Je reprends une note disponible sur le site de « L’Ignoble Infreequentable » :
http://infreequentable.over-blog.com/
Bonne lecture…
JCD
…….
« L’Ami-râle » me prend le chou !
Comme si je n’avais que ça à faire…
Faut vraiment le lire pour le croire : -> cliquez ici !
Encore un gag, un de plus…
Veut me faire devenir l’ambassadeur de l’humanité auprès des aliènes qui nous visitent !
Si !
Et auprès de notre « Ô combien vénéré Président », en plus !
Enfermé dans la cave à vin…
La belle perspective, dites donc.
Ou inversement (je n’ai pas tout compris), me faire nommer ambassadeur des aliènes auprès de notre « Ô combien vénéré Président ».
Le pôvre : Déjà que le même devant ma « Môman à moi », il fait comme Coluche : « Ah ? Tu es debout ? Bé reste assis, alors ! », alors moi qui rend encore quelques têtes à l’auteuse de mes jours, plus quelque quintaux de bidoche, le tout m’empêchant de prendre le métro des parigots sans être obligé de me plier en 4 pour y rentrer, je ne vous dis pas combien il aura le moral dans les chaussettes !
Et puis de toute façon, il n’écoute que lui, alors ça ne sert strictement à rien.
Idée débile, même pas drôle même si ça veut être de « l’humour à deux balles », au moins autant que l’initiative onusienne dont il est question.
Encore un truc pour payer un fainéant à ne rien faire sur la cotisation de pauvres kouillons de kontribuables !
Bref, quand j’eusse lu ça, j’ai pensé qu’il se comportait comme s’il était complètement « HS » du neurone…
Et que j’en suis tombé à la renverse à en casser mon fauteuil de travail…
Bé oui, j’ai beau avoir des grands pieds, ils finissent par fatiguer. Alors il m’arrive de m’asseoir, sur le postérieur et autres muscles fessiers noyés dans la masse adipeuse, comme tout le monde, mais ailleurs que dans mon « tas de boue à roulette », pourtant taillé sur mesure.
Un Louis XVI d’époque, je ne vous raconte pas la facture à venir.
Mais bon, je me débrouillerai pour récupérer au moins la TVA.
Là-dessus, on s’échange divers courriels tout autant délirants, et je poste divers commentaires que vous pourrez lire tant qu’il les laissera en ligne avant de les manger flambés dans du « Loch Lomond ».
Car le problème pour le « Capitaine Haddock » (son surnom putatif dans l’aviation civile), c’est que pour en avoir cherché ici et ailleurs, lui n’en a pas en réserve…
Ça va donc demander un peu de temps avant qu’il ne se décide à les flamber au Calvados !
(Il en est pourtant bien pourvu et avec de bonnes étiquettes : je n’ai pas goûté, je ne suis pas un voleur, mais j’ai appris à reconnaître les étiquettes et les contre-étiquettes sur les bouteilles !)
Revenons à du sérieux, parce que quand même, faut savoir réfléchir un tout petit peu avant de raconter n’importe quoi.
1 – Première hypothèse : Je suis un « aliène », un vrai de chez vrai !
Un Kameulf avec les antennes bien planquées dans la chevelure, qui se trouve être en mission sur la planète des terriens, en exil si on peut dire, pour venir améliorer le cheptel local et l’usage que font les autochtones de leurs petites cellules grises.
J’aime assez bien la version d’août 2008, dont je serai finalement l’auteur, puisque les Krabitz existent bien dans un lointain « ailleurs » et la « matière noire » des « non-vivants » étant une menace constante pour la vie organisée et inorganisée dans l’Univers.
Un vrai « truc de délirant » qui use des nano-réactions de la matière pour s’autoalimenter de toutes sources d’énergie, y compris celles qui entretient la Vie.
Un vrai cancer, un « bug » qui bouffera l’Univers entier si on n’y prend pas garde.
Et l’humain n’est qu’un « essai de laboratoire » particulièrement capable de faire face, avec l’aide des Krabitz, à la menace sur le « Grand jardin » des espèces intelligentes du même Univers.
Ils ont été « fabriqués » suffisamment intelligents et totalement belliqueux pour « porter le fer » contre la « matière noire » au moment opportun.
Une idée du « Créateur » ou des « êtres supérieurs » qui gèrent l’ensemble du « jardin d’Eden ».
(Bon je sais, il y en a qui doutent : c’est bien naturel ! On ne va pas non plus leur apporter des preuves scientifiques, puisque tout ça – et le « si peu » – doit seulement apporter le minimum d’espérance, sans plus, à leur pauvre intellect, qu’ils ne se comportent pas tous comme des sauvageons belliqueux).
Le problème reste qu’ils sont dangereux pour eux-mêmes et qu’ils ont heureusement « vie courte », presque éphémère, pour ne pas se foutre sur la gueule trop rapidement.
Déjà, le « feu nucléaire », ils maîtrisent à peine, alors la suite, on ne vous raconte même pas !
Bien.
Problème : par un détour improbable des circonvolutions magnifiques du cerveau de quelques-uns, je suis « découvert ».
Et ces kons d’humanoïdes, ils me le font savoir.
Jusque-là, ce n’est pas bien grave : je m’en contre-cogne !
Là où ça pose problème, c’est que les Kameulfs ne sont pas les seuls à se promener dans les basses couches de l’atmosphère terrestre et que ces « traces » électroniques permettent à d’autres, parfois plus stupides, parfois moins kons, d’identifier l’incarnation de « l’ignoble », jusqu’à même en prendre les devant de ses initiatives.
Je ne vous fais pas la liste exhaustive, mais entre le passage d’un Ovni dissimulé en météorite (une tactique qui fonctionne assez bien chez les « primitifs » : ils passent avec leur konnerie d’engin, la gendarmerie ramasse les témoignages et les « autorités » locales décident qu’il s’agit d’un phénomène naturel) à Tahiti alors que j’étais dans la salle d’attente de l’avion qui devait m’emmener à Faaa (en pleine grève des pilotes locaux qui estimaient n’avoir pas assez de travail : faut le faire !) ;
Le survol de Paris dont j’ai été témoin alors même que j’étais sensé roupiller du sommeil du juste ;
L’histoire de la « bouée rouge » en Normandie, dont je suis sûr qu’elle est authentique ;
Ma « chasse » à celle-ci vers la Marne, l’Aube et l’Aisne, qui m’a fait mirer en septembre, encore un « phénomène » inattendu au-dessus des couloirs aériens menant à Roissy, alors même que le ciel débordait de flotte sur le Macadam ;
(J’ai une bonne macula derrière ma myopie native – un « bug » du génie génétique – qui me permet de voir très loin, mais pas trop proche, au point que ce jour-là, j’ai étonné par mégarde mon passager totalement humain celui-là, qui me fait « Attention ! Y’a une voiture devant ! » sous le déluge à l’approche du péage de Dormans : Je lui réponds bêtement « Non ! Il y en a 5 et un autocar ! ». C’était pour le rassurer que je maîtrisais la situation de pré-aquaplaning et lui, il s’est mis à regarder de côté, passablement bouleversé !…)
La même « vision » rapportée par d’autres mais au mois de juillet, manifestement à rapprocher avec mes courriels relatifs à la « bouée rouge » (je courrielle sur le sujet depuis la mi-juin avec « l’Ami-râle » et suis parti sur de fausses pistes à la recherche dudit engin qu’il me fallait absolument identifier) ;
Le plus étonnant, c’est qu’effectivement « l’Ami-râle » me donne les coordonnées GPS de là où je suis attendu peu de temps avant et qu’ils y retrouvent la « bouée rouge » et des cliquetis entre les cheminées du logis local ;
La suite sur :
http://infreequentable.over-blog.com/article-l-ami-rale-me-prend-le-chou-57997505.html
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