Les aventures de « Tin-tinne » et de « l’Ami-râle Pad-Ock » (IV)
AVERTISSEMENT : Les noms de lieu et des acteurs de ce billet humoristique ne désignent absolument personne en particulier.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite !
En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou humoristique ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle !
Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…
Nous sommes au début du mois de décembre 2013, « L’Ami-râle Pad-Ock » reçoit dans son château de Moulinville, situé dans le Pays-de-Caux, non loin de la mer,
Dans le vaste salon, par un temps frais et humide, le feu crépite dans la cheminée où sont rassemblés l’avocat Maître Rouflaquette, le capitaine de frégate Paul de Bréveuil, « Tin-tinne », fondateur de MEDIAPART, ainsi que les policiers Pompond et Pompont qui ont délaissé leur bureau de la « DS-Thé » pour informer « l’Ami-râle » des dernières informations disponibles à Bercy au sujet de la disparition d’indemnités de guerre.
« L’Ami-râle Pad-Ock » rappelle comment il a déposé des informations, le 19 janvier 1998, à la Brigade de contrôle et de recherche (BCR) du Havre, dépendante de la Direction nationale des enquêtes fiscales (DNEF), au sujet du détournement par « Myth-Errant » des 3,5 milliards de dollars d’indemnités de la guerre du Golfe de 1991.
Le ministère des « Phynances » a totalement ignoré ses nombreux courriers de rappel envoyés durant quinze ans.
Une seule réponse est arrivée, le 6 juillet 1998, par un courrier de « Bernard Paie-hisse » », du bureau CF 1 de la sous-direction du Contrôle Fiscal à la Direction Générale des Impôts, qui l’informe que « je comprendrais que la règle légale du secret fiscal ne me permet pas d'être informé des suites des faits dont j'ai avisé les services fiscaux du Havre ».
En bref, « l’Ami-râle », comme tout citoyen, a le devoir de payer ses impôts, la possibilité d'être contrôlé fiscalement, mais n’a, par contre, aucune réponse à ses courriers lorsqu’il alerte le ministre que des milliards ont disparus !...
Incroyable !...
Et pourtant ce n’est pas faute d’avoir alerté la presse et les médias pendant plus d’une décennie.
Par contre, il a très bien reçu les messages envoyés par la Défense, notamment près de Tours lors d’une passe de tir d’un Mirage III sur le TGV dans lequel il descendait vers Bordeaux, juste après l’arrêt de la grève des pilotes de juin 1998 !...
Le ῝break῝ a eu lieu à une cinquantaine de mètres et, indiscutablement, c’était la place de « l’Ami-râle » à bord du TGV qui était visée. Le chef d’Etat-major de l’armée de l’air a pu apprécier le film pris par la ciné-mitrailleuse !...
Fantastique démonstration d’une attaque au sol d’un avion d’arme !...
« Para-Phrénik » : « Ils vous ont pris pour cible !... C’était une menace !... »
« Pad-Ock » : « Mais non Para-phrénik, c’était pour me remercier de mon action de dénonciation du détournement des indemnités de la guerre du Golfe et de la façon dont j’ai arrêté en 24 heures la grève des pilotes en juin 1998 !... J’étais à l’époque en contact avec la haute hiérarchie de la Marine et de l’Armée de l’Air !... ».
« L’Ami-râle » comprend bien la réaction de « Para-Phrénik », car il l’entend tellement souvent… Les citoyens ont peur d’agir contre l’autorité et pensent que la police et les militaires sont prêts à éliminer les gêneurs… C’est vrai dans les totalitarismes nazis ou communistes, mais complètement aberrant dans notre démocratie.
Quoique de nombreux militaires sortirait bien le sabre, s’ils le pouvaient, pour régler une affaire qui est un crime contre la Défense, comme je l’ai constaté plus d’une fois.
D’ailleurs, si on laisse faire la destruction des institutions de notre démocratie qui se transforme progressivement en « Raie-Pue-Blik-Bananière » on pourrait aller vers n’importe quoi, y compris une dictature brune.
« L’Ami-râle » a eu un incroyable second retour de la défense lors du passage au-dessus de son Château de trois Transall du « KOS », l’un blanc et les deux autres gris, quelques jours après une lettre de rappel sur le dossier à « Christine-regarde-là », la ministre des « Phynances » !...
Il en avait discuté avec un voisin, et avec le maire du village, qui avaient été stupéfaits et impressionnés.
« Para-Phrénik » : « C’était un avertissement qu’à la prochaine lettre au ministre des Phynances, les paras vont débarquer !...»
« L’Ami-râle » : « Para-Phrénik vous dites encore n’importe quoi !... C’était un message du colonel « KOS » qui suit mes actions depuis 15 ans pour me signaler que le dernier courrier avec été reçu avec une extrême satisfaction au ministère de la défense !... Le chef d’Etat-major a pu observer l’enregistrement vidéo où « L’Ami-râle » est en train de prendre le café devant son château !… ».
« Maître Rouflaquette » : « C’était un hasard !... Juste un vol d’entrainement !... ».
« L’Ami-râle » : « Rouflaquette vous ne connaissez absolument rien à l’aviation et je peux vous assurer qu’un passage de trois Transall en formation, à 50 mètres au-dessus d’un village du Pays-de-Caux, avec une vitesse de largage adaptée au parachutiste du « KOS », ce n’est vraiment pas un hasard !... D’ailleurs, c’est formellement interdit par la réglementation !...
« L’Ami-râle » a particulièrement apprécié ce passage à basse altitude qui lui a rappelé ses quelques sauts en parachute d’un Nordatlas, il y a plus de quatre décennies… Il s’était retrouvé sous la coupole de l’adjudant qui lui avait hurlé « Pousses-toi de là, Nez-de-Bœuf !...», et il avait exécuté ῝tout de suite sans tarder῝ !...
Il ne faut jamais se retrouver au-dessus d’un autre parachutiste car cela diminue la portance et c’est un coup à dégringoler dans la coupole de celui qui est en-dessous. Les deux parachutistes peuvent alors continuer à descendre, emmêlés l’un à l’autre, jusqu’au sol !... Bonjour les dégâts !...
De bons souvenirs qui donnent à « l’Ami-râle » le tonus pour se resservir une bonne rasade de Loch Lomont !...
Il évoque, une nouvelle fois, la prime d’aviseur demandée au ministère des « Phynances » pour avoir dénoncé le détournement des indemnités de la guerre du Golfe, et dont le principal intérêt est de lever la prescription des 10 ans.
« L’Ami-râle Pad-Ock » demande en effet une prime de 1% sur les 7,3 milliards d’euros détournés, ce qui fait tout de même 73 millions d’euros !... Un montant totalement indécent et irréaliste !...
Aussi, il a décidé de ne garder que ce qu’il faut pour approvisionner en Loch Lomont, et en grands crus classés, la cambuse du château de Moulinville !... D’après ses estimations, cela correspond à environ le salaire annuel brut d’un inspecteur général des finances en fin de carrière !...
Auquel, bien sûr, il faut ajouter 40% pour mauvaise foi du ministère qui a refusé de lui répondre pendant tant d’années avec, en plus, une pénalité de 4% par année de retard !...
« Tin-tinne » : « Mais que faites-vous de la quasi-totalité de votre prime qui se monte à près de 73 millions d’euros ?... ».
« L’Ami-râle » : « J’ai l’intention de créer la Fondation Division Daguet, destinée à nos soldats tués ou blessés en opération et de la capitaliser à hauteur de la somme qui m’est dûe, soit environ 73 millions d’euros. ».
« L’Ami-râle » détaille ensuite la prochaine demande qu’il va faire à Bercy dans le cas où les 7,3 milliards d’euros des indemnités de la guerre du Golfe sont récupérés :
1/ Payer la prime de guerre promise à nos soldats qui ont participé à l’Opération « Tempête du Désert » avec une majoration de 40% pour avoir pris nos militaires pour des « Pov’kons », et avec une autre majoration de 4% par année de retard !...
Avec une prime prévue de 180.000 francs en 1991, cela fait entre 80.000 et 100.000 euros pour chaque militaire ayant participé au conflit.
Le coût est d’environ un milliard d’euros ;
2/ Indemniser décemment nos soldats qui sont victimes du syndrome de la guerre du Golfe, conformément aux souhaits de l’association AVIGOLFE ;
3/ Construire trois grands voiliers-écoles de 85 mètres au pont pour la formation maritime et humaine des jeunes, pour un coût à la construction de près de 150 millions d’euros.
La Baronne arrive avec des petits fours qu’elle a préparés elle-même. Un agréable intermède au milieu de cette discussion qui rappelle des faits qui sont autant d’atteintes contre nos institutions.
« L’Ami-râle Pad-Ock » souligne qu’au détournement de 3,5 milliards de dollars des indemnités de la guerre du Golfe, il faut ajouter l’escroquerie à 22 milliards de dollars réalisée lors de l’extinction des 1100 puits de pétrole en feu au Koweït en 1991.
Le fameux dossier « Basanix/Féraillé »
Ces deux dossiers forment, en valeur 2014, un total d’environ 55 milliards d’euros.
« Bling-bling » a demandé aux ῝petits hommes en gris῝ de Bercy d’organiser une récupération des fonds qui étaient rassemblés dans un trust à Londres. La première tranche des fonds récupérés, soit 35 milliards d’euros, a été placée dans le grand emprunt 2010 qui n’est qu’un montage financier.
Sur ces 35 milliards, 15 milliards ont servi à rembourser la « CYA », via « L’OTEN », pour le remboursement à l’émir du Koweït des sommes escroquées. En effet, l’Emirat n’avait pas tardé à s’apercevoir qu’il avait payé beaucoup trop cher pour l’extinction des 1100 puits en feu.
« L’Ami-râle » : « L’extinction des puits en feu a couté environ un milliard de dollars alors qu’un contrat de 22 milliards avait été signé : une véritable escroquerie qui a mis l’émir en fureur !... ».
« Para-phrénik » : « Un contrat, c’est un contrat !... Une fois qu’il a été signé et que les puits ont été éteints, il était normal que Basanix et Féraillé touchent les fonds !... Ils n’ont pas touché un seul dollar car ils sont tombés sur une bande de voyous qui ont encaissé l’argent !... »
« L’Ami-râle » : « Féraillé a eu un véritable coup de génie en déposant un brevet à l’INPI sur la façon d’éteindre les puits avec de l’azote liquide à moins 200 degrés, par contre, avec son comptable Basanix, ils ont perdu le sens des réalités et de la mesure en faisant signer un contrat de 30 millions de dollars par puits à éteindre alors que le coût réel était d’un million de dollars !... En effet, à la signature du contrat, les spécialistes pensaient qu’il y en avait pour plus de six ans à éteindre les 730 puits en feu avec la méthode classique du baril d’explosif qui souffle la flamme !... L’émir était complètement paniqué !... Il a signé n’importe quoi !... De plus, ce n’était pas 730 puits qui étaient en feu mais 1.100 comme on l’a su plus tard !...»
« Para-phrénik » : « Un contrat, c’est un contrat !...Les 22 milliards de dollars ont été virés à d’autres que les signataires du contrat !... C’est une escroquerie !... ».
« L’Ami-râle » : « Bien sûr que c’est une escroquerie !... Mais Basanix et Féraillé ont trouvé plus escrocs qu’eux !... Ils avaient les moyens d’accorder des droits sur la technologie à l’azote liquide aux compagnies qui éteignaient ces puits en feu !... Ils auraient touché alors de quoi vivre comme des princes jusqu’à la fin de leurs jours !... Demander 30 millions de dollars par puits pour un coût de un million de dollars alors que l’on ne représente aucune compagnie pétrolière, c’est complètement déjanté !... ».
« Para-phrénik » : « Un contrat, c’est un contrat !... Maintenant Basanix essaie de traduire les autorités en justice !... Et c’est scandaleux !... Il y a eu un véritable déni de justice !... »
« Paul de Bréveuil » : « C’est exact, il y a eu 8 milliards de virés qui sont arrivés en 1991 sur des comptes ouverts au nom de Basanix, dans son dos et dans divers établissements financiers et bancaires « hors les frontières », juste le temps de virer ces sommes sur d’autres comptes réputés inexistants pour les fermer tout de suite après !
Sauf que les traces existent encore et toujours dans les fameux fichiers « Clearstream » et dans les fichiers du programme « Promis » sis aux USA. Tout le monde sait ça, mais ça sera encore couvert par la prescription ».
Paul souligne qu’une deuxième tranche, sur les 55 milliards d’euros détournés et escroqués lors de la guerre du Golfe, devrait être débloquée l’année prochaine. Elle se monterait à 11 milliards dont une partie serait notamment destinée aux recettes exceptionnelles de la Défense pour 2014 !...
Une affaire de plus en plus surprenante qui interpelle fortement les policiers « Pompond et Pompont » car ils ont participé tous les deux à l’Opération Tempête du Désert avant de se recaser à la « DS-Thé ».
« Pompond » : « Bizarre, ces recettes exceptionnelles, ces REX, d’origine inconnue !... »
« Pompont » : « Je dirais même plus : « Bizarre !... Bizarre !... »
« L’Ami-râle » : « Dites-moi, Pompont, savez-vous mijoter un bœuf-carottes ?... »
« Pompont » : « Parfaitement, c’est même ma spécialité !...»
« L’Ami-râle » : « Alors, je vous propose de vous faire embaucher temporairement à Bercy en tant que cuisinier de Moscou-vicié, le ministre des Phynances. Nous verrons après… »
A ce moment-là, le terrible bichon Léon émet un « Ouaf !...Ouaf !... » intéressé car il a entendu que l’on parlait de son plat favori !...
Parce que le terrible bichon Léon, c’est lui qui, en 1996, avait mordu cruellement « Jack-Ouille » au « Kul » alors qu’il venait d’apprendre par la radio que son maître avait un compte au Japon de 300 millions de francs !...
Le président « Jack-Ouille » n’avait pu faire lâcher prise à son bichon qu’en lui promettant un bœuf-carottes, son plat préféré !... Mais cela avait été tellement long à mijoter que la terrible morsure du bichon Léon avait provoqué des dégâts irréversibles chez « Jack-Ouille »…
Le pauvre bichon avait ensuite été éjecté du Château et s’était retrouvé, tel un « Sans-niche-fixe », dans le caniveau.
Il n’eut la vie sauve qu’en se jetant dans les bras du célèbre avocat Maître Rouflaquette qui passait par là en traînant derrière lui l’odeur du Bœuf-carottes qu’il venait de cuisiner !...
C’est ainsi que naîtra le mythe de Maître Rouflaquette toujours accompagné de son inséparable et terrible bichon Léon !...
« Jack-Ouille » a gardé des séquelles à vie de cet épisode.
Il suffit de le voir, maintenant qu’il est à la retraite, marcher à petit pas, avec une canne, en tremblotant !...
Mais « Jack-Ouille » a gardé une rancune tenace contre ceux qui avait organisé cet incroyable complot consistant à faire croire qu’il avait un compte « Cardan-de-Chourcelle » de 300 millions de francs dans une banque japonaise.
Et c’est lui qui avait personnellement demandé au « colonel KOS » et à ses « Palmypèdes » d’assurer la protection du « capitaine Pad-Ock » après l’arrêt de la grève des pilotes de juin 1998.
Car, avec une telle tête brûlée, « Jack-Ouille » savait qu’il tenait l’homme capable de mener à bien l’enquête qui permettrait un jour de savoir comment le coup dirigé contre lui avait été monté.
Paul de Bréveuil: « Vous savez, Ami-râle, que j’ai mené avec succès « l’Opération Juliette-siéra » qui a permis de récupérer 35 milliards d’euros sur les 55 milliards des indemnités de la guerre du Golfe et de l’extinction des puits de pétrole en feu au Koweït. Et bien nous savons maintenant que le compte de « Jack-Ouille » était vrai, mais qu’il en ignorait complètement l’existence !... C’est exactement ce qui s’est passé avec Basanix qui a vu transiter 8 milliards sur un compte bancaire à son nom, et dont il ignorait lui aussi l’existence !...»
« L’Ami-râle » : « Mais il y a plus fort, le policier Pompond m’a appris que le compte de « Kakazucack » à la « Banque-ré » a été crédité de plus
de 700 millions de dollars au début des années 1992 !... ».
Paul de Bréveuil : « Epouvantable !... Mais alors, ces 700 millions de dollars pourraient provenir du compte de Basanix sur lequel ont transité 8 milliards de dollars !... ».
« L’Ami-râle » : « C’est cela !... Les 8 milliards de dollars déposés sur le compte de Basanix ont disparus car il y a eu une dizaine de virements vers autant de sous-comptes dont celui de « Kakazucack ». C’est la raison pour laquelle je vous ai invité avec « Tintin » afin que nous puissions en parler. Pompond est déjà dans les murs de Bercy pour essayer de glaner des informations sur ce qui se prépare actuellement car nous supputons que « Moscou-vicié » prépare un redressement fiscal contre MEDIAPART !... »
Pompond : « Des inspecteurs des finances se sont penchés très sérieusement sur la TVA appliquée à la presse écrite et à la presse en ligne… »
Pompont : « C’est bizarre !... »
Pompond : « Je dirais même plus... bizarre !... bizarre !... »
« L’Ami-râle » : « Nous retenons l’hypothèse d’un contrôle fiscal à la « Hache » afin de détruire MEDIAPART !... »
« Tin-tinne » : « Mais pourquoi ?... Nous sommes l’un des rares médias libres !... »
« L’Ami-râle » : « Et bien justement !... L’affaire Kakazucack et son compte de 15 millions d’euros à la « Banque-ré », que vous avez dénoncé sur MEDIAPART, a provoqué des dégâts considérables pour l’image du gouvernement au moment où il faut demander aux « Gaulois » de se serrer la ceinture !... De plus, ce ne sont pas 600.000 euros, ou 15 millions d’euros, qui ont transité sur son compte, mais près de 700 millions de dollars en 1992 !... Réalisez-vous bien où vous avez mis les pieds ?... »
« Tin-tinne » commence à être franchement inquiet car il ignorait tout cela.
« Tin-tinne » : « MEDIAPART a vraiment pris des risques considérables sur cette affaire… »
« L’Ami-râle » : « C’est pire que tout ce que vous pouvez imaginer et c’est bien pour cela que je vous apporte mon soutien !... Je pense qu’ils vont essayer de vous détruire fiscalement, et, s’ils n’y réussissent pas, vous prenez le risque d’être ῝suicidé῝ comme Béré ou de Grossouvre ».
« Tin-tinne » : « Vous croyez ?... »
« L’Ami-râle » : « Vous avez en face de vous de véritables tueurs qui n’ont aucun scrupule à éliminer !... Je vous ai déjà prévenu dans un courrier il y a quelque temps !...».
La Baronne arrive au bon moment pour détendre l’atmosphère, et invite tout le monde à passer à table.
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