Grand emprunt 2010 Flux

Nouveau plan d’Investissement d’Avenir pour 56,3 milliards d’euros !...

 

Ça devient agaçant, à la longue…

Le plan d’investissement du quinquennat.

 

C’était l’une des promesses de campagne de « Jupiter », en parallèle de son programme d’économies : Lancer un vaste plan d’investissement d’avenir (PIA) pour « soutenir la croissance et accompagner les mutations économiques et sociales du pays ». Lundi dernier, c’était chose faite : On annonçait 57 Mds€.

Et « moi-même » de me bidonner tout seul dans mon vaste bureau avec vue sur la rive-gôche de la Tamise !

Non mais : Quand vont-ils arrêter de prendre les gens pour des kons ?

Soutenir la croissance, avec quoi ? Encore du pognon venu de nulle part qu’il faudra rembourser avec vos impôts ?

Non, non, pas du tout, vous allez voir…

« Jupiter » poursuit un autre objectif, très clair.

 

Car si on change les hommes et les générations, on ne change pas vraiment de pratiques, les anciennes, celles à « transformer ».

Assez fabuleux !

Et premier détail, car le diable se cache dans les détails, ce n’est pas 57 Mds€ mais 56,3 Mds€. Et pourquoi donc, me demanderez-vous ?

Parce que c’est « précis ». Et rappelez-vous, tout le monde tablait sur 50 milliards avant les annonces gouvernementales, c’est important car ce n’est pas ça en fin de compte.

Je vous la fais courte pour ceux qui n’étaient pas encore nés à cette époque reculée.

 

– Souvenez-vous de « Bling-Bling » (2007-2012), ou allez dans les livres d’Histoire vérifier mes dires : À peine élu, lui aussi nous balance dans les gencives un grand-plan de « relance de 26 milliards d’euros », avec un ministre-dédié à « la relance » : « Dévide-gens ».

Ce konnard-là, il nous a raconté sur tous les tons et partitions qu’avec les « effets-multiplicateurs-keynésiens », « c’est comme si il en faisait pour 100 milliards » pour la croissance. Et comme il était nul en arithmétique, d’expliquer que 26 x 3 (l’effet multiplicateur), ça fait 100 (et pas 78 comme l’indique cette pourriture de calculette-Windows : Ah, Bill Gates, soit donc maudit !)

Bon, rapidement, il fallait se rendre à l’évidence, ce plan qui devait être financé par l’emprunt – on se frottait déjà les mains en supposant pouvoir y souscrire personnellement avec quelques avantages fiscaux à la clé – n’a pas changé d’un iota le calendrier des émissions de l’Agence « Trans-Trésor » qui gère les emprunts étatiques.

Et d’ailleurs, on n’a rien vu du tout quant à la croissance (on pouvait espérer 2 à 3 % de mieux) et « Dévide-gens » a été sèchement viré un peu plus tard.

Dont acte…

 

– Puis, après la crise économique, « Bling-Bling » lance son « Grand-emprunt » en décembre 2009 (Loi de finances rectificative de mars 2010) destiné « à financer un plan d’investissement d’avenir » (PIA-1).

Une commission est même créée et coprésidée par deux anciens « premiers-sinistres » – « Juppette » et « Roro-Card » – chargée d’évaluer les besoins et de répartir la manne, jusqu’à ce que l’un et l’autre rendent leur tablier quand ils se sont rendus compte du comment était financé le « bidule ».

« Bling-Bling » n’y est pas allé de mains-mortes : 35 milliards d’euros alors que tout le monde attendait 100 Mds€ – même qu’on se frottait déjà les mains en supposant pouvoir y souscrire personnellement avec quelques avantages fiscaux à la clé –, mais une nouvelle fois, on n’a rien vu venir aux guichets des banques…

D’ailleurs, même sur les marchés, on ne sait pas trop à quoi ça faisait référence en termes de taux, de maturité, d’émission : Comme si ça n’existait pas, noyé dans un verre d’eau du tonneau des danaïdes de la dette publique « Gauloisienne ».

 

Le plus drôle c’est que celui-là était présenté comme ça : « – 13 milliards de remboursements attendus des banques au moment de l’effort de refinancement du début d’année. Une petite moitié du plan à 26 milliards… » (des mois précédents dont on ne savait pas où ils étaient : Cf. ci-dessus).

« – C’est un peu plus de 10 milliards de rachat de papiers arrivés à échéance effectué sur les marchés par l’Agence France-Trésor, depuis quelques semaines.

– Et ce n’est donc plus que 11 à 12 milliards à emprunter directement sur la place. »

Et ça n’avait inquiété personne en plus !

Tu penses : J’emprunte 35 pour payer immédiatement 10 (arrivés à échéance), j’encaisse 13 sur les 26 empruntés du plan de relance-foirée de « Dévide-gens » – là, je ne sais pas comment, puisque c’est de l’argent dû aux banquiers s’il a été emprunté, et pas l’inverse – et je rajoute 11 à 12 milliards mobilisés un peu plus tard sur les marchés…

Pour les universités et l’innovation, déjà…

Gag : C’était innovateur en soi de mélanger des choux avec des carottes, des débits avec des crédits !

 

Et attention, détail diabolique, il s’agissait d’un effort de seulement 7 milliards sur deux ans : T’explique comment 7 milliards sur 2 ans hors des taux d’intérêt de 15 % l’an, alors que les marchés étaient substantiellement 5 fois moins chers ?

Passons : Question foutage de gueule, on pensait avoir fait le tour…

Pas du tout, pas du tout.

Je suis probablement le seul à ne pas avoir avalé la pilule : De pareils contresens cachent forcément une « magouille inavouable ».

J’en ai d’ailleurs fait mon premier « Roman d’été » où je vous explique ni plus ni moins qu’il s’agissait de récupérer des fonds détournés par « Mythe-errant » 19 ans plus tôt, de façon la plus discrète possible, tout en remboursant 15 milliards de dollars prêtés, tout aussi discrètement, par les américains pour calmer l’émir Koweïtien qui s’était fait volé par le président « soce » du moment en 1991.

Et j’explique comment se fait « la magouille » avec un « petit montage » juridique comme j’aime à les pratiquer quand je suis au meilleur de ma forme.

Vous pouvez vérifier les taux de change de l’époque : On retombe sur ses pieds.

Même si vous aurez noté que je me suis planté quand même sur quelques « détails » qu’il a fallu que je remette le couvert dans un opus suivant.

 

– Et puis « Tagada-à-la-fraise-des-bois » reprend le flambeau en décembre 2013, année où il lance le « PIA-2 » de 12 milliards d’euros. Un tiers du premier, mais justement les « 11 à 12 milliards mobilisés un peu plus tard ».

Clair, non ?

Aux deux priorités du « PIA-1 », s’ajoutent alors les PME innovantes, les filières stratégiques de demain, le développement durable, l’économie numérique, la santé et les biotechnologies.

Et en septembre 2015, il annonce encore un « PIA-3 », doté de 10 milliards d’euros.

Là encore, d’où viennent ces fonds ?

Parce que tous ceux qui ont espéré pouvoir y souscrire personnellement avec quelques avantages fiscaux à la clé ont été une nouvelle fois « Gros-jean-comme-devant »…

Empruntés sur « les marchés » ? Que nenni, parce qu’on n’a pas bien vu le pognon dégouliner chez les récipiendaires putatifs.

Si, quand même, quelques dizaines de millions par-ci-par-là.

En fait il s’agit des « queues » les fameux « 11 à 12 milliards mobilisés un peu plus tard » qui ont eu le temps de « faire des petits » depuis 2010.

Simple, non !

 

– Et puis, summum du « foutage-de-gueule », le désormais « Éd-Fil-Lippe-le-retourneur-de-veste » qui en rajoute maintenant 56,3 avec grosso-modo les mêmes priorités (le détail satanique de plus, en passant).

Tu sais compter ? 26 + 35 + 12 + 10 + 56,3 = 139,3 Mds€ au total en trois quinquennats soit un peu moins de 7 % du PIB…

Et enfin, autre détail « satanique », ce décompte fait par notre « Ami-râle » Haddock qui a refait les comptes, au moins une semaine avant les annonces gouvernementales (tout était donc déjà plié ?) :

EXTRAIT du site de la CDC : « Doté de près de 57 milliards d'euros, le Programme d'Investissements d’Avenir (PIA), piloté par le commissariat général à l'Investissement, a été mis en place par l’État pour financer des investissements innovants et prometteurs sur le territoire, avec un principe de co-financement pour chaque projet.

Les 57 Md€ consacrés par l’État aux investissements d’Avenir ont été mobilisés en trois temps : en 2010, 35 Mds€ ont été dédiés à la première vague (PIA1) ; en 2014, le PIA a été renforcé et s’est vu allouer une enveloppe complémentaire de 12 Mds€ (PIA2) ; en 2016, 10 Mds€ supplémentaires ont été dédiés au PIA »

Ce qui donne : « 23 Mds€ confiés, 14,2 Mds€ engagés, 8 Mds€ investis » pour un total de 45,2 Mds€.

Autrement dit, il en reste.

 

Autour de 11,1… Et vous verrez qu’ils ressortiront peut-être « plus tard » à l’occasion des prochaines cessions des « participations de l’État », la vente des « bijoux de famille » que vous avez financés par vos impôts depuis des lustres.

C’est comme ça que ça va se passer, en revanche, je ne sais pas encore s’ils iront ou non à la réduction de l’endettement ou du déficit : À suivre.

Mais d’où vient donc tout ce pognon ? Noyés dans les levées de fonds de l’Agence-« Trans »-Trésor, qui gère les émissions pour votre compte, répondront la plupart.

Réponse facile et logique.

Mais comme les programmes – et besoins – sont calculés en amont et autorisés seulement par la loi de finances une ou deux fois dans l’année pour rester « transparent » sur les marchés qui s’organisent pour pouvoir y souscrire, et que ceux-ci (les programmes) ne varient pas beaucoup d’échéance en échéance, c’est que ce n’est pas la bonne réponse, puisque quand on en rajoute, ça ne se voit même pas.

Par conséquent, c’est que cet argent, il est déjà disponible d’une façon ou d’une autre dans les comptes de la CDC (qui sert de banquier à l’État).

Aussi simple que ça.

Et tout le reste, ce sont des « effets d’annonce » : Quel que soit le gouvernement, il reprend les mêmes fonds et les « réalloue », faisant mine d’activisme.

La preuve, se sont toujours les mêmes objectifs « prioritaires », parce que ce sont toujours les mêmes fonds…

 

Un ultime détail qui fait tâche : On devrait donc avoir 139,3 Mds€ en caisse, mais on empruntera quand même 24 Mds€ pour compléter l’enveloppe selon le calcul des « additions » ci-dessus, pour un total de 163,3 Mds€.

Or, il n’y a que 45,2 Mds€ en caisse si l’on en croit la CDC. Et 45,2 + 24 = 69,2, là où le programme annoncé est de 56,3 Mds€, soit un écart, un « manque » de 12,9 Mds€… là où on laissait croire à un « excédent » de 11,1.

Tiens ! 12,9 + 11,1 = 24, tout rond, justement ceux annoncés, comme par hasard.

Ça vous fait « souci » à vous aussi ?

Eh, c’est qu’ils n’y sont pas ! Ils sont dans la présentation de « Bling-Bling » de 2009.

Relisez ci-dessus : 13 de remboursement (de « Dévide-gens ») + 12 de papiers arrivés à échéance… Je te demande un peu comment tu peux compter dans « ce qui rentre » des fonds que tu dois « sortir ». Car 13 + 12, on n’est pas loin des 24 annoncés (aux arrondis près et « simplifications » réductrices).

Voilà « tout l’extraordinaire » qui m’a fait me bidonner depuis « mon vaste bureau » !

C’est vous dire que je devais partager les « bonnes choses rigolotes » avec vous !

 

Ceci dit, il faut aussi redevenir sérieux et tenter de « décrypter » la situation.

1 – Pas de doute, « Jupiter » assainit la situation en nettoyant, recyclant les reliquats des détournements et manipulations de ses prédécesseurs. Et ça remonte à 1991…

2 – Il annonce au monde de la finance qu’il va refaire appel à ses « petite-camarades » de banquiers.

Ça, ça va leur plaire : Il était là pour ça, quasiment « nommé » dans cet objectif, mais pas seulement.

3 – Car il ne faut pas croire que les « queues » n’ont servi à rien entre 2010 et 2017. Elles ont été utilisées pour « réduire » les taux d’intérêt des émissions de dettes du Trésor-public.

C’est passé inaperçu, parce que l’Allemagne empruntait à taux négatif. Et la « Gauloisie-déficitaire » à des taux historiquement bas, là où les pays du « Club-Med » (les « Pigs » Portugal, Italie, Grèce, Spain) se ruinaient au même moment avec des taux délirants.

Et le « G » de « Pigs » est double : « Piggs » pour ne pas oublier la « Gauloisie-ruinée »…

Alors comment contenir l’envolée des taux ? Mais tout simplement en faisant souscrire en « faux-nez » une structure ad hoc suffisamment dotée (les 10 à 12 Mds€ de « plus tard »).

À charge pour elle de se refinancer sur les marchés en cédant ses souscriptions sur les marchés à terme depuis 2012…

C’est que pour un banquier, prêter à taux négatif, c’est non seulement lui ôter le pain de la bouche, mais c’est aussi nier sa nécessité, son « rôle social », sa fonction : Intolérable quand on s’appelle Rothschild ou Goldman & Sachs !

La mission commandée à « Manu-le-jupitérien » : C’est effectivement chose faite.

 

Car curieusement et de façon assez extraordinaire, je retombe sur mes pieds dans mes élucubrations romanesques !

J’étais parti sur 35 milliards d’euros (soit 22 + 7 Mds US$ d’origine de 1991).

Mais je n’avais pas vu que ces fonds ont d’abord servis à financer les émissions allemandes au moment de la réunification du pays. Et que les taux dépassaient alors les 5 %. Or, 29 Mds US$ à 5 % sur 15 ans, c’est quand même 60,3 milliards de dollars en 2006.

Au taux de change et de maturité de l’époque – mais c’est assez variable puisqu’on est passé à l’Euro faisant disparaître le Deutsch Mark et que les maturités différaient d’une émission à une autre – c’était quand même 55 à 57 milliards d’Euros.

Et tiens donc que voilà la coïncidence (diabolique) avec « le programme annoncé est de 56,3 Mds€ » !

Pile-poil dans les clous.

Parfois, je m’admire moi-même, figurez-vous, même si je trouve cela agaçant d’avoir vu si clair depuis si longtemps !

 

I3

Source : http://flibustier20260.blogspot.fr/2017/09/ca-devient-agacant-la-longue.html

 


Budget des armées : un espoir dans le programme d'investissements d'avenir

 

Je suis bien lu par la Direction du renseignement militaire !...

 

Quelques-uns de mes lecteurs assidus à la DRM ont bien compris qu’il manquait 7,6 milliards d’euros dans les comptes de la Défense.

Cela fait, en effet, 16 ans que je hurle que les 3,5 milliards d’euros d’indemnités de la guerre du Golfe de 1991 ont été détournés, et que le Défense a subi, à cette occasion, un préjudice considérable tant financier que moral.

Le dossier est très largement disponible sur mes deux sites « Alerte éthique » mais aussi sur les blogs de « I-Cube » qui a écrit le roman « Opération Juliette-Siéra » pour expliquer comment les fonds disparus ont été récupérés dans un trust basé à Londres puis placés dans le « Grand Emprunt 2010 ».

Les sommes récupérées sont considérables car, en plus des frais de guerre de la Division Daguet, il y a aussi les fonds escroqués lors de l’extinction des puits de pétrole en feu au Koweït.

C’est « l’affaire Basano/Ferrayé ».

Et là, il y en a pour 22 milliards de dollars de l’époque !...

Une première tranche de 35 milliards d’euros a été récupérée en 2009 puis placée dans le « Grand Emprunt », puis une deuxième de 12 milliards d’euros l’a été en 2013.

La récupération des 12 derniers milliards est racontée par « I-Cube » dans son roman de l’été 2014 intitulé « Mains invisibles ».

C’est bien sûr un roman, mais cela doit être assez proche de la réalité.

Et puis, si Bercy veut démentir tout cela, il suffit de divulguer tous les organismes internationaux qui ont acheté du « Grand Emprunt » !...

On attend toujours !...

Aussi, depuis des années les tensions sont terribles entre les Armées et Bercy et elles ont atteint un sommet avant le 14 juillet dernier où j’ai bien cru que le scandale allait exploser au moment de la commémoration du début de la guerre 1914-1918.

J’en suis même parti naviguer en Grèce pour éviter de me trouver au milieu d’un bain de sang, car les réactions de beaucoup de Français pourraient être extrêmement violentes.

Les limites ultimes de la corruption ont été dépassées et la révélation d’un tel scandale ferait exploser en vol la Vème république avec une multitude de conséquences dont certaines pourraient être très difficilement gérables.

Ce sont les raisons pour lesquelles j’insiste depuis des années auprès du pouvoir pour résoudre cette affaire d’une manière paisible afin d’éviter une divulgation explosive et passionnelle.

Toujours est-il que le sujet est suivi avec une grande attention par la Direction du renseignement militaire qui est bien consciente qu’un tel dossier pèse bien plus lourd s’il est disponible sur le web.

C’est même un « missile thermonucléaire politique » qu’il vaut mieux, pour beaucoup de dirigeants politiques, ne pas voir partir.

 

La DRM est une « belle boutique » de 1.620 personnes pour un budget annuel de l’ordre de 160 millions d'euros.

L’unité est composée également de la Brigade des forces spéciales terre (BFST), le 13ème régiment de dragons parachutistes de Martignas-sur-Jalle, le 2ème régiment de hussards de Haguenau, régiment de recherche du renseignement d'origine humaine (ROHUM) dans la profondeur, le 61ème régiment d'artillerie de Chaumont (Haute-Marne), régiment d'acquisition de renseignement d'origine image (ROIM) par déploiement de drones SDTI.

Il faut aussi compter sur :

.le 44ème régiment de transmissions de Mutzig, régiment de guerre électronique opératif qui participe à l'acquisition de renseignement d'origine électromagnétique (ROEM) dans la profondeur et arme un centre de guerre électronique enterré et les détachements autonomes des transmissions dès le temps de paix.

.Le 54ème régiment de transmissions d’Haguenau, régiment de guerre électronique tactique qui participe à l'acquisition de renseignement d'origine électromagnétique (ROEM) au contact et attaque les réseaux radioélectriques adverses.

.Le 28ème groupe géographique d’Haguenau.

.Le « Bougainville » qui succède au « Berry » en juillet 1999, embarquant 30 techniciens de la DRM chargés des interceptions COMINT (Communications Intelligence) et ELINT (Electronic Intelligence).

.Le « Dupuy-de-Lôme », un navire spécialement conçu pour être le nouveau MINREM (Moyen Interarmées Naval de Recherche Electro-Magnétique). Ses missions sont dans l'ordre de « l'interception, la goniométrie et l'analyse de tous types de signaux, y compris ceux émis ou reçus par des satellites », capable de suivre la chute d’une pièce d’un euro depuis Brest, lâchée du haut de la Tour Eiffel.

Ce sont également les moyens de l'armée de l'air, qui supervisent l'utilisation des satellites de renseignement. Il existe deux types de satellites : les satellites de renseignement d'origine électromagnétique (ROEM) ; les satellites de renseignement d'origine image optiques et radars (ROIM).

Et, depuis le 1er septembre 2011 les moyens électroniques, notamment, l'escadron électronique aéroporté 1/54 Dunkerque stationné sur la base aérienne 105 Évreux-Fauville. Plus deux C-160 Transall Gabriel qui ont fait l'objet d'une rénovation. Le premier a été livré en 2010, le second était disponible en 2012.

Une belle armada, finalement.

Tout cela coûte cher, mais c’est absolument vital pour notre sécurité et notre défense.

 

Les tensions entre les politiques et les militaires sont, temporairement, en voie d’apaisement comme l’explique un article d’Alain Ruello dans les Échos du 15 juillet 2014 :

« Le rapport de l'IGF remis ce matin au gouvernement préconiserait de faire de la DGA un opérateur du programme d'investissements d'avenir.

Après la trêve consensuelle du 14 Juillet, la guerre de tranchées entre la Défense et Bercy va pouvoir repartir de plus belle.

C'est aujourd'hui que l'Inspection générale des finances remet à Matignon son rapport sur les crédits militaires.

Il y a urgence : le projet de loi de finances triennal 2015-2017 a sucré d'un trait de plume 1,5 milliard d'euros de crédits budgétaires à la Grande Muette, remplacés par la promesse d'autant de ressources exceptionnelles - les « Rex » -, c'est-à-dire de ressources tirées de la vente de bijoux de famille de l'Etat (« Les Echos » du 10 juillet).

Rendant un arbitrage digne du roi Salomon, François Hollande a donné raison à Michel Sapin, son ministre des Finances, qui a obtenu une nouvelle saignée, en permettant à Jean-Yves Le Drian, celui de la Défense, de sauver la face.

Et encore, l'armée s'en tirerait bien, selon un officier général. Ce qui permet au chef de l'Etat de claironner que la « trajectoire de la loi de programmation militaire » est préservée.

Plusieurs pistes à l'étude

Personne n'est dupe, et surtout pas les militaires à qui l'on demande toujours plus : sur la durée de la LPM, c'est-à-dire de 2014 à 2019, ce sont désormais 7,6 milliards de Rex, par nature très incertaines, qu'il va falloir trouver, faute de quoi le navire va couler.

N'ayant pour l'heure aucune garantie de disposer de l'argent nécessaire, la Direction générale de l'armement (DGA) a gelé toutes les commandes majeures : 4e sous-marin nucléaire d'attaque Barracuda, blindés de l'armée de terre (programme Scorpion), ou encore avions ravitailleurs.

La solution ? C'est tout l'objet du rapport commandé à l'IGF. Plusieurs pistes ont été étudiées. La plus prometteuse, celle qui semble en tout cas la moins difficile à mettre en œuvre, passe par le programme d'investissements d'avenir (PIA).

Aujourd'hui, certains programmes militaires en bénéficient à hauteur de quelques centaines de millions d'euros, via le CNES et le CEA. Mais ces opérateurs sont à la limite de ce qu'ils peuvent absorber. Pour changer d'échelle, l'idée consiste à faire de la DGA un opérateur du PIA. Il suffit pour cela de modifier la loi de finances rectificative de 2010. Jean-Yves Le Drian et ses troupes sont pour, Bercy et ses budgétaires résolument contre. François Hollande devra trancher lors d'un conseil de défense crucial attendu cette semaine.

Pour le plus long terme, un autre projet fait l'objet de réflexions en tout petit comité qui, s'il était confirmé, mettrait l'armée à l'abri des aléas des crédits d'équipement, selon nos informations.

De quoi s'agit-il ? De transformer la DGA en un établissement public à caractère industriel et commercial, un Epic.

Les avantages : pouvoir abonder le capital de cette « DGA new-look » par le produit de la cession de participations d'Etat, gérer la trésorerie de façon plus souple, ou encore les effectifs à la manière de ceux d'une entreprise privée.

La ligne de fracture est, là encore, sans surprise : la Défense y est favorable, Bercy ne voit pas cela d'un bon œil… ».

Comme on peut le voir, les REX se monteraient à 7,6 milliards d’euros.

Une somme qui correspond, en valeur actuelle, aux indemnités de la guerre du Golfe virés à la France en 1991 et 1992 par le Koweït, l’Arabie Saoudite et les Émirats Arabes-Unis, et qui n’est jamais arrivée dans le Trésor Public.

Il a fallu une opération de récupération des fonds lancée par Nicolas Sarkozy pour que les milliards disparus de la Division Daguet réintègre la comptabilité publique sous l’appellation fallacieuse de  « Grand Emprunt 2010 » ou encore de « Programme d’investissements d’avenir ».

Ces sommes sont, enfin, en cours de récupération par la Défense, même si c’est par une voie détournée.

 

Il était grand temps, même si j’estime qu’il ne faut pas oublier tous nos soldats qui souffrent du syndrome du Golfe.

En effet, la prime de guerre qui devait être allouée aux militaires de « L’Opération Daguet » n’a toujours pas été virée alors que nous avons entre 3.000 et 4.000 vétérans qui souffrent du syndrome du Golfe, si on s’en tient aux statistiques de l’Armée américaine.

Les Américains ont, en effet, 170.000 vétérans de « l’Opération tempête du désert » qui sont reconnus comme souffrant des séquelles invalidantes causées par la respiration de poussière d’uranium appauvri et d’autres produits hautement toxiques.

Ils ont droit à une visite médicale organisée par le ministère de la défense américaine ainsi qu’à une pension d’invalidité.

Un sénateur américain a même déclaré que « l’aide aux vétérans était un devoir sacré ».

Et chez nous ?...

 

Jean-Charles DUBOC

 


« Charlotte » n’est pas un agent de la CIA !...

 

Le capitaine de corvette Paul de Bréveuil, alias « Charlotte » n’est pas un agent de la CIA, et ne l’a jamais été !...

Parce que là, j’ai franchement dérapé dans la note « Un programme d’investissement d’avenir (PIA) sans avenir » où j’explique comment « Charlotte » a récupéré les fonds disparus des indemnités de la guerre du Golfe ainsi que les fonds escroqués lors de l’extinction des puits de pétrole en feu au Koweït en 1991, et que ceux-ci ont servi à capitaliser le « Grand Emprunt 2010 » à hauteur de 47 milliards d’euros !...

En effet, j’écris : « Parce qu’il semblerait que « Déesse-Kha » soit l’un des grands organisateurs de ces détournements de fonds !...

D’ailleurs, il a réussi à racheter la compagnie financière Anatevka qu’il devait capitaliser à hauteur de deux milliards de dollars sur le marché chinois !...

Avec quel argent ?...

Très vraisemblablement avec les "queues" des placements des fonds disparus de la guerre du golfe !...

Pas de chance, le "pot aux roses" a été découvert et « Déesse-Kha » se demande s’il ne va pas se faire fusiller par son ex-partenaire qui risque de tout perdre dans cette affaire !...

La vie devient dure pour ce pôvre « Déesse-Kha » qui se retrouve sans un "radis" devant lui car ses comptes gaulois ont été vidés par le capitaine de corvette Paul de Bréveuil, alias « Charlotte, agent de la CIA !...

En effet, les Américains ont très mal pris ces détournements de fonds !...

Grâce au programme Promis, ils ont mis vingt ans à localiser les fonds et à les récupérer sur les comptes helvètes, ou autres, de nos dirigeants politiques sachant que ceux-ci en ignoraient l’existence comme « Titi-Breu-Tonton », ancien ministre des Phynances de Gauloisie, qui s’est fait vider son compte au Lichtenstein ouvert au nom de son épouse !... ».

Je me dois de corriger dans l’urgence cette erreur car il est hors de question d’être pris à partie par le capitaine de corvette Paul de Bréveuil lors de la prochaine réception chez l’amiral Gustave Morthe-de-l’Argentière !...

« Charlotte » n’a jamais été, n’est pas, et ne sera jamais agent de la CIA !...

D’ailleurs, afin que cela soit bien clair, je reprends le démenti outragé de « I-Cube » disponible dans "Mains Invisibles V" :

http://infreequentable.over-blog.com/article-mains-invisibles-5-123434733.html

Mille millions de mille sabords !....

 

 Amiral Karlson Padock

 

 

 

Mains invisibles (…/5/…)

Extrait : « Charlotte » agent de la CIA ?

 

Du grand n’importe quoi !

Alors je profite de cette journée de « manifs-plurielles et unitaires » pour remettre les pendules à l’heure en réponse aux accusations éhontées de « l’Ami-râle » jusque sur son blog

 

 Il se trouve qu’au mois d’août 2012, la veille du « premier extrait » du futur roman d’été déjà en ligne, l’amiral Gustave Morthe-de-l’Argentière soumet à la question « Charlotte » avant de décider de le recruter dans sa future unité « Comité Libecciu »…

 

 « Ok ! Je vois le topo. Et la suite de votre parcours sous les drapeaux est connue. Toutefois, reste un « petit » mystère. Une fois que vous avez démissionné de l’aéronavale pour rentrer au pays à bord du Lisbeth, comment êtes-vous rentré au service de la CIA, mon petit-vieux ? »

À part feu le directeur Almont, les services n’ont relevé aucun contact postérieur à l’épisode Emily Lison.

Paul en rigole de nouveau.

« C’est une légende, ça, amiral ! Je n’ai jamais émargé à la CIA, ni quand j’étais sous l’uniforme, ni après. Une légende construite de toute pièce par les américains à mon avis.

Vous faites allusion à mes opérations d’exfiltration je suppose ? »

Affirmatif.

« Eh bien, c’est encore de votre faute, amiral. »

De quoi parle-t-il ?

« – Souvenez-vous, je fais feu sur des Talibans pour dégager un pilote américain abattu, sans votre auguste autorisation. Bon. Vous me collez aux fers … C’est la règle du jeu !

Et vous cite à l’ordre du jour de la flotte…

– … Oui, passons, ce n’est qu’un détail. Parce que je suis consigné 90 jours au sol et rapatrié en métropole dans la foulée. Et je passe deux mois à me morfondre au camp de Fox-Amphou en compagnie du chef Rémarde.

– Et de son épouse, la sulfureuse Lydia. »

Sulfureuse, sulfureuse, pas tant que ça, mais un « bon coup » quand même, même si elle se croit irrésistible à porter des tenues de pute, style « cuir-et-clous » pour mouler ses formes flasques et épaisses.

« Je vous rappelle que le chef, il passe justement son temps aux putes de Toulon quand il a fini son boulot à faire caguer les biffins détachés sous ses ordres…

Ce n’est pas le propos. Car, comme si ça ne suffisait pas, l’état-major me mute à Mururoa à guetter les improbables écolos de Greenpeace, parce que je suis aussi qualifié sur F1.

Mururoa, c’est paradisiaque, mais c’est mortel ! Et question femmes, à part les cantinières, il faut quatre heures de vols pour arriver jusqu’aux bordels de Papeete ou sur le boulevard à draguer la vahiné ! »

Il n’y a rien à faire à Mururoa, sinon boire, fumer, dormir et jouer à la belote.

« Or, les vols sur F1 étaient contingentés faute de carburant. En revanche, il y avait aussi deux hydravions de récupération de la dernière guerre du pacifique : un vieux Catalina sur lequel j’ai fait mes premiers déjaugeages et un aussi vieux Grumman G-21 Goose datant de 1939 qui fonctionnaient non pas au kérosène, mais avec l’essence des jeeps qu’il fallait juste filtrer pour éviter d’encrasser les moteurs. »

Oui bon et alors ?

 

« Eh bien, notre grand jeu, dans le team des pilotes, c’était d’amerrir dans un cercle de bouées placées au milieu du lagon, d’un diamètre de 10 mètres et de ne pas sortir au-delà d’un second cercle de 70 mètres de rayon avant de s’arrêter. »

Une bonne école d’apprentissage de la manœuvre d’amerrissage.

« Fallait être précis, ne pas arriver trop vite, enfoncer le nez de l’appareil dans les flots dès que possible et savoir faire virer le Goose un coup à bâbord, un coup à tribord ou inversement pour ne pas sortir du second cercle. »

Une trajectoire en point d’interrogation tracée de bas en haut, le manche à balais enfoncé vers l’avant pour faire monter l’eau jusque sur le capot, histoire d’augmenter la traînée et de ralentir plus vite…

Mais pas trop, parce que les hélices n’aimaient pas la densité de la flotte !

Pareil pour les déjaugeages. Totalement acrobatiques !

« Il fallait lancer la machine, lui sortir le nez de l’eau à l’arraché au deux tiers des 140 mètres et partir en chandelle en mode décrochage dès que possible. »

Une fois en l’air, il fallait tenir la position le plus longtemps possible, mais pas trop pour ne pas casser abusivement la vitesse, et ensuite piquer pour reprendre de la manœuvrabilité et de la portance.

« Celui qui retouchait l’eau hors le cercle des bouées, il payait la tournée au mess. »

Une manœuvre impossible à faire avec le Catalina, bien sûr.

 

L’amiral s’impatiente : il ne voit pas le rapport avec sa question.

« C’est pourtant simple. Un jour, on apprend qu’un ingénieur de chez Framatom, je crois que ça s’appelait comme ça à l’époque, en vacances en Corée du sud se fait enlever avec sa famille, à l’occasion d’une sortie en mer, par des nordistes et est retenu par le régime pour être accusé d’espionnage.

J’ai suivi ça dans la presse qui arrivait seulement deux fois par semaine, parce que c’était un camarade de promotion que j’avais pu croiser sur le plateau de Saclay.

Vous ne vous souvenez plus, amiral ? »

Pas vraiment…

« Ça avait pourtant fait grand bruit et la diplomatie avait réussi à sortir la femme et les gamins, mais pas le bonhomme.

Enfin bref, l’état-major se met en tête de parachuter un commando pour sortir le gusse manu-militari de sa prison nord-coréenne. Trop précieux avec ce qu’il avait dans la tête, sans doute.

Le problème de l’opération, c’est de faire ressortir ledit commando sans casse avec l’otage.

Les hélicos, c’était un peu « tendu » question rayon d’action. Et il y a bien un lac en contre-bas de la prison, mais ils n’ont que de pilotes de Canadair de la sécurité civile à se mettre sous la dent.

Et c’est là que notre colon nous demande si on ne serait pas candidat pour l’opération.

Vous pensez bien qu’on aurait tout fait pour se distraire de notre sort de « puni ».

On a totalement bluffé les équipages de Canadair avec nos acrobaties, d’autant mieux que le De Havilland est plus puissant que notre Goose.

Alors nous l’avons fait. À deux hydravions. »

 

Oui mais ça n’explique pas les autres missions pour la CIA.

« Mais si amiral ! Les américains ont eu vent de la réussite de cette première « virée » et de la façon de mener ce raid. Ils se sont mis en rapport avec la Présidence, et j’ai dit oui, même une fois dans le civil, à toutes les propositions d’exfiltration qui se présentaient à Matignon. Juste pour le fun et pour la patrie. »

Et pas un kopek ni du gouvernement, ni des américains.

« En revanche, on m’a expliqué plus tard que le ministère émettait une facture au Pentagone… »

Paul en a fait beaucoup ?

« Secret d’État, je n’ai pas à vous répondre. Mais disons que la première pour les américains a été de sortir, avec le De Havilland que j’avais fait parqué à la fondation archéologique de Fox-Amphou, un transfuge de Mourmansk. J’en ai fait d’autres dans les caraïbes, en mer Caspienne, en mer Noire, dans le canal de Formose, et pas que pour les américains. J’ai même fait l’extraction sanitaire d’un toubib tombé dans le coma pour être tombé direct sur la tête depuis une marche, sur une plate-forme pétrolière norvégienne en mer du Nord par un temps épouvantable.

Les hélicoptères ne parvenaient pas à l’hélitreuiller… Je n’en menais pas large pour avoir à amerrir vent et mer de travers, comme j’avais appris à le faire, en surf sur de furieuses déferlantes parfois croisées, la peur au ventre de noyer ma turbine. Et je ne vous raconte pas le décollage dans les mêmes conditions, sur les crêtes de la houle ! Sportif.

Quant à la dernière, c’était en Afghanistan pour sortir un pilote de F 16 abattu dans les montagnes alors que l’équipe de l’air-rescue envoyée pour le récupérer, était tombée dans un piège de snipers isolés… »

D’ailleurs, ils avaient mis les moyens, puisque deux vagues de B 52 partis de Diego-Garcia étaient venues jusque sur les rives du lac le plus proche pour couvrir de leurs tapis de bombes l’arrivée et le départ de son hydravion, en deux vagues de largage.

« Alors, agent de la CIA, pas vraiment. D’autant que l’agence s’est affolée quand il a s’agit d’aller récupérer en urgence un ingénieur atomiste iranien et sa famille il va y avoir deux ans de ça. Ce con de Krasoski, il m’avait fait mettre en quarantaine et privé de tout, y compris d’hydravion, pour avoir démantelé la fondation de Risle.

Résultat, je crois que le transfuge et sa famille ont été exécutés par les gardiens de la révolution locaux. »

Les conséquences de l’affaire Risle…

« Justement, vous savez pourquoi cette disgrâce présidentielle ? Dans le service on n’a pas compris… Après tout vous étiez « Charlotte », celui qui a ramené les milliards perdus. »

Secret d’État.

« Mais je vais vous dire, amiral, le Président n’a jamais su qui était « Charlotte ». Alors la liquidation de la fondation ne lui était pas attribuée, au moins dans son esprit. En revanche, il m’en a sans doute voulu d’avoir perdu 50.000 dollars à cette occasion… Que je lui ai d’ailleurs remboursé plus tard… »

Par chèque qui n’a jamais été encaissé.

« On va y revenir, mais il est une rumeur, que nous n’avons pas « bouclée », qui circule à ce sujet », fait l’amiral.

Laquelle donc ?

« Que lors de son voyage au Mexique, le président avait justement rencontré un chirurgien-plasticien de renom pour se faire greffer un appendice sexuel plus long… D’où les 50.000 dollars qui n’étaient qu’un acompte… »

Paul reste silencieux.

« Nous savions qu’il s’était fait greffer un implant dans la verge au moment de sa rencontre avec sa seconde épouse. Ce qui lui donnait cette démarche d’ours des Carpates particulière, parce que c’est particulièrement inconfortable pour les petites tailles de caleçon des petits-culs. Serait-ce donc ça, à l’occasion d’une exigence de sa troisième épouse ? »

« Je ne peux pas vous dire, j’ai « oublié » ce détail », répond Paul. « Mais bouclez donc votre information auprès de vos collègues canadiens. Ce sont eux qui m’avaient averti et la chose a été confirmée par le directeur Almont de la CIA… »

Il confirme alors ?

« Je n’ai rien dit, mais Almont s’est débrouillé pour me remettre dans le circuit, je ne sais pas comment, et j’ai atterri chez vous le jour du mariage de votre fille. »

Ahurissant, si c’est bien ça pense pour lui Gustave Morthe de l’Argentière !

Mais cohérent.

 

« Encore une chose… Quand vous êtes allé faire le zouave en Mer de Corée sur un Mig de récupération, ce n’était pas pour la CIA, là aussi. »

Secret défense…

« Je vous rappelle que j’étais encore sous l’uniforme et que la mission avait été commandée à notre ministère par le SAC, pas par la CIA. Et puis, je n’y suis allé que parce que les pilotes américains pressentis ont fini tous par se désister, tellement c’était casse-gueule. D’ailleurs c’était un piège ! »

À cause de l’agent Miho Mihado ? « L’avez-vous baisée, au moins ? »

Pas vraiment sur le moment, mais plus tard, à bord du vol circumpolaire au moment de « la sieste » du capitaine haddock.

« Et alors, qu’est-ce qui s’est passé avec elle au sémaphore de Saint-Florent ? »

Merde, pense pour lui Paul. L’amiral est vraiment bien curieux et au courant de beaucoup de choses…

C’est secret d’État, là.

« Je vous l’ai déjà dit, je l’ai déjà oublié. »

En fait pas du tout. Il l’avait embastillée après qu’elle ait tenté de le kidnapper, dans les douves du phare pendant 48 heures, enchaînée, sans rien à boire ni à manger et dans le noir total avec pour seule compagnie les rats du maquis corse.

Puis il a surgi avec Lydia, l’épouse du chef Rémarde, déguisée en pute et lui en sauvage où ils simulent tous les deux un viol… violent, pendant plusieurs dizaines de minutes.

Le tout était que Miho soit persuadée que Paul était sorti de ses gongs jusqu’à en tuer Lydia, avec force détonations dans la cuisine au-dessus où il l’a traînée sans ménagement, simulant la colère-furieuse, et que ça allait être son tour à elle de déguster.

N’importe qui aurait parlé et avoué n’importe quoi. Mais elle, elle en était restée à la première version de son interrogatoire.

 

Est-ce assez clair, désormais ?

 


Un Programme d’investissements d’avenir (PIA) sans avenir ?...

 

Nous sommes au milieu d’une semaine décisive où nos dirigeants, et les contre-pouvoirs en place comme la presse et les médias, choisiront de continuer à enfoncer le pays dans un totalitarisme mafieux ou bien prendront la décision d’une véritable rupture en révélant au public le véritable niveau de corruption des années « Mythe-Errant ».

Une corruption qui dépasse l’imagination et dont le summum a été atteint lors du détournement des 7 milliards de dollars des indemnités de la première guerre du Golfe (15 milliards d’euros en valeur 2014) auquel s’est ajoutée l’escroquerie sur les puits de pétrole en feu au Koweït en 1991.

Une escroquerie qui bat tous les records puisqu’elle s’établit à 22 milliards de dollars en valeur 1991 soit près de 50 milliards d’euros en valeur actuelle !...

C’est-à-dire que le total du détournement des indemnités de la guerre du Golfe et de l’escroquerie sur l’extinction des puits de pétrole en feu au Koweït représente environ 60 milliards d’euros !...

Nous avons atteint des sommets dans la corruption et nous sommes maintenant totalement décrédibilisés au Proche-Orient et au Moyen-Orient car il ne faut pas imaginer que ces affaires sont inconnues des services de renseignements des pays arabes ou encore de la Russie !...

Même pour Israël nous ne sommes plus des partenaires fiables !...

Peut-on imaginer qu’un dirigeant politique israélien aurait pu dérober des milliards de dollars à la Défense de son pays sans une vigoureuse réponse de Tsahal ?...

C’est ce qui me fait penser que « Déesse-Kha » ne sera même pas bienvenu dans un kibboutz au fond du désert du Néguev lorsque l’affaire sera rendue publique !...

Parce qu’il semblerait que « Déesse-Kha » soit l’un des grands organisateurs de ces détournements de fonds !...

D’ailleurs, il a réussi à racheter la compagnie financière Anatevka qu’il devait capitaliser à hauteur de deux milliards de dollars sur le marché chinois !...

Avec quel argent ?...

Très vraisemblablement avec les "queues" des placements des fonds disparus de la guerre du golfe !...

Pas de chance, le "pot aux roses" a été découvert et « Déesse-Kha » se demande s’il ne va pas se faire fusiller par son ex-partenaire qui risque de tout perdre dans cette affaire !...

La vie devient dure pour ce pôvre « Déesse-Kha » qui se retrouve sans un "radis" devant lui car ses comptes gaulois ont été vidés par le capitaine de corvette Paul de Bréveuil, alias « Charlotte, agent de la CIA !...

En effet, les Américains ont très mal pris ces détournements de fonds !...

Grâce au programme Promis, ils ont mis vingt ans à localiser les fonds et à les récupérer sur les comptes helvètes, ou autres, de nos dirigeants politiques sachant que ceux-ci en ignoraient l’existence comme « Titi-Breu-Tonton », ancien ministre des Phynances de Gauloisie, qui s’est fait vider son compte au Lichtenstein ouvert au nom de son épouse !...

Cela fait partie du plan machiavélique de « Mythe-Errant » et de sa clique de crapules : Ouvrir dans les paradis fiscaux des comptes bancaires au nom de nos dirigeants, de gauche comme de droite, de façon à les tenir !...

Le cas le plus célèbre est celui de Christina Basano qui s’est découvert un compte de 8 milliards de dollars !...

C’est « l’affaire Basano / Ferrayé » !...

Et bien maintenant, que tous se rassurent !...

Ils ont été vidés par « Charlotte » !...

C’est raconté de cette façon dans le roman « Mains Invisibles » de « I-Cube » :

http://infreequentable.over-blog.com/article-mains-invisibles-1-121872254.html

 

Mais que sont devenus tous ces fonds récupérés ?...

Et bien, d’après le roman « Juliette-Siéra » de « I-Cube », ils auraient été placés dans le « Grand Emprunt 2010 » encore appelé « Programme d’investissement d’avenir » !...

Parce que, semble-t-il, il n’y a jamais eu d’emprunt sur les marchés financiers !... Ce qui explique aussi qu’il n’y a eu aucun appel à l’investissement auprès du public !...

Juste un montage financier ?...

Ces fonds seraient ceux des indemnités de la guerre du Golfe et de l’escroquerie sur l’extinction des puits de pétrole en feu au Koweït qui auraient été placés dans le « Solutré-Jarnac Trust » à Londres !...

Une hypothèse romanesque, bien sûr, mais qui ne doit pas être bien loin de la réalité !...

Ce qui est amusant, c’est que le Programme d'Investissements d'Avenir (PIA) a été placé le 22 avril sous l'autorité du ministre des Finances, Arnaud Montebourg, alors que jusqu’à maintenant il dépendait du Premier ministre !...

On se demande bien pourquoi ?...

Il est vrai que le 7 avril j’ai mis en ligne le billet « La Divulgation aura lieu fin avril/début mai 2014 !... ».

Mais il est tout aussi vrai qu’il y a encore beaucoup d’argent disponible, car les 35 milliards initiaux se sont gonflés, on ne sait par quel miracle, de 12 milliards supplémentaires !...

On en est maintenant à 47 milliards d’euros à investir, dont 7 ont été décaissés pour l’instant !...

Un pactole qui suscite des convoitises !...

Suite à ce soudain et inexplicable changement d’affectation, les deux vice-présidents du FIA, Alain Juppé et Michel Rocard, ont démissionné !...

Alain Juppé, ancien Premier ministre, s’en explique :

« Nous avions été informés du projet il y a une dizaine de jours, explique le maire de Bordeaux. J'ai téléphoné à Michel Rocard qui est plus en cour que moi auprès du gouvernement pour qu'il aille expliquer à Manuel Valls que c'était une erreur. Ça n'a pas suffi donc nous avons choisi de démissionner."

Alain Juppé l'assure, la personnalité d'Arnaud Montebourg envers lequel il n'éprouve aucune sympathie n'est pas en cause. "Ce programme était extrabudgétaire et interministériel puisqu'il dépendait du Premier ministre, rappelle Alain Juppé. Ce que nous redoutons avec Michel Rocard, c'est que, dans cette période de disette budgétaire, l'argent du PIA attire beaucoup de convoitises dans les différents ministères et serve à boucher quelques trous, ce qui n'est nullement la vocation de ce programme qui doit financer des projets innovants ».

Je comprends très bien Alain Juppé, car la Défense risque d’avoir de gros besoins dans un très proche avenir !...

En effet, il faut que des fonds puissent être décaissés immédiatement pour satisfaire les urgences des militaires si le scandale du détournement des indemnités de la guerre du golfe est révélé au public !...

L’Etat-major des Armées va exiger le versement immédiat des 15 milliards d’euros récupérés sous peine de voir les militaires, capitaines en tête agitant un drapeau tricolore, défiler dans les rues pour demander des explications sur les fonds disparus !...

Il va falloir donner aux soldats qui ont participé à l’Opération Division Daguet la prime de guerre promise et jamais versée (près de 2 milliards d’euros) mais aussi indemniser ceux qui souffrent ou sont décédés du syndrome du Golfe…

Et c’est sans compter sur la création de la Fondation Division Daguet.

Le reste sera particulièrement bienvenu pour les OPEX, l’entretien du matériel, etc…

Aussi, il me semble que tout se met en place pour une Divulgation au public du détournement des indemnités de la guerre du Golfe !...

La première urgence sera de rendre, enfin, aux militaires l’argent qui leur est dû.

Avec le « Programme d’investissement pour l’avenir » directement géré par le ministère des finances ce sera beaucoup plus facile !...

 

Jean-Charles DUBOC

 

 


Le « Bal des crapules »

Le blog « Alerte Ethique » a été créé en réaction au détournement par « L’Arsouille » des 3,5 milliards de dollars (8 milliards d’euros en valeur actuelle) versés à la France par le Koweït, et des pays du Golfe, au titre des indemnités de la guerre du Golfe de 1991.

Vous pouvez trouver sur ce blog le courrier adressé à ce sujet en juin 1998 à Dominique Strauss-Kahn, ministre des Finances, celui adressé en avril 2006 à Thierry Breton, ministre des Finances, mais aussi plus récemment celui envoyé en mai 2010 à Christine Lagarde qui fait maintenant « banquière mondiale ».

Ces courriers sont restés sans réponse malgré le fait qu’ils dénoncent un détournement de fonds considérable (l’équivalent de 200 Airbus A320) et que les différents sites sur lesquels cette affaire est reportée dépassent les 100.000 connexions.

Mais il faut avouer que l’équipe de mafieux dont s’était entouré « l’Arsouille » a fait beaucoup mieux lors de l’extinction des 1.100 puits de pétrole en feu au Koweït (affaire Ferrayé/Basano).

Aussi, les récentes révélations de Robert Bourgi, qui affirme avoir remis des fonds occultes à Chirac, Villepin et Le Pen, ne sont que l’arbre qui cache la foret.

En effet, le véritable niveau de corruption de nos « z’élites » ne se monte pas à quelques dizaines de millions d’euros, ni même à quelques centaines de millions, mais, bel et bien, à des milliards d’euros.

Et il faut avouer que les champions toutes catégories de la corruption sont les dirigeants socialistes de la « Mitterrandie » qui ont mené en bateau les électeurs, tout en donnant, bien sûr, des cours de morale !...

Encore que « Gys-Car-Le-Viandard » est un sérieux concurrent tout à fait digne de « l’Arsouille ». En effet, comment a-t-il financé ses 50.000 hectares de foret au Canada ?... C’est tellement grand qu’il est obligé de faire le tour en hélicoptère !…

Fort heureusement, mon « Bling-bling », notre « Divin et Ô combien vénéré président », a su s’investir dans ces dossiers et récupérer une partie des fonds détournés pour les placer dans le « Grand Emprunt 2010 », d’après l’hypothèse développée par « I-Cube ».

D’ailleurs, je me permets de reprendre la note Solde de tout compte, pour les « années Mythes-errant » ! , mise en ligne par « I-Cube », et qui est une superbe fresque de ces affaires qui me convainquent toujours un peu plus que notre beau pays est devenu sous « l’Arsouille » un authentique totalitarisme mafieux.

Il est vrai que tout cela n’a pu être mis en place que par les turpitudes de la présidence de « Gys-Car-Le-Viandard », faux aristocrate mais authentique trafiquant de diamants.

De plus, le suicide de Robert Boulin a bien fait comprendre aux « z’autres » qu’il ne fallait pas s’attaquer au « Grand » !...

Une grande carrière politique l’attendait…

« Le pouvoir rend fou, et le pouvoir total rend totalement fou ».

Cette analyse de Platon, vieille de deux millénaires, est tellement vérifiée dans notre beau pays que j’envie la Confédération suisse qui nomme son président pour une seule année.

Pas le temps de devenir dingue !...

D’ailleurs, qui connait le nom de la présidente actuelle de la Confédération suisse ?...

Bonne lecture de la note humoristique de « I-Cube ».

Jean-Charles Duboc

……………

Solde de tout compte, pour les « années Mythes-errant » !

Vingt ans plus tard…

La page est désormais définitivement tournée : Le dernier collectif budgétaire en atteste. Il suffit de lire, même pas entre les lignes, le texte de la lettre rectificative de la loi de finances rectificatives n° 3713, (pages 52 et suivantes) adoptées la semaine dernière à l’occasion de la session extraordinaire du Parlement :

Contribution du « kontribuable – Franco-gaulois » (et autres terres australes et ultra-marines) : 434 Méga-euros !

Nous sommes en État « d’état de cessation » des paiements permanent depuis un long moment, mais nous nous portons dans un mouvement unanime et généreux au secours des « PIGS » et du « printemps de Jasmin » sans même frémir, pour mieux « tailler » à grands coups de « mignards de dollars d’euros » dans les budgets de toutes nature pour faire face :

– 208 millions en moins dans le budget « défense » pour nos « valeureux biffins » ;

– 10 millions en moins dans le budget « Éducation » des chères têtes blondes ;

– 8,6 millions en moins pour la politique de la ville qui nous fera peut-être moins de « feux-tricolores » et plus de « cailleras » dans les quartiers ;

– 6 millions en moins dans les caisses du RSA (et son 0,1 % sur tous les revenus qu’ils reviennent ou non) pour les « super-pauvres » ;

– 4,5 millions en moins pour le budget de la « bonne santé » du tout-venant ;

– 4,4 millions en moins pour le financement de la « Vie politique » (qui vont manquer et que peut-être compenseront-ils par d’autres commissions occultes à venir : Vente de navires, de sous-marins et d’avions, de chars, d’obus et de Famas, de moyens de communication militaire et de formation des jeunes-pousses policières, ici et ailleurs) ;

– 4,3 millions en moins pour nos « cachots salutaires » de l’Ordre-public ;

– 3,3 millions en moins pour l’administration du « travail » d’autrui (celui des « autres », ceux qui rament) ;

– 3 millions en moins pour notre « Poulagaille Nationale » qui coursent les « méchants » et autres faciès « pas cathos » ni « orthodoxes » ;

– 2 millions en moins pour nos « jeunes-délinquants » et leurs « réinsertion » qui resteront « voyous » ;

– Et surtout tout autant 184,3 millions dispersés un peu partout et quelques « prélèvements obligatoires » en plus pour tout le monde, piqués sur le « plan de redressement » à 11 « mignards » justement votés dans la foulée !

J’admire : Parce que tout cela paraît absolument normal à tout le monde…

Tu penses, à 9 euros de l’heure de SMIC, ça ne représente qu’à peine 29 siècles et 31 années de semaines de 35 heures, pour solder l’affaire des « bottines » et des frégates furtives !

Le « prolo », il est décidément né pour trimer, même chez les « soces-pas-radicaux », pour que d’autres s’enrichissent sur son dos, même chez les « soces-pas-radicaux », et puis c’est tout !

Et en plus, avec la politique de la famille « droâte-gôche » réunie depuis l’après-guerre, on l’encourage à se reproduire à tout va !

Car encore, tout ça n’est qu’un petit bout de l’iceberg visible du délire de « Dieu soi-même », le « Maître du Verbe » que la moitié de ces « crétins de Gaulois » vénère encore !

Je résume :

On se souvient des années 80, des affaires Urba et compagnie, des emplois fictifs de-ci-de-là !

La justice est passée, la loi a absous, et le reste fera « pschitt » !

C’est déjà marqué comme ça.

D’ailleurs qu’on compte bien, il ne s’agit que de quelques dizaines de millions de… francs ex-gaulois.

Des pets de sansonnet à côté de la suite.

On n’est pas encore passé à l’Euro-Dollar, que déjà, dix ans plus tard on multiplie par cent les « magouilles » en termes de monnaie sonnante et trébuchante…

Les frégates de Taïwan, bien sûr, mais au fil des alternances successives, il y a plein de « contrats » militaires : Les Mirages d’Irak, les systèmes de communication d’Arabie, les sous-marins du Pakistan, les radars ici et là !

Une vraie cour des miracles.

La guerre d’Irak, la première, c’est carrément la divine surprise : On ne cause plus en Méga-dollar, mais en « Mignards », en « Giga », mille fois plus !

Et un peu plus de 7 qui sortent des caisses du Prince du Koweït au titre des dédommagements de l’effort de guerre (l’engagement de la division « Daguet »), très officiellement, puisque les décomptes sont faits directement à l’ONU pour la bonne application de l’accord « Nourriture contre Pétrole » qui doit payer les indemnités dues par le peuple et dictateur des vaincus, qu’on ne voient pas rentrer dans les caisses du Trésor public de « Gauloisie des voyous » socialistes-marxistes…

Aussi gros que ça (du jamais vu), qui passent inaperçus : Ils se sont perdus dans les arcanes des banques de compensation, dont Clearstream !

Pourtant, ces comptes sont sur la place publique : Les juges en ont même des versions « truquées » entre les mains, mais chacun devrait savoir lire.

Pas du tout : Ça débouche sur les « affaires Elf » et Cie, puis sur celles de « Cleasrtream I » et « II ».

Choux blanc, que font toute la tripotée de magistrats-rigolos, y compris la candidate et égérie des écolos (après avoir fait un tour chez « Bébé-Roux » des « centristes-radicaux »)…

Mais oui, mais oui : Du cambouis dans les yeux !

Un vrai cas d’ékole de « République bananière », là, sous nos yeux à nous !

La même année, c’est carrément la dizaine de « mignards » qui sont détournés !

22 Giga-dollars, au total.

C’est qu’il faut éteindre les puits de pétrole en feu au plus vite, pour éviter une pollution planétaire (c’est l’argutie « environnementaliste » qui commençait à balbutier), mais surtout ne pas déstabiliser le marché des « pétroleux ».

Comme d’hab, si en « Gauloisie honnête », on n’a pas de pétrole, on a des idées.

Et notamment un autre « crétin des alpes » (car il vit désormais caché en Helvétie), qui te nous invente un procédé, dit « Ferrayé » (de son nom).

Volé par le ministère de l’industrie sans qu’il ne s’en rende compte immédiatement, berné pas des « messieurs bien », ministère qui « pilote » l’INPI où le brevet est déposé, ministère aux mains d’une déesse, surnommée « Khâ » (parce que c’est vraiment un cas particulier, y compris sous la ceinture) !

Les Koweïti, ils payent 22 milliards, rubis sur l’ongle (puisqu’ils se feront rembourser par les Irakiens via l’ONU et son accord « Nourriture contre pétrole »).

Là encore, ça passe par quelques dizaines de comptes « exotiques » qui sont compensés chez « Clearstream » en toute innocence, y compris sur ceux que Basano n’a jamais ouverts mais qui porte ses nom et domicile !

L’affaire, toujours en cours devant le TGI de Paris, ne sera pas jugée jusqu’à ce qu’elle arrive directe sur le bureau du greffier de la Cour Européenne des Droits de l’Homme, dans une ou deux…. décennies !

Je vous en ai déjà causé.

Deux conséquences directes :

1 – « Béré » et son « prêt Tra-boule-z’y », qui commence à « douter », il est aussitôt « suicidé » !

Deux balles : Du travail de pro !

« Gros-s’ouvre », idem, un peu plus tard : Du vrai travail de pro, tellement le gendarme qui « plantonnait » juste sous les fenêtres du bonhomme au Palais de l’Élysée, il n’a rien entendu !

Mais là, il y a erreur sur le calibre de l’arme : Pas grave, les juges, ils passent une nouvelle fois sur « le » détail et referment le dossier silencieusement !

2 – Le prince Koweïti, il fait les comptes : 0,95 milliard pour le travail des « pompiers », il veut bien, mais 22 milliards pour rien, qui disparaissent « nulle-part », il demande des comptes à l’alternance suivante et va entretenir « Tonton Yoyo » sur le sujet.

Qui en tombe de son tabouret et nous cause de « sous réserve d’inventaire »…

Depuis, il s’est tiré une balle dans le pied pour éviter d’en prendre une dans la tête et a abandonné tout « esprit-politique », vivant de ses rentes d’ex-premier (avec chauffeur, gardes de son-corps et voiture de fonction blindée : C’est dire s’il a l’esprit tranquille !).

L’enturbanné, il se calme quand finalement il récupère 7 d’un côté (les mignards de la « Division Daguet », le tribut du sang versé) et 15 des américains qui en font l’avance.

Là encore, on sait, puisqu’on le retrouve un peu après à la tête d’un des premiers « fonds souverain » du monde, justement avec 22 milliards de dollars de dotation !

Donc, à l’époque ni le « Chi », ni « Tonton Yoyo », ils ne savent où est cet argent-manquant.

Et puis ils ne veulent surtout pas en causer, sachant pertinemment l’un et l’autre que ce serait une « bombe thermonucléaire » sur la vie politique du pays.

Le premier, parce qu’être Président d’une démocratie où le chef, il détourne ce qu’il veut sans que personne ne moufte, ça la fait pas ; le second, parce que justement, il est le « fiston politique putatif » dudit chef… Et qu’il a dans les rangs de ses ministres des parfaits « escrocs-sachant » et que « ça ne la fait pas plus » si ça se sait.

Résultat, quand il s’agit de la deuxième guerre d’Irak, en 2002, après le fameux « 11 septembre », celle de « junior » (de chez les « Bou-bouche »), ni « Vil-pain » ni le « Chi » ne veulent y aller !

Des fois qu’on soit obligé d’encaisser les « milliards qui allaient pleuvoir » en paiement de l’effort de guerre à fournir et que… soit on est obligé d’expliquer que les premiers, ils ont disparu, soit qu’il faille les détourner à nouveau, c’est impossible dans les deux cas !

Des « honnêtes » qui s’enferment dans les contradictions de leurs silences…

Mais les « ricains », ils étaient pourtant prêts à passer l’éponge sur l’ardoise de leur « fonds-secrets », ce coup-là, « pour solde de tout-compte ».

Et comme les « frenchies », ils n’y vont pas, se contentant d’une présence en Afghanistan, c’est furax qu’ils se décident à intervenir dans la « vie politique locale » de « Gauloisie imbécile » : Ils te nous font un grand cinéma et pousse « leur poulain », qui revient de loin, jusque dans les ministères : D’abord Bercy, pour qu’il vérifie le fondement de leurs prétentions aux 15 milliards à rembourser.

Rapidement, celui qui deviendra notre « Ô combien vénéré Président », comme le pognon n’a jamais traversé les frontières, y’a aucun dossier là-dessus, y compris aux douanes, il passe chez les flics pour les retrouver.

Choux-blanc là aussi, parce que chez les « flics », c’est le boxon (et le début des affaires « Clearstream ») : Il y a tellement de services qui se marchent sur les pieds, plein de « trucs » couverts par le secret-défense que même les juges, ils n’y arrivent pas, qu’il en fera sa grande réforme de la DCRI avec des « hommes à lui » et aux diverses maçonneries à sa tête.

Ce sont d’ailleurs elles qui retrouvent le fil du pognon détourné, parce qu’elles sont « transnationales » (Contrairement au roman que j’ai pu en tirer en août 2010 sur le sujet : « Les enquêtes de Charlotte » : Allez-y, c’est marrant pour les lectures des longues nuits d’hiver démocratique !).

Et finalement, les 15 milliards, de dollars, en 20 ans, ils ont fait des petits : C’est 22 qui rentrent sous la forme du « Grand emprunt » dont nous avons déjà causé jusqu’ici en décembre 2009, transformés en « 35 » pour un « effort de 7 milliards/an » nous a dit « Bling-bling » élu par le bon peuple sur recommandations de la CIA qui lui a opposé une « cruchitude parfaite » grâce au soutien in-extremis de la fameuse « Déesse-Khâ » : Une façon de se racheter pour ce dernier, qui sera ensuite « récompensé » pour son « aimable participation » en pavanant à la tête du FMI durant des années.

Un coup à trois bandes où chacun a joué son rôle : « Bout-bouche », Père & junior, ils pouvaient passer la main !

Vous connaissez la suite…

« Ils » n’en veulent plus (pour d’autres raisons et notamment parce que l’administration « d’Haut-bas-mât » veut régler les soldes avant expulsion programmée de la Maison-Blanche en décembre 2012) : Le patron de la « banque des pôvre », il s’est fait « casser » récemment.

Une belle « embrouille » qu’on suivra, romancée toujours, dans le « tome II » de l’été prochain…

(Si je parviens à le terminer).

Voilà pour la « mythe-errantie » appliquée : Le « Grand-emprunt », dont on ne sait toujours pas par qui il est financé, ni à quel taux, on sait seulement qu’il a « éteint » 15 milliards de dettes… par des cessions d’actifs à hauteur de 13 milliards.

Le reste, c’est le kontribuable gaulois qui paiera.

Et en plus la queue des « Frégates » : Elles avaient été rachetées à la Chine nationaliste, sous l’époque du « Chi », au printemps 2006, pas par le Trésor Public national (on n’avait déjà plus de sous), mais par une « puissance du golfe », venue d’ailleurs se pavaner à la tribune officielle du défilé du 14 juillet de l’époque (souvenez-vous).

Et personne n’y pensait plus : Tout le monde avait oublié les « amendes ».

C’est fait 20 ans plus tard, à l’automne 2011 : Il suffit de lire entre les lignes de la loi de finances rectificative !

Une page s’est définitivement tournée la semaine dernière, dans le silence des maladies honteuses…

La suite sur :

http://infreequentable.over-blog.com/article-solde-de-tout-compte-pour-les-annees-mythes-errant-84039805.html


"Grand emprunt 2010" : lettre à Christine Lagarde, ministre de l'Économie

 

 

 

Le 14 août 2009

 

Monsieur Jean-Charles Duboc

à

Madame Christine Lagarde, ministre de l'Économie, de l’industrie et de l'emploi

 

 

Objet : Détournement des indemnités de la guerre du Golfe 1991 / haute trahison

 

Madame la Ministre,

 

Vous avez reçu un courrier, en date du 20 juin 2008, dont l’objet était le « détournement des indemnités de la Guerre du golfe attribuées à la France  ».

 

Vous me voyez extrêmement surpris de ne pas avoir de réponse à cette lettre qui comporte des accusations d’une extrême gravité envers François Mitterrand, car j’accuse l’ancien Président de la République du vol des indemnités de la guerre du Golfe attribuées à la France en 1991. La somme dérobée, d’après mes informations, se monterait à 3,5 milliards de dollars, soit 5 milliards d’euros en valeur actuelle.

 

Au moment où le Gouvernement s’apprête à lancer un « Grand emprunt » de 100 milliards d’euros, je me dois de rappeler ce dossier car la somme disparue est conséquente et que, si elle est absente de la comptabilité publique, cela implique que ce sera aux contribuables de combler ce passif.

 

Puis-je me permettre de souligner que ce crime contre l’Etat, ce crime contre les Français, ce crime contre la démocratie, représente, du point de vue du droit constitutionnel, une haute trahison du Président de la République ?

 

Je comprends très bien les motivations qui ont poussés vos prédécesseurs, et vous-mêmes, ainsi que les hauts fonctionnaires des Finances, à ne pas divulguer ce crime car les risques encourus n’étaient pas minces. L’analyse que je fais, à ce sujet, est disponible dans la note « Le détournement des indemnités de la guerre du Golfe et les assassinats de Pierre Bérégovoy et François de Grossouvre » que vous pouvez trouver sur le blog Alerte éthique.

 

Madame la ministre, presque dix huit ans se sont écoulées depuis ce délit et il me semble que le mutisme de votre ministère sur cette affaire n’a plus de raison d’être, et qu’il est maintenant souhaitable de révéler cette haute trahison aux Français avant qu’ils ne l’apprennent d’une manière inopinée car la situation pourrait alors devenir incontrôlable.

 

Aussi, je vous demande, de nouveau, de bien vouloir transmettre à la Justice les informations en votre possession sur ce détournement de fonds ou, encore, de bien vouloir ouvrir une enquête officielle afin de retrouver les sommes manquantes.

 

Je me permets de remarquer que lorsque l’État commencera à récupérer les sommes disparues, il serait souhaitable que les militaires qui ont participé à la guerre du Golfe de 1991 reçoivent la prime de guerre qui leur est due. De la même façon, une partie des sommes récupérée devra être consacrée à l’indemnisation de nos soldats qui souffrent du « syndrome du Golfe » et qui se sont regroupés dans l’association Avigolfe.

 

De plus, je réitère la demande de prime d’aviseur que j’ai faite à votre ministère, en rappelant qu’elle a pour principale utilité de lever la prescription sur ce délit financier.

 

La réglementation des Douanes accorde aux aviseurs une prime de 25 % des fonds récupérés lors d’un détournement de fonds publics. Mon partenaire sur cette affaire, monsieur X, et moi-même, avons abaissé ce pourcentage au niveau le plus bas acceptable par nous-mêmes, à savoir 1% des fonds détournés (en valeur actuelle).

 

Mais, malgré tout, ce pourcentage minimum correspond à une prime de 50 millions d’euros, c'est-à-dire à une somme tout à fait indécente, pour ne pas dire irréaliste. Et nous demandons simplement 15% de ce montant, soit 3.750.000 euros chacun, pour solde de tout compte (ci-joint un RIB / le virement devant respecter les règles de confidentialité de votre ministère).

 

Cette prime d’aviseur représente un gros lot de la Loterie nationale, c'est-à-dire qu’elle est tout à fait raisonnable pour la comptabilité publique qui s’y retrouvera en recherchant les fonds disparus et saura instituer, à cette occasion, un système d’Alerté éthique qui puisse à l’avenir assurer un meilleur contrôle des dirigeants en donnant la possibilité à chaque citoyen de dénoncer efficacement un élu corrompu.

 

Pour le reste de cette prime d’aviseur nous demandons à ce que la somme en question (42,5 millions d’euros) soit destinée à financer la création de fondations reconnues d’utilité publique, c’est à dire placée sous l’autorité du Premier ministre.

 

Vous trouverez ci-dessous les trois fondations RUP que je propose de créer:

 

1/ Fondation Division Daguet.

 

Cette fondation sera destinée à indemniser nos soldats blessés ou décédés en opération. Elle sera aussi la « soupape de sécurité » de la « cocotte minute » que va devenir la défense nationale lorsque cette haute trahison sera rendu public ; car vous pouvez imaginer que bon nombre de militaires ne « digérerons » jamais cette affaire.

 

2/ Institut Européen d’Exopolitique

 

L’Exopolitique est une nouvelle science politique que vous découvrirez en consultant le texte de mon intervention au premier sommet européen d’Exopolitique qui s’est tenu à Barcelone le 25 et 26 juillet 2009. Les enjeux sont considérables et demandent la création d’une structure, contrôlée par l’Etat, qui regroupera des scientifiques du plus haut niveau, des philosophes, des hauts fonctionnaires, des industriels, des politiques…

 

3/ Fondation Euroclippers.

 

La fondation Euroclippers aura pour objectif de promouvoir, au niveau européen, la navigation, en équipage, des jeunes Européens, à bord de grands voiliers, le long des côtes européennes, en transatlantique et en tour du monde. Le projet Euroclippers a retenu l’attention du Premier ministre et un premier grand voilier-école devrait être commandé prochainement pour l’Ecole Navale.

 

Sachez aussi, qu’en cas de divulgation au public de cette haute trahison, je n’accepterai pas de communication directe avec la presse et les médias (les informations sont disponibles sur internet) et que le gouvernement devra assurer la majeure partie de la communication sur cette affaire ; néanmoins, il est possible que mon Conseil, Maître Jean-Paul Baduel, avocat à la Cour, accepte d’assurer une partie de cette communication si une instruction est ouverte.

 

Madame la Ministre, il reste au gouvernement que peu de temps, pas plus d’un mois, pour faire la lumière – quel qu’en soit le coût politique – sur le détournement des indemnités de la guerre du Golfe attribuées à la France en 1991.

 

En effet, la violente dégradation de nos comptes publics, et la très probable cessation de paiement des Etats-Unis et du Royaume-Uni, avant la fin de l’été, vont provoquer, à l’automne prochain, le début d’une « dislocation géopolitique mondiale » dont les développements seront imprévisibles. En fait, l’accélération des événements fera lever les « garde-fous » qui permettent, pour l’instant, à cette affaire de rester cachée du public.

 

A partir du mois d’octobre 2009, compte tenu des tensions internationales qui vont s’aggraver, ce dossier, largement  disponible sur le web, pourra être repris par tout groupe, français ou étranger, ayant l’écoute des médias.

 

Une telle situation serait extrêmement déstabilisatrice pour le gouvernement, et, en tant que membre de l’UMP et membre du « Chêne », l’association gaulliste créée par Madame Michèle Alliot-Marie, je ne peux qu’inciter le gouvernement à lever le voile dès maintenant (début septembre 2009) sur la haute trahison de François Mitterrand.

 

La révélation au public du détournement des indemnités de la guerre du Golfe sera extrêmement éprouvante pour les Français car elle provoquera un véritable choc psychologique remettant en question leurs certitudes ; mais cela ne sera pas plus grave que l’effondrement financier, économique et social, qui est en cours.  Cette divulgation au public permettra, après une forte crise politique, de redonner à l’Etat la légitimité qu’il a perdu et d’améliorer le fonctionnement de notre démocratie.

 

En espérant que ces propositions retiendront votre attention, ainsi que celle des membres du gouvernement, je vous prie de bien vouloir agréer, Madame la Ministre, l’expression de ma plus haute considération.

 

Jean-Charles Duboc

 

Une copie de ce courrier est adressée à :

 

Monsieur François Fillon, Premier Ministre

 

Monsieur Hervé Morin, Ministre de la Défense

 

Monsieur Eric Woerth, Ministre du Budget, des Comptes publics et de la Fonction publique

 

Monsieur Cédric Goubet, chef de cabinet du Président de la République

 

Monsieur Henri Guaino, conseiller du Président de la République

 

Monsieur Franck Robine, chef de cabinet du Premier Ministre

 

Madame Michèle Alliot-Marie, présidente du « Chêne ».

 

Monsieur Xavier Bertrand, secrétaire général de l’UMP