Affaire Basano/Ferrayé Flux

Un prêt de 430 millions d’euros pour l’Irak

 

La dette publique de notre pays a atteint la somme astronomique de 2.231,7 milliards d'euros au deuxième trimestre 2017, en hausse de 22 milliards par rapport au trimestre précédent, et représente 99,2 % du produit intérieur brut (PIB).

 

Tout va bien pour les moutons… préparez-vous à vous faire tondre un peu plus !...

Mais il faut quand même se poser ces questions :

A qui devons-nous cet endettement effrayant et toujours en croissance ?...

Doit-on faire des économies et lesquelles ?...

C’est là où j’ai été franchement surpris de l’annonce le 5 octobre dernier d’un prêt de de 430 millions d’euros à l’Irak, sur 17 ans, à un taux plus favorable que les conditions du marché (6,75 %).

 

Ce prêt pose plusieurs questions :

  • Pouvons-nous prêter des sommes importantes alors que nous sommes nous-mêmes gravement endettés ? ;
  • Compte-tenu de l’état de destruction de l’Irak, après 40 ans de guerres, il est nécessaire de trouver 1000 à 2000 milliards de dollars pour la reconstruction. Un « Plan Marshall » ne serait-il pas plus adapté pour reconstruire l’Irak ? ;
  • Est-ce à notre pays d’aider l’Irak qui est dans la sphère d’influence américaine ?...
  • Les Pétromonarchies ne sont-elles pas mieux placées que nous pour aider un « pays frère » ?...
  • Quels auraient pu être les moyens de pression sur notre gouvernement ?...

 

Pour répondre, tout du moins en partie à ces questions, il faut revenir à la première guerre du Golfe lorsque l’armée irakienne de Saddam Hussein a envahi le Koweït le 2 août 1990.

Une coalition internationale, menée par les USA, la France et la Grande Bretagne, a organisé la libération du Koweït, du 17 janvier au 28 février 1991, lors de l’Opération « Tempête du Désert ».

Pour beaucoup, c’est de l’histoire ancienne mais, à l’époque, j’étais captain A320 à Air France et volontaire pour aller en zone de guerre afin d’assurer le ravitaillement de nos soldats, c’est-à-dire que, pour moi, c’est hier.

Aussi, j’ai très mal pris des informations, reçues en 1997, selon lesquelles les indemnités de la guerre du Golfe virées à notre pays avaient été détournées par les dirigeants politiques de l’époque.

 

En effet, le Koweït, l’Arabie Saoudite et les Emirats Arabes-Unis, ont virés aux USA, à la France et la Grande Bretagne, 84 milliards de dollars au titre des frais de guerre.

L’information est disponible dans le New York Times du septembre 1992 et on peut estimer que cette somme a été répartie proportionnellement à l’importance de l’intervention de chaque pays.

Ainsi, la France aurait du toucher environ 7 milliards de dollars.

 

Des députés ont posé à l’automne 2015 des questions au ministère de la Défense, et au ministère des Finances, pour savoir si des fonds avaient été reçus au titre de la guerre du Golfe, à quelles dates, pour quels montants, mais ils n’ont reçu qu’une réponse négative du gouvernement.

Ainsi, aucune somme ne serait rentrée dans les caisses du Trésor Public alors que l’on sait, par un communiqué de presse du ministère des Affaires Etrangères du 25 février 1991, qu’un don par l’Emir du Koweït d’UN milliard de dollars a été fait à la France « au titre de notre effort militaire dans le Golfe » !...

Où est passé l’argent ?...

 

D’autre part, un deuxième scandale de détournement de fonds concerne l’extinction des 1100 puits de pétrole en feu au Koweït qui ont été éteints à l’azote liquide, et non pas à l’explosif comme le croit encore le public.

Un contrat de 23 milliards de dollars a été signé par l’inventeur du système, Joseph Ferrayé, qui avait déposé un brevet à l’Institut National de la Propriété Industrielle (INPI), dépendante du ministère de l’Industrie dont Dominique Strauss-Kahn était à la tête.

C’est l’affaire « Basano-Ferrayé ».

 

Ainsi, on a eu droit à deux détournements de fonds lors de la guerre du Golfe de 1991 : le premier est d’environ 7 milliards de dollars (soit 18 milliards d’euros en valeur actuelle), tandis que le deuxième est de 23 milliards d’euros (soit 61 milliards d’euros en valeur 2017).

Le total de ces détournements est de 79 milliards d’euros en valeur 2017.

Cela représente environ 2000 euros par « Mouton » en âge de travailler (36 millions de « Moutons » entre 18 et 65 ans…).

Evidemment, cet argent n’a pas disparu et il semblerait que Nicolas Sarkozy ait organisé une opération de récupération des fonds qui auraient été placés dans le « Grand Emprunt 2010 », encore appelé « Plan d’Investissement pour l’Avenir ».

On peut faire confiance aux « Médias-aux-ordres » pour maintenir une Omerta sur cette affaire qui mouille l’ensemble de la classe politique des trente dernières années.

 

Pour revenir au prêt à l’Irak de 430 millions d’euros, on peut se pencher sur les derniers développements du dossier « Guerre du Golfe » :

 

 

1/ Le 19 juillet 2017 : démission du général Pierre de Villiers, Chef d’Etat-major des Armées ;

2/ Le même jour, mise en ligne d’un texte en langue arabe sur un site libanais où est expliqué le détournement des indemnités de la guerre du Golfe. Certains y verront une coïncidence avec la démission du CEMA ;

3/ Un mois plus tard, le 26 août 2017, visite en Irak de Florence Parly, ministre de la défense, et de Jean-Yves Le Drian, Ministre des Affaires Etrangères, afin de développer un important partenariat avec les Irakiens ;

4/ 1er septembre 2017, Saad Hariri, premier ministre libanais, rencontre notre « président jupitérien » à Paris ;

5/ Le 13 septembre 2017, la lettre d’Atama Teugasiale à « Manu-Mak-Rond », est transmise à la ministre de la Justice. La transmission au Parquet militaire pourrait avoir de graves conséquences politiques ;

6 / Le 19 septembre, dans l'arrêté paru au Journal officiel « relatif à la composition du cabinet du président de la République », le CEMP recule d'une case et passe en troisième position.

Du jamais vu dans l’histoire de la République car le CEMP a toujours eu la deuxième position dans le protocole de l’Elysée depuis 1879 !...

A priori, lorsque l’on se remémore le déroulé des événements récents, cette transmission à la ministre de la Justice a été faite sous la contrainte, et la rétrogradation de l’amiral Rogel ne serait qu’une « vengeance » de « Manu-Mak-Rond » !...

Une « vengeance » de bas niveau qui ne peut qu’aggraver la situation.

7/ le 25 septembre 2017, deux mois après le courrier en arabe sur un site libanais, où il a été lu 30.000 fois en trois jours, visite d’Etat du général Michel Aoun, président libanais, qui repart avec un magnifique soutien économique, diplomatique et financier de la France (le tout parfaitement justifié) ;

8 / le 28 septembre 2017, lancement d’un nouveau Programme d’investissement d’Avenir (PIA) de 57 milliards d’euros !...

Certains journalistes économiques se sont étonnées de la provenance assez complexe des fonds et du « pourquoi ?... » de l’opération ;

9 / Le 5 octobre 2017, annonce d’un prêt de 430 millions d’euros pour l’Irak. C’est là, où je trouve que cela commence à faire beaucoup de "coïncidences"…

 

Je rappelle que la démission du général Pierre de Villiers est notamment liée à la réduction de 850 millions d'euros des crédits destinés à l'achat d'équipements militaires en 2017.

Alors, d’un côté on prête 430 millions à l’Irak et de l’autre on sabre les budgets militaires de 850 millions !...

 

La pression risque de monter sérieusement dans les Etats-majors car la vétusté des matériels est une source d’ennuis continuels, de missions annulées, de manque d’entrainement des équipages, etc…

D’ailleurs, j’en ai fait un courrier d’information à « La Délégation à l'information et à la communication de la défense » (DICoD) qui rappelle l’essentiel du dossier.

 

En conclusion, je me pose cette question : « Les pays arabes qui connaissent maintenant très bien le dossier du détournement des indemnités de la guerre du Golfe, suite à la diffusion en langue arabe d’informations indiscutables sur un site libanais, ont-ils un moyen de pression très efficace sur Emmanuel Macron et le Gouvernement ?...»

 

Jean-Charles Duboc

 

 


Le « pompier » de la guerre du Golfe réclame ses milliards

 

 

OU SONT PASSES les milliards de l'or noir ?

 

Dix ans après la guerre du Golfe, Joseph Ferrayé, qui se dit l'inventeur du système d'extinction des puits de pétrole incendiés au Koweït, n'a toujours pas reçu un centime. Première victoire pour ce Franco-Libanais de 55 ans : l'ordonnance en référé, la semaine dernière, du tribunal de grande instance de Paris exige que le Koweït produise les contrats et conventions ayant trait à l'extinction des 1 164 puits de pétrole.

En cas de refus, l'Emirat arabe sera astreint à verser 10 000 F par jour à Joseph Ferrayé à compter du 91 e jour après la notification de l'ordonnance. Le Koweït se pliera-t-il aux injonctions de la justice française ? Rien n'est moins sûr. L'appel d'offres pour l'extinction des puits de pétrole avait à l'époque suscité l'appétit d'émirs, de politiciens et d'intermédiaires en tous genres.

 
La « découverte du siècle »

 
Pour mieux comprendre cette nébuleuse d'intérêts, il faut revenir au printemps 1991. L'opération Tempête du désert a repoussé les forces irakiennes. Le Koweït affronte pourtant un nouvel ennemi, le feu qui entame les réserves de pétrole et menace le monde d'une catastrophe écologique majeure.

Le célèbre « pompier volant », l'Américain Red Adair, estime qu'il faudra cinq ans pour circonscrire tous les foyers. Le ministre des Finances du Koweït débloque un peu plus 30 milliards de dollars en urgence.

Mais dans le midi de la France, un ingénieur pense avoir trouvé la solution miracle. Joseph Ferrayé met au point un procédé qui peut éteindre le brasier sans utiliser d'explosifs et en quelques mois. Le concepteur s'empresse de déposer ses brevets à l'Institut national de la propriété industrielle. Il sera pourtant très vite dépassé par le génie de son invention considérée par certains experts comme la découverte du siècle. Il fonde une société, la Conira, dans le but de commercialiser son procédé. Quelques-uns de ses associés disposant d'un copieux carnet d'adresses se déplacent à Koweït City pour décrocher un éventuel contrat.

Curieusement, l'inventeur n'est pas convié. Le temps passe et les premières images d'extinction des puits apparaissent sur toutes les télévisions du monde qui font état d'une nouvelle technologie miraculeuse, qui a permis d'économiser des milliards de dollars. Le Koweït n'a pourtant pas fait appel à Joseph Ferrayé mais à plusieurs compagnies étrangères dont deux sociétés françaises, filiales de l'Institut français de pétrole.

Les firmes spécialisées ont-elles eu la même intuition que l'ingénieur franco-libanais ? Difficile à croire pour ce dernier, qui pense s'être fait voler son idée par certains de ses associés. « Ils ont négocié derrière mon dos avec les autorités françaises », s'insurge-t-il. Ce que rejettent en bloc les mis en cause. Le Franco-Libanais a déposé plainte pour escroquerie auprès du tribunal de Genève. C'est dans une étude de notaire de cette ville que des conventions ont été signées en 1995 entre Joseph Ferrayé et les autres membres de la Conira. Entendu par la juge d'instruction suisse en charge de l'affaire depuis cinq ans, Pierre Mottu, le notaire, a affirmé que le brevet de Ferrayé avait été utilisé abusivement au Koweït. Celui-ci a ajouté que 34 milliards de dollars seraient partis du Koweït et que la moitié de cette somme serait retournée dans les poches des familles dirigeantes de l'émirat. Le notaire ignorait où se trouvait le reste des fonds.

 

Le Parisien

François Vignolle et William Abenhaïm | 19 Juin 2001


Mains invisibles : Chapitre XXXII : Message de Basanix.

 

Chapitre XXXII

 

Avertissement : Ceci est un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est purement, totalement et parfaitement fortuite ! 

 

Message de Basanix.

 

Entre-temps, « Charlotte » prend le temps de joindre, courant avril le dénommé « Basanix ».

C’est la deuxième fois qu’ils se parlent, la première rencontre ayant eu lieu dans les bureaux de Maître Lardco, l’avocat de Basanix à l’époque de la récupération des 35 milliards d’euros, aujourd’hui député « Bleu-blanc-rouge » qui éructera plus tard à l’idée qu’un détachement de l’armée algérienne défile sur les Champs-Élysées au prochain 14 juillet.

Lui au moins, il est clair et précis, même s’il ne parle pas du même détournement, mais bien de l’escroquerie sur le brevet FERRAYE, le second en 1995.

« Début mars 1991, Serge LEBOUR, Fouad HOBIONE et Victor GERBANE organisent une réunion à Paris pour présenter à FERRAYE le conseiller de l’Émir. À cette réunion assiste également un dénommé Al ADADA-SANI, ingénieur de la KOC, cousin de la famille Al BADAIR et Al SINGER.

Suite à cette réunion, la méthode FERRAYE va être immédiatement mise en place (avant même les dépôts des brevets qui seront faits au mois d’avril et mai 1991) : il suffit de regarder le JT d’Antenne 2 du 7 avril 1991 http://www.ina.fr/video/CAB91016867  pour le vérifier !

(Note de l’auteur : Vidéo devenue indisponible depuis, censurée par l’autorité…)

Les personnes citées nous les retrouvons également dans l’autre escroquerie.

Lors de cette réunion, il est utile de rappeler qu’aucun prix n’avait été avancé pour payer l’invention de FERRAYE.

 

Le 30 juillet 1993, la Kuwait Oil Company (K.O.C) dépose auprès de la Commission d’Indemnisation des Nations Unies, une demande d’indemnisation des frais afférents à la maîtrise des éruptions de puits pour 951.630.871 dollars.

Le 15 novembre 1996, le Conseil d’Administration de la Commission d’Indemnisation des Nations-Unies, dans le cadre du programme humanitaire « Pétrole contre nourriture », après vérification, accorde à la K.O.C une indemnité de 950.715.662 dollars pour les frais afférents à la maîtrise des éruptions de puits. 

La KOC est une filiale contrôlée à 100 % de la Kuwait Petroleum Corporation (KPC) dont l’État du Koweït est le seul actionnaire (…)

On peut raisonnablement penser que les 951.630.871 dollars ont été réglés aux différentes compagnies qui ont participé à l’extinction des puits dont la société Hors-Well. Et les 22 milliards, somme qui correspond à mon devis sur la base de 750 puits en feu, au ministre de l’industrie…

 

Lors de la 37ème session du Conseil d'Administration de la Commission d'Indemnisation des Nations-Unies, considérée comme « un organe de vengeance américaine contre l’Irak », la compagnie pétrolière koweïtienne réclame 22 milliards de dollars ! Le fonds d'indemnisation est financé par un prélèvement de 30 % sur les recettes du pétrole irakien.

Préalablement à la réunion du 27 septembre 2000, le Ministre du Pétrole du Koweït a rencontré le 1er Ministre français d’alors et de sa « majorité plurielle », à Matignon. Et, sur proposition de la France, 15,9 milliards de dollars ont été consentis à une compagnie pétrolière koweïtienne ; et le Conseil de sécurité a accepté de réduire de 30 % à 25 %, le taux des prélèvements qui seront effectués à l'avenir sur les revenus de Bagdad pour indemniser le Koweït.

Pour ces 23 milliards l’explication est assez claire et compréhensible…

 

Le 14 juin 1991, avec FERRAYE et TILIER nous recevons suite au contact téléphonique avec Isam Al SINGER que j’avais pu avoir grâce à Gérard VALITTE qui avait passé plus de 20 ans au Koweït, ses cousins le Général Al BADAIR et l’ingénieur de la KOC Al ADADA-SANI, le même qui avait assisté à la réunion du début mars 1991.

Suite à cette réunion, j’envoie à Isam Al SINGER un devis de 22 milliards de dollars. En sa qualité de directeur de la NBK, il va très vite comprendre comment il va pouvoir obtenir une « partie gratuite ».

Étant donné que l’Émir a pu constater l’efficacité des systèmes FERRAYE, il lui sera facile de lui vendre le prix de 22 milliards de dollars pour les payer, somme qui ne représente en fait que 10 % de la perte de 220 milliards si les opérations d’extinction avaient duré plus de 5 ans comme le prévoyait le spécialiste en la matière, Red ADAIR.

Je pense qu’il ne sera pas très difficile de découvrir qui est l’animateur initial de tout ce trafic !

 

Avec une petite bande de « copains » il va dupliquer les 22 milliards de dollars en jouant au « Jeu de Banques » :

– Un devis de 22 milliards US$, envoyé par BASANIX ; 

– Des visas, des passeports ;

– Un vrai-faux contrat PBE OIL SA signé le 15 novembre 1991 sur lequel apparaît notamment le nom de BASANIX.

Le seul petit problème est que la société PBE OIL SA a été mise en liquidation judiciaire le 9 avril 1989 !

– Un fonds souverain de 22 milliards USD viré d'un seul coût !

– Des comptes ouverts dans différentes banques : dans le cadre de ses investigations notamment avec le fils du Ministre du Pétrole du Koweït de l’époque, Daniel LAVASSEUR avait retracé la piste de l’argent en démontrant que c’était la « Banque Nationale Parisienne » Los Angeles (USA) via la « Banque Nationale Parisienne » Luxembourg, qui a participé en 1991 aux transferts des 23.005.341.300 US$ avant leur éclatement en utilisant de nombreuses sociétés off-shore suivantes : IBAC SERVICE PTE LTD (Singapour), TEXRICE NV (Curacao) INCOME MANAGEMENT, REALITY INVESTORS GROUP, INCOME PROSPECTIES, CITY INVESTMENT.

 

Et on comprend mieux pourquoi :

– « Banque Nationale Parisienne – PARIHAUT » a été choisie dans des conditions plus que surprenantes pour gérer les fonds du programme humanitaire « Pétrole contre Nourriture » notamment pour verser les 15,9 milliards d’US$ à la K.O.C ;

- « Banque Nationale Parisienne – PARIHAUT » a été la seule banque européenne à être autorisée à ouvrir en 2005 une succursale au Koweït ;

 « Banque Nationale Parisienne – PARIHAUT » est la seule banque à faire partie du consortium créé par le Groupe « Card-lyle » dont John Biker et Madelon Hall-Bright (représente des États-Unis à l’ONU qui avait fait savoir qu’elle n’a nullement confiance dans la législation bancaire suisse ; le secrétaire général de l’ONU retiendra « Banque Nationale Parisienne – PARIHAUT » pour la gestion du compte séquestre), sont les fleurons, pour le rachat de la dette irakienne en vue de son règlement au plus haut niveau possible (la dette s’élève à 57 milliards de dollars dont 27 milliards de réparation).

Or, selon des documents confidentiels, les sommes collectées seront versées au fonds géré par le consortium Card-lyle – « Banque Nationale Parisienne – PARIHAUT » qui prélèvera au passage 2 milliards de dollars de commissions sur le dos, une fois de plus, du peuple irakien.

Officiellement, Monsieur Rackchi a répondu négativement à Monsieur John Biker ; mais l’Administrateur et Président de « Banque Nationale Parisienne – PARIHAUT » (suisse) s’appelle Georges Cardan-de-Chourcelle, le cousin de l’épouse de Rackchi… (cf. éditions du 12 octobre 2004 : The Nation et Guardian, « démissionné » depuis en juillet 2014).

 

Pour participer à ce détournement de 23 milliards $, les Banques ont utilisé la technique des comptes « Banque écran » dans le cadre du fonctionnement des comptes « nostri » : procédé par lequel, un investisseur, par souci de discrétion, fait réaliser pour son compte, mais par une banque et au nom de celle-ci, une opération financière. Ce système qui suppose un secret bancaire TOTAL…, implique, si l’opération est importante, le risque qu’elle ne soit pas retrouvée dans les bilans de la banque si ceux-ci sont publiés. »

Nanar Tapis aura été victime d’un procédé similaire quand il a dû revendre rapidement sa société ADADAS, pour devenir ministre de la Ville de Thiersmirant.

Et le procédé existe bel et bien quand il s’agit de ne pas dévoiler trop vite une tentative d’OPA hostile d’une société sur une autre en dépassant les divers seuils qui imposent aux opérateurs de communiquer sur les marchés sur leurs prises de participation.

Quant aux comptes « nostri », ils peuvent « disparaître » à l’occasion de la publication de comptes des banques, à travers les engagements « hors-bilan », à chaque échéance de publication trimestrielle, d’avec des filiales « off-shore » qui ne sont pas consolidées.

 

« Questions : l’Émir de l’époque, décédé depuis, celui qui a donné l’ordre de virer les premiers 22 milliards $ était-il au courant du montage d’Isam Al SINGER ?

Le nouvel Émir a-t-il bénéficié du montage ?

Daniel LAVASSEUR a déclaré le 13 mai 2000 à Alain Désart et Frédéric Müne, journalistes à l’Est Républicain : « Il y avait effectivement un dossier et un système de manipulation financière dont ont profité des princes koweïtiens et d’autres… Par un savant mécanisme de comptes bancaires et de crédits imaginaires, des milliards de dollars ont circulé à la faveur de la juteuse après-guerre »

Lorsque les princes koweïtiens ont voulu récupérer les 23 milliards $, les Américains ont alors demandé que les ADER, ceux qu’Isam Al SINGER avaient désigné, signent les ordres de virement pour régulariser la situation.

D’où les conventions de cessions de droits litigieux préparées par les notaires et avocats en 1995.

Lors de cette réunion ils ont effectivement pu obtenir la signature pour 14.585.354.100 US$. Il reste les comptes de BASANIX pour 8.419.987.200 US$.

Question : qui a aujourd’hui un intérêt à conclure un accord transactionnel ?

Je pense que le maillon faible est Isam Al SINGER qui vient d’être nommé (le 16 février 2014) Président de la NBK. »

Par ailleurs, « dans un article du New York Times, du 8 septembre 1992, il est possible de découvrir que :

– « L’information relâchée à une réunion de banques centrales aux Émirats Arabes Unis, dit que, en plus, les gouvernements d’Arabie Saoudite, du Koweït et des Émirats du Golfe, ont versés 84 milliards de dollars en paiement direct aux États-Unis, à la Grande Bretagne et à la France pour les dépenses militaires (…) ».

– Sachant que, pour les USA, le coût militaire de la guerre du Golfe 1991 est de 61 milliards de dollars, et bien cela signifie qu’il y a eu, sur 84 milliards de dollars versés à la coalition, 23 milliards destinés à la Grande Bretagne et à la France.

Or, il apparaîtrait que ces 23 milliards n’aient pas été comptabilisés dans les comptes des États ! »

S’il pouvait en faire un petit courriel à transmettre ultérieurement à « Junior n°4 », ce serait très bien.

Ce qu’il accepte de faire à l’occasion de la mise en ligne d’un extrait de « Mains invisibles » sur le blog de « l’I-Cube ».

Après tout, Harrison cherchait à compléter ses informations relatives au personnel politique de son pays…

Et là, il a de quoi en faire des tonnes, si vérification faites, ces informations sont corrélées et fondées.

Basanix aura poursuivi sa quête des 8 milliards portés à son nom, par plusieurs biais et à travers divers circuits. Pour les retrouver cantonnés sur une banque canadienne, bloqués par le DEA, comme « n°4 » l’avait d’ailleurs indiqué, il y a plusieurs mois à Paul.

Informations qui se recoupent donc…

Et après ça, on s’étonnera que la justice américaine sanctionne si lourdement la « Banque Nationale Parisienne – PARIHAUT », dès la première étape de ses investigations et poursuites sur les transactions libellées illégalement en dollar avec des pays sous embargo…

Un bon prétexte pour récupérer plus que les commissions sur toutes ces opérations de « blanchiment » de détournements, effectuées au détriment des irakiens…

Plus de 8 milliards, n’est-ce pas le solde des montants bloqués au Canada ?

Et en plus, le Président américain aura eu l’occasion de répéter à son homologue français qu’il n’intervenait pas dans les procédures judiciaires de son pays.

Magnifique !

Accéder au sommaire : Cliquez ici !

 


Affaire Basano/Ferrayé (VI)

 

Article paru dans l’EST REPUBLICAIN du 13 mai 2000.

 

L’affaire Basano/Ferrayé est l’une des plus grandes escroqueries du XXème siècle, du temps où des mafieux, enfin, nos dirigeants, pouvaient aussi aller jusqu’à détourner, en toute impunité, les milliards de la Division Daguet virés à la France par le Koweït, les Emirats Arabes Unis, au titre des frais de guerre du l’Opération Tempête du désert de 1991.

Du jamais vu dans l’Histoire de notre République qui est devenue à ce moment-là un authentique Totalitarisme mafieux !...

Ces scandales sont toujours soigneusement cachés au public et nous en payons maintenant le coût par un effondrement économique progressif, car est-il possible d’imaginer que des dirigeants politiques corrompus jusqu’à la moelle peuvent se montrer capables de faire les bons choix stratégiques pour notre pays ?...

Ces affaires sont couvertes principalement par l’UMP et le PS qui doivent se préparer à une Divulgation un jour ou l’autre et à l’arrivée d’un terrible ouragan sur la classe politique dans son ensemble.

Car je précise que j’ai aussi alerté tous les dirigeants politiques, de l’extrême-gauche à l’extrême-droite !...

Bien sûr, on pourra dire que cela va profiter au Front National mais il faut savoir que j’ai alerté plusieurs l’ancien président, Jean-Marie LE PEN, au sujet de ces affaires, en vain.

Comme les autres ?...

Il semblerait que l’argent de la Division Daguet (3,5 milliards $) et celui de l’escroquerie sur l’extinction des puits de pétrole en feu (22 milliards $) ait permis une gigantesque opération de corruption de l’ensemble de la classe politique, de la presse et des médias, et que "tout le monde" soit tenu.

D’ailleurs, c’est le thème du roman « Mains Invisibles » de « I-Cube » !...

Pour revenir à l’affaire Basano-Ferrayé et à cette fameuse escroquerie à 22 milliards de dollars sur l’extinction des puits de pétrole en feu, je mets en ligne ci-dessous un article de presse paru dans « L’Est Républicain » le samedi 13 mai 2000.

Jean-Charles DUBOC

Basano Est républicain 2000 .0001

 


Affaire Basano/Ferrayé (V)

 

Comment découvrir 8 milliards de dollars sur un compte à son nom ?...

 

L’extinction des puits de pétrole en feu au Koweït en 1991 a été l’occasion d’une énorme arnaque financière à 22 milliards de dollars !...

C’est l’époque où nos dirigeants ont perdu totalement la mesure des choses dans des affaires de corruption inimaginables ; des magouilles crapuleuses toujours cachées aux Français par une presse et des médias plus que jamais complices d’un système politique devenu mafieux.

Car il y a aussi l’affaire des rétro-commissions sur la vente de frégates à Taïwan et surtout le détournement des 3,5 de dollars d’indemnités de la guerre du Golfe virés à la France par le Koweït, l’Arabie Saoudite et les Emirats Arabes Unis.

« Le pouvoir rend fou, et le pouvoir total rend totalement fou !... » avait déjà constaté Platon il y a deux millénaires…

Il faudra révéler un jour ou l’autre ces affaires aux citoyens et changer un système politique adapté à une personnalité comme celle du général de Gaulle mais en aucun cas à des fats cyniques, manipulateurs et corrompus comme le sont nos dirigeants depuis trois décennies.

La révélation au public se fait progressivement sur le web et on peut se demander combien de temps encore de telles affaires pourront rester cachées à une époque où les scandales se succèdent les uns aux autres.

Il faudra alors changer les « règles du jeu » et instituer un nouveau type de gouvernement notamment en développant le recours au référendum d’initiative populaire et en tirant au sort une partie des représentants du peuple (ex : les sénateurs) de façon à casser pour de bon l’hégémonie des partis politiques.

Mais, pour l’instant, l’information sur ces affaires inadmissibles continue à circuler sur le web et vous trouverez aujourd’hui une reprise d’un chapitre du roman « Mains invisibles » où l’auteur, « I-Cube », raconte d’une manière romanesque comment les fonds disparus ont été récupérés un peu partout sur la planète sur les comptes de « nos chers dirigeants »…

Mais la réalité dépasse bien souvent la fiction et on peut imaginer que ce qui s’est passé est, parfois, bien pire que ce qui est raconté.

Connaitrons-nous un jour la vérité ?...

Aurons-nous droit à un grand déballage ?...

Parce que la droite a beaucoup à dire car les fonds auraient été, en partie, récupérés et placés dans le « Grand Emprunt 2010 » encore dénommé « Programme d’investissements pour l’avenir ».

En raison de la déconsidération toujours croissante des dirigeants politiques le peuple descend régulièrement dans la rue et on se demande jusqu’où cela va aller…

A mon humble avis, nous sommes en situation « pré-révolutionnaire », comme en 1787 ou 1788, et les citoyens vont vouloir se débarrasser, comme il y a deux siècles, de  groupes mafieux sans scrupule, arrogants, méprisants, s’accaparant les richesses : les partis politiques au pouvoir depuis 30 ans...

Si le pire arrive, il faudra proposer des solutions réellement novatrices, démocratiques, afin de sortir « par le haut » d’une crise terrible et d’éviter l’instauration d’un système totalitaire d’extrême-droite.

C’est un peu l’ambition de ce blog.

 

Jean-Charles DUBOC

 

 

samedi 6 septembre 2014

Chapitre XXXII

Avertissement : Ceci est un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est purement, totalement et parfaitement fortuite !

 

Massage de Basanix.

 

Entre-temps, « Charlotte » prend le temps de joindre, courant avril le dénommé « Basanix ».

C’est la deuxième fois qu’ils se parlent, la première rencontre ayant eu lieu dans les bureaux de Maître Lardco, l’avocat de Basanix à l’époque de la récupération des 35 milliards d’euros, aujourd’hui député « Bleu-blanc-rouge » qui éructera plus tard à l’idée qu’un détachement de l’armée algérienne défile sur les Champs-Élysées au prochain 14 juillet.

Lui au moins, il est clair et précis, même s’il ne parle pas du même détournement, mais bien de l’escroquerie sur le brevet FERRAYE, le second en 1995.

 

« Début mars 1991, Serge LEBOUR, Fouad HOBIONE et Victor GERBANE organisent une réunion à Paris pour présenter à FERRAYE le conseiller de l’Émir. À cette réunion assiste également un dénommé Al ADADA-SANI, ingénieur de la KOC, cousin de la famille Al BADAIR et Al SINGER.

Suite à cette réunion, la méthode FERRAYE va être immédiatement mise en place (avant même les dépôts des brevets qui seront faits au mois d’avril et mai 1991) : il suffit de regarder le JT d’Antenne 2 du 7 avril 1991 http://www.ina.fr/video/CAB91016867  pour le vérifier !

(Note de l’auteur : Vidéo devenue indisponible depuis, censurée par l’autorité…)

Les personnes citées nous les retrouvons également dans l’autre escroquerie.

Lors de cette réunion, il est utile de rappeler qu’aucun prix n’avait été avancé pour payer l’invention de FERRAYE.

  C

Le 30 juillet 1993, la Kuwait Oil Company (K.O.C) dépose auprès de la Commission d’Indemnisation des Nations Unies, une demande d’indemnisation des frais afférents à la maîtrise des éruptions de puits pour 951.630.871 dollars.

Le 15 novembre 1996, le Conseil d’Administration de la Commission d’Indemnisation des Nations-Unies, dans le cadre du programme humanitaire « Pétrole contre nourriture », après vérification, accorde à la K.O.C une indemnité de 950.715.662 dollars pour les frais afférents à la maîtrise des éruptions de puits.  

La KOC est une filiale contrôlée à 100 % de la Kuwait Petroleum Corporation (KPC) dont l’État du Koweït est le seul actionnaire (…)

On peut raisonnablement penser que les 951.630.871 dollars ont été réglés aux différentes compagnies qui ont participé à l’extinction des puits dont la société Hors-Well. Et les 22 milliards, somme qui correspond à mon devis sur la base de 750 puits en feu, au ministre de l’industrie…

 

Lors de la 37ème session du Conseil d'Administration de la Commission d'Indemnisation des Nations-Unies, considérée comme « un organe de vengeance américaine contre l’Irak », la compagnie pétrolière koweïtienne réclame 22 milliards de dollars ! Le fonds d'indemnisation est financé par un prélèvement de 30 % sur les recettes du pétrole irakien.

Préalablement à la réunion du 27 septembre 2000, le Ministre du Pétrole du Koweït a rencontré le 1er Ministre français d’alors et de sa « majorité plurielle », à Matignon. Et, sur proposition de la France, 15,9 milliards de dollars ont été consentis à une compagnie pétrolière koweïtienne ; et le Conseil de sécurité a accepté de réduire de 30 % à 25 %, le taux des prélèvements qui seront effectués à l'avenir sur les revenus de Bagdad pour indemniser le Koweït.

Pour ces 23 milliards l’explication est assez claire et compréhensible…

 

Le 14 juin 1991, avec FERRAYE et TILIER nous recevons suite au contact téléphonique avec Isam Al SINGER que j’avais pu avoir grâce à Gérard VALITTE qui avait passé plus de 20 ans au Koweït, ses cousins le Général Al BADAIR et l’ingénieur de la KOC Al ADADA-SANI, le même qui avait assisté à la réunion du début mars 1991.

Suite à cette réunion, j’envoie à Isam Al SINGER un devis de 22 milliards de dollars. En sa qualité de directeur de la NBK, il va très vite comprendre comment il va pouvoir obtenir une « partie gratuite ».

Étant donné que l’Émir a pu constater l’efficacité des systèmes FERRAYE, il lui sera facile de lui vendre le prix de 22 milliards de dollars pour les payer, somme qui ne représente en fait que 10 % de la perte de 220 milliards si les opérations d’extinction avaient duré plus de 5 ans comme le prévoyait le spécialiste en la matière, Red ADAIR.

Je pense qu’il ne sera pas très difficile de découvrir qui est l’animateur initial de tout ce trafic !

 

Avec une petite bande de « copains » il va dupliquer les 22 milliards de dollars en jouant au « Jeu de Banques » :

– Un devis de 22 milliards US$, envoyé par BASANIX ;  

– Des visas, des passeports ;

– Un vrai-faux contrat PBE OIL SA signé le 15 novembre 1991 sur lequel apparaît notamment le nom de BASANIX.

Le seul petit problème est que la société PBE OIL SA a été mise en liquidation judiciaire le 9 avril 1989 !

– Un fonds souverain de 22 milliards USD viré d'un seul coût !

– Des comptes ouverts dans différentes banques : dans le cadre de ses investigations notamment avec le fils du Ministre du Pétrole du Koweït de l’époque, Daniel LAVASSEUR avait retracé la piste de l’argent en démontrant que c’était la « Banque Nationale Parisienne » Los Angeles (USA) via la « Banque Nationale Parisienne » Luxembourg, qui a participé en 1991 aux transferts des 23.005.341.300 US$ avant leur éclatement en utilisant de nombreuses sociétés off-shore suivantes : IBAC SERVICE PTE LTD (Singapour), TEXRICE NV (Curacao) INCOME MANAGEMENT, REALITY INVESTORS GROUP, INCOME PROSPECTIES, CITY INVESTMENT.

 

Et on comprend mieux pourquoi :

– « Banque Nationale Parisienne – PARIHAUT » a été choisie dans des conditions plus que surprenantes pour gérer les fonds du programme humanitaire « Pétrole contre Nourriture » notamment pour verser les 15,9 milliards d’US$ à la K.O.C ;

- « Banque Nationale Parisienne – PARIHAUT » a été la seule banque européenne à être autorisée à ouvrir en 2005 une succursale au Koweït ;

« Banque Nationale Parisienne – PARIHAUT » est la seule banque à faire partie du consortium créé par le Groupe « Card-lyle » dont John Biker et Madelon Hall-Bright (représente des États-Unis à l’ONU qui avait fait savoir qu’elle n’a nullement confiance dans la législation bancaire suisse ; le secrétaire général de l’ONU retiendra « Banque Nationale Parisienne – PARIHAUT » pour la gestion du compte séquestre), sont les fleurons, pour le rachat de la dette irakienne en vue de son règlement au plus haut niveau possible (la dette s’élève à 57 milliards de dollars dont 27 milliards de réparation).

Or, selon des documents confidentiels, les sommes collectées seront versées au fonds géré par le consortium Card-lyle – « Banque Nationale Parisienne – PARIHAUT » qui prélèvera au passage 2 milliards de dollars de commissions sur le dos, une fois de plus, du peuple irakien.

Officiellement, Monsieur Rackchi a répondu négativement à Monsieur John Biker ; mais l’Administrateur et Président de « Banque Nationale Parisienne – PARIHAUT » (suisse) s’appelle Georges Cardan-de-Chourcelle, le cousin de l’épouse de Rackchi… (cf. éditions du 12 octobre 2004 : The Nation et Guardian, « démissionné » depuis en juillet 2014).

 

Pour participer à ce détournement de 23 milliards $, les Banques ont utilisé la technique des comptes « Banque écran » dans le cadre du fonctionnement des comptes « nostri » : procédé par lequel, un investisseur, par souci de discrétion, fait réaliser pour son compte, mais par une banque et au nom de celle-ci, une opération financière. Ce système qui suppose un secret bancaire TOTAL…, implique, si l’opération est importante, le risque qu’elle ne soit pas retrouvée dans les bilans de la banque si ceux-ci sont publiés. »

 

Nanar Tapis aura été victime d’un procédé similaire quand il a dû revendre rapidement sa société ADADAS, pour devenir ministre de la Ville de Thiersmirant.

Et le procédé existe bel et bien quand il s’agit de ne pas dévoiler trop vite une tentative d’OPA hostile d’une société sur une autre en dépassant les divers seuils qui imposent aux opérateurs de communiquer sur les marchés sur leurs prises de participation.

Quant aux comptes « nostri », ils peuvent « disparaître » à l’occasion de la publication de comptes des banques, à travers les engagements « hors-bilan », à chaque échéance de publication trimestrielle, d’avec des filiales « off-shore » qui ne sont pas consolidées.

 

« Questions : l’Émir de l’époque, décédé depuis, celui qui a donné l’ordre de virer les premiers 22 milliards $ était-il au courant du montage d’Isam Al SINGER ?

Le nouvel Émir a-t-il bénéficié du montage ?

 

Daniel LAVASSEUR a déclaré le 13 mai 2000 à Alain Désart et Frédéric Müne, journalistes à l’Est Républicain : « Il y avait effectivement un dossier et un système de manipulation financière dont ont profité des princes koweïtiens et d’autres… Par un savant mécanisme de comptes bancaires et de crédits imaginaires, des milliards de dollars ont circulé à la faveur de la juteuse après-guerre »

Lorsque les princes koweïtiens ont voulu récupérer les 23 milliards $, les Américains ont alors demandé que les ADER, ceux qu’Isam Al SINGER avaient désigné, signent les ordres de virement pour régulariser la situation.

D’où les conventions de cessions de droits litigieux préparées par les notaires et avocats en 1995.

Lors de cette réunion ils ont effectivement pu obtenir la signature pour 14.585.354.100 US$. Il reste les comptes de BASANIX pour 8.419.987.200 US$.

Question : qui a aujourd’hui un intérêt à conclure un accord transactionnel ?

Je pense que le maillon faible est Isam Al SINGER qui vient d’être nommé (le 16 février 2014) Président de la NBK. »

 

Par ailleurs, « dans un article du New York Times, du 8 septembre 1992, il est possible de découvrir que :

– « L’information relâchée à une réunion de banques centrales aux Émirats Arabes Unis, dit que, en plus, les gouvernements d’Arabie Saoudite, du Koweït et des Émirats du Golfe, ont versés 84 milliards de dollars en paiement direct aux États-Unis, à la Grande Bretagne et à la France pour les dépenses militaires (…) ».

– Sachant que, pour les USA, le coût militaire de la guerre du Golfe 1991 est de 61 milliards de dollars, et bien cela signifie qu’il y a eu, sur 84 milliards de dollars versés à la coalition, 23 milliards destinés à la Grande Bretagne et à la France.

Or, il apparaîtrait que ces 23 milliards n’aient pas été comptabilisés dans les comptes des États ! »

 

S’il pouvait en faire un petit courriel à transmettre ultérieurement à « Junior n°4 », ce serait très bien.

Ce qu’il accepte de faire à l’occasion de la mise en ligne d’un extrait de « Mains invisibles » sur le blog de « l’I-Cube ».

Après tout, Harrison cherchait à compléter ses informations relatives au personnel politique de son pays…

Et là, il a de quoi en faire des tonnes, si vérification faites, ces informations sont corrélées et fondées.

 

Basanix aura poursuivi sa quête des 8 milliards portés à son nom, par plusieurs biais et à travers divers circuits. Pour les retrouver cantonnés sur une banque canadienne, bloqués par le DEA, comme « n°4 » l’avait d’ailleurs indiqué, il y a plusieurs mois à Paul.

Informations qui se recoupent donc…

Et après ça, on s’étonnera que la justice américaine sanctionne si lourdement la « Banque Nationale Parisienne – PARIHAUT », dès la première étape de ses investigations et poursuites sur les transactions libellées illégalement en dollar avec des pays sous embargo…

Un bon prétexte pour récupérer plus que les commissions sur toutes ces opérations de « blanchiment » de détournements, effectuées au détriment des irakiens…

Plus de 8 milliards, n’est-ce pas le solde des montants bloqués au Canada ?

Et en plus, le Président américain aura eu l’occasion de répéter à son homologue français qu’il n’intervenait pas dans les procédures judiciaires de son pays.

Magnifique !    

Source : http://flibustier20260.blogspot.fr/2014/09/chapitre-xxxii.html

 

 


Indemnités de la guerre du Golfe 1991 : Demande de prime d’aviseur

 

Le 29 janvier 2014

Monsieur Jean-Charles DUBOC

à

Monsieur Pierre MOSCOVICI

Ministre de l'Economie et des Finances

139, rue de Bercy

75572 PARIS

 

Lettre en A/R

 

Objet : Prime d’aviseur DNEF

 

Monsieur le Ministre,

 

Vous trouverez, avec la présente, l’ensemble des courriers que j’ai envoyés à vos prédécesseurs depuis juin 1998 au sujet du détournement des indemnités de la guerre du Golfe 1991.

Une demande de prime d’aviseur a été effectuée le 29 janvier 2001 à Monsieur Laurent FABIUS, ministre de l’Economie, des Finances et de l’Industrie.

J’ai effectué de nouveaux rappels de cette demande de prime d’aviseur à Madame Christine LAGARDE le 20 juin 2008, le 14 août 2009 et le 12 mai 2010.

Il est possible que des anciens combattants de la Division Daguet entreprennent prochainement une action en justice au sujet de ce détournement de fonds publics qui se monterait à plus de 7,3 milliards d’euros en valeur actuelle.

Par ce courrier, je tiens à rappeler ma demande de prime d’aviseur qui se monte à 1% des fonds détournés, et ce que je désire en faire.

Je souhaite que la prime d’aviseur demandée, près de 73 millions d’euros, soit, dans sa quasi-intégralité, destinée à créer la « Fondation Division Daguet » qui aura pour objectif d’indemniser nos soldats tués, blessés, ou souffrant de divers syndromes comme le syndrome de la guerre du Golfe ou le syndrome psychique post-traumatique.

Il est aussi possible de créer une structure qui répartira les fonds pour nos victimes du syndrome du Golfe.

Pour moi-même, je ne demande que l’équivalent du salaire annuel d’un inspecteur général des finances, en fin de carrière, majoré de 40% pour la mauvaise foi mise à me répondre, ainsi que de 4% par année de retard.

Je vous prie de bien vouloir agréer, monsieur le ministre, l’expression de ma plus haute considération.

Jean-Charles DUBOC


L’affaire Basano / Ferrayé ou comment escroquer 22 milliards de dollars (IV) : Les fichiers HSBC

 

Bien avant Hervé Falciani, il y a eu d’autres aviseurs du ministère des finances qui ont dénoncé des détournements de fonds publics.

Par exemple, un aviseur a déposé le 19 janvier 1998 des informations à la Brigade de contrôle et de recherche (BCR) du Havre, dépendante de la Direction nationale des enquêtes fiscales (DNEF), pour le détournement par « Myth-Errant » des 3,5 milliards de dollars d’indemnités de la guerre du Golfe de 1991. Ce qui fait plus de 7 milliards d’euros en valeur actuelle.

C’est raconté dans le texte humoristique « L’Ami-râle Pad-Ock et le détournement des indemnités de la guerre du Golfe 1991 »

 

Dans le cas où les milliards d’euros des indemnités de la guerre du Golfe seraient récupérés, cet aviseur demande au ministère des finances de :

1/ Créer, avec la prime d’aviseur, la Fondation Division Daguet destinée à nos soldats tués ou blessés en opération et de la capitaliser à hauteur de la somme dûe, soit environ 73 millions d’euros (L’aviseur demande pour lui une année de salaire brut d’inspecteur général des finances) ;

2/ Payer la prime de guerre promise à nos soldats qui ont participé à l’Opération « Tempête du Désert » avec une majoration de 40% pour avoir pris nos militaires pour des « Pov’kons », et avec une autre majoration de 4% par année de retard !...

Avec une prime prévue de 180.000 francs en 1991, cela fait entre 80.000 et 100.000 euros pour chaque militaire ayant participé au conflit.

Le coût est d’environ un milliard d’euros ;

3/ Indemniser décemment nos soldats qui sont victimes du syndrome de la guerre du Golfe, conformément aux souhaits de l’association AVIGOLFE ;

4/ Construire trois grands voiliers-écoles de 85 mètres au pont pour la formation maritime et humaine des jeunes, pour un coût à la construction de près de 150 millions d’euros (50 millions par navire).

 

D’autre part, au détournement de 3,5 milliards de dollars des indemnités de la guerre du Golfe, il faut ajouter l’escroquerie de 22 milliards de dollars réalisée lors de l’extinction des 1100 puits de pétrole en feu au Koweït en 1991.

Le fameux dossier « Basanix/Féraillé »

Ces deux dossiers forment, en valeur 2014, un total d’environ 55 milliards d’euros.

« Bling-bling », notre « ex Divin-et-Ô-combien-vénéré-président » a demandé aux ῝petits hommes en gris῝ de Bercy d’organiser une récupération des fonds qui étaient rassemblés dans un trust à Londres.

La première tranche des fonds récupérés, soit 35 milliards d’euros, a été placée dans le grand emprunt 2010 qui n’est qu’un montage financier.

Sur ces 35 milliards, 15 milliards auraient servi à rembourser la « CIA », via « L’OTAN », pour le remboursement à l’émir du Koweït des sommes escroquées.  En effet, l’Emirat n’avait pas tardé à s’apercevoir qu’il avait payé beaucoup trop cher pour l’extinction des 1100 puits en feu...

 

Par contre, il manque une vingtaine de milliards d’euros qui restent dans la nature.  Et là, il faut se pencher sur le roman Mains invisibles de « I-Cube » pour trouver une explication :

http://euroclippers.typepad.fr/alerte_ethique/2014/01/mains-invisibles-iv.html

Extrait : « Et alors, en supposant que les fonds du trust aient été placés en euro après l’avoir été en monnaies diverses et européennes, on peut imaginer que c’est 55 milliards d’euros qui auraient dû constituer le « stock » à récupérer. Mais, vous rappelle-je, on en a eu que pour 35 milliards. Donc… »

Le reste a été distribué…

« Mais à qui ? »

La seconde bombe thermonucléaire !

« À tout le monde ! »

Comment ça ?

Les fichiers qu’il est convenu de faire croiser par la minette de l’amiral provenant de Bercy qui peine à retrouver les ayants-droits, ils sont truffés de « faux-nez ».

« Je n’ai fait que les parcourir à la va-vite, mais quand je suis tombé sur un monsieur J. Cardan-de-Chourcelle, à Tokyo, imaginez-vous bien que j’ai immédiatement pensé à l’épouse du président Rackchi, dont c’est le nom de jeune-fille ! »

Incroyable, lâche Gustave.

« Et vous en avez identifié beaucoup, des comme ça ? »

Il y en a 9.288.

« J’ai refermé le bidule. C’est une recherche trop longue pour le peu de temps que je peux y consacrer. Mais vous imaginez que si on tombe sur les 9.000 qui ont pu être un jour ministre, conseiller, député ou sénateur comme j’ai pu le deviner pour les plus connus, non seulement il faut confirmer, mais en plus, si ça doit être révélé à la presse, c’est la révolution dans les rues, Amiral ! »

Intéressant n’est-ce pas !...

Pas question  que la presse et les médias révèlent une horreur pareille !...

Et pourtant !...

 

Il est possible de faire un rapprochement de ces incroyables détournements de fonds avec une série d’articles sur les fichiers trafiqués de la HSBC qui sont vraiment surprenants : Le Point : « Fichiers de la banque HSBC : les preuves de la manipulation » ; Le point : « Fichiers HSBC : Christian Eckert s'explique » Direct Matin : « La France aurait falsifié les listes d'évadés fiscaux divulguées par Falciani » ; Nouvel Obs : « Evadés fiscaux : les fichiers HSBC falsifiés par la France ».

 

Je reprends l’article disponible dans les Echos et intitulé « HSBC : 3.000 noms d’évadés fiscaux de la liste de Falciani ont disparu »

Environ 3.300 noms de clients français de HSBC Private Bank ont été  », selon l’Agefi.

Le quotidien financier Agefi affirme mardi sur son site que les autorités françaises ont falsifié en 2009 les listes d’évadés fiscaux en Suisse livrées par l’ex-informaticien de la banque HSBC Hervé Falciani , ce qu’un rapport parlementaire infirmait en juillet.

L’Agefi dit être « en mesure d’affirmer sans conditionnel que le contenu des listes a bien été modifié », « après avoir pu consulter un rapport de l’Office fédéral de la police ».

Interrogé par l’AFP, un porte-parole de Bercy a renvoyé au rapport présenté en juillet 2013 par le rapporteur du budget à l’Assemblée générale, Christian Eckert, infirmant toute disparition de contribuable.

« L’élaboration des listes de contribuables établies par l’administration fiscale a donné lieu à de nombreux commentaires dans les médias. Le Rapporteur général ne peut qu’infirmer l’affirmation que des contribuables auraient +disparu+ », selon un extrait de ce rapport parlementaire.

« Environ 3.300 noms de clients français de HSBC Private Bank ont été éliminés », selon le site d’actualités financières qui rappelle que le 23 juillet 2012, le quotidien Le Monde avait déjà suggéré que « la liste des évadés fiscaux de HSBC en Suisse aurait été falsifiée ».

L’Agefi précise que « la liste comprenait 8.993 noms. En retirant les doublons, il restait (selon Le Monde) 6.313 personnes physiques ou morales ».

3.000 noms éliminés

Or, souligne l’Agefi, « pendant l’été 2009, l’ancien ministre du Budget, Eric Woerth n’évoquait plus qu’une liste de 3.000 noms d’exilés fiscaux ».

« Le calcul est vite fait: environ 3.300 noms de clients français de HSBC Private Bank ont été éliminés », estime le quotidien spécialisé qui évoque des « incohérences » mentionnées dans le rapport de l’Office fédéral de la police sur les copies des fichiers remises par la France à la Suisse début 2010.

L’ancien informaticien de la banque HSBC à Genève Hervé Falciani a révélé en 2008 des fichiers permettant de découvrir des milliers d’évadés fiscaux dans le monde, ce qui lui vaut d’être poursuivi en Suisse.

Deux premières condamnations, à huit et dix mois de prison avec sursis, ont été prononcées en France à la mi-décembre dans un dossier de fraude fiscale ouvert sur la foi des fichiers HSBC remis à la justice par Hervé Falciani.

Source AFP

Les documents en question sont disponibles dans l’article du Point « Fichiers de la banque HSBC : les preuves de la manipulation » !...

 

Pour quelle raison les petits hommes en gris de Bercy auraient-ils fait disparaître 3000 noms des fichiers Falciani ?...

L’EPOUVANTABLE HYPOTHESE

Une hypothèse vraisemblable est que toutes ces personnes ont bénéficiées, parfois sans le savoir comme Christian Basano, des fonds détournés de la guerre du Golfe et de l’escroquerie sur l’extinction des puits en feu au Koweït.

Il y en aurait pour 20 milliards d’euros, soit 2,15 millions d’euros par personne s’il y a 9288 comptes concernés.

Les 3000 comptes de la HSBC ne représentant qu’une partie du pactole.

De quoi acheter des bonnes consciences…

 

Jean-Charles Duboc


L’affaire Basano / Ferrayé ou comment escroquer 22 milliards de dollars (III) : Devant le TGI de Paris

 

 

AFFAIRE BASANO/FERRAYE

 

 

 

Afin de comprendre un peu mieux la trame du pastiche « Les aventures de Tin-tinne et de l’Ami-râle Pad-Ock », il est nécessaire de comprendre les dessous de l’incroyable escroquerie qui a eu lieu lors du paiement de l’extinction des 1100 puits de pétrole en feu au Koweït en 1991.

L’affaire la plus importante de notre « Raie-Pue-Blik-Bananière » !...

Elle se monte à 22 milliards d’euros !...

C’est « l’Affaire Basano/Ferrayé ».

Mais Christian Basano, qui a subi un préjudice important, tout comme Joseph Ferrayé, fait valoir devant les tribunaux qu'il a été victime d'une escroquerie internationale impliquant plusieurs hautes autorités de l'état.

Une action qui est pour l’instant sans succès, mais je me dois de mettre en ligne la note de « I-Cube » relatant la décision du tribunal de grande instance de Paris du 5 novembre 2013 :

http://infreequentable.over-blog.com/article-basano-le-6-novembre-2013-121131343.html

Ou comment formuler un déni de justice de telle sorte que ça n’en soit pas un…

Jean-Charles Duboc

 

 

Lundi 18 novembre 2013

Basano, le 6 novembre 2013

TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE DE PARIS

 

Une décision qu’on attendait avec impatience.

Ou comment formuler un déni de justice de telle sorte que ça n’en soit pas un…

Du « caviar » !

 

N° RG : 10/14083

Assignation du : 20 septembre 2010 ; DEBOUTE

 

JUGEMENT rendu le 6 novembre 2013

DEMANDEUR : Monsieur Christian BASANO (…) CASTRES, représenté par Me Dominique KOUNKOU, avocat au barreau de PARIS, vestiaire (toque) E1108 ;

DÉFENDEUR : AGENT JUDICIAIRE DE L’ETAT, anciennement dénommé AGENT JUDICIAIRE DU TRESOR ; Direction des Affaires Juridiques (…) 75703 PARIS CEDEX 13 ; représenté par Maître Bernard GRELON de la SCP UGGC, AVOCATS, avocat au barreau de PARIS, vestiaire (toque) P0261 ;

MINISTÈRE PUBLIC : Madame Sylvie KACHANER, Vice-Procureure.

 

DECISION DU 6 NOVEMBRE 2013

COMPOSITION DU TRIBUNAL : Madame Magali BOUVIER, Première Vice-Présidente, Présidente de la formation ; Madame Anne BERARD, Vice-Présidente ; Madame Pénélope POSTEL-VINAY, Vice-Présidente, Assesseurs ; assistées de Caroline GAUTIER, Greffière, lors des débats.

 

DÉBATS

À l’audience du 18 septembre 2013 tenue en audience publique.

 

JUGEMENT : Contradictoire. En premier ressort. Prononcé publiquement, par mise à disposition au greffe, les parties en ayant été avisées dans les conditions prévues au deuxième alinéa de l’article 450 du code de procédure civile.

Signé par Mme Magali BOUVIER, Présidente et par Mme Caroline GAUTIER, greffier, auquel la minute de la décision a été remise par le magistrat signataire.

 

Par assignation du 20 septembre 2010, M. Christian Basano, ancien expert-comptable, a saisi le présent tribunal, notamment sur le fondement de l'article L. 141-1 du code de l'organisation judiciaire, en réparation de divers préjudices qu'il estime avoir subis et qu'il impute à une faute lourde de l'État pour le dysfonctionnement de ses services ainsi qu'à un déni de justice.

 

Par ordonnance du 7 mai 2012, le juge de la mise en état a rejeté sa demande de transmission d'une question prioritaire de constitutionnalité.

 

Par ordonnance rendue le 14 janvier 2013, à laquelle il convient de se reporter pour un plus ample exposé des faits, de la procédure et des prétentions antérieures des parties, le juge de la mise en état a déclaré le tribunal incompétent pour connaître des demandes formulées par M. Basano en réparation des dommages qu’il impute aux fautes commises par l’institut national de la protection industrielle, le ministre délégué à l’industrie et au commerce extérieur et son ministère et le ministère des affaires étrangères.

Il a en revanche rejeté l’exception d’incompétence en ce qu’elle concerne les dommages éventuellement subis du fait du classement sans suite de la plainte déposée par M. Basano.

 

Aux termes de ses dernières écritures notifiées le 20 février 2013, M. Basano sollicite la condamnation de l’agent judiciaire de l’État au visa des dispositions des articles 6-1 de la Convention européenne des droits de l’Homme, L. 141-1 du code de l’organisation judiciaire et 8, 15, 17, 22 et 47 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union Européenne à lui payer la somme de 647.746.252,90 euros en réparation des préjudices financiers et économiques résultant de la faute lourde et du déni de justice dont il avait été victime, celle de 15.000.000 euros en réparation de son préjudice moral résultant de la faute lourde du service public de la justice et du déni de justice dont il estime avoir été victime, celle de 160.000 euros en application des dispositions de l’article 700 du code de procédure civile ainsi qu'aux dépens avec distraction au profit de Maître Dominique Kounkou, la décision étant assortie de l’exécution provisoire.

 

M. Basano fait valoir en substance qu'il a été victime d'une escroquerie internationale impliquant plusieurs hautes autorités de l'état et se heurte au refus réitéré depuis près de dix ans des différentes autorités notamment judiciaires de lui accorder le droit à un recours et à un procès équitable devant un tribunal impartial.

 

Aux termes de ses dernières écritures notifiées le 15 avril 2013, l'agent judiciaire de l’état (ci-après l'AJE), au visa des articles 31 du code de procédure civile, 141-1 du code de l’organisation judiciaire, 6 de la convention européenne des droits de l’homme, 8, 15, 17, 22 et 47 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union Européenne, soulève les fins de non-recevoir tirées de l'autorité de la chose jugée de l'ordonnance du 14 janvier 2013 et du défaut d'intérêt à agir de M. Basano, à titre subsidiaire, au fond, conclut au débouté de ces demandes et, à titre reconventionnel, la condamnation de M. Basano à lui payer la somme de 15.000 euros au titre des dispositions de l’article 700 du code de procédure civile.

 

L’agent judiciaire de l’état fait valoir que la faute lourde et le déni de justice allégués ne sont pas constitués, que la preuve des préjudices et du lien de causalité entre les prétendus dysfonctionnements du service public de la justice et les préjudices allégués n'est pas établie, le classement sans suite, en l’espèce répondant à deux motifs –infraction insuffisamment caractérisée et prescription des faits– étant d’autant moins critiquable que le requérant en a été informé de même qu'il a été informé des voies de recours qui lui étaient ouvertes, qu'il a exercé l’une d’elle, en s’adressant au procureur général, lequel a maintenu la décision de classement et qu'il s’est abstenu d'exercer les autres voies de recours qui lui étaient ouvertes.

 

Dans son avis notifié le 23 mai 2013, le ministère public conclut au débouté de ces demandes dès lors que M. Basano n’a pas exercé les voies de droit qui lui étaient ouvertes pour passer outre ce classement sans suite qu’il conteste, aucune faute, a fortiori lourde, ou déni de justice n’ayant été commis à l’occasion de cette procédure et la présente action n'étant qu'une tentative de remettre en cause cette décision de classement. Il fait observer, à titre surabondant, que le montant des indemnités sollicitées est extravagant.

 

Pour un plus ample exposé des faits et de l’argumentation des parties, il est renvoyé, conformément aux dispositions de l’article 455 du code de procédure civile, à leurs dernières conclusions précitées.

 

MOTIFS DE LA DECISION :

 

– Sur l'autorité de la chose jugée :

L'article 775 du code de procédure civile dispose que « Les ordonnances du juge de la mise en état n'ont pas, au principal, l'autorité de la chose jugée à l'exception de celles statuant sur les exceptions de procédure et sur les incidents mettant fin à l'instance. »

L'article 776 prévoit que « Les ordonnances du juge de la mise en état ne sont pas susceptibles d'opposition. Elles ne peuvent être frappées d'appel ou de pourvoi en cassation qu'avec le jugement statuant sur le fond. Toutefois, elles sont susceptibles d'appel dans les cas et conditions prévus en matière d'expertise ou de sursis à statuer. Elles le sont également, dans les quinze jours à compter de leur signification, lorsque :

1° Elles statuent sur un incident mettant fin à l'instance, elles ont pour effet de mettre fin à celle-ci ou elles en constatent l'extinction ;

2° Elles statuent sur une exception de procédure ;

3° Elles ont trait aux mesures provisoires ordonnées en matière de divorce ou de séparation de corps ;

4° Dans le cas où le montant de la demande est supérieur au taux de compétence en dernier ressort, elles ont trait aux provisions qui peuvent être accordées au créancier au cas où l'existence de l'obligation n'est pas sérieusement contestable. »

Il résulte de la combinaison des dispositions de ces articles, que les ordonnances du juge de la mise en état statuant sur une exception de procédure, ont autorité de la chose jugée au principal.

En l'espèce, par ordonnance rendue le 14 janvier 2013, le juge de la mise en état a déclaré le présent tribunal incompétent pour connaître des demandes formulées par M. Basano en réparation des dommages qu’il impute aux fautes commises par l’institut national de la protection industrielle, le ministre délégué à l’industrie et au commerce extérieur et son ministère et le ministère des affaires étrangères.

Cette ordonnance, qui statue sur l'exception d'incompétence soulevée en défense, dont il n'est pas contesté qu'elle n'est plus susceptible d'appel, est revêtue de l'autorité de la chose jugée.

Par conséquent, les demandes indemnitaires concernant les éventuels manquements de ces autorités de l'état que M. Basano a décidé de maintenir malgré l'ordonnance rendue et qui ne tendent qu'à remettre en cause la décision intervenue, sont irrecevables.

 

– Sur le défaut d'intérêt et de qualité à agir :

L'article 31 dispose que « L'action est ouverte à tous ceux qui ont un intérêt légitime au succès ou au rejet d'une prétention, sous réserve des cas dans lesquels la loi attribue le droit d'agir aux seules personnes qu'elle qualifie pour élever ou combattre une prétention, ou pour défendre un intérêt déterminé. »

L'AJE soutient que M. Basano n’aurait pas qualité ni intérêt à agir pour solliciter une « identisation » du fait du prétendu vol de brevet ou de l’utilisation frauduleuse des procédés techniques et que M. Basano, qui prétend avoir subi un préjudice dans la mesure où les fonds ayant transités sur le compte ouvert à son nom auraient dû, selon lui, bénéficier à lui et ses associés, n’est pas recevable à solliciter une indemnisation au nom d’autrui selon l’adage « nul ne plaide par procureur ».

Cette fin de non-recevoir faisant double emploi avec la fin de non-recevoir tirée de l'autorité de la chose jugée à laquelle il a été précédemment fait droit, il n'y a pas lieu de l'examiner, étant observé, que M. Basano, en ce qu'il se prétend victime d'un dysfonctionnement du service public de la justice, a un intérêt légitime à agir pour rechercher la responsabilité de l'État.

 

– Sur le fond :

L'inaptitude du service public de la justice à remplir la mission dont il est investi ne peut être appréciée que dans la mesure où les voies de recours n'ont pas permis de réparer le mauvais fonctionnement allégué.

En l'espèce, M. Basano a déposé plainte pour usurpation d'identité, faux et usage de faux, vol et recels le 5 mai 2008.

Il a été entendu par les services de gendarmerie sur cette plainte le 4 novembre 2008.

Cette plainte a été classée sans suite le 30 décembre 2008 pour les motifs suivants : (infraction insuffisamment caractérisée) et (prescription).

Cette décision lui a été notifiée le 27 février 2009 avec l'indication des voies de recours.

M. Basano a contesté cette décision de classement devant le procureur général, par courrier daté du 8 août 2009, lequel n'a pas souhaité revenir sur cette décision comme il ressort de ses courriers des

20 novembre 2009 et 8 février 2010.

M. Basano qui, bien qu'ayant eu connaissance dans un délai raisonnable du classement sans suite intervenu, de ses motifs ainsi que des voies de recours y compris civiles qui lui étaient ouvertes, n’a pas estimé opportun de les exercer notamment en déposant plainte avec constitution de partie civile devant le doyen des juges d'instruction, ne peut dès lors reprocher au service public de la justice aucun dysfonctionnement du fait du classement intervenu.

Il convient donc de le débouter de l'ensemble de ses demandes.

 

– Sur les demandes accessoires :

M. Basano, qui succombe en ses demandes, sera condamné aux dépens et à payer à l'agent judiciaire, en application des dispositions de l’article 700 du code de procédure civile, une indemnité qu’il est équitable de fixer à la somme de 8.000 euros.

 

PAR CES MOTIFS, le tribunal,

– Déclare irrecevables les demandes indemnitaires en ce qu'elles ont trait aux fautes prétendument commises par l’institut national de la protection industrielle, le ministre délégué à l’industrie et au commerce extérieur et son ministère, et le ministère des affaires étrangères ;

– Déboute M. Christian Basano de l'ensemble de ses demandes ;

– Condamne M. Basano à verser à l'agent judiciaire de l'État la somme de 8.000 euros (huit mille euros) en application des dispositions de l'article 700 du code de procédure civile ;

– Condamne M. Basano aux dépens ;

– Déboute les parties de leurs autres demandes.

 

Fait et jugé à Paris le 6 novembre 2013

 

Bien motivé, n’est-ce pas ?

Et naturellement, ne comptez pas sur moi pour critiquer, en l’état (je ne suis pas l’avocat de Christian BASANO, seul habilité et mandaté pour le faire) une décision de justice de mon pays.

 

En revanche, je peux résumer :

 

1 – Tu traînes trop à faire valoir tes droits selon les procédures légales connues et reconnues de tous, viens pas nous faire caguer avec des histoires de « déni-de-justice » !

 

2 – N’y reviens pas plus quand tu t’attaques à une décision passée en force de chose jugée.

Et puis on te prévient tout de suite, l’appel n’y fera rien dès lors que tu es hors délai.

Et je me fiche de savoir si on t’a enfumé ou non : On n’est pas aux Amériques à te lire tes droits, des fois que tu ne saches pas lire…

 

3 – Au passage, on te rappelle que si le proc’, il ne veut pas enquêter (sur un soi-disant vol d’identité), bé il n’enquête pas, point-barre.

Il ne sert à rien d’aller poser une question prioritaire de constitutionnalité ou de gloser sur des soi-disant incompétences de juridiction…

Il te fallait saisir du doyen des juges d’instruction et casquer un dépôt de garantie en … garantie !

 

4 – De toute façon, par-delà tous ces arguments incontournables, je te rappelle qu’il y a prescription, c'est dit comme ça quand je cause du fond, même si finalement je ne l'aborde pas vraiment, puisque je rejette l'argutie derrière la procédure inadaptée.

 

5 – Et pour que la leçon rentre bien dans ta tête de piaf de justiciable, tu laisses 8.000 euros de pourboire en sortant…

Et attention, ça pourrait te coûter plus cher la prochaine fois !

 

6 – Conclusion, ce n’est pas que je ne veux pas juger tes prétentions (délirantes d’après un agent du Trésor assermenté comme moi, magistrate-assermentée), mais de toute façon, y’a prescription alors même que toutes les procédures et délais n’ont pas dysfonctionnés !

 

Ce qui est rigoureusement vrai, en plus !

Dire qu’hier, on a vu un ambassadeur plénipotentiaire réclamer 4.000 euros pour compenser ses frais de procédure dans son recours, un peu plus compliqué, pour faire dire qu’il avait le droit d’avoir des propos « macho » à l’égard de son personnel mis à sa disposition par MA République…

Bon, il ne les a pas eus !

 

Autrement dit, personne ne saura jamais rien de ce qui s’est passé quand plus de 8 milliards de dollars et non pas 5 comme je l'ai d'abord écrit, (OUI, des MILLIARDS !) sont arrivés en 1991 sur des comptes ouverts au nom de Christian BASANO, dans son dos et dans divers établissements financiers et bancaires « hors les frontières », juste le temps de virer ces sommes sur d’autres réputés inexistants pour les fermer tout de suite après !

Sauf que les traces existent encore et toujours dans les fameux fichiers « Clearstream » et dans les fichiers du programme « Promis » sis aux USA.

Tout le monde sait ça, mais ça sera encore couvert par la prescription.

 

Fin de l’épisode ?

Non, bien sûr : Il y aura appel qui confirmera le jugement, puis ensuite un rejet en Cassation et enfin un recours ultime en Cours Européenne des Droits de l’Homme qui pourra préciser sa position sur ces entrelacs de délais procéduraux qui empêchent l’explosion de la Vérité.

Mais pour en arriver là, dans plusieurs années, il aura fallu tous ces « détails » fascinants !

 

Je vous tiendrai bien sûr au courant, si personne ne reçoit une balle dans la nuque ou n’est victime d’un « accident-bête », genre à picoler un verre de polonium par inadvertance, ou glisser sous un bus …

Merci à Christian, avec son aimable autorisation, en attendant !

 


L’affaire Ferrayé/Basano ou comment escroquer 22 milliards de dollars (II)

 

 

AFFAIRE BASANO/FERRAYE

 

 

Afin de comprendre un peu mieux la trame du roman humoristique « Les aventures de Tintin et de l’Ami-râle Haddock », il est possible de découvrir l’incroyable escroquerie qui a eu lieu lors du paiement de l’extinction des 1100 puits en feu au Koweït en 1991.

L’affaire est disponible sur le site de Christian Basano :

http://echosdesmontagnes.chez-alice.fr/Echo_des_Montagnes/Chistian_Basano/Koweit.htm

Une affaire soigneusement cachée par le pouvoir depuis 1991.

Jean-Charles Duboc

 

……………………

 

IV. Dominique Strauss Khan

Pourquoi DSK a-t-il fait annuler le reportage programmé le 12 mai 2000 dans l'émission " Sans Aucun Doute " présentée par Julien Courbet ?

Jean-Michel Berges est actuellement le Juge d'Instruction chargée de l'affaire (N° du Parquet : 0213438076, N° d'Instruction : 9/02/51)

En février 2002, dans le Rapport OMERTA 2, Sophie Coignard interroge Bernard NICOLAS (journaliste), page 261 : « Vous avez déjà été victime de censure dans l'exercice de votre métier ? »

Bernard NICOLAS : « Plusieurs fois. Dès lors qu'il était question de personnage politique de premier plan, les ennuis commençaient à TF1……

Une fois, j'avais fait un reportage sur une histoire politico-financière compliquée qui devait passer dans l'émission de Julien Courbet Tout est possible.

Dans la journée, une autopublicité annonce le thème de mon enquête. La direction de TF1 s'inquiète : cette affaire peut-elle être gênante pour Dominique Strauss-Khan ?…..

J'étais interloqué : rien n'indiquait dans mon enquête que DSK fût mêlé en quoi que ce soit à cette affaire.

Soit on se trompait en haut lieu, soit on en savait plus long que moi…

Les téléspectateurs qui ont vu la bande-annonce n'ont jamais vu la suite… »

Le reportage est visible dans son intégralité sur le site Internet :

www.googleswiss.com/ferraye-video

 

Gilbert Collard, avocat de Joseph Ferraye, qui était présent sur le plateau de Sans Aucun Doute, avait très justement déclaré :

« Ce serait la plus grosse escroquerie du siècle sur fond de politique et de guerre du Golfe !...

La plus grande escroquerie du siècle, escroquerie incroyable, enjeu colossal.

On ne joue plus avec des rigolos, on joue avec de vrais tueurs, des hommes prêts à tout sous prétexte qu'un Etat a des intérêts qui sont reliés par d'autres Etats ».

Julien Courbet, le présentateur, a quant à lui annoncé : « Cette affaire pourrait remonter très très très haut ».

Mais, c'est très courageusement que M° Gilbert Collard a très vite abandonné le combat…

 

Il est utile de préciser que :

- Du 1er au 3 juin 2000, Dominique Strauss Khan participait à la réunion du Bilderberg Meetings à Bruxelles. Patrick Le Lay, Président de TF1, dans une interview publiée par le magazine " Le Point " N° 1637 du 29 janvier 2004 a déclaré : « Pourquoi je suis franc-maçon » Ceci expliquant cela (…) no-comment.

- DSK est entre autres choses membre de la Fondation Saint-Simon. Membre du Club de La Haye, un réseau international de think-tanks animé par la CIA, la Fondation Saint-Simon a éclipsé les intellectuels de la gauche non-atlantiste et imposé une forme de pensée unique en France. La Fondation Saint-Simon est organiquement articulée aux réseaux atlantistes ( !?)

- En 1993, il crée également le cabinet DSK Consultants, spécialisé dans le lobbying bruxellois et donc fort introduit à la Représentation française auprès de l'Union européenne.

- March-April 1993 Euro-Barameter 39. "Member of National Government" : France : Dominique Strauss Khan et Belgique : Jean-Pierre Van Rossem

 

Pour bien comprendre la situation, il faut se rappeler qu'en 1991, DSK devient, dans le gouvernement Cresson, Ministre délégué de l'Industrie et du Commerce extérieur.

Il profite de cette fonction pour détourner de l'INPI les brevets de Joseph Ferrayé pour l'extinction et la fermeture des puits de pétrole en feu sans utilisation de la dynamite.

Le 26 juillet 1991 DSK écrivait à Hammoud Abdallah AL RAQBAH, Ministre du pétrole de l’Emirat du Koweït :

« Monsieur le Ministre,

J'ai été informé de l'intention de la Kuwait Petroleum Company de conclure un contrat avec le consortium français conduit par HORWELL en vue d'éteindre des puits en feu sur certains champs pétroliers de votre pays.

Le gouvernement français est très sensible à cette intention.

Il souhaite vous confirmer toute la confiance qu'il a dans les capacités de ce consortium à mener à bien une telle mission.

En espérant que les négociations en cours pourront aboutir aussi vite que possible, et en vous remerciant par avance pour votre aide, je vous prie de croire, Monsieur le Ministre, à l'expression de mes sentiments les meilleurs ».

 

La société HORWELL est une filiale de l'IFP (Institut Français du Pétrole) dont le Directeur a déclaré le 22 novembre 2002 devant la commission parlementaire que l'IFP n'avait pas de solution pour l'extinction des puits de pétrole.

Mais, la société HORWELL a obtenu le prix de l'environnement 1991 pour le travail réalisé au Koweït pour l'extinction des puits de pétrole en feu par une méthode révolutionnaire (celle de Joseph FERRAYE).

DSK a lié son destin à celui de Lionel Jospin.

Lors de la 54ème assemblée générale de l'ONU (plus de 180 pays), le 20 septembre 1999, Jospin a appelé à ordonner la mondialisation.

Le 13 septembre 2000, le Ministre du Pétrole koweïtien rencontre à Matignon, le 1er Ministre français, Lionel JOSPIN, pour lui dire que le Koweït réclame une indemnisation de 22 milliards de dollars pour le coût supplémentaire engendré par l'utilisation de la méthode révolutionnaire française (brevets de Joseph FERRAYE) pour éteindre, bloquer et réutiliser les puits en feu en 1991.

Cette somme correspond en fait au devis envoyé au mois de juin 1991 par Christian BASANO et Joseph FERRAYE à Monsieur Issam Al Sager.

Et, le 27 septembre 2000, lors de la 37ème session du Conseil d'Administration de la Commission d'indemnisation des Nations Unies, sur proposition de la France et de la Russie, 15,9 milliards de dollars (cf.supra) ont été consentis à une compagnie pétrolière koweïtienne (K.O.C).

Et le Conseil de sécurité a accepté de réduire de 30 % à 25 %, le taux des prélèvements qui seront effectués à l'avenir sur les revenus de Bagdad pour indemniser le Koweït.

Les dirigeants politiques corrompus qui ont participé au vote de cet accord ont bien évidemment été récompensés par l'attribution de bons d'achats " barils de pétrole " comme ceux attribués à Charles Pasqua, Georges Galloway et tous les autres sous l'instruction du Juge Courroye en cours.

Sans parler des commissions perçues par les militaires (gradés) de l'opération " Daguet ".

Pierre Tanger, journaliste d'investigation, écrit : « Dans les archives des RG figure ainsi un "blanc" concernant un mystérieux capitaine Haddock, Haddock qui attribue à feu François Mitterrand un détournement des indemnités de la guerre du Golfe : "les pays du Golfe d'Arabie ont signé un chèque de plus de un milliard de dollars à la France. Cette somme représente les indemnités de la guerre du Golfe et notamment des frais engagés par la Marine Nationale, l'Armée de l'Air, ainsi que l'Armée de Terre au titre de la division Daguet. Ce chèque a été transporté du Qatar par un Falcon 50 et déposé à Zurich sur un compte bancaire suisse au nom de François Mitterrand. Cette opération a eu lieu en présence d'un conseiller fédéral. "

 

Joseph FERRAYE et Christian BASANO quant à eux, n'ont toujours pas reçu le moindre dollar (…)

Pour terminer, il est intéressant de remarquer que les comptes utilisés pour cette opération baptisée " KUWAIT GATE ", sont en fait les comptes internes des banques (comptes de transactions) spécialisées dans le blanchiment et dont Monsieur Jean Pierre VAN ROSSEM entre autre, a été désigné titulaire bien avant le 16.11.1995 :

 

UBS Genève

N° 231215, détenteurs Jean Pierre VAN ROSSEM, Roland VANDEN AVENNE, Christian VANDE VYVERE, montant 47.987.345,12 USD

 

ROYAL TRUST BANK :

N° 436543, détenteur Jean Pierre VAN ROSSEM, montant 14.267.091 USD. 03/10/94 - Blocked - Acces Code 841 - Desk 811.

 

FIRST HOME BANK Gran Cayman :

N° 392.857, détenteur Jean Pierre VAN ROSSEM, montant 23.245.532 USD 03/10/94 - Blocked

 

FIRST INTERSTATE BANK Ltd - New York :

N° 477.925, détenteur Jean Pierre VAN ROSSEM, montant 31.487.243 USD 03/10/94 - Blocked - Acces Code LT 811 - Desk 228.

 

BANCA DEL GOTTARDO Luxembourg :

N° 191.974, détenteurs Jean Pierre VAN ROSSEM, Roland VANDEN AVENNE, Christian VANDE VYVERE, montant 69.123.456,27 USD Blocked. At the start, of JPVR only. Became a special JOINT ACCOUNT in october 1989. The 3 SIGNATURES TOGETHER ARE COMPULSORY.

 

B.N.P. - Banque Nationale de Paris Luxembourg :

N° 62.195.582 / 76, détenteurs Jean Pierre VAN ROSSEM, Roland VANDEN AVENNE, Christian VANDE VYVERE, montant 48.192.837,12 USD Blocked. At the start, opened in Oct. 1981 by RVDA alone. Became a special JOINT ACCOUNT in october 1989. The 3 SIGNATURES TOGETHER ARE COMPULSORY.

Et si DSK avait profité de ces comptes pour achetés ses Tableaux (port franc de Genève)…

DSK n'a pas de chance avec les cassettes vidéo…

Une cassette vidéo inédite va-t-elle l'empêcher de se présenter à la candidature de 2007 ?...

En effet, le Président de la République, Jacques Chirac avait déjà compris au mois de février 2002 que l'ancien ministre des Finances, DSK, allait occuper une position centrale lors de la campagne électorale.

C'est la raison pour laquelle il avait notamment téléphoné à Patrick Devedjian et Jean-Pierre Raffarin afin de les inciter à axer leurs attaques contre Dominique Strass Khan pour l'affaiblir vis-à-vis de l'opinion publique. (JDD du 17.02.2002)

Jacques Chirac, Président de la République, pour la campagne électorale 2007, vos vœux vont être exaucés…

Vous connaissez bien cette affaire (vos références SCP/4/J69532) pour avoir répondu à Joseph Ferrayé le 6 mars 1997, un mois après la publication dans le Journal de Genève en première page « Où sont passés les milliards du Koweït ? », en faisant écrire par votre Chef de cabinet : «  ..tout en vous engageant à poursuivre ses travaux de recherche, je ne peux que vous suggérer de rester en contact avec les organismes compétents pour le règlement de ce dossier ».

 

Jacques Chirac, Président de la République, Joseph FERRAYE et Christian BASANO ont suivi à la lettre vos conseils éclairés. Le pétrole commence à faire tâche au Quai d'Orsay…

Jacques Chirac, Président de la République, Ridley Scott a écrit " Ce que l'on fait dans sa vie résonne dans l'éternité ". Si la confiance est une certitude basée sur la foi d'être sur la bonne voie, l'espoir est un mélange de lâcheté, d'incapacité à agir et d'auto-trahison.

Et, Eschyle a dit : " On ne lutte pas contre la force du destin ".

Alors, Monsieur le Président de la République avant qu'il ne soit trop tard…, prenez les choses en main pour régler l'affaire " KUWAIT GATE "n ne faîtes pas comme Maître Jacques Vergès qui très " courageusement " sur ordre, a abandonné ce dossier complexe, en remboursant une partie de ses honoraires.

Monsieur Jacques Chirac vous avez déclaré (18 février 1999 aux institutions de Bretton Woods) : " Il faut adopter un vrai " code de la route " pour la circulation des capitaux, un code qui s'applique à tous, y compris au centre Off Shore " Très bien, mais, il ne suffit pas de le dire…il faut le faire…

" Il n'existe qu'un seul vice ; la lâcheté " (Proverbe Celte)

11 janvier 2006

Eté 1990. Anthony Swofford, fils et petit-fils de militaires, vient tout juste de fêter son vingtième anniversaire lorsqu'il est envoyé dans le désert saoudien.

La Guerre du Golfe vient d'éclater, son bataillon de Marines est parmi les premiers à se déployer dans cette aride et immense étendue de sable.

Pour ces jeunes déracinés, gavés d'images et de phraséologie guerrières, ivres de rock et de bière, commence alors la longue et dérisoire attente d'un ennemi fantôme.

La soif, la peur, l'épuisement, l'ennui, les frustrations lancinantes, les tensions extrêmes s'additionnent dans un climat de plus en plus délétère et explosif.

Dans cet enfer naîtront pourtant de surprenantes et inaltérables amitiés entre compagnons d'armes liés par le vieux serment des Marines.

 

 

Note précédente : « L’affaire Ferrayé/Basano ou comment escroquer 22 milliards de dollars (I)  »

 


L’affaire Ferrayé/Basano ou comment escroquer 22 milliards de dollars (I)

 

 

AFFAIRE BASANO/FERRAYE

 

 

Afin de comprendre un peu mieux la trame du roman humoristique « Les aventures de Tintin et de l’Ami-râle Haddock », il est possible de découvrir l’incroyable escroquerie qui a eu lieu lors du paiement de l’extinction des 1100 puits en feu au Koweït en 1991.

L’affaire est disponible sur le site de Christian Basano :

http://echosdesmontagnes.chez-alice.fr/Echo_des_Montagnes/Chistian_Basano/Koweit.htm

Une affaire soigneusement cachée par le pouvoir depuis 1991.

Jean-Charles Duboc

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…………….

 

II. sur proposition de la France et de la Russie,

15,9 milliards de dollars ont été consentis à une compagnie pétrolière koweïtienne (K.O.C), et le Conseil de sécurité a accepté de réduire de 30 % à 25 % le taux des prélèvements qui seront effectués à l'avenir sur les revenus de Bagdad pour indemniser le Koweït.

Ce montant correspond en fait, aux lettres d'instruction bancaire préparées le 16 novembre 1995 par M° De La Haye de Saint Hilaire, notaire à Paris (…) et M° Mottu notaire à Genève en présence du Prince koweïtien Ahmed Nasser Al Sabah, qui ont toutes été signées par :

 

Etienne TILLIE :

- Banca dei Gottardo (Etats-Unis) N°191.974 5.263.000.000 US $

François COLONA :

- UBS (Genève) N° 248.466.71 710.000.000 US $

- VOLKSBANK (Fribourg) N° 240.075.7739 1.280.500.000 US $

- Bank America International(N-York)N°393.72139 1.750.000.000 US $

________________

TOTAL 3.740.500.000 US $

 

Serge REBOUR :

- BNP (Luxembourg) N° 63.114.887 1.320.000.000 US $

- BNP (Luxembourg) N° 52.195.582 50.000.000 US $

- BNP (Luxembourg) N° 165.964 3.363.600 US $

- UBS (Genève) N° 564.911.DF 380.000.000 US $

- UBS (Genève) N° 20.087 Sulliman 410.000.000 US $

- BANKGESELLSCHAFT (Buelach) N° 80.5696.7 300.000.000 US $

________________

TOTAL 2.463.363.600 US $

 

Fouad HOBEICH :

 - LLOYDS BANK ( Genève ) N° 952.655 563.200.000 US $

- KREDDIETBANK ( Genève ) N° 195.583 109.000.000 US $

- UBS ( Genève ) N° non indiqué 690.000.000 US $

- CITIBANK ( Londres ) N° 400.515.018 130.500.000 US $

________________

TOTAL 1.492.700.000 US $

 

Victor GEBRANE :

- ABN AMRO BANK (Rotterdam) N° 18.157 29.500.000 US $

- SBS ( Genève ) N° 15.018 / C.3.112.957 650.000.000 US $

- SBS ( Genève ) N° 16.287 / C.3.112.957 715.000.000 US $

- SBS ( Genève ) N° 15.018 / C.3.112.957 9.000.000 US $

- DANER HENTSEH & Cie ( Genève ) N°10.465 13.000.000 US $

________________

TOTAL 1.416.500.000 US $

 

Il est important de faire savoir que concernant la somme de 22 milliards US $, Christian BASANO, malgré les pressions et les menaces, a été le seul à refuser de signer ses lettres d'instruction bancaire préparées par les notaires car j'avais compris (de par mon expérience d'auditeur de banques notamment à Monaco) la manipulation et le piège pour déposséder totalement les Ayant Droit Economique Réel (clients " effectifs ") de la possibilité de regard, par rapport aux sommes versées sur chacun desdits comptes. Ce que n'ont pas compris à temps les autres ADER qui furent malheureusement à l'époque, tous manipulés par leurs avocats respectifs.

- ABN AMRO (Basel) N° 1.068.635 1.420.000.000 US $

- BMB (Genève) N° 7915 2.485.000.000 US $

- ROYAL TRUST (Toronto) N° 436.543 1.811.000.000 US $

- FIRST INTERSTATE Bank (New York) N°477.925 1.200.000.000 US $

- FIRST HOME Bank (Grand Cayman) N° 392.857 1.122.000.000 US $

- UBS (Genève) N° 231.215 381.987.200 US $

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TOTAL 8.419.987.200 US $

 

Le montant total des comptes légalisés par les notaires s'élève à : 23.005.341.300 US$

 

Les Banques ont utilisé la technique des comptes " Banque écran " dans le cadre du fonctionnement des comptes " nostri ", procédé par lequel, un investisseur, par souci de discrétion, fait réaliser pour son compte, mais par une banque et au nom de celle-ci, une opération financière.

Ce système qui suppose un secret bancaire TOTAL, implique, si l'opération est importante, le risque qu'elle ne soit pas retrouvée dans les bilans de la banque si ceux-ci sont publiés.

 

III. BNP-PARIBAS

Durant la 1ère Guerre du Golfe, la société EFF a racheté aux Koweïtiens, la société pétrolière espagnole " ERTOIL " par l'intermédiaire de Nadhmi Auchi, un Irakien proche de Saddam Hussein qui a fait un emprunt de 1,2 milliards d'euros à la banque PARIBAS.

Pour ce portage pour le compte d'ELF, Auchi engrangera une plus-value de 45 millions d'euros. Monsieur Nadhmi Auchi était l'un des principaux actionnaires de la banque PARIBAS (en détenant plus de 7% du capital social).

Le Koweït est également actionnaire de BNP - PARIBAS.

Le réseau Auchi c'est le trafic d'armes, prolifération nucléaire, banques luxembourgeoises, etc… avec Léandri, le bras droit de Pasqua. Il est au cœur des finances parallèles de l'OTAN et également l'inspirateur de deux " clubs " influentissimes, précurseur de la mondialisation : le groupe Bilderberg ; sous influence de l'OTAN ; qui réunit chaque année le gratin politique, militaire, industriel et financier du monde occidental, et la Commission Trilatérale.

On comprend mieux le rôle joué par J.B " Arnhold ", Tropée Desgué, depuis le 2 mai 2000 dans le cadre de l'affaire " FERRAYE-BASANO " pour son appartenance à la section hors cadre Stay behind de l'OTAN.

Il était en fait missionné avec d'autres personnes pour protéger les intérêts de Dominique Strauss Khan en déstabilisant par tous les moyens Christian Basano.

Et, la seule réponse faite et signée par Monsieur Eric de Montgolfier à mes différents courriers (23) a été celle du 18 janvier 2002 : « Par courrier du 15 janvier 2002, vous revenez à nouveau sur la plainte que vous aviez déposée le 5 décembre 1995, pour laquelle votre avocat par courrier du 21 mai 1999, a été informé du classement sans suite intervenu le 28 mai 1997. Dans ces conditions il semble, sauf erreur de ma part, que l'Action publique est éteinte par la prescription triennale et dans ces conditions je ne vois pas quelle autre suite je pourrais lui réserver ».

Il est intéressant de remarquer avec quelle rapidité (moins de 3 jours), le Procureur en personne s'est empressé de répondre à ma lettre pour m'informer que ma plainte avait été classée.

Mais, si la justice niçoise avait fait son travail, Daniel Levavasseur, l'ex-agent de la DST n'aurait malheureusement pas été retrouvé pendu à 15 mètres du sol au Dramont (Var) le 2 février 2003. Tout comme le Directeur de la banque Ambrosiano, - Cet " accident " de parcours montagneux a donc bien été signé (…).

Il avait notamment déclaré quelques temps avant aux journalistes français, Alain Dusart et Frédéric Menu, journalistes à l'Est Républicain : " «  Il y avait effectivement un dossier et un système de manipulation financière dont ont profité des princes koweïtiens et d'autres…Par un savant mécanisme de comptes bancaires et de crédits imaginaires, des milliards de dollars ont circulé à la faveur de la juteuse après guerre " ».

Juste avant sa " pendaison ", il travaillait avec son associé installé à Genève, Yves BAUMELIN fondateur de la société Intelynx à Genève, sur le scandale " Pétrole contre Nourriture " d'une part, et d'autre part, avec l'avocat belge Luc Gheysens.

Bien évidement, la justice niçoise n'a ouvert aucune enquête sur cette mort " suspecte " malgré mes différentes demandes.

Daniel Levavasseur était , quant à lui, co-signataire avec André Sanchez, Joseph Ferrayé et Christian Basano de la convention de cessions de droits litigieux préparée par Me Mottu.

André Sanchez est mort lui aussi " accidentellement " le 15 mai 2001 par l'explosion de sa voiture.

Dans le cadre de ses investigations, notamment avec le fils du Ministre du Pétrole du Koweït de l'époque, Daniel Levavasseur avait retracé la piste de l'argent en démontrant que c'était la BNP Los Angeles (USA), via la BNP Luxembourg, qui a participé en 1991 aux transferts des 23.005.341.300 US$ avant leur éclatement en utilisant de nombreuses sociétés off-shore suivantes :

IBAC SERVICE PTE LTD (Singapour) TEXRICE NV (Curacao) INCOME MANAGEMENT

REALITY INVESTORS GROUP, INCOME PROSPECTIES , CITY INVESTMENT

 

Dans différentes banques suisses, américaines et canadiennes ; ci-après les conclusions du rapport d'audit de la société suisse SB Holding sur les comptes de Christian BASANO qui précise :

I Que divers organismes bancaires ont travaillé directement avec le nom de monsieur Basano pour la réception et le transfert des fonds ;

II Que des organismes financiers ou bancaires ont simplement servi de relais dans l'utilisation du nom de monsieur Basano pour l'ouverture de comptes mais que souvent ces comptes n'ont servi que pour une seule transaction, et qu'ils restent à ce jour, malgré tout ouverts ;

III La plupart de ces comptes sont organisés à plusieurs tiroirs, avec un compte principal qui réceptionne le virement, mais qui exécute immédiatement la répartition qui se fait automatiquement sur des comptes secondaires sous le même N° avec des lettres ou des chiffres b,c,d, de ce fait la transaction semble être moins importante.

 

On comprend mieux pourquoi :

" BNP - PARIBAS " a été choisie dans des conditions plus que surprenantes pour gérer les fonds du programme humanitaire " Pétrole contre Nourriture " notamment pour verser les 15,9 milliards d'US $ à la K.O.C ;

BNP - PARIBAS " a été la seule banque européenne à être autorisée à ouvrir en 2005 une succursale au Koweït ;

BNP - PARIBAS " est la seule banque à faire partie du consortium créé par le Groupe Carlyle dont James Baker et Madeleine Albright, qui représente des Etats-Unis à l'ONU et avait fait savoir qu'elle n'a nullement confiance dans la législation bancaire suisse.

Le secrétaire général de l'ONU retiendra BNP - PARIBAS pour la gestion du compte séquestre sont les fleurons, pour le rachat de la dette irakienne en vue de son règlement au plus haut niveau possible (la dette s'élève à 57 milliards de dollars dont 27 milliards de réparation).

Or, selon des documents confidentiels, les sommes collectées seront versées au fonds géré par le consortium Carlyle - BNP-PARIBAS qui prélèvera au passage 2 milliards de dollars de commissions sur le dos, une fois de plus, du Peuple irakien.

Officiellement, Monsieur Jacques Chirac a répondu négativement à Monsieur James Baker, mais l'Administrateur et Président de BNP-PARIBAS (suisse) s'appelle Georges Chodron de Courcel…(éditions du 12 octobre 2004 : The Nation et Guardian).

 

 

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