Le bruit de coursive qui court dans l’Aéronavale, compte tenu du grand nombre de témoins, et des conséquences sur la sécurité des vols, est que les deux Rafale qui se sont abimés en Méditerranée, le 24 septembre 2009, à environ 60 km du porte-avions Charles de Gaulle, et à 30 km au large de Perpignan, poursuivaient en fait un OVNI lorsqu’ils se sont percutés !...
L’information circule depuis plus de six mois et il faut se demander si c’est une bonne idée de continuer à mettre un tampon « secret défense » sur cette affaire qui concerne les pilotes de chasse mais aussi les pilotes des compagnies aériennes.
Et si la prochaine fois c’est un B747 avec 350 passagers à bord qui s’écrase pour avoir volé à trop grande proximité d’un OVNI ?...
Aussi je vais reprendre l’ensemble du dossier, essayer d’expliquer ce qui s’est passé, et envisager la nécessité d’une « Alerte OACI » sur les risques de collision en vol avec des OVNI.
Tout le monde se souvient de la collision en vol de ces deux Rafale alors qu’ils effectuaient une campagne d’essais de catapultage lourd depuis le porte-avions dans le cadre de la validation du nouveau standard Rafale-Marine F3.
Les deux pilotes étaient des pilotes d’essais très expérimentés.
Le pilote survivant, le capitaine de corvette Yann Beaufils, qui s’est éjecté, et dont le Rafale a été percuté par l’arrière, est un pilote d’essais membre du Centre Expérimentation Pratique de l'Aéronavale (CEPA ).
Le pilote de chasse qui est disparu, le capitaine de frégate François Duflot, membre du Centre d’Essais en Vol, n’a pas pu s’éjecter et son avion a continué sa trajectoire jusqu’à percuter la mer.
A la suite de ce très grave accident, j’ai rédigé une analyse intitulé « Ovni en phase de transfert hyper-spatial : les conséquences pour les pilotes civils et militaires » dont j’ai limité la diffusion à quelques spécialistes depuis le mois d’octobre.
Mais, compte tenu que cette collision en vol remet en cause les procédures opérationnelles de l’Aéronavale ainsi que le niveau de formation de nos pilotes de chasse et que l’enjeu sur la sécurité aérienne est trop important pour qu’il reste confidentiel, je me dois de mettre en ligne cette étude avant une nouvelle catastrophe :
« De nombreuses observations d’OVNI rapportent que les objets observés présentaient une apparence variable tant dans leur volume que dans leur forme.
D’après l’une de mes sources, ceci signifierait que le vaisseau spatial en question se trouvait en phase de « transfert hyper-spatial », c'est-à-dire qu’il modifiait l’espace autour de lui par un considérable apport d’énergie affectant les références dimensionnelles et temporelles ; Il est possible d’avoir une idée de ce phénomène dans la lettre UMMO NR 69.
POUR L’AVIATION CIVILE ET MILITAIRE QUEL SONT LES RISQUES D’UNE TROP GRANDE PROXIMITÉ AVEC UN TEL PHENOMÈNE ?
Par exemple, quels pourrait être les conséquences d’une interception par deux avions de chasse d’un vaisseau en phase de « transfert hyper-spatial » ?... Quel sont les risques pour les pilotes et les machines ?...
Cette question n’est pas anodine car nous connaissons des cas de pertes de machine dont les pilotes se sont frottées d’un peu trop près à un OVNI (ex : Mantel).
D’après une analyse dont j’ai pu prendre connaissance, il semble que, lors d’un « transfert hyper-spatial », le temps et les dimensions spatiales subissent une variation ondulatoire présentant :
1/ Une intensité fonction de sa masse et de la distance à l’objet.
2/ Une périodicité dépendante de la forme de l’objet.
Sur un appareil de chasse qui passerait à proximité immédiate d’un tel OVNI changeant de forme les conséquences défieraient les lois de la physique que nous connaissons et il me semble souhaitable d’évoquer quelques-unes des surprenantes particularités que pourrait provoquer une telle situation.
Pour cela, Il me semble nécessaire de se placer sur deux points de vue : à bord de l’appareil et dans la situation de l’observateur extérieur (ex : radar).
1/ A bord de l’aéronef.
L’entrée dans le volume spatial et temporel qui est modifié par l’OVNI se ferait sans accélération notable, sans modification des paramètres de vol comme la vitesse indiquée (pneumatique) ou le cap.
Par contre, à l’intérieur de la zone perturbée les modifications peuvent être fortement pénalisantes : perte des repères visuels, anomalies des équipements.
Lors de la sortie de la zone spatio-temporelle instable la situation peut devenir beaucoup plus gênante avec par exemple : accélération et possible dépassement de la VMO/MMO, important changement de cap, importante modification de l’altitude (ex : entrée à 1000 ft et sortie à 100 ft).
2/ Pour un observateur extérieur (ex : radar)
La position et la vitesse de l’aéronef deviennent sujets à des modifications ondulatoires et les caractéristiques du vol en sortie de la zone de « transfert hyper-spatial » sont totalement différentes de celles à l’entrée de la zone perturbée.
LES CONSÉQUENCES POUR LA SÉCURITÉ DES VOLS CIVILS ET MILITAIRES.
Dans l’état actuel de nos observations sur ce type de situation, et en fonction les informations de diverses informations recueillies, une seule recommandation s’impose : GARDER SES DISTANCES AVEC UN OVNI QUI CHANGE DE FORME.
En effet, la situation peut rapidement devenir parfaitement incontrôlable pour les pilotes car l’aéronef, s’il pénètre la zone spatio-temporelle affecté par un OVNI en phase de « transfert hyper-spatial », peut se retrouver hors de son domaine de vol ou encore entrer en collision avec un équipier ».
Voilà pour cette petite étude dont la diffusion est restée restreinte en raison du « secret défense » absolument nécessaire pour l’enquête.
La deuxième raison est qu’il ne faut pas inquiéter le public.
Mais pouvons-nous continuer à faire la politique de l’autruche car c’est la meilleure façon d’avoir un jour ou l’autre une catastrophe bien plus grave.
D’autre part des retours commencent à apparaître.
En contact avec un « phénomène » qui a pour pseudo « l’Ignoble Infreequentable », je lui ai transmis cette analyse et vous pouvez consulter ci-dessous sa réponse qui m’a laissé « pantois »…
« Pas mal, le "laïus" sur les transferts d'Ovni !
En réalité, l'UFO change les données de son champ gravitationnel immédiat pour se déplacer dans une sorte de "bulle" dont il est le centre des masses.
Ce n'est pas lui qui se déplace, ou très partiellement, mais le champ entier qu'il crée autour de lui.
Et le champ continue d'obéir aux lois de la physique que nous connaissons (elles sont globalement inviolables), mais vu de l'extérieur (le radar), il se soustrait aux appareils de mesure, car il est "hors champ classique" et il se déplace beaucoup plus facilement et sans trop d'énergie à dépenser : il suffit de "l'impulser" pour démarrer le phénomène et de le "désimpulser" pour pouvoir revenir dans le champ plus global qu'est l'espace devenu "hors champ" et le réintégrer... ailleurs.
L'avion suiveur, s'il est dans le champ, il suivra le champ et entrainera la disparition sans trace de l'engin : phénomène qui a déjà existé (souvenez-vous) bien que personne n'en soit revenu pour le décrire.
Si l'avion est proche mais pas trop, il peut y avoir des phénomènes d'interférences que vous décrivez : tout dépend du carré de la distance de l'avion avec le "champ de l'Ovni" : Et ça peut être rapide d'entrer dedans !
S'il est suffisamment éloigné, il observe le phénomène comme d'un radar fixe : l'accélération de l'Ovni paraît brutale (alors qu'il n'en est rien à l'intérieur du champs créé) et jusqu'à disparaître quasi-instantannément.
On découvrira ces "techniques" dans quelques années avec l'étude des "champs intriqués", notamment à travers les travaux de cryptologie actuels.
Deux particules "corrélées" (des électrons pour le moment), peuvent ainsi défier la physique actuelle et se passer des informations instantanément quelle que soit la distance qui les sépare, en contravention apparente avec la loi de la vitesse finie de la lumière : c'est déjà un fait de laboratoire, maintes fois vérifiées depuis quelques années.
Pour comprendre le phénomène, il faut évidemment envisager que notre continuum espace-temps n'est pas fait seulement des 4 dimensions que nous connaissons (Volume/temps), mais de plusieurs autres. C'est marqué quelle que part dans les posts du mois d'août 2008, quand je ne sais plus qui expose la théorie à Cortinco sur la plateforme dans laquelle ils ont tous été transférés.
J'avoue que l'idée est assez plaisante, même si je n'y connais strictement rien, idée qui nous raconte qu'on vit dans plus de 4 dimensions sans s'en rendre compte.
C'est d'ailleurs ce que recherchent nos physiciens dans l'accélérateur géant du CERN de Genève, avec l'idée qu'ils vont découvrir des particules exotiques pertubées par les formidables dépenses d'énergie (au point qu'on a même supposé à un moment qu'ils allaient créer des trous noirs qui avaleraient la planète !)
Mais le "trou noir" le vrai, a besoin d'une masse considérable, plus grande que ne peut en contenir tout notre système solaire, pour s'auto-alimenter et rester stable : y'a donc pas de danger !
La preuve, le phénomène de transfert de champ des UFO que vous décrivez et qui est une application technique du même phénomène physique, est sans danger, sauf pour tout objet qui se trouverait à proximité.
Mais bon, il faudra encore quelques décennies de travaux de recherche fondamentale, quelques générations de physiciens pour parvenir à maîtriser le problème et avant tout le découvrir ainsi que ses effets !
Et ce n'est pas de la science-fiction, mais juste de "l'anticipation" scientifique...
Bien à vous et merci pour ces précisions
I² »
Une affaire stupéfiante qui doit être révélée au public car elle met en cause la sécurité du transport aérien, tant civil que militaire.
Va falloir que je me méfie quand je vous dis des choses "un peu" intelligentes, dites-donc !
On les retrouve sur la voie publique en moins de temps que de finir une clope !
Je vous précise aussi, dans une autre réponse (dont je ne me souviens plus des termes exacts) que "tout ça est déjà entre les lignes des quelques "scienteux" qui publient leurs recherches en matière de physique fondamentale."
Il n'y a donc rien à retirer ni à rajouter (pour le moment).
Mais votre conclusion est bonne : il ne faut pas s'approcher de trop près d'un phénomène "hallucinant". Quel qu'il soit, de toute façon.
Ou alors avec une sonde qui ne met la vie de personne en danger.
I²
PS : quand je causais d'équipages disparus en vol (et même en mer, mais ça reste bien plus hasardeux, la "fortune de mer"...), je pensais à ces zincs perdus dans le fameux "triangle des bermudes" il y a quelques décennies : tous des pilotes militaires, qui ne se seraient de toute façon pas laisser faire par des pirates même bien armés, qui font la réputation de la zone, sans lancer au moins un rapport radio : les procédures, les procédures !
Vos "pantois", vous voudrez bien aussi leur demander de faire le rapprochement avec la "pseudo météorite" (elle n'a laissé aucune trace d'impact au sol à part la forêt mis à sac tout autour) qui s'est abattue en sibérie avant première guerre mondiale.
Même pas une miette à analyser !
Vous serez sidéré de prolonger la trajectoire de la dite "météorite" à travers le globe terrestre, pour le voir ressortir du coté des Bermudes, justement.
Ce qui peut expliquer ces phénomènes redondant comparables à ceux dont on été victimes nos pilotes de chasse, particulièrement expérimentés par ailleurs (qualifiés licence de pilotes d'essai quand même), qui justement étaient en essai "pleine-charge" d'appontage...
Rédigé par : L'ignoble Infreequentable | 10 juin 2010 à 16:09
bonjour
votre article est tres pertinent et dans le meme sens j'ai trouvé sur le site "ovni 007" un article paru en decembre 2007 qui amorcait deja vos propos de prevention
http://www.ovni007.com/id180.html
d'ou cela vient je ne le sais pas mais il convient peut etre de le lire et d'en tirer la "substantifique moelle "
tout au moins faire un parallèle comparatif
l'aspect securitaire y est prépondérant
bonne journée a vous
"pierre des iles"
Rédigé par : "pierre des iles " | 11 juin 2010 à 13:31
Bonjour,
J'approuve la recommandation à l OACI d'évitement des OVNIS par les avions avec un espacement mini de 5000ft.
Je confirme la présence d'OVNI de forme ellipsoïdale au voisinage du Pech du Bugarach entorés d'un halo magnétique.
Il faut équipper les avions de TCAS améliorés pour détecter les OVNIS.
Il faut signaler sur les cartes aéronautiques la présence d'acitivité astronautique d'origine exoplanétaire.
>> J . Puyuelo IENAC chercheur en astronautique
Rédigé par : PUYUELO | 06 août 2010 à 21:43