Les aventures de « Tin-tinne » et de « l’Ami-râle Pad-Ock » (V)
AVERTISSEMENT : Les noms de lieu et des acteurs de ce billet humoristique ne désignent absolument personne en particulier.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite !
En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou humoristique ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle !
Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…
Début décembre 2013
Le soleil commence à percer sur la campagne du Pays-de-Caux. La perturbation est passée. « L’Ami-râle Pad-Ock » convie ses invités à rejoindre la longue table du salon qui donne sur le parc herbeux du Château de Moulinville.
« L’Ami-râle » vient de raconter des détails méconnus de son action afin que la Défense récupère les indemnités de la guerre du Golfe de 1991 détournées par « Mythe-Errant » et ses mafieux.
La Baronne installe ses invités autour de la table.
Il y a là l’avocat Maître Rouflaquette, toujours accompagné du terrible bichon Léon, le capitaine de frégate Paul de Bréveuil, « Tin-tinne », fondateur de MEDIAPART, « Para-phrénik», qui s’occupe du dossier Basanix/Ferraillé, ainsi que les policiers Pompond et Pompont.
Ces derniers ont délaissé leur bureau de la « DS-Thé » pour informer « l’Ami-râle » des dernières informations disponibles à Bercy au sujet de la disparition des indemnités de guerre payées en 1991 par le Koweït et qui se montent à 7,3 milliards d’euros en valeur actuelle.
Tous sont accompagnés, bien sûr, de leurs épouses ou compagnes.
Mais il manque un invité, le docteur « Cap-au-large » qui embarque ses patients sur des voiliers pour des navigations en équipage le long des côtes de la Manche, de l’Atlantique ou de la Méditerranée. Une agréable thérapie très appréciée de beaucoup de malades en crise existentielle.
Soudainement la porte s’ouvre.
« L’Ami-râle » : « Docteur, nous ne vous attendions plus !...».
« Docteur Cap-au-large » : « Veuillez excuser ce retard, mais j’ai été retardé par un agité derrière lequel je cours depuis des mois !... ».
« L’Ami-râle » : « C’est si grave que cela docteur ?... »
« Docteur Cap-au-large » : « Bien sûr que c’est grave !... Il s’agit de Bling-bling, notre ex « divin-et-ô-combien-vénéré président », qui est prêt à refaire des konneries… J’étais sur le point de l’attraper lorsqu’il s’est retourné vers moi et m’a crié « Kasse-toi, Pov’Kon ! »… J’en ai laissé tomber ma camisole... Me dire cela, à moi, une sommité de la psychiatrie !... Le temps que je me relève, et il s’était enfui !… »
« L’Ami-râle » : « Mais enfin, c’est terrible de devoir lui mettre la camisole… Vous le placeriez ensuite en isolement ?... ».
« Docteur Cap-au-large » : « Il a fichu un tel bordel dans les hôpitaux psychiatriques qu’il vaut mieux ne pas le revoir à la tête de la Gauloisie… Vous vous rendez-compte qu’il a réussi à faire juger les fous !... C’est dément !...».
« L’Ami-râle » : « Vous avez raison, il est complètement cinglé !... C’est un manque total de connaissance de l’être humain !... C’est effroyable !... »
« Docteur Cap-au-large » : « En fait, j’ai déjà retenu la suite présidentielle pour lui, pour un aller-retour Antilles, à bord du grand voilier-école ῝Amiral Jean Cras῝ qui vient d’être lancé… Ce sera la meilleure solution pour le restructurer mentalement… Un mois de haute mer vers les Antilles, pour qu’il perde ses repères habituels, c’est la ῝déstructuration῝, puis ensuite un mois pour le retour afin qu’il se restructure d’une façon plus humaine. C’est la base de notre psychothérapie qui commence à être reconnue dans le monde entier. ».
« L’Ami-râle » connaît très bien ce projet qu’il avait développé alors qu’il présidait les Clippers de Normandie, un think-tank constitué de l’élite du monde maritime. Il y avait dans cette association plusieurs médecins renommés dont le médecin-général Robert Auffret, président de l’Académie internationale de médecine aéronautique et spatiale.
« Paul de Bréveuil » : « Je ne savais pas que le voilier ῝Amiral Jean-Cras῝ devait embarquer des personnes pour des navigations thérapeutiques. »
« L’Ami-râle Pad-Ock » : « Effectivement, je ne vous en ai pas parlé lors de notre rencontre à Brest » lorsque je vous avais invité pour la première navigation de ce trois-mâts barque de 83 mètres qui a été financé par une grande entreprise du CAC40 ».
Pour ses invités l’Ami-râle précise que le navire est armé pour la formation des collaborateurs de l’entreprise mais aussi pour les écoles maritimes comme l’École Navale, le CIN de Brest, l’École Nationale Supérieure Maritime, ainsi que pour les lycées professionnels maritimes.
« Paul de Bréveuil » : « Je me souviens très bien de cette journée où je vous ai d’ailleurs proposé de m’accompagner en tant que copilote pour le tour du monde sans escale, par les pôles, en vol stratosphérique, à bord du Nivelle 001 ».
« L’Ami-râle » : « Un vol que je n’oublierai jamais, parce que faire le tour du monde en 12 heures, à une altitude comprise entre les niveaux 650 et 900 (1), et à une vitesse comprise entre Mach 3 et Mach 5 c’est absolument extraordinaire !...(2) ».
« Paul de Bréveuil » : « Heureusement que vous étiez là pour prendre les commandes pour le survol du pôle sud. Cela m’a permis de me reposer en même temps que Miho, l’intéressante espionne nord-coréenne qui nous accompagnait à bord !... »
« L’Ami-râle » : « Vous êtes jeune !... Il faut savoir se reposer en l’air !... D’ailleurs, à « Air Transe » où j’ai été pilote pendant 25 ans, j’étais surnommé le « Six-coups-du-cockpit » !... Dès que je montais à bord d’un B747 long courrier, les hôtesses se précipitaient dans le cockpit pour m’arracher un bout de chemise et le garder en souvenir !... ».
La Baronne arrive avec le plat principal et voit tout le monde en train de s’esclaffer…
« La Baronne » : « Dites-moi Ami-râle, j’espère que vous n’êtes pas encore en train de raconter une de vos blagues favorites sur le « Six-coups-du-cockpit !...»
L’Ami-râle se tait car il sait bien que s’il en fait trop, la Baronne est capable de faire absolument n’importe quoi, y compris de le priver de ses plats favoris, la morue à la crème, la côte de veau vallée d’Auge, ou encore pire, de le priver de Loch Lomont, ce qu’il craint par-dessus tout !...
Pendant ce temps-là, au Château, rue du Faubourg St-Honoré, « François III » reçoit l’ancien président « Jack-Ouille » qui avance en tremblotant, s’appuyant sur une canne, soutenu par Bernie.
« François III » : « Cher président, comment allez-vous ?... »
« Jack-Ouille » : « De plus en plus mal !... La blessure que m’a infligé le terrible bichon Léon me fait de plus en plus souffrir !... Tout cela parce qu’il a entendu que j’avais un compte « Cardan-de-Chourcelle » de 300 millions de francs dans une banque japonaise !... ».
« François III » : « Mais c’est une vieille histoire !... »
« Jack-Ouille » : « Peut-être, mais si je n’avais pas été accusé d’une telle infamie, le gentil bichon Léon ne m’aurait jamais mordu au « Kul » !... Car il mord au « Kul » tous les voleurs !... »
« François III » : « Oui, je sais, il mord au « Kul » tous les voleurs et c’est même pour cela que vous m’avez menacé de le lâcher au Château si je ne nommais pas le capitaine « Pad-Ock » au grade de vice-amiral d’escadre !... Cela a fait un scandale terrible à l’Etat-major de la Marine !... C’est du jamais vu !... ».
« Jack-Ouille » : « Et vous allez même le nommer commandant de la flotte de la Méditerranée !... »
« François III » : « S’il n’y a que ça… Pas de problème… Mais où voulez-vous en venir à la fin ?... »
« Jack-Ouille » : « Je veux que la justice prenne connaissance des documents qui se trouvent dans le coffre Secret défense de « Moscou-vicié », le ministre des Phynances, pour me disculper sur cette affaire. »
« François III » : « Je ne vois pas le rapport avec la nomination de « l’Ami-râle Pad-Ock » que vous me demandez... »
« Jack-Ouille » : « C’est simple !... Comme Moscou-vicié ne veut pas transmettre ces documents au juge « Rime-Beck », vous allez déclencher le feu nucléaire sur la Coupole !... »
« François III » : « Jamais !... Jamais !... »
« Jack-Ouille » : « Si vous refusez, je lâche le terrible bichon Léon au Château, et vous savez qu’il n’aime ni les voleurs, ni leurs complices !... Il vous mordra au « Kul » et ce sera pire qu’avec la Première dame !... »
« François III » : « Oui, mais je crois qu’elle, elle veut me mordre ailleurs… »
« François III » s’effondre et « Jack-Ouille » sait qu’il a gagné la partie.
La conversation a été entièrement enregistrée par le drone insectoïde installé par les UMMO au Château. La conversation est aussitôt envoyée vers le satellite des UMMO qui stationne en orbite géostationnaire au-dessus de la « Gauloisie ».
Une douzaine de minutes plus tard elle est analysée par les ordinateurs ummites qui se trouvent à bord de la station spatiale UMMO 001 située dans la ceinture des astéroïdes entre Mars et Jupiter.
Une gigantesque station de plusieurs dizaines de kilomètres-cubes, recouverte d’une épaisse couche en carbone-carbone qui la rend indétectable de la Terre.
Elle tourne sur elle-même afin de créer une gravité artificielle un peu plus élevée que celle de la Terre. Les UMMO ont mis près de 40 ans pour construire cette station de surveillance de la planète Terre où ils ont débarqué la première fois le 18 mars 1950 près de Dignes.
Ils ont quelques siècles d’avance technologique sur les Terriens auxquels ils ressemblent beaucoup du point de vue physique. De haute taille, près de 2,10 en moyenne pour les hommes, ils peuvent passer relativement inaperçus dans les pays nordiques. Ils sont aussi plus musclés et d’un tonus musculaire supérieur à celui des humains de la Terre.
Le développement de leur civilisation a été extrêmement difficile avec des époques barbares de domination totalitaire et cruelle. Dans leur passé, ils pratiquaient la vivisection sur leurs condamnés.
Un passé dont ils ont honte, mais dont ils se souviennent lorsqu’ils étudient des civilisations terrestres qui sont parfois effroyablement destructrices.
Leur planète se trouve à 14,4 années-lumière de la Terre et ils voyagent en utilisant les plis de l’espace-temps de la galaxie à bord de leur OAWOOLEA UEWA OEMM, des vaisseaux spatiaux en forme de disques.
Mais le développement accéléré des technologies sur la planète Terre a conduit la Fédération galactique à construire un « Tunnel de Idrss » près du système solaire des Terriens.
Un « Tunnel de Idrss », c’est une mégastructure de plusieurs centaines de kilomètre-cubes qui « plisse » le continuum espace-temps entre deux entrées de « Idrss ». Cela fonctionne dans les deux sens et raccourcit les distances entre les étoiles.
Des champs à base d’antimatière font fonctionner les « portes de Idrss » qui sont relativement éloignées des planètes visitées. Pour la Terre, celle qui a été construire a été basée bien au-delà de l’orbite de Jupiter pour éviter un accident en raison des masses d’antimatière qui sont stockées ainsi que pour éviter les perturbations avec les planètes et les astéroïdes.
Ces « portes de Idrss » permettent le développement des échanges commerciaux entre les civilisations de l’espace.
Pour leur construction, il faut en installer aux deux endroits adéquats à relier, donc promener des engins automatiques qui vont les bâtir, ce qui suppose de longues traversées interstellaires.
« Idrss » est le nom d’une civilisation disparue depuis très, très longtemps, qui a mis le dispositif au point. Depuis cette époque leurs robots, et d’autres, continuent de se dupliquer et de construire leurs tunnels.
Ceux-ci sont posés de telle sorte, que malgré les détours de la matière sidérale et des temps de parcours très longs, ils doivent s’aligner parfaitement et s’auto-régler en permanence pour maintenir le contact entre des endroits éloignés de toute matière dense, solide, en périphérie de rien et surtout sans passage de matière dense sur les trajectoires, car ça pourrait rompre le lien au moment d’un transfert.
La « porte de Idrss » de notre système solaire a été inaugurée lorsque les Terriens ont commencé à développer leurs technologies.
C’est la raison de la multiplication des apparitions d’OVNI depuis cette époque et qui explique notamment la « vague d’OVNI de 1954 » en « Gauloisie » pendant laquelle de nombreuses espèces proches des humains ont été observées.
Dans la station spatiale UMMO 001, située entre Mars et Jupiter, « E IXOO 7 », fils de « OURIEE 29 », et « AYIOA 1 », fils de « ADAA 67 », sont en train de faire une partie de belote. Un nouveau jeu qu’ils ont découvert sur la Terre.
« E IXOO 7 » : « Déjà 10 ans que je surveille cette planète de cinglés… »
« AYIOA 1 » : « La même chose pour moi… Et dire que je n’ai même pas mes annuités pour prendre ma retraite… »
« E IXOO 7 » : « Il te reste combien de temps avant d’espérer un bureau à l’office galactique d’UMMO ?... »
« AYIOA 1 » : « Au moins deux ou trois ans… Qu’elle drôle d’idée que j’ai eu de vouloir faire carrière dans l’exploration spatiale… Surtout que nous n’avons qu’une seule planète à étudier… Nous débutons dans l’exploration de la Galaxie… »
« E IXOO 7 » : « Et si seulement on avait eu une planète calme à étudier, ça pourrait aller… Mais les Terriens, avec leurs milliers de têtes nucléaires opérationnelles, sont bien partis pour vitrifier leur planète un jour ou l’autre… »
« AYIOA 1 » : « Il y a déjà des millions de planètes de la galaxie où il n’y a plus aucune vie parce que les espèces qui y vivaient se sont autodétruites avec des armes nucléaires fission-fusion-fission ou avec des armes biotechnologiques… Ils risquent d’en faire partie… »
« E IXOO 7 » : « Et il y a une interdiction absolue de leur donner de nouvelles technologies… Ils les utiliseraient pour construire de nouvelles armes ou bien pour asservir un peu plus la population… »
« AYIOA 1 » : « Des cinglés… »
« E IXOO 7 » : « Heureusement qu’ils ont un excellent thon rouge sur leur planète… Un vrai régal… La seule distraction que l’on a, mis à part écouter leurs musiques, c’est de se cuisiner de temps en temps une bonne tranche de thon… »
« AYIOA 1 » : « D’ailleurs, j’attends avec impatience mon prochain séjour sur la Terre… J’ai repéré en Corsica-bella-tchi-tchi un nouveau restaurant qui est spécialisé dans sa préparation… »
A ce moment-là, le signal d’alerte « niveau orange » retentit au QG de la station spatiale. Les deux UMMO vérifient les écrans de contrôle et s’aperçoivent que la « Gauloisie » vient de passer en niveau d’alerte. Ils prennent connaissance de l’analyse faite par le robot de surveillance.
« E IXOO 7 » : « C’est pas possible !... Une alerte atomique sur la Gauloisie !... Le président François III vient de prendre la décision de déclencher le feu nucléaire sur la Coupole en carbone-carbone que nous venons de leur livrer !... »
« AYIOA 1 » : « Une coupole toute neuve, garantie tous risques pendant 10.000 ans !... »
« E IXOO 7 » : « Notre meilleur modèle !... Trois kilomètres de diamètre pour une épaisseur de 30 mètres !... »
« AYIOA 1 » : « C’est démentiel !... Qu’est-ce qui lui prend ?... »
« E IXOO 7 » : « Apparemment, c’est sur demande « Jack-Ouille », l’ancien président, qui a un compte à régler !... »
« AYIOA 1 » : « Quand je pense qu’on a réussi à la placer contre une livraison annuelle de 500 tonnes de thon rouge pendant 300 ans !... »
« E IXOO 7 » : « Bien obligés !... Depuis le temps qu’on braconnait le thon rouge… Les Terriens avec leurs satellites de surveillance océanique auraient fini par nous prendre en flagrant délit !... »
« AYIOA 1 » : « Je sais bien !... Pas envie de voir arriver la Police galactique !... Le braconnage est absolument interdit sur les planètes en développement et les autres !... »
« E IXOO 7 » : « Et puis les ῝Poulets de l’Espace῝ c’est vraiment les derniers à rigoler !... »
« AYIOA 1 » : « En attendant, on va rapatrier nos frères qui sont sur la Terre pour les mettre à l’abri »
« E IXOO 7 » : « Et puis, il faut prévenir le Conseil cantonal galactique par le prochain départ vers UMMO d’un OAWOOLEA UEWA OEMM via le tunnel de Idrss… »
« AYIOA 1 » : « Les Terriens vont encore avoir droit à une augmentation des visites d’OVNI comme à chaque fois où ils ont été proches du conflit nucléaire… »
Dans un coin paisible du Pays-de-Caux, au moment du dessert, le téléphone sonne.
« L’Ami-râle Pad-Ock »: « A l’eau ?... »
- « C’est le président… Je viens de voir « Jack-Ouille »... Vous embarquez dès que possible sur le Charles de Gaulle… Préparez-vous à déclencher le feu nucléaire sur la Coupole mafieuse de Bercy !... »
« L’Ami-râle Pad-Ock » : « Le feu nucléaire sur la coupole ?... »
- « Oui !... »
« L’Ami-râle Pad-Ock » : « Bien monsieur le président !... »
L’Ami-râle raccroche, profondément secoué. Tout le monde a compris. Un silence de plomb s’installe dans le salon du Château de Moulinville.
(1) Le niveau 650 c’est 65.000 pieds ou encore 19 km d’altitude tandis que le niveau 900 c’est 27 km d’altitude.
(2) Voir le chapitre ῝Entrée dans la légende῝ du roman ῝Au Nom du Père῝ de « I-Cube »
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Aïe aïe aïe !
Ca promet si les ricains pensent que leurs alliés gaulois se font tailler en pièces atomiques...
On est bon pour un tir préventif sur tout le reste de la planète !
Rédigé par : I-Cube | 21 janvier 2014 à 18:49
@ I-Cube
C’est bien l’un des problèmes que j’aborderai probablement.
Pour l’instant, j’en suis à montrer comment un président d’une « Raie-Pue-Blik-Bananière » peut déclencher le feu nucléaire parce qu’il est manipulé.
Rédigé par : JEAN-CHARLES DUBOC | 22 janvier 2014 à 11:06