La multitude des observations OVNI, ainsi que les nombreux témoignages d’observations rapprochées d’Extraterrestres (RR3) qui descendent d’un vaisseau spatial, comme lors de la vague d’OVNI de 1954, ne laissent aucun doute sur la grande variété des espèces visitant la planète.
Je reprends une vidéo qui donne une idée des espèces observées.
Quelques espèces d’Extraterrestres
LES ALIENS D'APRES LES TEMOINS
envoyé par SECRET-REALITE. - Les derniers test hi-tech en vidéo.
Notre Galaxie, c’est 100 milliards d’étoiles et vraisemblablement des dizaines de milliers de civilisations qui voyagent dans l’espace depuis des millénaires, ou même des millions d’années…
Ces espèces sont-elles pacifiques ?...
C’est prendre un risque certain que d’imaginer que toutes les espèces extraterrestres sont paisibles, et que certaines ne présentent pas une menace pour des civilisations aussi peu développées spatialement que la nôtre.
Et si, sur la Terre, il y a une police dans chaque pays, pouvons nous imaginer, qu’à l’instar de nos civilisations, il y ait une « Gendarmerie galactique » qui intervienne pour calmer les espèces les plus agressives - celles ne respectant pas un minimum de règles éthiques ?...
C’est une question intéressante, et il est possible que nos ayons un début de réponse avec l’abduction qui a eu lieu à Haravilliers (Val d’Oise) le 10 janvier 1998.
Vous trouverez, ci-dessous, un extrait de la remarquable enquête faite par Gérard Deforge, de « Lumières dans la nuit », et qui est disponible sur le site RHEDAE MAGAZINE.
HARAVILLIERS, 10 janvier 1998 : un cas d'abduction en France?
Le témoin principal de cette affaire était un monsieur d’une soixantaine d’années, en retraite depuis peu. Nous l’appellerons M. D.
Il a occupé des fonctions importantes : accrédité « Secret Défense », il a organisé la sécurisation de sites stratégiques de commandement de l’armée française, à Taverny.
Toujours et encore Taverny. Les sites nucléaires, militaires, etc… On n’en sort pas…
Avec d’autres amis de haut rang social, il se retrouvait régulièrement pour chasser dans les bois de Haravilliers, (Val d’Oise).
Ce 10 janvier 1998, deux amis l’accompagnent dans sa voiture, une Peugeot d’un modèle récent, encore sous garantie.
Une autre voiture les suit, une Xantia, avec à son bord le conducteur et son chien de chasse.
Ces quatre personnes se dirigent vers le rendez-vous de chasse qui leur est habituel, sis au Ruel, commune de Haravilliers.
Bien avant d’arriver sur le secteur du Ruel, M.D. et ses deux compagnons voient comme une sorte d’illumination loin devant eux, au-dessus des arbres.
Ciel étoilé, froid du matin, 7 heures, en abordant le dernier virage avant d’entrer dans le hameau du Ruel.
Qu’est-ce que c’est donc cette illumination festive, devant, au-dessus du bois dans lequel se perd la rue principale de ce Hameau ?
Au même moment, à deux kilomètres de là, le garde-chasse, qui participa à ce rendez-vous, sort de chez lui.
Sa demeure, située à l’est du site du pavillon de chasse, surplombe un peu le bois situé au loin. Il voit une illumination au-dessus des arbres qui le surprend. Il enfourche rapidement son vélomoteur et s’apprête à partir.
Il me rapporte qu’il a été survolé par un avion immense, qui volait à très basse altitude, (100 ou 200 mètres, pas plus. C’était bien un avion, dit-il).
Quelques minutes après, alors qu’il n’était pas encore parti, le garde-chasse dit qu’il a vu passer au-dessus de lui un objet rond, fortement éclairé par 3 lumières colorées.
Tous les témoins décriront les mêmes couleurs : vert, rouge, jaune. J’aurais bien voulu revoir ce témoin, décédé depuis, je ne l’ai pas pris au sérieux sur le coup, mais des récits que j’ai lus m’ont fait comprendre que ce type de témoignage n’est pas unique.
Sur le parking du rendez-vous, attend un autre participant, M.K., très ami avec M.D. Il attend ses amis, au chaud, assis dans sa Mercedes à toit ouvrant.
Il n’y a pas de brouillard, pas de brume.
Ce monsieur, tout à coup, va entendre une espèce de ronronnement sourd, un bruissement d’air, quelque chose d’indéfinissable.
Il lève les yeux. Un immense objet opaque défile au-dessus de lui, masquant les étoiles.
A ce moment, un faisceau de rais de lumières perpendiculaires atteint et enveloppe sa voiture.
Ce sont des rayons de lumière très particuliers. Ils sont discontinus, forment comme des gouttes ou des galettes de lumière indépendantes les unes des autres.
Cela produit effectivement des taches de lumières aux contours bien nets qui circulent sur sa voiture, éclairent l’intérieur par le toit ouvrant transparent. M.K., le témoin à la Mercedes, aperçoit maintenant comme des guirlandes de lumière sous l’objet.
Cet objet, il le voit d’une forme circulaire, d’une bonne quarantaine de mètres de diamètre.
Le parking étant en haut du chemin, cet immense objet qui progresse devant lui à la vitesse d’un homme au pas, il le voit plonger doucement vers le sol, et il a juste le temps de se dire, voyant comme un rideau noir s’abaisser devant lui, il a juste le temps de se dire que cet objet va se crasher. M. K perd alors la conscience des choses.
Pendant ce temps, ou quasiment, selon nos recoupements, tout en bas de la côte, à l’entrée du village, M.D. et ses amis arrivent après le dernier virage, ils vont entrer dans le bourg. Je rappelle que deux voitures se suivent.
Résumons la situation à cette étape :
1/ Dans la première voiture, le conducteur est M.D., qui sera notre principal témoin. Il est accompagné par un ami qui est fragile, sur le plan psychologique, et qui va perdre complètement pied après cette journée.
Il y a un dernier passager : J.C.G. : lui n’a pas vu de tuyère mais observera les panneaux lumineux, croyant apercevoir « un relais téléphonique ».
Ce monsieur, ancien ingénieur militaire, a travaillé dans une base affectée aux missiles et s’est reconverti comme patron d’une menuiserie de 13 personnes.
2/ Derrière suit une autre voiture, avec un seul passager et son chien de chasse : J.M. ingénieur BTP, spécialiste de la construction de tunnels.
3/ Enfin, sur le parking, avec sa Mercedes à toit ouvrant, M.K. employé chez Dassault, en tant que contrôleur aviation, ancien pilote de F 100.
Ce monsieur n’a pas besoin de ce genre d’histoire pour meubler son temps. Son temps, il le partage entre ses activités professionnelles et son épouse handicapée. Elle était prof dans un lycée de Pontoise. Elle rentrait chez elle, dans un petit village à côté de Gisors, à proximité duquel je demeure, entre parenthèses. Un soir, ce fut une très mauvaise rencontre avec un sanglier, elle devint infirme pour la vie.
C’est sur les recommandations des médecins, que M.K., puisque c’est lui dont il s’agit, quitterait bientôt cette région de Haute Normandie pour le Sud de la France, afin d’y trouver un climat plus favorable aux douleurs de son épouse. Non, M.K. n’avait pas besoin de cette expérience Val d’Oisienne...
Le convoi de deux voitures entre donc dans le bourg, et M.D. est fasciné par cet objet immense.
Ils arrivent pratiquement au-dessous, l’objet est légèrement sur leur gauche. M.D. ouvre sa vitre et penche la tête pour mieux observer.
Il peut détailler très précisément ce qu’il voit, et évaluer les dimensions, jusqu’à ce qu’il remarque ce pinceau de lumière blanche qui s’avance doucement vers sa voiture…
Des pensées rapides traversent l’esprit de M.D. : « Cet engin est énorme ; il doit peser des centaines de tonnes ; il est au « parking », mais habité par une puissance phénoménale… » (Ce sont les paroles authentiques, 100 fois répétées par le témoin).
M.D. a tout à coup le sentiment que son cerveau « se vide », sa tête devient « une coquille vide ». Il y a comme une sensation totalement dénuée de gaieté dans l’environnement de l’objet. Les deux autres témoins du véhicule voient la même chose.
Sur la trajectoire supposée de cette masse, deux phénomènes dûment vérifiés vont se produire. Je subodore que d’autres phénomènes non répertoriés vont se dérouler le long de la trajectoire de la chose. Evoquons donc ces deux phénomènes :
● Tout d’abord, le long de cette rue qui traverse le village, habite une importante personnalité. C’est le premier magistrat de la commune… Cette personnalité est connue pour être un travailleur acharné qui se lève toujours très tôt.
C’est un cadre supérieur d’industrie Le matin du phénomène, il a un important rendez-vous, à 10 H, pour une réception en son honneur, avec de nombreuses autres personnalités.
Ce matin-là, il va dormir à poings fermés et arrivera très en retard à ce rendez-vous, sans jamais avoir compris pourquoi une telle chose a pu lui arriver. J’ai pu longuement interroger le Maire de la commune qui m’a confirmé tout cela.
●Le deuxième phénomène concerne M.D. : « Au moment où la voiture a été atteinte par le pinceau lumineux, j’ai perdu conscience. »
Il en sera de même pour les deux autres compagnons. Eux ne se souviendront que de leur réveil.
Mais M.D. sans l’aide d’une quelconque hypnose (ce qui est vraiment exceptionnel) se souviendra qu’il a eu droit à un traitement particulier : Il se souvient d’avoir été aspiré dans ce tube de lumière, d’avoir vu « à bout touchant » les plaques de métal, de la sous-structure, avec des orifices couronnés d’un liseré de métal « brûlé », grisâtre, avant son aspiration dans une salle blanche, éclairée de nulle part.
M.D. se souviendra plus tard d’avoir été allongé, avec au-dessus de lui, légèrement penché, un heaume métallique extraordinaire qui le regarde (voir le dessin de M.D.)
« La rangée de dents est immobile, ce n’est pas une bouche » nous indique M.D. « c’est un organe de communication ; les ‘dents’», ce sont des plaques régulièrement espacées par un mince sillon, avec un séparateur horizontal.
C’est un appareil, il est très blanc. Il peut communiquer des sons, des ondes, je ne sais pas. C’est quelque chose qui peut ‘vibrer’, pour émettre.
Je suis très mal à l’aise à ce moment. Je ressens que cet, ces entités cuirassées (je ressens la présence des autres) sont dépourvues de pensée, de vie : elles sont manipulées pour faire un certain travail.
Les orbites des yeux, je les vois vides. Tout est métal, artificiel, sans âme ni conscience.
Et l’organe émetteur va émettre des sons gutturaux dont la sonorité est celle de nos robots : TOBOO, TOBOO… » (Encore une fois, ce sont les citations directes du témoin, il ne s’agit aucunement d’une interprétation de l’enquêteur).
Et c’est un foisonnement de pensées qui viendront envahir l’esprit de l’abducté, pendant les jours suivants : « Sensation de rigueur, dureté, rigidité morale et intellectuelle, honneur, intégrité, sécheresse du cœur. Pas ‘bons’, ni ‘méchants’ : chevaliers de l’espace, gendarmes de l’espace, militaires en mission. Ambiance à la limite de l’inhumain».
Plus tard, s’y ajouteront des « messages » qui imprègneront l’esprit de M.D., qui ne s’était jamais intéressé « avant » aux astres et aux mystères qui s’y rattachent :
« les Petits Gris sont des charognards, et si ça ne va pas, on viendra les taper ; nous, les corps, on n’en a rien à faire ; on est des placentas secondaires ; énergie vitale dans l’éther, essentielle ; tout fonctionne sur le principe positif-négatif ; (impression d’inversion, vision d’un futur ouvert) ; le passé est moins important ; on a le pouvoir de punir par la pensée ».
(A ce sujet, voir LA PAGE DE LA BANDE DESSINEE,( extrait d’une B.D. communiquée par l’ufologue FRANCK BOITTE) . Cela rappelle les écrits anticipatoires de certains écrivains, tels Jules Vernes ou Morgan Robertson !…).
Le robot au casque aurait fait une allusion au ruban de Möbius. Il aurait parlé : « d’inversion de polarité ; nous sommes de grands voyageurs de l’espace ; nous voyageons à des vitesses supérieures à celle de la lumière, grâce aux tachions ; deux vies en une, vie parallèle ; il y aura autre chose : apocalypse, catastrophe ».
(M.D. quelques temps plus tard, assistera le 13 mai 1998, vers 0H50, heure locale- dans la région parisienne-, depuis son balcon, à un nouveau phénomène dont il pensera qu’il lui donne la « clé », sur la nature de cette future catastrophe : dans de brèves années, la chute sur terre d’un énorme géocroiseur - M.D. tentera, en vain, plus tard, d’alerter la communauté scientifique…)
M.D. et ses deux compagnons de voyage vont reprendre leur conscience de tous les jours :
20 minutes environ après le début du phénomène, sa voiture est alors garée sur le parking où l’attend son ami à la Mercedes, qui a été survolé par l’énorme engin avec ses lumières en gouttes.
Une question se pose, à laquelle personne n’aura jamais de réponse. Entre le moment où M.D. a perdu sa conscience et le moment où il se retrouve sur le parking des chasseurs, sa voiture a nécessairement roulé plus de 1Km, dans une rue étroite, bordée par des maisons serrées contre cette rue.
Comment la voiture (et celle qui suivait) se sont-elles rendues sur le parking des chasseurs, alors que les conducteurs ne se souviennent de rien ?...
Comme dans Star Trek, l’ami stationné dans sa Mercedes va voir (lui semble-t-il, cette partie du témoignage est demeurée assez floue) se matérialiser devant lui les véhicules de ses amis, et cela … je dirai… sans trop d’émotion !
Les uns et les autres vont ouvrir les portières de leurs véhicules respectifs et vont se serrer la main, heureux de se retrouver, pour cette belle journée qu’ils vont passer ensemble.
Ils ne vont pas évoquer du tout ce qu’ils ont subi ou vu, leur conversation sera axée sur les préparatifs de cette journée … qui devrait être remplie par les rites habituels de ce genre de rencontre ! ! ! !
Revenons à ce conducteur au repos, dans sa Mercedes, M. K., qui a vu ce spectacle de lumière en gouttes. M.K. va voir la voiture de M.D. comme si elle se matérialisait devant lui.
Pouvons-nous avoir une idée pour expliquer comment la voiture de M.D. et celle de son suiveur auront-elles pu franchir une distance de plus d’un Km ; tout le long d’une rue étroite de village, avec leurs quatre occupants anesthésiés ?... Evidemment, cela nous est incompréhensible, mais pourtant cela fut !
Je rappelle que la voiture qui était derrière celle de M.D. était celle avec son unique passager (l’ancien directeur dans le domaine du bâtiment et des travaux publics, spécialiste de la construction des tunnels), accompagné de son chien de chasse.
Lui aussi aura remarqué cette masse lumineuse énorme qui venait devant. Hyper rationaliste, il refusera tout d’abord d’accorder du crédit à cette histoire, (un gros nuage), mais, au téléphone, en présence de Jacques Vallée, il ne pourra pas expliquer comment lui aussi s’est retrouvé sur le parking sans se souvenir d’avoir piloté sa voiture.
Et puis il ne sait pas encore que ses redoutables certitudes vont se transformer en hésitations tumultueuses, dans le déroulement futur de sa vie, ni que son excellent chien de chasse ne pourra plus chasser.
L’un des deux témoins, dans la voiture de M.D., avait quelques problèmes psychologiques.
Après cette « expérience », son état deviendra vraiment gravissime, tellement gravissime que son esprit chavirera complètement (Certifié par M.D.). Souvenons-nous de la conférence de notre ami Joël Mesnard, qui nous avait rappelé que les histoires de rencontres avec des ovnis, ou d’observations, ce n’est pas toujours des histoires à l’eau de rose.
La journée de chasse se passera quasi normalement, mais quelques paroles échangées ici et là évoqueront à mi-mots les sensations vécues et remémorées, dont se portera témoin un des participants à cette chasse, qui lui, n’a rien vu, mais qui s’est rendu compte de perturbations importantes chez ces amis.
Il a signé sa lettre de témoignage et a demandé à la presse locale de la publier, presse locale qui n’a pas publié ce document inédit dans lequel il a écrit.
En raison de la longueur du compte rendu de l’enquête, j’ai supprimé quelques pages que vous pouvez consulter sur Rhedae-magazine
…Pour ce qui concerne notre témoin, ce fut surtout l’acuité oculaire qui se développa, certaines capacités au niveau des courants d’énergie qui circulaient dans ses mains, la recrudescence d’une force physique qui lui permit, plus que jamais, de s’occuper des travaux de rénovation de la maison de son fils avec une ardeur renouvelée ; lequel fils signala d’ailleurs à son père que sa propre maison avait été survolée, elle aussi, par un ovni.
Ce qui le maintint aussi en forme, malgré la haine que lui inspiraient ces étrangers qui étaient venus s’introduire sans lui en demander la permission, ce qui l’a toujours révolté, car il trouvait cela, à juste titre, d’une impolitesse phénoménale, c’est qu’il a toujours ressenti que les entités auxquelles il avait eu affaire n’avaient aucune mauvaise intention à son égard.
De cela, il en a tout le temps été persuadé. Pourtant, il sentait bien qu’il n’était qu’un fétu de paille entre des mains étrangères. Tout cela l’agitait sans cesse de sentiments contradictoires, profondément déstabilisants.
Je vais terminer en vous narrant un complément de témoignage de M.D., une information, et deux anecdotes. Le complément de témoignage vint de M.D. lui-même.
Il me raconta que lorsqu’il était dans l’engin, il avait donc ressenti la présence d’autres entités, mais qu’il n’avait bien vu qu’une seule, avec son heaume.
Mais il m’expliqua bien après qu’il s’était senti littéralement arraché de la terre, avec ce véhicule, avait fait le tour de la lune, avoir eu conscience de vitesses extraordinaires, impensables, et d’avoir été transféré quelques instants dans un vaisseau véritablement énorme, un vaisseau Mère, où se trouvaient des entités extraordinaires…
Des sortes de géants à tête de gallinacé, avec de grandes capes, et il nota surtout la pliure des pattes à l’envers, au niveau des genoux„ comme cela est chez les gallinacés.
Dans sa pensée, à cet instant, il se trouvait en face des véritables chefs de ces robots, qui n’étaient donc bien que de simples exécutants. C’est tout dont il se souvint, sur ce point précis.
L’Affaire d’Haravilliers :
Complément d’enquête effectué par le Contre Amiral Gilles Pinon. *
Témoignage de Monsieur K recueilli à Ga…… le 26 janvier 2004.
L’affaire d’Haravilliers est remarquable par bien des aspects : la dimension, la structure et la cinématique de l’Ovni ; la qualité des témoins, leur nombre, leur dispersion et les troubles physiologiques dont ils eurent à souffrir.
Nous sommes manifestement en présence d’une rencontre rapprochée du deuxième type puisque le passage de l’ovni est accompagné d’effets physiques sur l’environnement et psychiques sur les témoins. Vraisemblablement s’agit-il aussi d’une rencontre rapprochée du quatrième type car le récit du témoin principal comporte les réminiscences d’un enlèvement à bord d’un véhicule extraterrestre.
La personnalité des quatre témoins ne laisse aucun doute sur leur sincérité et les effets physiques sur la réalité des faits qu’ils ont rapportés.
Gérard Deforge a conduit l’enquête pour le compte de LDLN avec tout le sérieux qu’on lui connaît. (Rappelons que Jacques Vallée a participé à l’audition des principaux témoins, dont M.K.- note de G.D.). N’ayant pu joindre autrement que par téléphone le conducteur de la Mercedes, que nous appellerons Monsieur K, il m’a demandé de chercher à le rencontrer à Gar…, dans le Var, là où il est retiré.
Bien que n’ayant aucune expérience particulière en investigation ufologique, c’est bien volontiers que je me suis rendu chez M. K, tant l’affaire me paraissait à la fois exceptionnelle et exemplaire. L’entretien eut lieu le 26 janvier 2004. Il a confirmé pour l’essentiel les données factuelles et les commentaires des articles de Gérard Deforge.
Monsieur K est un homme aimable et accueillant, s’exprimant clairement et posément. Avant sa retraite, il travaillait au service du contrôle de la qualité chez Dassault. Voici les faits importants qui sont survenus pendant le passage de l’ovni à la verticale de la Mercedes et dont il gardé un souvenir précis :
● fort vrombissement de basse fréquence presque assourdissant,
● éclairage du capot par des cercles de couleur de la taille d’un œuf,
● énorme masse noire observée à travers le toit ouvrant transparent demeuré fermé,
● vitesse de déplacement des cercles colorés et de la masse noire de l’ordre de 1 mètre par seconde,
plongeon de l’ovni derrière les maisons du hameau.
M .K a cru à un crash. Il a pensé qu’il devait sortir de sa voiture pour porter secours ; mais il ne l’a pas fait et ne comprend pas aujourd’hui pourquoi il ne l’a pas fait. Il se souvient avoir mis la main sur la poignée de la portière pour sortir, et puis plus rien, plus aucun souvenir jusqu’au moment où le témoin principal, M.D, frappe à sa portière.
Ni M.K. ni M.D. n’ont pensé à évoquer l’événement lorsqu’ils se sont retrouvés au point de rendez-vous. Ce n’est que dans l’après-midi, après le repas, qu’ils en ont parlé succinctement. M. K ne s’est préoccupé de ce qui lui est arrivé ce jour-là que trois semaines plus tard, comme s’il avait été l’objet d’une sorte d’inhibition l’empêchant de se souvenir et de se s’interroger. Il parle de cette rencontre extraordinaire calmement, sans émoi aucun.
Ce n’est que lorsqu’il évoque le vrombissement de l’ovni qu’il est gagné par l’émotion. « C’était un bruit sourd si impressionnant que je ne pourrai jamais l’oublier », précise-t-il.
Pendant les cinq ou six semaines qui ont suivi, une boussole présentée sur le côté gauche de la Mercedes montrait une inversion de polarité et sur le côté droit aucune inversion. Une boussole présentée à proximité immédiate de la voiture de M. D montrait une inversion de polarité des deux côtés.
Précisons enfin que M. K croit depuis son enfance à l’existence des ovnis et à leur interprétation extraterrestre. Cela explique, est-il convaincu, qu’il ait vécu assez paisiblement cette singulière aventure, sans traumatisme aucun.
* Auteur du livre : « Fatima, un OVNI pas comme les autres ? » - éd. Osmondes
Interprétation sur l’observation d’Haravilliers :
UN PREMIER CONTACT AVEC UNE GENDARMERIE GALACTIQUE ?...
Ce témoignage absolument stupéfiant permet d’aborder l’hypothèse de l’existence d’une « Gendarmerie galactique », ou d’une « Police de l’Espace », qui assurerait un minimum de respect de règles éthiques entre les espèces parcourant la Galaxie.
Nous sommes bien sûr dans un domaine hautement spéculatif, à vrai dire assez proche de la science-fiction, et nous pouvons nous poser un certain nombre de questions pour l’instant sans réponse :
● Combien y-a-t-il d’espèces qui voyagent dans la Galaxie ?...
● Quel est l’âge moyen des civilisations galactiques ?...
● Une « Fédération galactique » a-t-elle été créée afin de développer des échanges et des règles de communication entre les civilisations ?...
● Quelles sont les règles - s’il y en a – pour aider les civilisations qui arrivent à l’âge spatial ?....
● Quel est le nombre de civilisations qui se sont auto-détruites ?...
● Des guerres ont-elles parfois lieu entre différentes espèces galactiques ou extra-galactiques ?...
● Ces guerres ont-elles conduit les civilisations à créer une « Gendarmerie galactique » chargée de faire respecter des règles éthiques aux civilisations les plus agressives ?...
Il y a bien sûr une foule d’autres questions et il faut réaliser le niveau de difficulté qu’il peut y avoir à concevoir une « Fédération galactique » dans une Galaxie qui fait 100.00 années-lumière de diamètre ; c'est-à-dire où l’information met 100.000 ans pour traverser la galaxie à la vitesse de la lumière !...
Il est possible qu’il y ait des millions de civilisations, des millions d’espèces, toutes plus différentes les unes que les autres, qui parcourent la Galaxie, et que des Fédérations– ou des organisations de contrôle – se soient créées par « zones galactiques » de, par exemple, 1000 années-lumière de diamètre…
Comment savoir ?...
La seule chose que nous pouvons constater, c’est que les manifestations d’OVNI obéissent à des règles précises : principalement de nuit, dans des zones peu habitées, autour de sites stratégiques militaires, ou lors d’interceptions d’avions civils ou militaires…
Concernant l’observation d’Haravilliers il est facile de réaliser que les témoins ne sont pas n’importe qui : un ancien responsable de la sécurisation de Taverny, un ancien ingénieur d’une base de missiles et un ancien pilote de F100 !...
Il est tout à fait possible imaginer qu’ils ont été délibérément choisis pour rendre compte aux autorités qu’il existe un type de vaisseau extraterrestre qui les concerne directement : celui de militaires en mission dans l’espace !...
Dans ce cas-là l’observation d’Haravilliers est d’une extrême importance car elle nous permet de poser l’hypothèse qu’une structure militaire de type « Gendarmerie de l’Espace » a été créée et assure, par la même occasion, une sécurisation de notre planète.
Afin de développer cette idée, je vais reprendre les passages les plus importants du témoignage d’Haravilliers :
● Le vaisseau de la « Police Spatiale » : Un véhicule facilement reconnaissable.
…Ce monsieur, tout à coup, va entendre une espèce de ronronnement sourd, un bruissement d’air, quelque chose d’indéfinissable. Il lève les yeux.
Un immense objet opaque défile au-dessus de lui, masquant les étoiles. A ce moment, un faisceau de rais de lumières perpendiculaires atteint et enveloppe sa voiture.
Ce sont des rayons de lumière très particuliers. Ils sont discontinus, forment comme des gouttes ou des galettes de lumière indépendantes les unes des autres.
Cela produit effectivement des taches de lumières aux contours bien nets qui circulent sur sa voiture, éclairent l’intérieur par le toit ouvrant transparent…
● « Les gendarmes de l’espace en mission » :
Un heaume métallique extraordinaire qui le regarde (voir le dessin de M.D.) : « La rangée de dents est immobile, ce n’est pas une bouche » nous indique M.D. « c’est un organe de communication ; les ‘dents’», ce sont des plaques régulièrement espacées par un mince sillon, avec un séparateur horizontal. C’est un appareil, il est très blanc. Il peut communiquer des sons, des ondes, je ne sais pas. C’est quelque chose qui peut ‘vibrer’, pour émettre.
Je suis très mal à l’aise à ce moment. Je ressens que cet, ces entités cuirassées (je ressens la présence des autres) sont dépourvues de pensée, de vie : elles sont manipulées pour faire un certain travail. Les orbites des yeux, je les vois vides.
Tout est métal, artificiel, sans âme ni conscience. Et l’organe émetteur va émettre des sons gutturaux dont la sonorité est celle de nos robots : TOBOO, TOBOO…
Et c’est un foisonnement de pensées qui viendront envahir l’esprit de l’abducté, pendant les jours suivants : « Sensation de rigueur, dureté, rigidité morale et intellectuelle, honneur, intégrité, sécheresse du cœur.
Pas ‘bons’, ni ‘méchants’ : chevaliers de l’espace, gendarmes de l’espace, militaires en mission. Ambiance à la limite de l’inhumain».
● Menaces directes contre les « délinquants de l’Espace » :
Plus tard, s’y ajouteront des « messages » qui imprègneront l’esprit de M.D., qui ne s’était jamais intéressé « avant » aux astres et aux mystères qui s’y rattachent : « les Petits Gris sont des charognards, et si ça ne va pas, on viendra les taper ; nous, les corps, on n’en a rien à faire ; on est des placentas secondaires ; énergie vitale dans l’éther, essentielle ; tout fonctionne sur le principe positif-négatif ; (impression d’inversion, vision d’un futur ouvert) ; le passé est moins important ; on a le pouvoir de punir par la pensée ».
● Conclusion humoristique sur la véritable identité des « Poulets de l’Espace » !...
Il me raconta que lorsqu’il était dans l’engin, il avait donc ressenti la présence d’autres entités, mais qu’il n’avait bien vu qu’une seule, avec son heaume;
Mais il m’expliqua bien après qu’il s’était senti littéralement arraché de la terre, avec ce véhicule, avait fait le tour de la lune, avoir eu conscience de vitesses extraordinaires, impensables, et d’avoir été transféré quelques instants dans un vaisseau véritablement énorme, un vaisseau Mère, où se trouvaient des entités extraordinaires…
Des sortes de géants à tête de gallinacé, avec de grandes capes, et il nota surtout la pliure des pattes à l’envers, au niveau des genoux„ comme cela est chez les gallinacés.
Dans sa pensée, à cet instant, il se trouvait en face des véritables chefs de ces robots, qui n’étaient donc bien que de simples exécutants. C’est tout dont il se souvint, sur ce point précis.
C’est sur cette image très surprenante et amusante que je termine cette note en laissant à chacun l’interprétation qu’il pourra donner à ce témoignage n’ayant aucun équivalent dans la littérature ufologique.
Mais je ne peux que me poser cette question : « Et si l’observation d’Haravilliers avait été le premier contact de l’humanité moderne avec une Gendarmerie galactique ?... ».
En saurons-nous plus un jour ?...
Jean-Charles Duboc
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