Parti de la Mer -Normandie

Création du Parti de la Mer

Champagne !

 

La décision de créer le « Parti de la Mer –Normandie » mérite de sabrer une bouteille de champagne !...

Autant prendre de bonne habitude !...

 


En débouchant du champagne, des scientifiques découvrent l’existence d’un fugace panache bleu mettant en émois la communauté scientifique et les connaisseurs de la divine-boisson.

Y’aurait-il de l’hydrogène caché dans les « Dom Pérignon » ?
Les physiciens de l’équipe « effervescence » de l’université de Reims ont heureusement trouvé une explication rationnelle à ce phénomène.



Ce surprenant panache bleu sortant d’une bouteille de champagne, vous ne l’avez jamais vu. Et pour cause : Il intervient pendant les deux premières millisecondes après l’échappement du bouchon. Trop rapide, donc, pour l’œil humain. Ce qui explique qu’on ne s’en était jamais inquiété.

Même les physiciens de l’équipe « effervescence », de l’université de Reims l’ont mis en évidence un peu par hasard. Son responsable, Gérard Liger-Belair, raconte : « Nous travaillons beaucoup sur les bulles, plus particulièrement sur le champagne, et nous voulions mesurer la vitesse d’expulsion du bouchon. Nous avons donc loué une caméra ultrarapide pour une journée et le technicien capable de l’utiliser. La surprise est venue en observant les photos. Un panache bleu. Ce que nous n’avions jamais vu, la caméra l’avait saisi. »



La vidéo a pu déterminer la durée du phénomène : 2 millisecondes, 3 tout au plus. Et apporter une précision notable : Le panache azur n’apparaît qu’avec des bouteilles suffisamment chaudes. À 6 ou 12 °C, la sortie du goulot ne laisse voir que le léger brouillard de condensation de l’air ambiant, familier des amoureux de boissons gazeuses. À 20 °C, en revanche, c’est bien du bleu qui accompagne l’expulsion du bouchon.

Après tout de même deux ans de recherche, l’équipe rémoise a trouvé l’explication, publiée jeudi 14 septembre dans la revue Scientific Reports. 
La couleur provient de la condensation, non pas de la vapeur d’eau de l’air ambiant, mais du gaz carbonique contenu dans le goulot !
C’est le gaz carbonique dans le goulot et à l’extérieur qui subit ce phénomène.


Petite explication technique : Lors de l’expulsion, le gaz contenu dans la bouteille subit ce que l’on nomme une « expansion adiabatique ».

Pendant les premiers instants, il n’échange aucune énergie avec le milieu extérieur. 
En revanche, son volume disponible se trouve brutalement étendu. La pression chute.


Pour conserver son équilibre, le système va donc voir sa température baisser tout aussi brutalement. « Et plus la température de la bouteille est élevée, plus celle du gaz va être basse », souligne Gérard-le-physicien. 
Un constat contre-intuitif mais assez aisé à expliquer : En effet, plus la température est élevée, plus la pression dans la bouteille est importante. « 5 bars à 6 °C et jusqu’à 8 bars à 20 °C ».

Et plus forte est la décompression, lors de l’ouverture de la bouteille. Pour rester à l’équilibre, le gaz voit donc sa température baisser d’autant.


Les chercheurs ont ainsi constaté que dans une bouteille à 6 °C, le gaz expulsé atteint la température déjà respectable de – 75 °C. Mais à 20 °C, le CO2 descend jusqu’à – 88 °C, sous le point de congélation. 
Et ce sont ces minuscules cristaux de CO2, d’une taille inférieure à la longueur d’onde de la lumière, qui, à la manière du ciel au-dessus de nos têtes, vont diffuser la lumière bleue.

Un phénomène extrêmement fugace : « Deux millisecondes plus tard, les échanges avec l’air ambiant font remonter la température. » Le CO2 redevient gazeux. Et le panache s’évanouit.



Vous avez tout compris ? Alors une dernière précision : Les chercheurs ont montré que la congélation du CO2 exige la présence de cristaux de glace. Mais la nature est bien faite : Le champagne ne manque pas d’eau. Dans le goulot, à mesure que la température baisse, des microparticules de glace apparaissent − on se souvient que l’eau gèle à 0 °C − et agissent comme catalyseur pour condenser le gaz carbonique. « En réalité, le panache est donc composé de cœurs de glace d’eau enrobés de cristaux de CO2 », conclut l’étude.


Si, comme nous l’avons vu, l’observation du phénomène doit beaucoup au hasard − et à l’idée presque sacrilège d’ouvrir une bouteille de champagne à 20 °C −, sa compréhension est née de la curiosité scientifique. « Nous avons été mis sur la voie par la physique des gaz d’échappement des fusées. Dans les tuyères, un phénomène similaire se passe, sauf que cette fois c’est le gaz carbonique qui sert de catalyseur à l’azote. »

Le catalyseur catalysé… D’Ariane au champagne, il n’y avait plus qu’un pas.

Source : http://flibustier20260.blogspot.fr/2017/09/les-reims-doigts-samusent.html

 


Il est temps de s’y mettre !...

 

Je ne peux que constater qu’il n’y a pas de véritable parti libéral en France, et encore moins de parti politique qui propose de construire des grands voiliers-écoles pour les jeunes.

 

De plus, notre nouveau président n’a toujours rien de sérieux à proposer pour notamment :

  • Apporter une réelle formation humaine aux jeunes ;
  • Réduire le poids de l’Etat dans l’économie ;
  • Financer correctement la Sécurité Sociale et inciter nos entreprises à se relocaliser ;
  • Neutraliser les « zones de non-droit » où prolifèrent des trafics de tous genres ;
  • Dénucléariser la planète ;

 

Je commence à démarcher les personnes qui pourraient être intéressées pour créer un nouveau parti politique, le « Parti de la Mer – Normandie », de type libéral maîtrisée, et dont les grandes lignes sont déjà disponibles sur ce blog :

http://euroclippers.typepad.fr/parti_de_la_mer/

 

Ce sera un parti politique régional axé sur :

1/ la formation humaine par la navigation à bord de grands voiliers-écoles ;

2/Législatives au scrutin uninominal à un tour, de façon à ce que toutes les tendances politiques soient représentées à l’Assemblée Nationale ;

3/ Tirage au sort des sénateurs parmi des citoyens volontaires de façon à ce qu’au Sénat il y ait autant de femmes que d’hommes, tous les âges, toutes professions, toutes les tendances politiques ;

4/Création d’une cotisation sur les Produits manufacturés pour le financement de la Sécurité Sociale (CSPM), voir la description sur le blog Alerte éthique ;

5/ Forte diminution du rôle de l’État qui doit se concentrer sur ses grandes fonctions régaliennes (Défense, Sécurité Intérieure, Justice, Education) ;

6/ Développer la filière nucléaire au Thorium ;

7/ Contrôle des « Zone de non-droit » par la Police et l’Armée pour arrêter les trafics de drogue, d’armes et le mépris envers les femmes ;

8/ Développement des relations maritimes avec les autres Régions européennes ;

 

Chaque région maritime a ses propres caractéristiques géographiques, culturelles, et il est souhaitable de créer des partis régionaux, autonomes, qui définiront leur stratégie, leurs objectifs en fonction de leurs besoins.

L’un des buts est de créer un « Parti de la mer » en Martinique, Guadeloupe, Polynésie, Corse, Bretagne, etc…

 

Jean-Charles Duboc

 


Le « Parti de la Mer », un parti politique maritime, européen, humaniste et libéral

AVERTISSEMENT : Ce billet fait partie d’un ensemble de notes qui sont autant d’ébauches pour la création d’un nouveau parti politique, le « Parti de la Mer ». Les considérations que vous y trouverez ne sont pas forcément définitives. Ce sont juste des éléments de réflexion qui permettent d’avancer afin de définir les caractéristiques et le programme du « Parti de la Mer », un parti politique de droite, du type « libéral maîtrisé », humaniste, caractérisé par une action privilégiée en faveur des jeunes, et de l’Europe, au moyen du développement de la navigation en équipage à bord de grands voiliers.

Comment définir le « Parti de la Mer » ?...

Je rappelle que le slogan du « Parti de la mer » sera « Des grands voiliers-écoles pour les jeunes Français et les jeunes Européens !...», mais c’est tout de même un peu juste pour être classé politiquement !...

Le « Parti de la Mer » sera tout d’abord un parti maritime, le seul en France, et même en Europe, dont la stratégie sera principalement axée sur la mer.

L’objectif est d’avoir des élus dans chaque port de France de façon à être représenté dans les conseils municipaux, les régions et départements, afin de créer une école de voile de haute mer dans chaque port de Métropole et d’Outre-mer.

Evidemment, cette volonté d’être représenté localement s’étend bien sûr à la représentation à l’Assemblée Nationale et au Sénat.

Vous imaginez un groupe d’une cinquantaine de députés à l’assemblée nationale en train de chanter (en picolant…) : « On veut un ministère de la mer !... » ?...

Succès garanti !...

La représentation ne s’arrêtera pas, bien sûr, au niveau national car les élections européennes présenteront un intérêt majeur pour le « Parti de la Mer ».

En effet, le « Parti de la Mer » ambitionnera de faire naviguer des jeunes Français et des jeunes Européens le long des côtes européennes mais aussi entre des ports et des régions européennes qui n’ont aucun contact entre-elles !...

Un fantastique défi dont le but est d’accroitre les échanges entre les jeunes Européens qui prendront mieux conscience de leur histoire commune et de ce qu’il a fallu comme souffrances avant de construire l’Europe : des siècles de conflits, massacres et guerres, que nous avons du surmonter.

C’est aussi un projet humaniste, car il s’adresse à tous les jeunes, quelles que soient leurs origines sociales, religieuses et ethniques.

Un projet dont l’Europe a plus que jamais besoin au moment où les partis xénophobes et racistes refont surface dans quasiment tous les pays européens.

Un phénomène qui nous rappelle la funeste montée des extrémismes durant les années 1930.

Il faut à l’Europe une solution pour contrer la réapparition de sa « face sombre » en lui donnant un nouveau et puissant moyen de développer les échanges entre les jeunes Européens et enrichir la compréhension mutuelle de ses 500 millions d’habitants, et ce sera le « Parti de la Mer » qui l’apportera.

Par contre, tout ceci n’est pas suffisant pour définir les grands axes d’une politique économique et je me dois de développer la philosophie « libérale maîtrisée » qui sera retenue par ce parti.

Et, pour cela, je reprends un extrait d’un texte rédigé par « I-Cube » et disponible à l’adresse suivante :

http://infreequentable.over-blog.com/article-les-constats-de-vcrm-66722548.html

La « casse des services publics », voilà la justification principale des syndicats et partis de gauche pour affirmer que le libéralisme s'est emparé de la « Gauloisie sociale », sous la pression des directives européennes (l'exemple emblématique est donné avec EDF et la SNCF).

Or la « sauvegarde des services publics » (comprendre « sous leur forme actuelle ») est présentée comme l'un des « piliers » du « modèle social français » menacé par le libéralisme outrecuidant.

Ceci est une pure invention des étatistes.

Les « Services d'Intérêt Général » prennent des formes très différentes selon les pays, tout en ayant une efficacité équivalente voire meilleure qu'en « Gauloisie éclairée » où des formules différentes ont été expérimentées avec succès (ex les « points poste » tenus par les commerçants).

Faute de s'en tenir à l'essentiel et de faire les choix qui s'imposaient pour ne pas verser dans le « toujours plus », ce modèle n'est plus qu'une machine à produire des échecs.

L'essentiel du « modèle social français », en amont de ses résultats catastrophiques est constitué, comme le dit R.Cayrol (Institut CSA), de 4 « piliers » :
– Le droit à l'éducation gratuite ;

– Le droit à l'assurance maladie gratuite ;

– Le droit à la retraite ;

– L'indemnisation des chômeurs.

Ces points sont effectivement plébiscités par les « gaulois » qui y sont viscéralement attachés (et on les comprend).

Or, il faut faire preuve d'une mauvaise foi manifeste pour oser affirmer que le libéralisme met en péril ces points clés du système actuel, même si des aménagements y sont apportés : Serait-il si scandaleux que l'enseignement supérieur soit payant, sans aide pour les familles aisées et avec un système de bourses renforcé pour les plus démunies (ce qu'a fait T. Blair en GB) ?

Ils ne sont d'ailleurs pas une exclusivité « Gauloise » dans la mesure où tous les pays européens, y compris les plus libéraux, les respectent, avec des variantes d'application bien entendu.

Le tableau suivant pour juger des risques de menace (réels ou imaginaires) qui pèseraient sur nos ces acquis sociaux, dans l'optique d'un libéralisme modéré (je dis « maîtrisé »), par comparaison avec « l'ultra libéralisme ».

Bien entendu, la « menace » est claire et assumée pour certaines « corporations » qui verraient leurs propres « avantages acquis » (en fait des privilèges qu'elles présentent comme des acquis pour l'ensemble du « peuple des Gaules ») supprimés ou à tout le moins sérieusement entamés.


On y trouve, pour chacun des thèmes, les points clés ...
– De la situation française actuelle (« étatiste ») ;

– De la solution « libérale maîtrisée » ;

– De la version « ultralibérale » (que je ne fais pas mienne !) :

THEME

ETATISTE

LIBERAL

ULTRA-LIBERAL

SERVICES PUBLICS

sureffectifs
statut lourd et dévoyé
monopoles sur services marchands
privilèges pour entreprises publiques (réductions de tarifs, horaires, retraites)

réduction drastique des effectifs
révision du statut
vraie GRH
concurrence sur services marchands
suppression des privilèges

régalien pur

EDUCATION

égalitarisme --> inégalités
sureffectifs administratifs (mammouth)
enseignement supérieur "gratuit"

décentralisation autonomie
réduction effectifs admin
enseignement supérieur payant (avec bourses)

chèque éducation
privilégier le privé

SANTE

Dilution des moyens
(hôpitaux)
peu/pas d'optimisation de l'administratif

Optimisation des moyens
Quantitatifs-Qualitatifs
Moyens pour CHUs
Hôpitaux privés à but non lucratif

privatisation

RETRAITES

Uniquement répartition

Mixte répartition/capitalisation

uniquement capitalisation

PROTECTION SOCIALE

Monopole d'État

Suppression du monopole
renforcement de la mutualité

libéralisation totale

FISCALITE

système complexe
niches
ISF démagogique

3 tranches
suppression des niches
suppression ISF

Flat-tax

suppression ISF

CODE DU TRAVAIL

complexe et lourd
fuite en avant sur le smic
35 h
restriction des licenciements --> frein à l'embauche + précarité
protection des emplois

contrat unique
contrat de mission (seniors)
modération du smic baisse des charges
35h privé : le mal est fait
35h public : augmentation pour 35h vraies
libéralisation des licenciements
protection des personnes

idem
35h : abolition
idem
idem

SUIVI DES CHOMEURS

laxisme des contrôles
pas d'accompagnement
allocation/durée moyennes

+ contraignant
+ sérieux (oblig. résultat) + délégation au privé
fortes allocation/durée

très contraignant
privé pur
faibles allocation/durée

ENTREPRISES

maintien en survie artificielle des industries obsolètes
subventions

abandon contrôlé industries obsolètes
subventions avances sur cdes de l'État
incitations à la recherche

laisser aller laisser faire

RECHERCHE

peu de recherche privée car pas d'incitation
peu de stratégie
gabegie (CNRS)
saupoudrage des moyens

pôles excellence
incitation privé
vraie réforme CNRS suppression disciplines/labos non « stratégiques » concentration des moyens

idem

Au vu de ce tableau, comment peut-on décemment affirmer qu'on a déjà passé au pays entier une « camisole libérale » ?

A contrario, il montre clairement que, dans les grandes lignes, la même politique a été menée depuis 30 ans, tant par la « gauche » que par la « droite ».

Qu'attendent les médias pour l'affirmer et le démontrer haut et fort ?

S'il est une carence de l'information, c'est bien celle-là !

Et bien, voilà !... Si vous voulez avoir une idée du programme politique du « Parti de la Mer » et bien c’est dans la colonne Libéral !...

Et où ce serait placé à l’Assemblée Nationale ce parti là ?...

Et bien là où se trouve l’UMP !...

C’est mon « Bling-bling » qui va être content !...

Mille millions de mille sabords !...

« Capitaine Haddock »

P.S. (Ajout du 4 mai 2011)

Le « Parti de la Mer » sera composé d’un réseau de partis régionaux totalement indépendants comme le « Parti de la Mer – Bretagne » ou encore le « Parti de la Mer – Martinique ».

Un parti politique est simplement une association loi 1901 auquel est liée une association pour le financement.

Ainsi, toute personne peut créer un « Parti de la Mer régional ».

Si vous êtes intéressé vous pouvez me contacter par email :

[email protected]


« Parti de la Mer » : les grands voiliers-écoles retenus

 

 

Je reprends une présentation des navires étudiés par le Fonds de dotation Euroclippers, et qui sont de bons candidats pour la construction de nouvelles unités grands voiliers-écoles :

 

Le « Statsraad Lehmkuhl », voilier-école norvégien basé à Bergen.

Le Statsraad Lehmkuhl est un navire de 98 mètres hors tout, construit en 1914 par Johann C. Tecklenborg AG à Bremerhaven-Geestemünde (Allemagne) pour la formation des élèves de la marine marchande allemande et qui navigue toujours.

Noms antérieurs: «Friedrich Grossherzog » (1914-1923) et «Westwärts» (1940-1945) ; Type: trois-mâts barque / voilier-école

Longueur hors tout : 98,00 m

Longueur de coque : 84,60 m

Longueur à la flottaison : 73,00 m

Largeur : 12,60 m

Hauteur maximale : 48,00 m

Tirant d'eau maximal : 5,20 m

Tonnage brut : 1 516 t

Nombre de voiles : 22

Surface totale de la voilure : 2.026 m2

Vitesse maximale à la voile : 17 nœuds

Vitesse maximale au moteur : 11 nœuds

Nombre maximum de stagiaires pour les croisières-écoles : 150 ; Nombre maximum de passagers pour les navigations dans les fjords: 350

Le coût à la construction est estimé entre 40 et 45 millions d’euros, en fonction de l’aménagement et du nombre d’exemplaires construits.

 

 Vidéos et photos du « Statsraad Lehmkuhl » sur :

http://www.youtube.com/watch?v=Iik2E1GQ-9o

http://www.youtube.com/watch?v=aYlr4rgwAmU

http://www.lehmkuhl.no/

 

S’il y a un voilier-école à retenir en priorité pour créer une école de voile de haute mer, c’est celui-ci car :

1/ Il a été conçu dès l’origine en tant que voilier-école ;

2/  Il navigue depuis presque un siècle et une évaluation a permis de conclure qu’il pouvait naviguer encore 50 ans ;

3/ Il est armé par une Fondation qui arrive à équilibrer ses comptes depuis sa création, c'est-à-dire depuis 1978.

 

Le « Cisne Branco », voilier-école de la Marine brésilienne.

Le Cisne Branco est destiné à la formation des équipages de la Marine brésilienne et il est armé pour 8 officiers, 12 marins professionnels et 58 midships. 

 Le Cisne Branco, qui signifie en portugais "Cygne Blanc", est une réplique des Clippers extrêmes du milieu du XIXème siècle qui participaient chaque année à la fameuse course du thé vers l’Asie.

Il a été livré à la Marine brésilienne, en janvier 2000, par le chantier naval Damen Oranjewerf d’Amsterdam, et possède un sister-ship, le Stad Amsterdam, qui a été lancé en 1998 pour le Millénium.

Si les formes de ces deux voiliers ne sont pas aussi extrêmes que celles de certains clippers américains de la grande époque, elles n'affichent pas une différence fondamentale par rapport aux meilleurs marcheurs des années 1860 et restent proches, par exemple, de celles du fameux clipper du thé Thermopylae.

Le navire est aussi équipé d’un moteur principal de 1014 CV, et d’un propulseur d'étrave de 420 CV.

Conformément à la tradition, toutes les voiles carrées sont rentrées par l'intermédiaire de cargues classiques car les systèmes modernes à rouleau ne sont pas de mise sur le Cisne Branco qui reste un voilier authentique.

Longueur hors tout : 78 m;

Longueur au pont : 60,50 m;

Longueur entre perpendiculaires : 55,84 m ;

Largeur max. : 10,50 m;

Tirant d'eau : 4,8 m;

Tirant d'air max : 46,50 m;

Déplacement : 1038 tonnes;

Vitesse au moteur : 11 kt;

Vitesse sous voile max : 17,5 kt;

Le navire est équipé d’un moteur principal de 1014 CV, et d’un propulseur d'étrave de 420 CV.

 Le Cisne Branco porte jusqu'à 2200 m2 de toile, pour 31 voiles, et la vitesse maximale est de 17,5 nœuds, ce qui correspond aux meilleures performances des anciens clippers.

Le Cisne Branco et son sister-ship, le Stad Amsterdam, ont pour designer le bureau d’étude Gérard Dijkstra & Partners à Amsterdam.

 Un magnifique voilier qui est le deuxième voilier-école retenu par le « FDD Euroclippers » en raison de son architecture du milieu du XIXème siècle, de ses performances, de la qualité de la construction, et de la possibilité de l’évaluer par une navigation à bord de son sister-ship le Stad Amsterdam.

Le coût à la construction est d’environ 30 à 35 millions d’euros en fonction du nombre d’exemplaires construits et des aménagements intérieurs.

Vidéos du « Cisne Branco » et du « Stad Amsterdam »:

 http://www.youtube.com/watch?v=5DIneoNJ07s

http://www.youtube.com/watch?v=QZ_afHN22KM

 

Le « Tarangini » voilier-école de la Marine indienne.

Le  Tarangini, qui signifie "celui qui glisse sur les vagues", est le voilier-école de la Marine indienne et il a été lancé en 1998.

Son  designer est l’architecte naval Colin Mudie et le navire peut être équipé pour les handicapés.

Longueur hors tout : 51,70 m ;

Longueur au pont : 43 m ;

Largeur : 8,5 m ;

Tirant d'eau : 4,1 m ;

Déplacement : 420 t ;

Voilure : 1035 m2 ;

Moteur : 2 fois 260 CV.

Ce navire navigue toute l'année et son autonomie au moteur est de 2000 miles nautiques dans des conditions normales de vent. Il a embarqué à son bord des cadets de 13 différents pays  lors de la circumnavigation qu’il effectua en 2003/2004.

Il est possible d’évaluer en Europe son sister-ship qui est le Lord Nelson, voilier britannique destiné aux handicapés, de 43 m de longueur au pont, pour 20 membres d’équipage et 40 passagers.

Coût à la construction entre 20 et 25 millions d’euros en fonction du nombre de navires construits et des aménagements.

 Vidéos du « Lord Nelson », sister-ship du « Tarangini »:

http://www.youtube.com/watch?v=q0bi8toMooQ

http://www.youtube.com/watch?v=n9wSez5RkIw

 

Un outsider : la goélette "Atlantic".

Ce navire a connu un vrai succès auprès des administrateurs du « FDD Euroclippers », bien qu’il ne soit pas encore catalogué comme voilier-école.

La goélette Atlantic a détenu le record de traversée de l’Atlantique, en 12 jours et quatre heures, pendant 75 ans. Ce record a été établi en mai 1905 lors de la première édition de la Kaiser’s Cup lorsque les 2.925 miles nautiques entre New York et le cap Lizard ont été parcouru par « Atlantic », commandée par Charlie Barr, à une moyenne de 14 nœuds.

Un voilier absolument remarquable dont une réplique a été lancée récemment.

Pour savoir si ce navire convient à une école de voile de haute mer il devra être évalué par le comité scientifique du « FDD Euroclippers ».

 Construction acier sur le chantier hollandais Van der Graaf en 2008.

 Longueur hors tout : 69 m ;

Longueur de coque : 56 m ;

Longueur flottaison : 41 m ;

Maitre beau (largeur) : 8,8 m ;

Tirant d’eau : 5 m ;

Déplacement : 395 t ;

Lest : 120 t ;

Voilure : 1 721 m2 ;

Équipage : 50 personnes.

Plus d’infos : Atlantic Schooner.

Le coût à la construction devrait être d’environ 25 millions d’euros pour une finition assez rustique mais suffisante pour un équipage d’adolescents et de jeunes adultes qui ont avant tout envie de partir à l’aventure.

 

D’autre part, il est à préciser que les navires seront construits sur les chantiers navals français car, dans la demande de « Rescrit fiscal » qui permettra la défiscalisation des dons, il a été bien spécifié que les navires construits par le « FDD euroclippers » le seront sur nos chantiers dans un but d’intérêt général.

Un point important au moment où la construction navale s’interroge sur son avenir.

 

Jean-Charles Duboc

 


La marque « Parti de la Mer » enregistrée à l’INPI !...

 

 

La première étape pour créer un parti politique est de lui trouver un nom !...

Celui que j’ai choisi pour développer le projet Euroclippers  est le « Parti de la Mer » et la marque a été déposée à l’Institut National de la Propriété Industrielle (INPI) le 31 octobre 2010.

Cette marque est maintenant en vigueur en France sous le Numéro : 3778543, pour les classes 35 et 41 :

http://bases-marques.inpi.fr/Typo3_INPI_Marques/marques_resultats_liste.html

Il ne reste plus qu’à définir le programme du « Parti de la Mer - Normandie » puis rédiger les statuts (deux à trois mois) et créer ensuite ce nouveau parti politique qui doit satisfaire un besoin de rassemblement libéral, normand et maritime.

 

 

Jean-Charles DUBOC

 

P.S. (Ajout du 4 mai 2011)

Le « Parti de la Mer » sera composé d’un réseau de partis régionaux totalement indépendants comme le « Parti de la Mer – Bretagne » ou encore le « Parti de la Mer – Martinique ».

Un parti politique est simplement une association loi 1901 auquel est liée une association pour le financement.

Ainsi, toute personne peut créer un « Parti de la Mer régional ».

Si vous êtes intéressé vous pouvez me contacter par email :

[email protected]


Ça y est !... J’ai décidé de créer le Parti de la Mer !...

 

 

J’ai, enfin, décidé de créer le Parti de la Mer !...

 

 

 

 Le slogan de campagne du « Parti de la Mer » sera « Des grands voiliers-écoles pour les jeunes Français et les jeunes Européens !... ».

Parce que, dans ma vie d’adulte, j’ai souvent eu envie de « mettre les voiles ».

Et la meilleure façon est encore de partir à bord d’un grand voilier afin de parcourir le monde, de voguer sur les océans, de découvrir la planète.

 

J’en suis arrivé à la conviction qu’il me fallait créer ce parti politique - un parti libéral, mais « libéral maîtrisé » – pour arriver à développer le projet Euroclippers qui a l’ambition de créer une école de voile de haute mer dans chaque port de France, et d’Outre-mer, pour les jeunes Français et les jeunes Françaises :

http://euroclippers.typepad.fr/mon_weblog/2008/10/crise-financire.html

 

 

 

Jean-Charles Duboc

 

P.S. (Ajout du 4 mai 2011)

Le « Parti de la Mer » sera composé d’un réseau de partis régionaux totalement indépendants comme le « Parti de la Mer – Bretagne » ou encore le « Parti de la Mer – Martinique ».

Un parti politique est simplement une association loi 1901 auquel est liée une association pour le financement.

Ainsi, toute personne peut créer un « Parti de la Mer régional ».

Si vous êtes intéressé vous pouvez me contacter par email :

[email protected]