT, alors députée du Maine et Loire et présidente du groupe parlementaire France-Irak, écrivait à Jean-Charles DUBOC : "Vos informations proprement ahurissantes, mériteraient d'être mieux diffusées car, en ce domaine, règne une omerta qui contraste singulièrement avec".

Depuis, silence total.

Comme pour l'affaire Karachi, il pourrait s'agir d'un détournement d'argent public en toute impunité.

Nous estimons que le silence maintenu sur ce détournement de fonds publics se place dans le climat plus général de mensonge, de manipulation et d'abus du Secret-Défense.

AVIGOLFE rappelle, à ce sujet, que 200 documents classés "secret-défense" concernant la guerre du Golfe et intéressant l'instruction judiciaire, ont été détruits.

AVIGOLFE soutient toutes les propositions visant à faciliter l'accès à tout document d'intérêt public et/ou pouvant favoriser l'information et la défense des intérêts des citoyens.

Le Président
Hervé DESPLAT

http://www.avigolfe.com/association.php?id=doc_presse

 

 


Les « Soces » ?... Des esclavagistes !...

 

Les « Soces » sont en train de recréer une société esclavagiste où l’être humain est une marchandise.

En effet, dans les sociétés primitives, l’esclave est la propriété de son Maître qui peut le vendre, ou vendre ses enfants…

Avec la gestation pour autrui (GPA), c’est exactement la même chose !...

UN BÉBÉ DEVIENT UNE MARCHANDISE VENDUE AU PLUS OFFRANT.

Cette incroyable régression barbare est considérée comme une avancée par nos « Bobos soces », imbus de leur personne, bouffis de suffisance moralisatrice et de contradictions.

Quelle tristesse.

Mais cela est malheureusement dans continuité de la dégradation du sens de l’intérêt général, et du bon sens, où il est possible qu’un président de notre « Raie-Pue-Blik-Bananière » détourne des milliards d’euros en toute impunité.

D’ailleurs, je viens de rappeler au gouvernement un dossier particulièrement scandaleux, connu de toute la classe politique.

C’est juste une demande de prime d’aviseur :

http://euroclippers.typepad.fr/alerte_ethique/2014/01/indemnit%C3%A9s-de-la-guerre-du-golfe-1991-demande-de-prime-daviseur.html

Jean-Charles Duboc

 


Lettre de l’UNSOR au ministre des finances au sujet des indemnités de la guerre du Golfe 1991

 

Le dossier de la disparition des indemnités de la guerre du Golfe 1991 a bien avancé en quelques années.

Je rappelle que les 3,5 milliards d’euros du remboursement des frais engagés lors de l’Opération Tempête du Désert n’ont jamais été, d’après mes informations, virés au Trésor Public.

En effet, l’intégralité des fonds auraient été détournés par François Mitterrand et quelques complices.

Une confirmation de cette rumeur, qui circulait au Moyen-Orient fin 1997, m’a été donnée, à cette époque, par de très hauts gradés de la Défense Nationale. C’est ainsi que s’est constitué progressivement le groupe « Jean Renaudin », du nom d’un ancien directeur de la Région Nord-Ouest de la Douane.

Ce groupe informel est composé de diverses personnes, notamment par des hauts fonctionnaires gaullistes totalement révoltés par cette affaire.

Mais le devoir de réserve des uns, et la crainte des autres, commencent à céder face à la décomposition de l’Etat, à l’accroissement de la dette publique, aux difficultés financières de la défense, et à d’autres facteurs comme le fait que les banques suisses ont donné récemment aux Français en indélicatesse avec le fisc un ultimatum jusqu’en mai 2014 pour se régulariser ou quitter le pays !...

Une véritable révolution au pays du secret fiscal !...

Il faut dire que cela concerne tout le monde, en particulier les USA qui ont lancé des mandats d’arrêt internationaux contre les dirigeants des banques suisses ayant incité des citoyens Américains à frauder le fisc.

Toujours est-il que le dossier de la disparition des indemnités de la guerre du Golfe s’est sérieusement enrichi depuis cinq ans, en particulier parce que nous soupçonnons que les fonds auraient été récupérés et placés dans le « Grand Emprunt 2010 », qui ne serait qu’un montage financier !...

C’est raconté d’une façon romanesque par « I-Cube » dans son roman de l’été 2010 intitulé « Opération Juliette-Siéra ».

Les fonds des indemnités de la guerre du Golfe auraient été rassemblés dans un trust à Londres avec les sommes destinées à l’extinction des puits de pétrole en feu au Koweït en 1991 !...

Dans ce dernier cas, il y en a pour 22 milliards de dollars de fonds escroqués car l’extinction des puits n’a coûté qu’un milliard !...

C’est « L’Affaire Basano / Ferrayé ».

Aussi, compte-tenu de l’évolution récente du dossier, il me semble nécessaire de revenir sur les actions entreprises, par les uns et les autres, sur le détournement des indemnités de la guerre du Golfe attribuées à la France.

Je remets en ligne, aujourd’hui, le courrier envoyé le 12 août 2008 à Christine Lagarde, ministre des finances, par Jean BIHAN, président de l’UNSOR, l’Union Nationale des Sous-Officiers en Retraite.

Cette association est composée de 15.000 membres.

 

Madame Christine LAGARDE

Ministre de l’Economie, des Finances et de l’Industrie

Objet : détournement des indemnités de la Guerre du Golfe attribuées à la France.

 

Madame la Ministre,

Président Nationale de l’association, il m’est régulièrement rapporté cette ‘histoire’ de détournement des indemnités, et cela de la part de nombreux adhérents ayant participés à l’opération DAGUET – Tempête du Désert, dont le 3ème RIMA de VANNES.

Le commandement, en cours d’opération, aurait informé les militaires qu’une indemnité serait versée par le KOWEÏT et d’autres pays du Golfe. Par ailleurs cette intervention des troupes françaises n’a pas été prise en compte au titre de guerre, donc à taux moindre pour les intéressés.

Jusqu’à présent, je ne portais pas trop attention à cette ‘histoire invraisemblable’, de la part des responsables de notre pays à cette époque. La persévérance de ces adhérents, continuant leurs recherches, a abouti à Monsieur DUBOC Jean-Charles. M’ayant informé, je me suis permis de contacter cette personne et de la rencontrer. Il m’a alors fourni de nombreux détails, des documents sur ses démarches (depuis 1998). Je remarque que cette affaire est bien connue au plus haut sommet de l’Etat et semble bien réelle.

Au nom de ces adhérents qui se sentent lésés, par respect à ceux qui y ont laissé leur vie, à ceux qui ont été marqués dans leur chair, à ceux qui souffrent de séquelles (Syndrome du Golfe), je me suis permis de vous adresser ce courrier.

Cette affaire, délicate, mérite des réponses claires permettant de soulever la suspicion.

Une telle affaire doit être sérieusement étudiée et résolue. L’Etat et la Défense ne peuvent être que gagnants, de même que la confiance confortée des militaires retraités et de militaires en activité envers leurs autorités.

En attente d’une réponse, veuillez agréer, Madame la Ministre, l’expression de ma haute considération.

Le Président National

 

Jean BIHAN.

Copies à : Monsieur le Ministre de la Défense

Monsieur le président de la Commission de la Défense

Monsieur Jean Charles DUBOC.

 

C’est absolument stupéfiant.

Car tout est dit.

L’accusation dans ce courrier adressé à la ministre des finances est d’une incroyable gravité et, malgré cela, il n’y a eu aucune réponse sérieuse du ministère.

Mais, il faut savoir que l’UNSOR, ou toute autre personne morale ou physique, peut très bien engager une action en justice.

En effet, après avoir déposé les informations sur le détournement des indemnités de la guerre du Golfe, j’ai pris la précaution de demander une prime d’aviseur au début 2001.

Je précise que la quasi-intégralité de cette prime d’aviseur sera destinée à créer la « Fondation Division Daguet » qui aura pour objet d’indemniser nos soldats tués ou blessés au combat.

Mais, surtout, l’intérêt principal de cette prime d’aviseur est de lever la prescription des 10 ans.

C’est à dire que toute personne, ou association, peut déposer plainte contre les ministres des finances depuis 1998 pour ῝complicité de détournement de fonds publics῝…

 

Jean-Charles Duboc


Humour corse (1)

Dumè « aux manettes » !

Préavis de grève à la SNCM et à la CMN

 

Le syndicat CGT de la SNCM et de la CMN a déposé un préavis de grève reconductible pour la journée du 1er janvier 2014.

Réaction de Dumè :

« Normal ! Ce jour-là, la sécurité à bord des ferries n’est pas assurée : Ils sont tous « sborgnés » (saouls) !

En attendant, « ils » tractaient sur les quais dans la semaine, vu le prochain dépeçage de leur outil de travail…

 

Dumè a un copain qui est maire du village.

Il lui demande s'il n'aurait pas un petit boulot pas trop dur pour lui.

Le maire le nomme surveillant du cimetière.

Quelques jours après, le maire le croise et lui demande :

« – Alors, ça va, ce n'est pas trop dur ? 

Non, ça ne va pas très bien. Je suis déprimé ! Partout je vois écrit : « Ici repose Untel, ici repose Unetelle »… Finalement, il n'y a que moi qui travaille, ici ! »

 

Alors le même maire nomme Dumè conducteur de travaux sur un chantier et repasse quelques jours après.

Il lui demande :

« – Alors, ça va mieux ?

Non, ça ne peut pas durer. Tous les autres ont quelque chose : Une pelle, une pioche, une brouette, et moi je n'ai rien pour me reposer dessus ! »

 

Jeux Olympiques – Un Corse champion du lancer du marteau.

Interview : « Ayo ! Quand j'ai vu cet outil de travail, je l'ai jeté le plus loin possible de moi ! »

 

Un Corse de Paris invite son cousin de Marseille.

Aux Invalides, il lui dit :

« Agenouille-toi, ici repose un grand Corse ! » (Napoléon).

Le cousin de Marseille l’invite quelques semaines plus tard et l'emmène à la Sécurité sociale :

« Voilà un coussin pour t'agenouiller longtemps : Ici il y a 150 Corses qui se reposent ! »

 

Un père Corse de Corti trouve que son fils, étudiant à Aix, dépense trop d'argent.

Alors il lui demande des comptes.

Le fils lui répond :

« – Je dépense mon argent avec parcimonie et à bon escient, Papa !

Ce Parcimoni, d'accord c'est un compatriote. Mais je ne veux pas d'un Arménien comme ce Bonnessian ! »

 

Un Corse va dans un bar à Marseille :

« Je veux un café, j'ai pas d'argent mais je suis fort et je n'ai pas peur ! »

On lui sert un café.

Il recommence comme ça tous les jours.

Au bout d'une semaine, le barman appelle un copain et lui raconte la chose.

Le copain lui dit : « Ne t'en fais pas, demain je m'en occupe ! »

Le lendemain, le Corse arrive et annonce :

« Je veux un café, j'ai pas d'argent mais je suis fort et j'ai pas peur ! »

Le copain du barman s'avance vers lui et lui dit :

« – Moi aussi je suis fort et je n'ai pas peur !

Bon, d'accord. Alors ce sera deux cafés ! »

 

On vient d'installer le téléphone chez le grand-père de Dumè et le technicien lui explique :

« – Vous prenez le récepteur de la main gauche et, de la droite, vous formez le numéro de votre correspondant sur le cadran.

Mais alors, quelle main me restera-t-il pour parler ? »

 

À la veille de Pâques, tous les confessionnaux sont occupés au village de Dumè.

Il s’agit d’être en règle avec le Bon-Dieu pour pouvoir communier à la messe de la résurrection de Son Fils.

Un jeune curé débutant entend sa pénitente lui avouer :

« Mon Père, pardonnez-moi, j'ai fait hier un pompier à un ami. »

Le jeune curé ne sait pas très bien quelle pénitence lui donner.

Il hésite entre 12 Pater-noster ou plutôt 12 Ave-maria.

Puis n’arrivant pas à se décider, il ouvre discrètement la porte et dit dans un murmure à l’adresse du confessionnal voisin, qui est tenu par un vieux de la vieille :

« – Dites-moi, qu'est-ce que vous donnez pour un pompier ?

Pas plus de 20 euros ! »

 

Deux Corses, le père et le fils, discutent à l’ombre d’un olivier.

« – Dis-moi, Dumè, mon fils, tu n’as jamais travaillé.

– Eh non, papa. Tu le sais bien que je n’ai jamais travaillé. Dans la famille, il n’y a que les femmes qui travaillent !

– Eh oui, mon fils, je le sais. Et justement, c’est de ça dont je voulais te parler. Tu as quarante ans, maintenant. Ta mère et moi nous nous faisons vieux, il serait peut-être temps que tu te trouves une femme. On peut t’en présenter, si tu veux. Elle pourrait travailler pour toi et avoir des enfants qui t’apporteraient le pastis, comme tu le faisais pour moi quand tu étais petit.

– Papa, c’est une bonne idée. Je vais me marier et avoir des enfants. Dis, tant qu’à faire, tu pourrais m’en présenter une qui soit déjà enceinte ? »

 

Un Jésuite et un Chartreux se retrouvent pendant une retraite au couvent de Corbara (en Balagne).

Ils n'ont le droit de parler qu'une minute par jour.

Finalement, ils découvrent qu'ils aiment tous les deux fumer la pipe de temps en temps.

Mais c'est strictement interdit dans le monastère.

Un jour, le Jésuite arrive avec la pipe allumée.

L'autre s'étonne et dit :

« J'ai demandé au supérieur si je pouvais fumer en lisant la Bible. Il a refusé avec indignation. Alors, comment avez-vous fait ? »

Le jésuite lui répond :

« Pour moi, c'est simple, j'ai plutôt dit au Père supérieur : Père, est-ce que je peux lire la Bible en fumant ? Il a accepté tout de suite ! »

 

« – Quel est le seul arbre qui ne poussera jamais en Corse ?

 – Le boulot, Dumè ! »

  

Un touriste entre dans une boutique calvaise dont l'affiche annonce : « Spécialités Corses »

Le touriste demande au vendeur du fromage Corse, du broccio.

Le vendeur est désolé, il n'en a pas.

Pas plus que du vin de Patrimonio ou de charcuterie de montagne, voire de canistrelli de Calenzana.

Le touriste s'étonne :

« – Mais qu'est-ce que vous vendez alors comme spécialités corses ?

– Uniquement des chaises longues et des hamacs corses, monsieur ! »

 

« En corse, y'a que le bois et les vers dans l'fromage qui travaillent. »

 

C'est l'histoire de 2 corses qui papotent.

Dumè dit à l'autre :

« – Si tu gagnais au Loto demain, que ferais-tu ?

– Rien, absolument rien ! »

 

Question idiote :

« – Pourquoi il est impossible que Claude François ait été corse ?

– Parce qu'aucun corse ne peut mourir avec une ampoule dans la main. »

 

Proverbe Corse pour votre week-end :

« Si tu as beaucoup de travail, allonges-toi au soleil et attends que ça passe ! »

 

Bien à toutes et tous !

 

I3

C’est une reprise de : http://infreequentable.over-blog.com/article-dume-aux-manettes-121645889.html


Indemnités de la guerre du Golfe 1991 : Demande de prime d’aviseur

 

Le 29 janvier 2014

Monsieur Jean-Charles DUBOC

à

Monsieur Pierre MOSCOVICI

Ministre de l'Economie et des Finances

139, rue de Bercy

75572 PARIS

 

Lettre en A/R

 

Objet : Prime d’aviseur DNEF

 

Monsieur le Ministre,

 

Vous trouverez, avec la présente, l’ensemble des courriers que j’ai envoyés à vos prédécesseurs depuis juin 1998 au sujet du détournement des indemnités de la guerre du Golfe 1991.

Une demande de prime d’aviseur a été effectuée le 29 janvier 2001 à Monsieur Laurent FABIUS, ministre de l’Economie, des Finances et de l’Industrie.

J’ai effectué de nouveaux rappels de cette demande de prime d’aviseur à Madame Christine LAGARDE le 20 juin 2008, le 14 août 2009 et le 12 mai 2010.

Il est possible que des anciens combattants de la Division Daguet entreprennent prochainement une action en justice au sujet de ce détournement de fonds publics qui se monterait à plus de 7,3 milliards d’euros en valeur actuelle.

Par ce courrier, je tiens à rappeler ma demande de prime d’aviseur qui se monte à 1% des fonds détournés, et ce que je désire en faire.

Je souhaite que la prime d’aviseur demandée, près de 73 millions d’euros, soit, dans sa quasi-intégralité, destinée à créer la « Fondation Division Daguet » qui aura pour objectif d’indemniser nos soldats tués, blessés, ou souffrant de divers syndromes comme le syndrome de la guerre du Golfe ou le syndrome psychique post-traumatique.

Il est aussi possible de créer une structure qui répartira les fonds pour nos victimes du syndrome du Golfe.

Pour moi-même, je ne demande que l’équivalent du salaire annuel d’un inspecteur général des finances, en fin de carrière, majoré de 40% pour la mauvaise foi mise à me répondre, ainsi que de 4% par année de retard.

Je vous prie de bien vouloir agréer, monsieur le ministre, l’expression de ma plus haute considération.

Jean-Charles DUBOC


L’affaire Basano / Ferrayé ou comment escroquer 22 milliards de dollars (IV) : Les fichiers HSBC

 

Bien avant Hervé Falciani, il y a eu d’autres aviseurs du ministère des finances qui ont dénoncé des détournements de fonds publics.

Par exemple, un aviseur a déposé le 19 janvier 1998 des informations à la Brigade de contrôle et de recherche (BCR) du Havre, dépendante de la Direction nationale des enquêtes fiscales (DNEF), pour le détournement par « Myth-Errant » des 3,5 milliards de dollars d’indemnités de la guerre du Golfe de 1991. Ce qui fait plus de 7 milliards d’euros en valeur actuelle.

C’est raconté dans le texte humoristique « L’Ami-râle Pad-Ock et le détournement des indemnités de la guerre du Golfe 1991 »

 

Dans le cas où les milliards d’euros des indemnités de la guerre du Golfe seraient récupérés, cet aviseur demande au ministère des finances de :

1/ Créer, avec la prime d’aviseur, la Fondation Division Daguet destinée à nos soldats tués ou blessés en opération et de la capitaliser à hauteur de la somme dûe, soit environ 73 millions d’euros (L’aviseur demande pour lui une année de salaire brut d’inspecteur général des finances) ;

2/ Payer la prime de guerre promise à nos soldats qui ont participé à l’Opération « Tempête du Désert » avec une majoration de 40% pour avoir pris nos militaires pour des « Pov’kons », et avec une autre majoration de 4% par année de retard !...

Avec une prime prévue de 180.000 francs en 1991, cela fait entre 80.000 et 100.000 euros pour chaque militaire ayant participé au conflit.

Le coût est d’environ un milliard d’euros ;

3/ Indemniser décemment nos soldats qui sont victimes du syndrome de la guerre du Golfe, conformément aux souhaits de l’association AVIGOLFE ;

4/ Construire trois grands voiliers-écoles de 85 mètres au pont pour la formation maritime et humaine des jeunes, pour un coût à la construction de près de 150 millions d’euros (50 millions par navire).

 

D’autre part, au détournement de 3,5 milliards de dollars des indemnités de la guerre du Golfe, il faut ajouter l’escroquerie de 22 milliards de dollars réalisée lors de l’extinction des 1100 puits de pétrole en feu au Koweït en 1991.

Le fameux dossier « Basanix/Féraillé »

Ces deux dossiers forment, en valeur 2014, un total d’environ 55 milliards d’euros.

« Bling-bling », notre « ex Divin-et-Ô-combien-vénéré-président » a demandé aux ῝petits hommes en gris῝ de Bercy d’organiser une récupération des fonds qui étaient rassemblés dans un trust à Londres.

La première tranche des fonds récupérés, soit 35 milliards d’euros, a été placée dans le grand emprunt 2010 qui n’est qu’un montage financier.

Sur ces 35 milliards, 15 milliards auraient servi à rembourser la « CIA », via « L’OTAN », pour le remboursement à l’émir du Koweït des sommes escroquées.  En effet, l’Emirat n’avait pas tardé à s’apercevoir qu’il avait payé beaucoup trop cher pour l’extinction des 1100 puits en feu...

 

Par contre, il manque une vingtaine de milliards d’euros qui restent dans la nature.  Et là, il faut se pencher sur le roman Mains invisibles de « I-Cube » pour trouver une explication :

http://euroclippers.typepad.fr/alerte_ethique/2014/01/mains-invisibles-iv.html

Extrait : « Et alors, en supposant que les fonds du trust aient été placés en euro après l’avoir été en monnaies diverses et européennes, on peut imaginer que c’est 55 milliards d’euros qui auraient dû constituer le « stock » à récupérer. Mais, vous rappelle-je, on en a eu que pour 35 milliards. Donc… »

Le reste a été distribué…

« Mais à qui ? »

La seconde bombe thermonucléaire !

« À tout le monde ! »

Comment ça ?

Les fichiers qu’il est convenu de faire croiser par la minette de l’amiral provenant de Bercy qui peine à retrouver les ayants-droits, ils sont truffés de « faux-nez ».

« Je n’ai fait que les parcourir à la va-vite, mais quand je suis tombé sur un monsieur J. Cardan-de-Chourcelle, à Tokyo, imaginez-vous bien que j’ai immédiatement pensé à l’épouse du président Rackchi, dont c’est le nom de jeune-fille ! »

Incroyable, lâche Gustave.

« Et vous en avez identifié beaucoup, des comme ça ? »

Il y en a 9.288.

« J’ai refermé le bidule. C’est une recherche trop longue pour le peu de temps que je peux y consacrer. Mais vous imaginez que si on tombe sur les 9.000 qui ont pu être un jour ministre, conseiller, député ou sénateur comme j’ai pu le deviner pour les plus connus, non seulement il faut confirmer, mais en plus, si ça doit être révélé à la presse, c’est la révolution dans les rues, Amiral ! »

Intéressant n’est-ce pas !...

Pas question  que la presse et les médias révèlent une horreur pareille !...

Et pourtant !...

 

Il est possible de faire un rapprochement de ces incroyables détournements de fonds avec une série d’articles sur les fichiers trafiqués de la HSBC qui sont vraiment surprenants : Le Point : « Fichiers de la banque HSBC : les preuves de la manipulation » ; Le point : « Fichiers HSBC : Christian Eckert s'explique » Direct Matin : « La France aurait falsifié les listes d'évadés fiscaux divulguées par Falciani » ; Nouvel Obs : « Evadés fiscaux : les fichiers HSBC falsifiés par la France ».

 

Je reprends l’article disponible dans les Echos et intitulé « HSBC : 3.000 noms d’évadés fiscaux de la liste de Falciani ont disparu »

Environ 3.300 noms de clients français de HSBC Private Bank ont été  », selon l’Agefi.

Le quotidien financier Agefi affirme mardi sur son site que les autorités françaises ont falsifié en 2009 les listes d’évadés fiscaux en Suisse livrées par l’ex-informaticien de la banque HSBC Hervé Falciani , ce qu’un rapport parlementaire infirmait en juillet.

L’Agefi dit être « en mesure d’affirmer sans conditionnel que le contenu des listes a bien été modifié », « après avoir pu consulter un rapport de l’Office fédéral de la police ».

Interrogé par l’AFP, un porte-parole de Bercy a renvoyé au rapport présenté en juillet 2013 par le rapporteur du budget à l’Assemblée générale, Christian Eckert, infirmant toute disparition de contribuable.

« L’élaboration des listes de contribuables établies par l’administration fiscale a donné lieu à de nombreux commentaires dans les médias. Le Rapporteur général ne peut qu’infirmer l’affirmation que des contribuables auraient +disparu+ », selon un extrait de ce rapport parlementaire.

« Environ 3.300 noms de clients français de HSBC Private Bank ont été éliminés », selon le site d’actualités financières qui rappelle que le 23 juillet 2012, le quotidien Le Monde avait déjà suggéré que « la liste des évadés fiscaux de HSBC en Suisse aurait été falsifiée ».

L’Agefi précise que « la liste comprenait 8.993 noms. En retirant les doublons, il restait (selon Le Monde) 6.313 personnes physiques ou morales ».

3.000 noms éliminés

Or, souligne l’Agefi, « pendant l’été 2009, l’ancien ministre du Budget, Eric Woerth n’évoquait plus qu’une liste de 3.000 noms d’exilés fiscaux ».

« Le calcul est vite fait: environ 3.300 noms de clients français de HSBC Private Bank ont été éliminés », estime le quotidien spécialisé qui évoque des « incohérences » mentionnées dans le rapport de l’Office fédéral de la police sur les copies des fichiers remises par la France à la Suisse début 2010.

L’ancien informaticien de la banque HSBC à Genève Hervé Falciani a révélé en 2008 des fichiers permettant de découvrir des milliers d’évadés fiscaux dans le monde, ce qui lui vaut d’être poursuivi en Suisse.

Deux premières condamnations, à huit et dix mois de prison avec sursis, ont été prononcées en France à la mi-décembre dans un dossier de fraude fiscale ouvert sur la foi des fichiers HSBC remis à la justice par Hervé Falciani.

Source AFP

Les documents en question sont disponibles dans l’article du Point « Fichiers de la banque HSBC : les preuves de la manipulation » !...

 

Pour quelle raison les petits hommes en gris de Bercy auraient-ils fait disparaître 3000 noms des fichiers Falciani ?...

L’EPOUVANTABLE HYPOTHESE

Une hypothèse vraisemblable est que toutes ces personnes ont bénéficiées, parfois sans le savoir comme Christian Basano, des fonds détournés de la guerre du Golfe et de l’escroquerie sur l’extinction des puits en feu au Koweït.

Il y en aurait pour 20 milliards d’euros, soit 2,15 millions d’euros par personne s’il y a 9288 comptes concernés.

Les 3000 comptes de la HSBC ne représentant qu’une partie du pactole.

De quoi acheter des bonnes consciences…

 

Jean-Charles Duboc


Traité transatlantique : un pas de plus vers la tyrannie des multinationales (II)

 

 

 

Nos élites sont corrompues à un point que les citoyens ne peuvent pas imaginer.

Ce qui est extrêmement gênant pour l’évolution dans tous les domaines de la société car si nos dirigeants sont ῝pourris῝ cela signifie aussi qu’ils sont ῝tenus῝, qu’ils ont les mains liées, et qu’ils vont céder aux exigences parfois démentes de telle ou telle structure.

Le véritable niveau de corruption de nos élus est à découvrir dans un pastiche de « Tintin et du capitaine Haddock » intitulé « Les Aventures de Tin-tinne et de l’Ami-râle Pad-Ock ».

Vous y découvrirez que l’ultralibéralisme bancaire a joué un rôle considérable dans le ῝pourrissement῝ de notre système démocratique.

La porte est ouverte à tous les ῝délires de cupidité῝ de beaucoup de monde, et en particulier des multinationales.

Celles-ci tendent à développer naturellement leur influence et leur pouvoir, quitte à jeter aux oubliettes les systèmes de protection du public institués par les Etats sur l’ensemble de la planète.

En se passant, bien sûr, de toute consultation des citoyens !...

Des « Pov’Kons » comme dirait l’autre !...

 

 Je reprends ci-dessous un article deLori M. Wallach, Directrice du Public ῝Citizen’s Global Trade Watch῝ à Washington.

Edifiant.

Une authentique tyrannie des multinationales est en cours de développement. Si nous ne faisons rien, le cauchemar ultra-libéral qui s’aggrave va détruire un peu plus les protections sociales, écologiques, juridiques…

Il est temps de se réveiller !...

 

Mille millions de mille sabords !...

Jean-Charles Duboc

 

…………..

 

Injuste rejet du porc à la ractopamine

Mais au lieu de prôner un simple assouplissement des lois existantes, les activistes du marché transatlantique se proposent carrément de les réécrire eux-mêmes. La Chambre américaine de commerce et BusinessEurope, deux des plus grosses organisations patronales de la planète, ont ainsi appelé les négociateurs de l’APT à réunir autour d’une table de travail un échantillon de gros actionnaires et de responsables politiques afin qu’ils « rédigent ensemble les textes de régulation » qui auront ensuite force de loi aux Etats-Unis et dans l’Union européenne. C’est à se demander, d’ailleurs, si la présence des politiques à l’atelier d’écriture commercial est vraiment indispensable…

De fait, les multinationales se montrent d’une remarquable franchise dans l’exposé de leurs intentions. Par exemple sur la question des OGM. Alors qu’aux Etats-Unis un Etat sur deux envisage de rendre obligatoire un label indiquant la présence d‘organismes génétiquement modifiés dans un aliment — une mesure souhaitée par 80 % des consommateurs du pays —, les industriels de l’agroalimentaire, là comme en Europe, poussent à l’interdiction de ce type d’étiquetage. L’Association nationale des confiseurs n’y est pas allée par quatre chemins : « L’industrie américaine voudrait que l’APT avance sur cette question en supprimant la labellisation OGM et les normes de traçabilité. » La très influente Association de l’industrie biotechnologique (Biotechnology Industry Organization, BIO), dont fait partie le géant Monsanto, s’indigne pour sa part que des produits contenant des OGM et vendus aux Etats-Unis puissent essuyer un refus sur le marché européen. Elle souhaite par conséquent que le « gouffre qui se creuse entre la dérégulation des nouveaux produits biotechnologiques aux Etats-Unis et leur accueil en Europe » soit prestement comblé (8). Monsanto et ses amis ne cachent pas leur espoir que la zone de libre-échange transatlantique permette d’imposer enfin aux Européens leur « catalogue foisonnant de produits OGM en attente d’approbation et d’utilisation (9) ».

L’offensive n’est pas moins vigoureuse sur le front de la vie privée. La Coalition du commerce numérique (Digital Trade Coalition, DTC), qui regroupe des industriels du Net et des hautes technologies, presse les négociateurs de l’APT de lever les barrières empêchant les flux de données personnelles de s’épancher librement de l’Europe vers les Etats-Unis (lire La traque méthodique de l’internaute révolutionne la publicité). « Le point de vue actuel de l’Union selon lequel les Etats-Unis ne fournissent pas une protection de la vie privée “adéquate” n’est pas raisonnable », s’impatientent les lobbyistes. A la lumière des révélations de M. Edward Snowden sur le système d’espionnage de l’Agence nationale de sécurité (National Security Agency, NSA), cet avis tranché ne manque pas de sel. Toutefois, il n’égale pas la déclaration de l’US Council for International Business (USCIB), un groupement de sociétés qui, à l’instar de Verizon, ont massivement approvisionné la NSA en données personnelles : « L’accord devrait chercher à circonscrire les exceptions, comme la sécurité et la vie privée, afin de s’assurer qu’elles ne servent pas d’entraves au commerce déguisées. »

Les normes de qualité dans l’alimentation sont elles aussi prises pour cible. L’industrie américaine de la viande entend obtenir la suppression de la règle européenne qui interdit les poulets désinfectés au chlore. A l’avant-garde de ce combat, le groupe Yum !, propriétaire de la chaîne de restauration rapide Kentucky Fried Chicken (KFC), peut compter sur la force de frappe des organisations patronales. « L’Union autorise seulement l’usage de l’eau et de la vapeur sur les carcasses », proteste l’Association nord-américaine de la viande, tandis qu’un autre groupe de pression, l’Institut américain de la viande, déplore le « rejet injustifié [par Bruxelles] des viandes additionnées de bêta-agonistes, comme le chlorhydrate de ractopamine ».

La ractopamine est un médicament utilisé pour gonfler la teneur en viande maigre chez les porcs et les bovins. Du fait de ses risques pour la santé des bêtes et des consommateurs, elle est bannie dans cent soixante pays, parmi lesquels les Etats membres de l’Union, la Russie et la Chine. Pour la filière porcine américaine, cette mesure de protection constitue une distorsion de la libre concurrence à laquelle l’APT doit mettre fin d’urgence.

« Les producteurs de porc américains n’accepteront pas d’autre résultat que la levée de l’interdiction européenne de la ractopamine », menace le Conseil national des producteurs de porc (National Pork Producers Council, NPPC). Pendant ce temps, de l’autre côté de l’Atlantique, les industriels regroupés au sein de BusinessEurope dénoncent les « barrières qui affectent les exportations européennes vers les Etats-Unis, comme la loi américaine sur la sécurité alimentaire ». Depuis 2011, celle-ci autorise en effet les services de contrôle à retirer du marché les produits d’importation contaminés. Là encore, les négociateurs de l’APT sont priés de faire table rase.

Il en va de même avec les gaz à effet de serre. L’organisation Airlines for America (A4A), bras armé des transporteurs aériens américains, a établi une liste des « règlements inutiles qui portent un préjudice considérable à [leur] industrie » et que l’APT, bien sûr, a vocation à rayer de la carte. Au premier rang de cette liste figure le système européen d’échange de quotas d’émissions, qui oblige les compagnies aériennes à payer pour leur pollution au carbone. Bruxelles a provisoirement suspendu ce programme ; A4A exige sa suppression définitive au nom du « progrès ».

Mais c’est dans le secteur de la finance que la croisade des marchés est la plus virulente. Cinq ans après l’irruption de la crise des subprime, les négociateurs américains et européens sont convenus que les velléités de régulation de l’industrie financière avaient fait leur temps. Le cadre qu’ils veulent mettre en place prévoit de lever tous les garde-fous en matière de placements à risques et d’empêcher les gouvernements de contrôler le volume, la nature ou l’origine des produits financiers mis sur le marché. En somme, il s’agit purement et simplement de rayer le mot « régulation » de la carte.

D’où vient cet extravagant retour aux vieilles lunes thatchériennes ? Il répond notamment aux vœux de l’Association des banques allemandes, qui ne manque pas d’exprimer ses « inquiétudes » à propos de la pourtant timide réforme de Wall Street adoptée au lendemain de la crise de 2008. L’un de ses membres les plus entreprenants sur ce dossier est la Deutsche Bank, qui a pourtant reçu en 2009 des centaines de milliards de dollars de la Réserve fédérale américaine en échange de titres adossés à des créances hypothécaires (10). Le mastodonte allemand veut en finir avec la réglementation Volcker, clé de voûte de la réforme de Wall Street, qui pèse selon lui d’un « poids trop lourd sur les banques non américaines ». Insurance Europe, le fer de lance des sociétés d’assurances européennes, souhaite pour sa part que l’APT « supprime » les garanties collatérales qui dissuadent le secteur de s’aventurer dans des placements à hauts risques.

Quant au Forum des services européens, organisation patronale dont fait partie la Deutsche Bank, il s’agite dans les coulisses des pourparlers transatlantiques pour que les autorités de contrôle américaines cessent de mettre leur nez dans les affaires des grandes banques étrangères opérant sur leur territoire. Côté américain, on espère surtout que l’APT enterrera pour de bon le projet européen de taxe sur les transactions financières. L’affaire paraît d’ores et déjà entendue, la Commission européenne ayant elle-même jugé cette taxe non conforme aux règles de l’OMC (11). Dans la mesure où la zone de libre-échange transatlantique promet un libéralisme plus débridé encore que celui de l’OMC, et alors que le Fonds monétaire international (FMI) s’oppose systématiquement à toute forme de contrôle sur les mouvements de capitaux, la chétive « taxe Tobin » n’inquiète plus grand monde aux Etats-Unis.

Mais les sirènes de la dérégulation ne se font pas entendre dans la seule industrie financière. L’APT entend ouvrir à la concurrence tous les secteurs « invisibles » ou d’intérêt général. Les Etats signataires se verraient contraints non seulement de soumettre leurs services publics à la logique marchande, mais aussi de renoncer à toute intervention sur les fournisseurs de services étrangers qui convoitent leurs marchés. Les marges de manœuvre politiques en matière de santé, d’énergie, d’éducation, d’eau ou de transport se réduiraient comme peau de chagrin. La fièvre commerciale n’épargne pas non plus l’immigration, puisque les instigateurs de l’APT s’arrogent la compétence d’établir une politique commune aux frontières — sans doute pour faciliter l’entrée de ceux qui ont un bien ou un service à vendre au détriment des autres.

Depuis quelques mois, le rythme des négociations s’intensifie. A Washington, on a de bonnes raisons de croire que les dirigeants européens sont prêts à n’importe quoi pour raviver une croissance économique moribonde, fût-ce au prix d’un reniement de leur pacte social. L’argument des promoteurs de l’APT, selon lequel le libre-échange dérégulé faciliterait les échanges commerciaux et serait donc créateur d’emplois, pèse apparemment plus lourd que la crainte d’un séisme social. Les barrières douanières qui subsistent encore entre l’Europe et les Etats-Unis sont pourtant « déjà assez basses », comme le reconnaît le représentant américain au commerce (12). Les artisans de l’APT admettent eux-mêmes que leur objectif premier n’est pas d’alléger les contraintes douanières, de toute façon insignifiantes, mais d’imposer « l’élimination, la réduction ou la prévention de politiques nationales superflues (13) », étant considéré comme « superflu » tout ce qui ralentit l’écoulement des marchandises, comme la régulation de la finance, la lutte contre le réchauffement climatique ou l’exercice de la démocratie.

Il est vrai que les rares études consacrées aux conséquences de l’APT ne s’attardent guère sur ses retombées sociales et économiques. Un rapport fréquemment cité, issu du Centre européen d’économie politique internationale (European Centre for International Political Economy, Ecipe), affirme avec l’autorité d’un Nostradamus d’école de commerce que l’APT délivrera à la population du marché transatlantique un surcroît de richesse de 3 centimes par tête et par jour… à partir de 2029 (14).

En dépit de son optimisme, la même étude évalue à 0,06 % seulement la hausse du produit intérieur but (PIB) en Europe et aux Etats-Unis à la suite de l’entrée en vigueur de l’APT. Encore un tel « impact » est-il largement irréaliste, dans la mesure où ses auteurs postulent que le libre-échange « dynamise » la croissance économique ; une théorie régulièrement réfutée par les faits. Une élévation aussi infinitésimale serait d’ailleurs imperceptible. Par comparaison, la cinquième version de l’iPhone d’Apple a entraîné aux Etats-Unis une hausse du PIB huit fois plus importante.

Presque toutes les études sur l’APT ont été financées par des institutions favorables au libre-échange ou par des organisations patronales, raison pour laquelle les coûts sociaux du traité n’y apparaissent pas, pas plus que ses victimes directes, qui pourraient pourtant se compter en centaines de millions. Mais les jeux ne sont pas encore faits. Comme l’ont montré les mésaventures de l’AMI, de la ZLEA et certains cycles de négociations à l’OMC, l’utilisation du « commerce » comme cheval de Troie pour démanteler les protections sociales et instaurer la junte des chargés d’affaires a échoué à plusieurs reprises par le passé. Rien ne dit qu’il n’en sera pas de même cette fois encore.

Lori M. Wallach

Directrice de Public Citizen’s Global Trade Watch, Washington, DC, www.citizen.org