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septembre 2014

Une grève des pilotes de mauvais augure…

 

Dans la Rome antique, le vol et le chant des oiseaux étaient interprétés par les Augures comme autant de présages d’événements à venir.

Ces devins avaient un fort pouvoir.

Ils étaient les interprètes de la volonté de Jupiter et devaient être consultés avant de partir en guerre, de définir l'emplacement d'un temple, de désigner un citoyen pour une fonction politique.

Deux mille ans plus tard, les Augures ont changé : ils sont économistes, politiciens, blogueurs, ou simples citoyens à l’esprit critique, et ils observent le vol d’énormes oiseaux d’aluminium dans le ciel !...

Ce sont nos avions de ligne qui permettent à tous ceux qui le désirent, ou presque, de se rendre à un autre point de la planète en quelques heures.

L’une des plus grandes révolutions des temps modernes !...

En 2013, la flotte mondiale était de 17.740 avions. Elle doit passer dans les vingt prochaines années à 36.000 appareils : il sera nécessaire de former pendant la même période 533.000 pilotes dont 216.000 pour l’Asie !...

Si les pilotes « d’Air Transe » en ont « ras le bol » de leur compagnie, ils pourront toujours démissionner et aller travailler un peu partout, au même salaire, mais avec des charges sociales et des impôts sur le revenu bien plus faibles…

La flotte d’Air France est composée de 350 appareils et la compagnie a transporté près de 77 millions de passagers en 2013.

La productivité des pilotes est exceptionnelle.

A titre personnel, en 20 ans d’activité, en tant que copilote sur B727 et B737, puis de commandant de bord sur A320 et B747, j’ai transporté près de 500.000 passagers.

Il faut dire que le nombre de passagers transportés dans une carrière grimpe allègrement lorsque les avions embarquent 350 passagers, ou même 550 avec un B747/300 comme j’ai pu le faire sur un retour des Antilles !...

 

La grève de septembre 2014 est de mauvais augure !...

En effet, l’Augure des temps modernes que je suis, prévoit de très violentes perturbations sociales, et pas seulement pour le transport aérien, pour les mois et les années qui viennent !...

J’ai observé le vol des oiseaux d’aluminium de la compagnie nationale, puis le comportement « d’Alex », les revendications des pilotes ainsi que la situation et l’économie du transport aérien international et je dois avouer que j’ai vu des présages bien funestes pour l’avenir.

Tout d’abord, il faut souligner que la situation économique de notre pays, et en particulier le poids des charges sociales sur les entreprises sont les principales causes de la grève des pilotes.

Ne cherchez pas d’autres causes à la crise actuelle et au refus des pilotes d’accepter la création « d’usines à gaz » pour améliorer la productivité !... Elles sont vouées à l’échec !...

Il suffit, pour rendre compétitifs les équipages Air France, de baisser les charges sociales jusqu’au « moins-disant » européens car nous sommes les champions du monde des prélèvements sociaux !...

Ainsi, un copilote qui coûte à l’entreprise 70.000 euros par an, en incluant les charges patronales, va voir ce coût total subir un prélèvement de 63 % !...

Aux Pays-Bas, d’après le site « Perdre la raison », les prélèvements sociaux sont de 24 %  !...

Avec un tel différentiel de charges, aucune compagnie aérienne française ne peut faire face à la concurrence dans le domaine du « Low-Cost ».

D’où la tentation pour Air France d’employer des pilotes dans les autres pays européens. Mais cela implique aussi que toutes les cotisations sociales des pilotes de ligne, qui cotisent beaucoup, partent à l’étranger. J’ai calculé que pour un millier de pilotes embauchés à l’étranger, c’est environ 50 millions d’euros de perte annuelle pour la Sécu !...

Mais, si le projet a été abandonné sous la pression des pilotes, cela ne signifie pas que les problèmes de surcoût des charges salariales de la compagnie nationale ont été résolus !...

Loin s’en faut !...

En fait, la véritable solution réside dans une baisse importante des prélèvements sociaux dans notre pays de façon à être tout à fait concurrentiels avec nos voisins européens.

Mais, allez-vous me dire : « Mais comment combler une telle perte de revenu pour la Sécurité Sociale  ?... »

Et bien tout simplement en ayant un peu d’imagination, en innovant et en faisant surchauffer s’il le faut les ordinateurs de Bercy car il est souhaitable d’étudier une nouvelle voie dans le domaine des cotisations sociales !...

J’ai retenu l’idée de la création de deux nouvelles cotisations qui sont la Cotisation sociale sur les produits manufacturés (CSPM) et la Cotisation sociale sur les matières premières (CSMP).

Il suffit de cliquer sur les liens pour en savoir plus !...

Le ministère des finances dispose des recettes des douanes afin de faire rapidement une simulation, et voir de combien on peut réduire les charges sociales.

Pas très compliqué !...

Evidemment, il faut encore redresser les comptes du pays et surtout diminuer les besoins d’un Etat très dépensier !...

On pourrait par exemple payer les députés et les sénateurs au SMIC !...

L’économie serait d’environ 100 millions d’euros chaque année.

Ils auraient bien sûr l’obligation de pointer s’ils veulent toucher leurs indemnités de présence !...

 

Mais revenons à la grève des pilotes de lignes, ces « Privilégiés », ces « Tout pour ma gueule » (TPMG), encore surnommés les « Seigneurs de l’Atlantique » pour ceux qui sont sur long-courriers !...

Cela fait plus de dix ans que je suis en retraite et je m’étais promis de ne pas intervenir pendant cette grève !...

Et puis, le premier commentaire désobligeant a été lancé par Jean-Christophe Cambadélis, le premier secrétaire du PS, qui a jugé la grève « Hors de propos quand on connaît la situation des personnels d’Air France », ce qui se résume en une phrase : « À bas les privilèges !... ».

C’est là où j’ai commencé à me dire que ça allait mal se passer, surtout que j’ai un dossier sur la corruption des dirigeants socialistes qui est connu de beaucoup de monde, notamment dans les Armées.

Et j’ai alors commencé à intervenir sur le détournement, par François Mitterrand, des 3,5 milliards de dollars des indemnités de la guerre du Golfe attribuées à la France par le Koweït, l’Arabie Saoudite et les Emirats arabes unis en 1991/92 !...

Le dossier est assez complexe, mais, pour vous assurer de sa réalité, il suffit de prendre connaissance de l’article du New York Times du 8 septembre 1992 qui précise que : « The report, released at a central bankers' meeting in the United Arab Emirates, said that in addition, the governments of Saudi Arabia, Kuwait and the gulf emirates made $84 billion in direct payments to the United States, Britain and France for military expenses.».

Traduction : « L’information relâchée à une réunion de banques centrales aux Emirats Arabes Unis, dit que, en plus, les gouvernements d’Arabie Saoudite, du Koweït et des Emirats du Golfe, ont versés 84 milliards de dollars en paiement direct aux Etats-Unis, à la Grande Bretagne et à la France pour les dépenses militaires ».

Ainsi la France a reçu des milliards de dollars, mais lorsqu’une association de militaires en retraite demande à Christine Lagarde, Ministre de l’Economie, des Finances et de l’Industrie, des explications sur la rumeur qui monte dans les unités au sujet de la disparition de ce fonds et bien on répond qu’il n’y a rien dans les comptes du ministère des finances !...

Pour faire bonne mesure, Hervé Morin, a répondu lui aussi qu’il n’y avait rien dans les comptes de la Défense !...

Ahurissant !...

De qui se moque-t-on ?...

Le New-York Times raconterait-il n’importe quoi ?...

Les documents sont téléchargeables sur :

                             
 
                                                                                               
     

                                                                                                                                                     

     

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Ces fichiers expireront le 28 décembre

   

 

Le dossier complet est disponible à la rubrique « Indemnités de la guerre du Golfe ».

C’est une affaire horrible car l’opération « Division Daguet » a rassemblé près de 18.000 militaires et a nécessité l’envoi de nos soldats dans des zones polluées par des particules d’uranium appauvri et par une multitude de produits toxiques.

Ces différents poisons pour le corps ont provoqué chez environ 25 % à 30 % des anciens combattants un ensemble de pathologies dont des lésions neurologiques irréversibles et des décès.

C’est le « Syndrome du golfe » qui toucherait, si on s’en tient aux statistiques américaines, près de 3.000 à 4.000 de nos anciens combattants !...

Une situation absolument scandaleuse quand on sait que beaucoup de nos soldats sont handicapés et n’ont touché aucune indemnités alors que des « Mafieux roses » ont dérobé des milliards !...

L’affaire est très largement connue dans les armées et les associations d’anciens des OPEX (Opérations Extérieures) ont commencé à remuer sérieusement, à un tel point que des officiers supérieurs ont imaginé que cela irait mieux avec un « Putsch des colonels » !...

On en est arrivé à ce point !...

L’affaire du détournement des indemnités de la guerre du Golfe n’a jamais été pardonnée par l’Etat-major des Armées et maintenant c’est l’ensemble des militaires qui grogne, et pas seulement pour ce détournement de fonds.

Ce n’est jamais agréable de passer pour un « Pov’Kon » surtout lorsque l'on a pour métier de risquer sa vie pour défendre son pays !...

Mais le dossier « Syndrome du Golfe » va, peut-être, avancer car Estelle Grelier, députée à Fécamp, m’a promis d’écrire à Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense.

 

Aussi, en voyant une nouvelle fois une opération de désinformation envers les pilotes de ligne – d’ignobles égoïstes trop payés - je me suis dit que j’allais envoyer un ULTIMATUM à « Alex » !...

Et cet ultimatum est tout simplement le ῝billet῝ que j’ai mis en ligne le samedi 20 septembre 2014 : Grève des pilotes d’Air France : vers un plafonnement des cotisations sociales ?...

J’explique tranquillement dans cette note que c’est le différentiel de prélèvements sociaux sur les salaires qui condamne tout développement du « Low-cost » à Air France et que la solution se trouve dans le plafonnement des charges sociales.

Ce texte se termine par une allusion très directe au dossier du détournement des indemnités de la guerre du Golfe et à la possibilité pour le syndicat national des pilotes de ligne (SNPL), et pour le syndicat des pilotes d’Air France (SPAF), de le révéler au public par un simple communiqué de presse !...

Et là, « Alex » est en première ligne, car, comme ῝dircab῝ de Christine Lagarde, il ne peut que très bien connaître cette affaire puisque les fonds auraient été récupérés sur demande de Nicolas Sarkozy et placés dans le « Grand Emprunt 2010 ».

J’ai laissé cinq jours à « Alex » pour céder face à mes petits camarades !... Au-delà, je passais à l’étape suivante.

Apparemment le message a été plus ou moins entendu puisque le mercredi 24 septembre le projet TRANSAVIA EUROPE était annulé !...

Il est aussi vrai que les syndicats étaient férocement opposés à ce projet destructeur pour les pilotes, pour Air France et pour la Sécu !...

Malgré tout, « Alex » n’a rien lâché sur le contrat unique qu’il demande aux pilotes.

J’ai alors commencé, le jeudi 25, à mettre des commentaires sur le web où la menace d’une Divulgation par les pilotes est devenue de plus en plus précise.

La tension était telle durant le week-end du 27 septembre qu’il devenait inévitable que le scandale allait éclater au début de la semaine suivante, que ce soit à l’initiative des syndicats où du fait que mes statistiques s’envolaient…

C’était alors la Vème République qui explosait en vol !...

Les syndicats de pilotes n’ont pas voulu aller jusque-là.

Sympas !...

 

Malgré tout la situation est complètement bloquée à Air France et il n’y a quasiment aucune chance d’évolution.

Les pilotes ῝tiennent῝ « Alex » avec cette histoire de détournement de indemnités de la guerre du Golfe qui ῝pourrit῝ l’ambiance politique sans que les citoyens ne puisse le réaliser, par manque d’information.

De plus, les pilotes n’ont absolument aucune raison de céder à une direction qui leur propose de créer un deuxième contrat de travail pour Transavia France.

Autant leur demander : « Voulez-vous devenir pilotes-esclaves ?... ».

Rien ne vaut la liberté.

La vie ne vaut que d’être vécue debout !...

Les pilotes de ligne voyagent sur toute la planète et ils savent qu’ils font face à une structure politique qui favorise la prise de pouvoir par des mafieux et qu’il est hors de question d’accepter l’inadmissible !...

 

Les années 1990 ont atteint des sommets dans la crapulerie politique.

Souvenez-vous des rétro-commissions sur la vente des frégates à Taïwan en août 1991 dont le dossier est toujours classé « Secret défense » !...

Souvenez-vous de Pierre Bérégovoy, suicidé de deux belles de 22 LR, lui qui voulait lutter contre la corruption !...

Souvenez-vous de François de Grossouvre, suicidé à l’Elysée et qui s’est démis l’épaule avec le recul de son 357 magnum !...

Souvenez-vous de l’affaire « Pétrole contre nourriture » où le régime irakien a délivré à des personnalités françaises des bons de pétrole en contrepartie d'activités de lobbying pour la levée de l’embargo.

Souvenez-vous du scandale de l’extinction des 1.100 puits de pétrole en feu au Koweït où 22 milliards de dollars ont disparu – c’est l’affaire Basano/Ferrayé.

Souvenez-vous du suicide de Robert Boulin, ministre du travail de Giscard, retrouvé à quatre pattes dans un étang en regardant sa voiture, le visage tuméfié par les fractures !...

Souvenez-vous du journaliste Jean-Edern Hallier qui tombe de vélo au petit matin à Deauville, le visage dans le même état que celui de Robert Boulin !...

 

L’Augure que je suis, voit dans cette grève un indice supplémentaire à la très grave décomposition de la société.

Très curieusement, lors de la journée du mercredi 24, où j’ai passé une dizaine d’heures à communiquer sur le web, un faucon est entré par le porte ouverte de ma longère – il faisait très beau – puis il a fait le tour de la cuisine en se cognant au Velux pour ressortir.

Finalement, il a réussi à repartir par où il était entré.

Exceptionnel !... Ces prédateurs préfèrent les grands espaces plutôt que l’intérieur des maisons… Je n’ai pas encore trouvé l’interprétation adéquate à un tel évènement.

La grève des pilotes est, en fait, l’un des symptômes d’une SOCIÉTÉ MALADE comme on peut le constater tous les jours avec les scandales politiques qui apparaissent en continu et des manifestations parfois violentes : les perceptions qui brûlent, les manifestations de « Sans-dents », de « Bonnets rouges », de « Tondus », etc…

Les pilotes de ligne viennent de s’y mettre !...

La crise monte progressivement, et les citoyens sortiront dans la rue lorsque les finances publiques seront tellement dégradées qu’il faudra baisser de 10 % à 15% les salaires et les retraites des fonctionnaires.

Encore deux ans de dégringolade et nous y serons !...

Cela nous mène à une crise terrible au deuxième semestre 2016, à moins d’un évènement imprévu d’ici-là.

 

Tout cela me donne envie d’en faire un bouquin, puis de m’exiler en Irlande, le paradis des écrivains (12% de taxes), pour fuir la fiscalité mais aussi pour fuir la montée de Marine « La Peine » qui ne nous promets rien d’autre qu’une dictature policière et militaire avec une faillite totale du pays !...

 

La France mérite mieux.

 

Jean-Charles DUBOC

 

 

Note précédente : Grève des pilotes d’Air France : vers un plafonnement des cotisations sociales ?...

 

Note suivante : Grève des pilotes : le différentiel de charges sociales avec l’Allemagne et les Pays-Bas

 

 

 

 

 


Grève des pilotes d’Air France : vers un plafonnement des cotisations sociales ?...

 

Le Syndicat national des pilotes de ligne (SNPL) et le Syndicat des pilotes d’Air France (SPAF) ont lancé un appel à la grève pour le lundi 15 septembre 2014.

Cette grève est extrêmement bien suivie avec un taux d’annulation des vols de 85% d’après le SNPL.

Ce qui en dit long sur le « ras le bol » des pilotes qui font des efforts de productivité depuis des années sans voir une fin aux exigences continues de la direction d’Air France.

Les propositions de la compagnie nationale visent à développer l’activité de TRANSAVIA, dont le siège est à Amsterdam, afin de faire face au développement des compagnies aériennes « low-costs ».

Pourquoi aller travailler aux Pays-Bas ?...

En fait, la réponse est très simple.

C’est juste une histoire de cotisations sociales !...

D’après le site « Perdre la raison », on constate qu'en matière de cotisations sociales pesant sur le revenu, la France est championne du monde des prélèvements car, pour un salaire brut de 78.000 euros – un salaire de copilote - les cotisations sociales sont de 63% (22% en part salarié et 41% de part employeur) !...

Alors qu’elles sont de 24% aux Pays-Bas !...

Les prélèvements sociaux sur les salaires sont plus du double en France !...

Aussi, il est impossible pour la compagnie Air France de faire le poids face aux compagnies « low-costs » avec un tel taux de prélèvement sur les salaires.

La solution, logique pour la compagnie, est donc de développer son activité aux Pays-Bas et de casser les contrats en cours à la compagnie Air France pour espérer être concurrentielle face à EasyJet, RYANAIR et tant d’autres compagnies.

Une course sans fin qui ne peut que condamner la compagnie nationale à moyen terme, car demain ce sera le tour des long-courriers.

 

Le mécanisme du détachement social est parfaitement au point puisqu’il permet, depuis des lustres, de cotiser là-bas et de se faire soigner ici (ou ailleurs d'ailleurs) puisque c'est prévu par les règlements européens depuis bien longtemps.

Par exemple, une grande compagnie pétrolière embauche en Suisse ses cadres supérieurs et les détache à son siège de la Défense.

Ce qui donne des cotisations Suisse, des fonds de pension Suisse, des avantages Suisse, mais un domicile à Paris avec des soins sur place pour la famille et les ayants-droit.

Il y a juste une demande à faire, parce que le détachement est obligatoirement de 3 mois à 2 ans.

Une fois l’habitude prise, le détachement peut être porté à 3 ans, renouvelable une seule fois.

Depuis qu'ils ont découverts le système, les personnels de cette compagnie pétrolière en sont à négocier leur 4ème ou 5ème renouvellement de détachement, et cela fait de 12 ans que ça dure…

Il est vrai qu’ils savent se faire entendre !...

A titre d’information, l'organisme d'Etat qui accorde ce type de détachement est le « Centre des liaisons européennes et internationales de Sécurité sociale » (CLEISS), rue de la tour des dames, Paris 9ème.

C'est un agent cadre A qui a délégation de signature, sans même que sa directeur ne lui demande des explications ni même la moindre justification de ses décisions.

Le système marche tellement bien qu’elle fait des conférences dans le monde entier (mais attention : elle dit avoir peur en avion !…).

Comme vous le voyez, la mise au point d’un système de détachement performant est la meilleure solution pour casser le coût des charges sociales et faire face à la concurrence !...

Un tel système permet de briser les contrats sociaux (parfois les êtres humains) et d’expatrier les salariés dans des conditions avantageuses pour une entreprise, mais pas du tout pour la Sécurité Sociale !...

 

Car réfléchissons un peu.

Lorsque la compagnie Air France demande une rupture de contrat à ses pilotes afin qu’ils puissent être embauchés à TRANSAVIA, à Amsterdam, dans le but d’avoir moins de charges salariales, c’est une PERTE TOTALE DE RECETTE POUR LA SECURITE SOCIALE !...

Le pilote embauché aux Pays-Bas va payer ses cotisations sociales dans ce pays et rien ne va rentrer dans les caisses de notre « Sécurité sociale à nous » !...

Aussi, c’est une opération destructrice pour la compagnie Air France, mais aussi pour la Sécurité sociale !...

En fait, LA SOLUTION RÉSIDE DANS LE PLAFONNEMENT DES COTISATIONS SOCIALES POUR LES HAUTS SALAIRES, parce qu’au moins, là, même s’il y a une diminution des prélèvements, il en reste une part (environ la moitié) qui reste chez nous !...

Ce qui est quand même mieux que rien du tout !...

Evidemment, avec des dirigeants complètement « démagos », il n’y a pas de danger que l’on plafonne les cotisations sociales pour les hauts salaires !...

 

Sauf…

Sauf, si mes petits camarades pilotes utilisent le « missile thermonucléaire politique » qu’ils ont sous le coude !...

Et ce « missile thermonucléaire politique » n’est rien d’autre que le détournement, par François Mitterrand, des 3,5 milliards de dollars des indemnités de la guerre du Golfe attribuées à la France, en 1991, par le Koweït, l’Arabie Saoudite et les Emirats Arabes-Unis.

Cette affaire est largement disponible sur le web, notamment sur le site « Alerte éthique » (300 à 400 connexions/jour) que j’ai créé pour dénoncer la corruption qui gangrène notre pays et détruit progressivement l’économie et l’Etat.

Les principaux documents relatifs à cette affaire sont :

1/ Les lettres envoyées aux différents ministres des finances depuis juin 1998 ;

2/ La demande de prime d’aviseur adressée à Laurent FABIUS le 13 juin 2000. Cette demande de prime lève la prescription des dix ans ;

3/ Un article du New York Times de septembre 1992 qui précise que les banques centrales du Koweït, des Emirats arabes Unis et de l’Arabie Saoudite, ont viré aux USA, à la Grande Bretagne et à la France, un montant total de 84 milliards de dollars au titre des frais de guerre de l’Opération « Desert Storm » ;

4/ La réponse du chef de cabinet de Christine LAGARDE à l’Union nationale des sous-officiers en retraite (UNSOR) qui spécifie qu’il n’y a rien à ce sujet dans les archives du ministère des finances ;

5/ La réponse de Hervé MORIN, ministre de la défense, qui estime que les allégations ne sont pas fondées ;

Le fait que le New York Times diffuse une information selon laquelle plusieurs milliards dollars ont été virés à la France alors qu’il n’y a rien dans les comptes du ministère des finances et du ministère de la défense établit la réalité de ce détournement de fonds !...

 

Et c’est fort gênant pour le pouvoir en place, car TOUS savent…

Même, d’ailleurs, le PDG d’Air France, Alexandre de Juniac, qui, de 2009 à 2011, a été le directeur de cabinet de Christine Lagarde, ministre de l'Économie, de l'Industrie et de l'Emploi.

A ce poste, il a été naturellement informé de ce détournement de fonds représentant, en valeur actuelle, 7 milliards 600 millions d’euros (le prix d’une centaine d’AIRBUS 320 NEO).

En effet, trois courriers ont été envoyés à Christine Lagarde à ce sujet : le premier est en date du 20 juin 2008, le second du 14 août 2009 et le troisième du 12 mai 2010.

Aucune réponse n’a été donnée à ces lettres qui accusent un Président de la République d’avoir détourné des milliards en toute impunité !...

Aussi, compte-tenu de la large diffusion de cette affaire, et des risques de passer en « phase explosive », le public va être, vraisemblablement, très surpris dans le courant de la semaine prochaine.

 

Car les syndicats pilotes peuvent faire un communiqué de presse sur cette affaire quand ils le veulent.

Dans ce cas-là, c’est la Vème République qui explose en plein vol !...

Aussi, après un temps de réflexion, dans le milieu de la semaine du 22 septembre, logiquement – car tout cela n’est qu’une analyse logique et humaine de la situation - les ministres concernés n’auront pas d’autre choix que d’annoncer que, finalement, les cotisations sociales des pilotes de ligne seront plafonnées dans l’intérêt même de la compagnie Air France et de la Sécurité Sociale !...

Et ce sera aussi valable pour les pilotes long-courriers !...

A suivre !...

 

Jean-Charles DUBOC

Commandant de bord B747/200 (Retraité)

 

 

Note suivante : Une grève des pilotes de mauvais augure

 

 

 


Affaire Basano/Ferrayé (V)

 

Comment découvrir 8 milliards de dollars sur un compte à son nom ?...

 

L’extinction des puits de pétrole en feu au Koweït en 1991 a été l’occasion d’une énorme arnaque financière à 22 milliards de dollars !...

C’est l’époque où nos dirigeants ont perdu totalement la mesure des choses dans des affaires de corruption inimaginables ; des magouilles crapuleuses toujours cachées aux Français par une presse et des médias plus que jamais complices d’un système politique devenu mafieux.

Car il y a aussi l’affaire des rétro-commissions sur la vente de frégates à Taïwan et surtout le détournement des 3,5 de dollars d’indemnités de la guerre du Golfe virés à la France par le Koweït, l’Arabie Saoudite et les Emirats Arabes Unis.

« Le pouvoir rend fou, et le pouvoir total rend totalement fou !... » avait déjà constaté Platon il y a deux millénaires…

Il faudra révéler un jour ou l’autre ces affaires aux citoyens et changer un système politique adapté à une personnalité comme celle du général de Gaulle mais en aucun cas à des fats cyniques, manipulateurs et corrompus comme le sont nos dirigeants depuis trois décennies.

La révélation au public se fait progressivement sur le web et on peut se demander combien de temps encore de telles affaires pourront rester cachées à une époque où les scandales se succèdent les uns aux autres.

Il faudra alors changer les « règles du jeu » et instituer un nouveau type de gouvernement notamment en développant le recours au référendum d’initiative populaire et en tirant au sort une partie des représentants du peuple (ex : les sénateurs) de façon à casser pour de bon l’hégémonie des partis politiques.

Mais, pour l’instant, l’information sur ces affaires inadmissibles continue à circuler sur le web et vous trouverez aujourd’hui une reprise d’un chapitre du roman « Mains invisibles » où l’auteur, « I-Cube », raconte d’une manière romanesque comment les fonds disparus ont été récupérés un peu partout sur la planète sur les comptes de « nos chers dirigeants »…

Mais la réalité dépasse bien souvent la fiction et on peut imaginer que ce qui s’est passé est, parfois, bien pire que ce qui est raconté.

Connaitrons-nous un jour la vérité ?...

Aurons-nous droit à un grand déballage ?...

Parce que la droite a beaucoup à dire car les fonds auraient été, en partie, récupérés et placés dans le « Grand Emprunt 2010 » encore dénommé « Programme d’investissements pour l’avenir ».

En raison de la déconsidération toujours croissante des dirigeants politiques le peuple descend régulièrement dans la rue et on se demande jusqu’où cela va aller…

A mon humble avis, nous sommes en situation « pré-révolutionnaire », comme en 1787 ou 1788, et les citoyens vont vouloir se débarrasser, comme il y a deux siècles, de  groupes mafieux sans scrupule, arrogants, méprisants, s’accaparant les richesses : les partis politiques au pouvoir depuis 30 ans...

Si le pire arrive, il faudra proposer des solutions réellement novatrices, démocratiques, afin de sortir « par le haut » d’une crise terrible et d’éviter l’instauration d’un système totalitaire d’extrême-droite.

C’est un peu l’ambition de ce blog.

 

Jean-Charles DUBOC

 

 

samedi 6 septembre 2014

Chapitre XXXII

Avertissement : Ceci est un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est purement, totalement et parfaitement fortuite !

 

Massage de Basanix.

 

Entre-temps, « Charlotte » prend le temps de joindre, courant avril le dénommé « Basanix ».

C’est la deuxième fois qu’ils se parlent, la première rencontre ayant eu lieu dans les bureaux de Maître Lardco, l’avocat de Basanix à l’époque de la récupération des 35 milliards d’euros, aujourd’hui député « Bleu-blanc-rouge » qui éructera plus tard à l’idée qu’un détachement de l’armée algérienne défile sur les Champs-Élysées au prochain 14 juillet.

Lui au moins, il est clair et précis, même s’il ne parle pas du même détournement, mais bien de l’escroquerie sur le brevet FERRAYE, le second en 1995.

 

« Début mars 1991, Serge LEBOUR, Fouad HOBIONE et Victor GERBANE organisent une réunion à Paris pour présenter à FERRAYE le conseiller de l’Émir. À cette réunion assiste également un dénommé Al ADADA-SANI, ingénieur de la KOC, cousin de la famille Al BADAIR et Al SINGER.

Suite à cette réunion, la méthode FERRAYE va être immédiatement mise en place (avant même les dépôts des brevets qui seront faits au mois d’avril et mai 1991) : il suffit de regarder le JT d’Antenne 2 du 7 avril 1991 http://www.ina.fr/video/CAB91016867  pour le vérifier !

(Note de l’auteur : Vidéo devenue indisponible depuis, censurée par l’autorité…)

Les personnes citées nous les retrouvons également dans l’autre escroquerie.

Lors de cette réunion, il est utile de rappeler qu’aucun prix n’avait été avancé pour payer l’invention de FERRAYE.

  C

Le 30 juillet 1993, la Kuwait Oil Company (K.O.C) dépose auprès de la Commission d’Indemnisation des Nations Unies, une demande d’indemnisation des frais afférents à la maîtrise des éruptions de puits pour 951.630.871 dollars.

Le 15 novembre 1996, le Conseil d’Administration de la Commission d’Indemnisation des Nations-Unies, dans le cadre du programme humanitaire « Pétrole contre nourriture », après vérification, accorde à la K.O.C une indemnité de 950.715.662 dollars pour les frais afférents à la maîtrise des éruptions de puits.  

La KOC est une filiale contrôlée à 100 % de la Kuwait Petroleum Corporation (KPC) dont l’État du Koweït est le seul actionnaire (…)

On peut raisonnablement penser que les 951.630.871 dollars ont été réglés aux différentes compagnies qui ont participé à l’extinction des puits dont la société Hors-Well. Et les 22 milliards, somme qui correspond à mon devis sur la base de 750 puits en feu, au ministre de l’industrie…

 

Lors de la 37ème session du Conseil d'Administration de la Commission d'Indemnisation des Nations-Unies, considérée comme « un organe de vengeance américaine contre l’Irak », la compagnie pétrolière koweïtienne réclame 22 milliards de dollars ! Le fonds d'indemnisation est financé par un prélèvement de 30 % sur les recettes du pétrole irakien.

Préalablement à la réunion du 27 septembre 2000, le Ministre du Pétrole du Koweït a rencontré le 1er Ministre français d’alors et de sa « majorité plurielle », à Matignon. Et, sur proposition de la France, 15,9 milliards de dollars ont été consentis à une compagnie pétrolière koweïtienne ; et le Conseil de sécurité a accepté de réduire de 30 % à 25 %, le taux des prélèvements qui seront effectués à l'avenir sur les revenus de Bagdad pour indemniser le Koweït.

Pour ces 23 milliards l’explication est assez claire et compréhensible…

 

Le 14 juin 1991, avec FERRAYE et TILIER nous recevons suite au contact téléphonique avec Isam Al SINGER que j’avais pu avoir grâce à Gérard VALITTE qui avait passé plus de 20 ans au Koweït, ses cousins le Général Al BADAIR et l’ingénieur de la KOC Al ADADA-SANI, le même qui avait assisté à la réunion du début mars 1991.

Suite à cette réunion, j’envoie à Isam Al SINGER un devis de 22 milliards de dollars. En sa qualité de directeur de la NBK, il va très vite comprendre comment il va pouvoir obtenir une « partie gratuite ».

Étant donné que l’Émir a pu constater l’efficacité des systèmes FERRAYE, il lui sera facile de lui vendre le prix de 22 milliards de dollars pour les payer, somme qui ne représente en fait que 10 % de la perte de 220 milliards si les opérations d’extinction avaient duré plus de 5 ans comme le prévoyait le spécialiste en la matière, Red ADAIR.

Je pense qu’il ne sera pas très difficile de découvrir qui est l’animateur initial de tout ce trafic !

 

Avec une petite bande de « copains » il va dupliquer les 22 milliards de dollars en jouant au « Jeu de Banques » :

– Un devis de 22 milliards US$, envoyé par BASANIX ;  

– Des visas, des passeports ;

– Un vrai-faux contrat PBE OIL SA signé le 15 novembre 1991 sur lequel apparaît notamment le nom de BASANIX.

Le seul petit problème est que la société PBE OIL SA a été mise en liquidation judiciaire le 9 avril 1989 !

– Un fonds souverain de 22 milliards USD viré d'un seul coût !

– Des comptes ouverts dans différentes banques : dans le cadre de ses investigations notamment avec le fils du Ministre du Pétrole du Koweït de l’époque, Daniel LAVASSEUR avait retracé la piste de l’argent en démontrant que c’était la « Banque Nationale Parisienne » Los Angeles (USA) via la « Banque Nationale Parisienne » Luxembourg, qui a participé en 1991 aux transferts des 23.005.341.300 US$ avant leur éclatement en utilisant de nombreuses sociétés off-shore suivantes : IBAC SERVICE PTE LTD (Singapour), TEXRICE NV (Curacao) INCOME MANAGEMENT, REALITY INVESTORS GROUP, INCOME PROSPECTIES, CITY INVESTMENT.

 

Et on comprend mieux pourquoi :

– « Banque Nationale Parisienne – PARIHAUT » a été choisie dans des conditions plus que surprenantes pour gérer les fonds du programme humanitaire « Pétrole contre Nourriture » notamment pour verser les 15,9 milliards d’US$ à la K.O.C ;

- « Banque Nationale Parisienne – PARIHAUT » a été la seule banque européenne à être autorisée à ouvrir en 2005 une succursale au Koweït ;

« Banque Nationale Parisienne – PARIHAUT » est la seule banque à faire partie du consortium créé par le Groupe « Card-lyle » dont John Biker et Madelon Hall-Bright (représente des États-Unis à l’ONU qui avait fait savoir qu’elle n’a nullement confiance dans la législation bancaire suisse ; le secrétaire général de l’ONU retiendra « Banque Nationale Parisienne – PARIHAUT » pour la gestion du compte séquestre), sont les fleurons, pour le rachat de la dette irakienne en vue de son règlement au plus haut niveau possible (la dette s’élève à 57 milliards de dollars dont 27 milliards de réparation).

Or, selon des documents confidentiels, les sommes collectées seront versées au fonds géré par le consortium Card-lyle – « Banque Nationale Parisienne – PARIHAUT » qui prélèvera au passage 2 milliards de dollars de commissions sur le dos, une fois de plus, du peuple irakien.

Officiellement, Monsieur Rackchi a répondu négativement à Monsieur John Biker ; mais l’Administrateur et Président de « Banque Nationale Parisienne – PARIHAUT » (suisse) s’appelle Georges Cardan-de-Chourcelle, le cousin de l’épouse de Rackchi… (cf. éditions du 12 octobre 2004 : The Nation et Guardian, « démissionné » depuis en juillet 2014).

 

Pour participer à ce détournement de 23 milliards $, les Banques ont utilisé la technique des comptes « Banque écran » dans le cadre du fonctionnement des comptes « nostri » : procédé par lequel, un investisseur, par souci de discrétion, fait réaliser pour son compte, mais par une banque et au nom de celle-ci, une opération financière. Ce système qui suppose un secret bancaire TOTAL…, implique, si l’opération est importante, le risque qu’elle ne soit pas retrouvée dans les bilans de la banque si ceux-ci sont publiés. »

 

Nanar Tapis aura été victime d’un procédé similaire quand il a dû revendre rapidement sa société ADADAS, pour devenir ministre de la Ville de Thiersmirant.

Et le procédé existe bel et bien quand il s’agit de ne pas dévoiler trop vite une tentative d’OPA hostile d’une société sur une autre en dépassant les divers seuils qui imposent aux opérateurs de communiquer sur les marchés sur leurs prises de participation.

Quant aux comptes « nostri », ils peuvent « disparaître » à l’occasion de la publication de comptes des banques, à travers les engagements « hors-bilan », à chaque échéance de publication trimestrielle, d’avec des filiales « off-shore » qui ne sont pas consolidées.

 

« Questions : l’Émir de l’époque, décédé depuis, celui qui a donné l’ordre de virer les premiers 22 milliards $ était-il au courant du montage d’Isam Al SINGER ?

Le nouvel Émir a-t-il bénéficié du montage ?

 

Daniel LAVASSEUR a déclaré le 13 mai 2000 à Alain Désart et Frédéric Müne, journalistes à l’Est Républicain : « Il y avait effectivement un dossier et un système de manipulation financière dont ont profité des princes koweïtiens et d’autres… Par un savant mécanisme de comptes bancaires et de crédits imaginaires, des milliards de dollars ont circulé à la faveur de la juteuse après-guerre »

Lorsque les princes koweïtiens ont voulu récupérer les 23 milliards $, les Américains ont alors demandé que les ADER, ceux qu’Isam Al SINGER avaient désigné, signent les ordres de virement pour régulariser la situation.

D’où les conventions de cessions de droits litigieux préparées par les notaires et avocats en 1995.

Lors de cette réunion ils ont effectivement pu obtenir la signature pour 14.585.354.100 US$. Il reste les comptes de BASANIX pour 8.419.987.200 US$.

Question : qui a aujourd’hui un intérêt à conclure un accord transactionnel ?

Je pense que le maillon faible est Isam Al SINGER qui vient d’être nommé (le 16 février 2014) Président de la NBK. »

 

Par ailleurs, « dans un article du New York Times, du 8 septembre 1992, il est possible de découvrir que :

– « L’information relâchée à une réunion de banques centrales aux Émirats Arabes Unis, dit que, en plus, les gouvernements d’Arabie Saoudite, du Koweït et des Émirats du Golfe, ont versés 84 milliards de dollars en paiement direct aux États-Unis, à la Grande Bretagne et à la France pour les dépenses militaires (…) ».

– Sachant que, pour les USA, le coût militaire de la guerre du Golfe 1991 est de 61 milliards de dollars, et bien cela signifie qu’il y a eu, sur 84 milliards de dollars versés à la coalition, 23 milliards destinés à la Grande Bretagne et à la France.

Or, il apparaîtrait que ces 23 milliards n’aient pas été comptabilisés dans les comptes des États ! »

 

S’il pouvait en faire un petit courriel à transmettre ultérieurement à « Junior n°4 », ce serait très bien.

Ce qu’il accepte de faire à l’occasion de la mise en ligne d’un extrait de « Mains invisibles » sur le blog de « l’I-Cube ».

Après tout, Harrison cherchait à compléter ses informations relatives au personnel politique de son pays…

Et là, il a de quoi en faire des tonnes, si vérification faites, ces informations sont corrélées et fondées.

 

Basanix aura poursuivi sa quête des 8 milliards portés à son nom, par plusieurs biais et à travers divers circuits. Pour les retrouver cantonnés sur une banque canadienne, bloqués par le DEA, comme « n°4 » l’avait d’ailleurs indiqué, il y a plusieurs mois à Paul.

Informations qui se recoupent donc…

Et après ça, on s’étonnera que la justice américaine sanctionne si lourdement la « Banque Nationale Parisienne – PARIHAUT », dès la première étape de ses investigations et poursuites sur les transactions libellées illégalement en dollar avec des pays sous embargo…

Un bon prétexte pour récupérer plus que les commissions sur toutes ces opérations de « blanchiment » de détournements, effectuées au détriment des irakiens…

Plus de 8 milliards, n’est-ce pas le solde des montants bloqués au Canada ?

Et en plus, le Président américain aura eu l’occasion de répéter à son homologue français qu’il n’intervenait pas dans les procédures judiciaires de son pays.

Magnifique !    

Source : http://flibustier20260.blogspot.fr/2014/09/chapitre-xxxii.html