Histoires Kameulf sur les (f)Ummistes, traduites par Jean-Marc…
Vous le savez, trois Ovni ont été repérés au début du mois de mars dernier en région parisienne, venant livrer les nouvelles de l’immense cosmos aux civilisations assez arriérées pour ne pas disposer des technologies indispensables pour communiquer correctement.
Ils appellent ça la « tournée des corbeaux », faisant référence à la lenteur légendaire (dans tout le cosmos) de la distribution du courrier dans quelques « pays-avancés » de la planète Terre.
Elle-même, encore plus arriérée…
Les avancées techniques et scientifiques n’intéressent pas Jean-Marc, notre collaborateur assidu, qui dispose néanmoins d’un logiciel de traduction de sa conception et ne s’en sert que pour traduire les « blagues » et autres traits d’humour qui circulent dans la galaxie.
Les blagues drôles et histoires idiotes, c’est la seule chose qui fasse son intérêt quotidien et le pousse encore à se lever le matin.
Je vous livre la fin de ces messages, qui « mettent en boîte » la civilisation des Ummos, considérés comme de pauvres tarés, mais quand même plus « avancés » que nous-mêmes pour participer aux échanges inter-civilisationnels habituels.
Nous, on est seulement ravitailler par … les corbeaux !
Deux copains Ummos se croisent :
« – J'ai trouvé un bon moyen d'éviter les contraventions !
– Ah oui ! Qu'est-ce que c'est ?
– J'ai enlevé mon essuie-glace sur ma soucoupe-volante ! »
Deux délinquants Ummos veulent s'échapper de leur prison.
Le premier dit à l'autre :
« Va voir comment est le portail : S'il est par terre, on passe par-dessus, s'il est en l'air, on passe par-dessous. »
Le deuxième va voir, revient, et dit :
« On ne peut pas s'échapper, il n'y a plus de portail ! »
Deux Ummos qui parlent entre eux :
« – Eh, tu ne devineras jamais…
– Quoi ?
– C'est bien ce que je dis, tu ne devineras jamais… »
Le célèbre Itumatu apprend à conduire une soucoupe volante à son fils, Ayaya.
« Quand le voyant est rouge tu t'arrêtes !
Quand il est vert tu passes.
Et quand je suis tout bleu, tu t'arrêtes aussi ! »
Ayaya, le fils du célèbre Itumatu, est dans la grande section à la maternelle.
Il rentre de l'école et dit à sa mère, Yituma :
« – Maman, maman, aujourd'hui, l'institutrice m'a demandé si j'avais des frères et sœurs qui allaient rentrer en maternelle bientôt.
– Mais c'est très bien qu'elle s'intéresse à toi comme cela, mon chéri !
Et qu'a-t-elle répondu quand tu lui as dit que tu étais fils unique ?
– Elle a juste dit : « Merci mon Dieu ! » »
L’institutrice d’Ayaya a envie d'inculquer quelques notions de psychologie à ses élèves.
Elle s'adresse à la classe en ces termes :
« Que celui qui a l'impression d'être stupide par moment se lève ! »
Après une bonne dizaine de secondes, Ayaya se lève… de mauvaise grâce.
L'institutrice :
« – Alors comme ça Ayaya, tu penses que de temps en temps tu peux être stupide ?
– Non m'dame, mais ça me faisait de la peine de vous voir toute seule debout. »
Ayaya revient de chez le dentiste (ou équivalent).
« – Est-ce que ton croc de lait te fait encore mal, mon chéri ?
– Je ne sais pas, maman. Il est resté chez le dentiste (ou équivalent) ».
C'est un Ummo qui a perdu sa montre sur la planète des Kameulfs.
Là, il y a un policier Kameulf qui passe, intrigué en voyant la créature, il s’approche et lui demande :
« – Que recherchez-vous ?
– Je cherche ma montre sur la 10ème artère (équivalent d’une rue ou une avenue).
– Mais monsieur, vous êtes sur la 12ème artère (équivalent d’une rue ou une avenue).
– Oui, je sais. Mais elle marche encore. »
Deux Ummos font un safari sur Terre, en Afrique.
Soudain, un énorme lion sort de la brousse et se jette sur le premier Ummo.
Après une dure bataille, il réussit à se dégager de la bête et à faire fuir le fauve. Tout ensanglanté et la combinaison de vol en lambeau, il rejoint alors son ami :
« – Espèce d'idiot, pourquoi est-ce que tu n'as pas tiré ? Ce lion a failli me tuer !
– Mais tu m'as dit que c'était un désintégrateur pour les éléphants… »
Deux Ummos errent dans le désert depuis plusieurs jours après avoir raté leur atterrissage à la recherche de thon-rouge.
(Les Ummos adorent la chair des thons-rouges terriens, et comme ils sont incapables d’en élever sur leur planète, ils viennent régulièrement en braconner sur Terre, ce qui est naturellement interdit par les conventions intergalactiques en usage depuis des milliards d’années).
Ils meurent de soif.
« – J'ai un truc infaillible pour lutter contre la soif !
– Ah ouais, c'est quoi ?
– Il faut sucer des cailloux ...
– Alors c'est foutu, ici il n'y a que du sable à perte de vue sur cette foutue planète. »
Long silence.
Les deux naufragés du désert reprennent leur pénible progression sur les dunes brûlantes.
« Tu sais, on serait sauvés si on trouvait une rivière », s'exclame soudain le second Ummo.
« Tu as raison », réfléchit le premier, « au fond de leurs rivières il y a toujours des cailloux… »
Deux Ummos louent une barque pour aller à la pêche au thon rouge sur la planète Terre.
Pendant la partie de pêche qui se déroule fort bien, le premier dit :
« – C'est endroit est très bon pour la pêche, on devrait faire une croix dans le fond de la barque pour marquer l'endroit !
– Tu es fou ? On n’aura peut-être pas la même barque la prochaine fois ! »
Deux Ummos déguisés en humain et faisant du tourisme se promènent à Paris, dans le quartier de Pigalle.
L'un d'eux ramasse un soutien-gorge abandonné sur un trottoir, l'examine puis le jette.
Son ami lui demande alors :
« – Ben, pourquoi tu l'as jeté ?
– Il était vide. »
Un Ummo, père de 15 petit-ummos, rentre chez lui triomphalement et annonce fièrement à sa femme qu'il vient d’apprendre des Kameulfs que c'est elle qui doit prendre la pilule !
Tout va bien…
Bon week-end à toutes et à tous !
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Source :
http://infreequentable.over-blog.com/article-suite-des-traductions-123202256.html
Sont fous ces (f)ummistes !
Rédigé par : I-Cube | 04 avril 2014 à 10:42