Le trafic de diamants du Président « Valéry Gys-Car-Destin ».
09 décembre 2010
Avertissement : Ceci est une note satirique et humoristique, une fiction, une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est purement, totalement et parfaitement fortuite !
Le blog « Alerte éthique » a pour but d’alerter le public sur le fait que la Vème république est devenue un authentique « Totalitarisme mafieux » dans lequel les dirigeants ont neutralisé tous les contre-pouvoirs : fonctionnaires des finances, de la justice, presse, etc… ; ce qui leur permet de détourner des sommes considérables en toute impunité.
Le détournement de fonds le plus inadmissible est celui des indemnités de la guerre du Golfe versées à la France par le Koweït, et les pays du Golfe, en 1991, et dont le montant est de 3,5 milliards de dollars– soit 7,9 milliards d’euros en valeur actuelle.
Cette situation, qui n’a d’équivalent dans aucun autre pays industrialisé, s’est développée sur la peur lancinante qu’inspire aux fonctionnaires et aux élus les « suicides » de Robert Boulin, de François de Grossouvre et de Pierre Bérégovoy.
Et s’il faut définir un « crime fondateur » de notre « totalitarisme mafieux », je retiendrais celui de l’assassinat de « Robert Boule-Un », ministre du travail de « Valéry Gys-Car-Destin », car il faut remonter à plus de trois décennies pour découvrir les racines d’un mal national qui a transformé notre démocratie en une véritable « république bananière » dans laquelle les dirigeants peuvent faire n’importe quoi en toute impunité.
La plus connue des anomalies de la présidence de « Valéry Gys-Car-Destin » est le scandale des « plaquettes de diamants » offertes par « Jean-Beudel Beau-Cassa », empereur à vie du « Centre-à-Fric ».
Cette affaire a permis ensuite à « l’Arsouille » de prendre le pouvoir.
Mais ce que les Français ne savent pas, c’est que cette affaire de diamants est bien plus grave que ce qu’ont pu en révéler la presse et les médias.
Dans les enquêtes du « Capitaine Haddock », il y en a une qui vaut bien celle du capitaine de Frégate Paul de Bréveuil et je me dois de vous la raconter car elle vaut son pesant de diamants.
Tout d’abord, il faut savoir que le partenaire habituel du « Capitaine Haddock » est un distingué avocat, mais que j’ai un autre partenaire – en fait, une autre – qui me suit dans mes pérégrinations.
Et c’est « Carla », une illustre inconnue, sauf au « 2 +2 », à la « Messaline », etc…, et qui est comme un poisson dans l’eau au milieu des libertins et des libertines…
D’ailleurs, c’est lors du Premier tour de France des clubs échangistes de « Carla » que j’ai pu mener une enquête surprise sur la véritable affaire des diamants de « Valéry Gys-Car-Destin » !...
Incroyable mais vrai !...
Vidéo « Le Canard enchainé et l'affaire des diamants »
C’était une virée comme les affectionne le « capitaine Haddock », qui, mis-à-part picoler, adore traîner dans les bouges de la planète, les maisons closes d’Asie ou d’Amérique du Sud, mais aussi les clubs échangistes et autres boites à partouze de notre belle Gauloisie.
Une expédition qui avait amené le « Capitaine Haddock » et « Carla » au Château du « Roi Dague-Aubert », l’un des plus vieux Château de France dont la construction remonte à l’an 620, et où se trouve l’un des plus beaux club privé de Gauloisie.
En fait, un club parfaitement adapté à « Carla » en raison des multiples recoins, lieux d’échanges et de discussion, et autres endroits relaxants…
La coutume du club est de s’habiller en Romain, et en Romaine, à la mode impériale, pour aller ensuite se vautrer dans le Triclinium, et le « Capitaine Haddock » s’est ainsi retrouvé habillé en … Centurion tandis que « Carla » était déguisée érotiquement en … Hétaïre !...
Quel tableau !…
Mais tous les chemins mènent à Rome et je ne savais pas que cette nouvelle aventure avec « Carla » allait m’apporter des informations capitales sur le niveau de corruption de la Gauloisie et en particulier de notre ancien président « Valéry Gys-Car-Destin ».
(Passons sur les activités nocturnes, variées et diverses, car ce blog n’est pas un site XXX).
Le lendemain matin, au petit déjeuner, « Carla » et moi-même retrouvâmes notre hôte, Gilles « Tore-Naval », un ancien capitaine des parachutistes, auquel j’ai expliqué, parmi d’autres choses, que « l’Arsouille » avait dérobé les indemnités de la guerre du Golfe en 1991.
Et là, Ô surprise, cet ancien militaire, particulièrement révolté par la corruption politique, m’a révélé que, d’après l’une de ses connaissances, l’affaire des diamants de « Valéry Gys-Car-Destin » était bien plus grave que ne l’avait rapporté le Canard Déchaîné : le stock de diamants de l’ancien président était bien plus important que tout ce qu’il est possible d’imaginer !...
Car, lors de « l’opération Bar-à-Cuba », qui a permis de renverser l’empereur à vie du « Centre-à-Fric » le 20 septembre 1979, la résidence impériale de « Ber-Ringo » fut fouillée par nos paras qui y découvrirent un stock de diamants d’une valeur considérable.
En effet, « Jean-Beudel Beau-Cassa » était prévoyant, et, depuis son accession au pouvoir en 1965, il s’était octroyé une partie important de la production de diamants du « Centre-à-Fric ».
Cette réserve de diamants se montait à 106 000 carats.
De très beaux diamants bruts dont la valeur totale est estimée à trois milliards de dollars de l’époque.
Car il faut savoir qu’un superbe diamant brut peut valoir 200.000 à 300.000 euros, et que 106.000 carats et bien cela tient tout simplement dans un gros attaché-case…
Et la majeure partie de cette fortune fut remise à notre Président « Valéry Gys-Car-Destin » qui aurait du logiquement la remettre à « David Dac-Koo », neveu et successeur de « Jean-Beudel Beau-Cassa ».
Celui-ci l’aurait bien entendu utilisée pour construire des écoles, des routes, des hôpitaux, en « Centre-à-Fric »…
Mais les diamants ont été retaillés à Tel-Aviv, New-York, et Hong-Kong, puis … plus de nouvelle.
Le receleur, notre vénérable président de la « Ripoublique », les aurait ensuite revendus pendant des années « au black », sur les marchés internationaux, sans bien sûr déclarer les ventes au fisc.
Car il faut bien vivre : « Valéry Gys-Car-Destin » était en effet tombé raide-amoureux de la femme de « Jean-Beudel Beau-Cassa » à qui il avait acheté un château pour abriter leurs amours…
De plus, il y a une quinzaine d’années, notre très respecté président a fait installer une grille en fer forgé autour de son château pour la coquette somme d’un million d’euros.
Tout ceci coûte fort cher et ce n’est pas une retraite de président de la « Ripoublique » qui permet de telles largesses et de tels investissements.
Aussi, toujours aussi révolté par le niveau de corruption de nos présidents, et après une petite vérification de l’info, j’ai déposé ces nouvelles informations à la BCR du Havre en mars 2000.
Elle a été immédiatement prise en compte par la DNEF car j’étais déjà connu avec la dénonciation du détournement des indemnités de la guerre du Golfe et cela équilibrait la situation: un coup sur la Gauche (la plus corrompue de la planète), et un coup sur la Droite (la plus bête du monde)…
Cette dénonciation est conforme à l’article 40 du code de Procédure pénale, auquel je m’estime astreint en tant qu’ancien fonctionnaire.
Une enquête fiscale de la DNEF a été engagée sur les revenus de l’ancien président « Valéry Gys-Car-Destin » pour deux raisons : la première concerne le pillage d’un pays sous-développé ; la seconde, le recel et la vente de diamants.
Et quand je pense que « Valéry Gys-Car-Destin » avait mis cette affaire de contrôle fiscal sur le dos de « Jackouille la Fripouille » !...
Mais Noonn !... C’était tout simplement le « capitaine Haddock », un ancien pilote « d’Air Transe », qui tentait de faire le ménage dans la classe politique !...
Mais j’attends toujours le résultat de l’enquête, car c’est solide un « totalitarisme mafieux » !...
Puis j’ai adressé, le 9 avril 2001, à Laurent Fabius, ministre de l’Économie et des Finances, une demande de prime d’aviseur de 3 millions d’euros pour solde de tout compte sur cette affaire.
En effet, le gangster « Valéry Gys-Car-Destin », président de la « Ripoublique », vaut bien une petite prime… Et puis, il savoir donner une preuve définitive de son mépris aux dirigeants lorsqu’ils sont corrompus.
Ajoutons que sur la prime de trois millions d’euros, le « capitaine Haddock » a promis à « Carla » un million d’euros pour sa contribution à cette enquête extraordinaire dans une boite à partouze ainsi qu’un autre million à Gilles « Tore-Naval » pour terminer la rénovation du château du « Roi Dague-Aubert ».
Je suis presque déjà à sec !...
Bref, mes partenaires me coûtent les deux-tiers de ma prime. Mais tout ceci est un travail collectif et les uns et les autres doivent recevoir ce qui leur est dû – à la condition que Bercy paie ses aviseurs, bien entendu…
Bien sûr, cette incroyable affaire du trafic de diamants du Président « Valéry Gys-Car-Destin » a été étouffée, comme la majeure partie des affaires.
En conclusion, s’il faut définir la naissance de notre « Totalitarisme mafieux », et bien il faut remonter à la présidence de « Valéry Gys-Car-Destin », « père spirituel » de toutes les turpitudes financières qui vont se succéder sous le règne de « l’Arsouille », de « Jackouille la Fripouille », et quelques autres bouffis dont « Balle-à-Mou ».
Fort heureusement, tout ceci ne concerne pas « Bling-bling », notre « Divin et Ô combien vénéré président » qui va révéler tout ceci au public !...
Mille millions de mille sabords !...
Capitaine Haddock
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