AVERTISSEMENT : Dans l’ouvrage « Le jour après Roswell » tout est VRAI !... Son auteur, Philip Corso (1915 – 1998) était un officier des renseignements de l’Armée américaine qui a participé à la deuxième guerre mondiale. Il a été dans le staff du Général Mac Arthur en Corée. Puis il a été affecté comme lieutenant-colonel au bureau de Sécurité nationale du Président Dwight. D. Eisenhower. Corso a été décoré plus de 19 fois durant sa carrière militaire et il est parti en retraite en 1963. Ensuite, il s'est mis au service des sénateurs James Eastland et Strom Thurmond comme membre d'une équipe spécialisée dans la sécurité Nationale.
Philip Corso : LE JOUR APRÈS ROSWELL
3 – Convoi pour fort Riley
Le 6 Juillet 1947, le lundi suivant la fête du 4 Juillet, personne ne remarqua les cinq camions pénétrer dans la base de Fort Riley, cet après-midi-là, en provenance de Fort Bliss, Texas, et en partance pour Wright Field, Ohio.
En 1947, Corso se trouvait dans cette base de Riley, à l'école militaire. Il ne se doutait pas à cette époque que ce qui se trouvait dans ces camions atterrirait sur son bureau des années plus tard.
Tout était calme ce soir-là. Corso était l'officier responsable de la garde. Alors qu'il s'apprêta à faire sa ronde, il vit sur l'ordre de mission que Brownie, un de ses amis qui faisait partie de son équipe de bowling, était de garde et que son poste se trouvait devant le vieil immeuble de la clinique vétérinaire.
Corso commença son tour des différents bâtiments afin de voir si tout le monde se trouvait à son poste. Corso alla à l'immeuble de la clinique où devait se tenir Brownie. Mais, quand il arriva, Brownie n'était pas là où il était censé être. Quelque chose n'allait pas.
"Major Corso" dit une voix dans la pénombre. La voix était excitée et terrorisée.
"Mais qu'est-ce que vous faites la, Brownie ?..." demanda Corso à la silhouette qui le regardait de derrière la porte. Brownie était supposé être à l’extérieur de l'immeuble, pas à l’intérieur. C'était un manquement aux règles.
"Vous ne comprenez pas, Major " chuchota-t-il à nouveau." Vous devez voir « Ça »".
"Il vaudrait mieux que vous sortiez" dit Corso en s'approchant de l'endroit où se tenait Brownie. Puis, il attendit qu'il sorte." Maintenant, vous sortez pour que je puisse vous voir " ordonna-t-il. Brownie sortit sa tête de derrière la porte et dit "Vous savez ce qu'il y a ici ?...". L'immeuble était interdit d'accès à quiconque. Même les sentinelles devaient rester dehors parce que ce qui était à l’intérieur était "Accès interdit".
"Brownie, vous n'êtes pas supposé être là" dit Corso, "Sortez et dites-moi ce qui se passe". Brownie sortit par la porte et Corso put voir que son visage était pale, comme s'il avait vu un fantôme. "Vous n'allez pas croire ça" dit-il, "Je ne le crois pas moi-même, et je viens pourtant de le voir."
"De quoi parlez-vous ?..." demanda Corso.
"Les gars qui ont déchargé ces caisses…", dit Brownie, "ils nous ont dit qu'ils les ramenaient de Fort Bliss et qu’elles provenaient d'un accident au Nouveau Mexique."
"Oui et alors ?..." demanda Corso avec impatience. "Hé bien, ils nous ont dit que tout cela était Top-Secret, mais qu'ils avaient regardé à l'intérieur des caisses. Tout le monde l’a fait pendant le chargement des caisses dans les camions. Les gars qui ont chargé ces caisses ont dit qu'ils ne croyaient pas ce qu'ils avaient vus. Vous avez l'autorisation d'accès, Major, vous pouvez venir."
Corso était l'officier de garde, il avait donc accès à tous les endroits de la base pendant son service. Ainsi, il entra à l'intérieur de la clinique vétérinaire. Il n'y avait personne à part lui et Brownie.
"C'est quoi toutes ces caisses ?..." demanda-t-il.
"Justement, major, personne ne le sait…" dit Brownie, "les chauffeurs nous ont dit que cela venait d'un avion crashé dans le désert quelque part autour de la base du 509e Groupe. Mais quand ils ont regardé à l'intérieur, ce n'était rien de connu. Rien qui ne soit de cette planète."
C'était la chose la plus stupide que Corso ait entendu. Lui et Brownie marchèrent jusqu'aux caisses. "Vous n'êtes pas supposé être ici…" dit Corso, "Vous feriez mieux de partir."
"Je surveille dehors pour vous, major…" répondit Brownie. Corso attendit que Brownie reprenne sa place dehors. Il y avait une trentaine de caisses en bois entassées le long d'un mur. Corso utilisa sa lampe torche et marcha autour d’elles jusqu'à ce que sa vue s'habitue à l'obscurité. Corso trouva une caisse sur laquelle le couvercle semblait avoir été ouvert récemment.
Corso posa sa lampe et commença à retirer les clous qui avaient visiblement déjà été enlevés. Il fit glisser le couvercle le long de la caisse, reprit sa lampe et jeta un coup d'œil à l'intérieur.
Son estomac se retourna et Corso se figea. Cette caisse était une sorte de cercueil, mais un cercueil comme il n'en avait jamais vu. L'intérieur était entouré d'une sorte de paroi en verre et était rempli d'un liquide bleu lumineux, un peu comme un gel. La chose flottait et brillait comme la peau d'un poisson.
Au début, Corso pensa que c'était le cadavre d'un enfant qu'ils emmenaient quelque part, mais ce n'était pas un enfant.
Cela avait une forme humaine, de 120 cm de haut, avec des bras, des jambes, des pieds, et une tête énorme. Corso toucha la peau grise, mais cela ressemblait plus à une sorte de vêtement en une seule pièce qu'à de la peau.
Ses yeux avaient dû rouler dans leurs orbites parce qu'il ne put voir de pupille ou d'iris. Ils étaient démesurés et pointaient vers le bas, de chaque côté du très petit nez, qui ressemblait à un nez de bébé. La chose n'avait pas d'oreille, pas de pommette saillante, pas de sourcil et aucun cheveu.
La créature avait une bouche très fine et fermée, ressemblant plus à un pli qu'à un orifice fonctionnel. Le corps n'avait aucun dommage et aucune indication qu’il ait été impliqué dans un accident. Il n'y avait pas de sang, pas de coupure.
Dans le conteneur, Corso trouva un document des services de renseignement militaire qui décrivait la créature comme étant un occupant d'un vaisseau qui s'était écrasé à Roswell, Nouveau Mexique, ce week-end, et avait été envoyé à la base de Wright Field, puis à la morgue de Walter Reed. Corso remit le document dans la caisse.
À cause du temps perdu à examiner la chose, il avait raté certains points de contrôle de son parcours de garde mais personne, apparemment, ne le remarqua le lendemain.
Corso espérait avoir vu une sorte de mutation humaine due à la radioactivité. Il savait qu'il ne pouvait parler de cela à personne et espérait ne jamais revoir ça. Il tenta d’imaginer l'origine de la ‘chose’ : expérience génétique nazie, monstre de cirque mort. Mais il savait que cela ne pouvait être qu'une seule chose : un extraterrestre.
Corso remit le couvercle sur la caisse et enfonça les clous avec le dos de sa lampe. Il rejoignit Brownie à la porte. "Vous savez que vous n'avez jamais vu ça…" dit Corso, "et vous ne direz rien à personne".
"Vu quoi, Major ?..." répondit Brownie.
Corso retourna au quartier des officiers en pensant à l'image de la créature.
4 – Les objets de Roswell
Corso ne revit jamais le corps de la créature sauf à travers des photos d'autopsie et des rapports médicaux envoyés à son attention en 1961, au Pentagone.
Quand Corso arriva au Pentagone, en 1961, il était lieutenant-colonel. Il entra dans le bureau du général Trudeau. "Alors quel est le grand secret, mon Général ?..." demanda-t-il à son nouveau patron. C'était une façon bizarre de parler à un général, mais ils étaient devenus amis lorsque Corso travaillait dans l'équipe d'Eisenhower. "Pourquoi pas le bureau d'en face ?..." proposa-t-il.
"Parce qu'ils vous ont toujours observé, Phil…" dit Trudeau. Il marcha avec Corso au travers de bureaux d'archives. "Les choses n'ont pas beaucoup changées depuis votre retour d'Allemagne…" Dit-il, "Nous savons qui sont nos amis et qui nous pouvons croire.".
Ils étaient en pleine guerre froide, et il y avait des ennemis partout alentour : dans les services de renseignement et même à la Maison Blanche. Ils savaient que la CIA était infiltrée par le KGB.
Trudeau dit à Corso, "J'ai besoin de vous pour couvrir mes arrières, Colonel. J'ai besoin de vous, pour voir pour moi, parce qu'avec tout ce que j'ai à faire, je ne peux pas tout surveiller…"
Corso devint donc l'assistant spécial de Trudeau au département de R&D (recherche et développement), une des divisions du Pentagone. Et une des plus sensibles parce qu'elle travaille sur des objectifs très secrets qui, par son entremise, permettent la conception des armes du futur.
Le R&D était l’interface entre l’idée de quelqu'un et le prototype qui sortira d'une usine pour démontrer son potentiel. Le travail de Corso était de garder tout cela secret jusqu'à ce que le projet soit développé.
"Mais il y a autre chose que vous allez faire pour moi, Phil…" dit Trudeau, "Je vais faire déplacer cette armoire dans votre bureau...". Corso avait son bureau au deuxième étage, juste sous celui de Trudeau. Il pouvait ainsi entrer par la porte derrière le bureau de Trudeau sans que quiconque ne puisse le voir.
"Ce sont des dossiers spéciaux, du matériel de guerre que vous n'avez encore jamais vu. Je veux que vous les preniez sous votre responsabilité au R&D…" dit Trudeau.
Le rôle de Corso au R&D était de lire les rapports des services de renseignement, de visionner des tests d'arme, de discuter avec des scientifiques et des universitaires pour savoir ce qu'ils savaient du travail de leurs collègues à l’étranger. Puis il devait écrire des propositions d'armes nouvelles dont l'armée américaine aurait certainement besoin.
L'armée cataloguait les recherches sur les armes en deux catégories : les domestiques et les étrangères. Corso devait savoir ce que les Français faisaient avec leurs hélicoptères, si les Anglais étaient capables de fabriquer un avion à décollage vertical.
Il y avait le V3 allemand, la petite-fille de la "Grosse Bertha" avec laquelle les allemands pilonnèrent Paris pendant la première guerre mondiale. Ils découvrirent aussi, après l'invasion de la Normandie, tout le travail que les nazis avaient effectué sur les avions à réactions ainsi que sur les nouveaux panzers. Ces armes auraient changé le cours de la guerre s'ils avaient eu un peu plus de temps pour les développer.
Le rôle de Corso était de récupérer ces technologie, de reprendre les idées qu'ils n'avaient pas eues eux-mêmes puis il devait émettre des recommandations sur la façon d'incorporer tout cela dans les plannings de développement des armements en cours.
"Le matériel dans cette armoire est légèrement différent de celui qui nous passe habituellement dans les mains…" dit Trudeau, "Je ne sais pas ce que vous avez eu l'occasion d'apprendre à ce sujet quand vous étiez à la Maison Blanche, mais avant d'écrire quoi que ce soit, vous devriez faire une petite recherche sur le dossier Roswell..."
Corso ne vit pas tout de suite le rapport entre le dossier de Roswell et ce qui se trouvait dans le bureau du Général Trudeau. Celui-ci appela quatre hommes qui transportèrent l'armoire jusqu'au bureau de Corso au 2ème étage.
Trudeau dit aux hommes, "Ne vous arrêtez sous aucun prétexte. Ne parlez à personne. Si quelqu'un vous arrête, dites-lui de venir me voir. C'est un ordre…."
Trudeau se tourna vers Corso et dit "Pourquoi ne passeriez-vous pas un peu de temps avec tout cela ?... Mais pas trop quand même !... ".
Corso passa quelques temps à réfléchir dans son bureau sur la raison selon laquelle ces dossiers l'attendaient dans le bureau de Trudeau et pourquoi il avait voulu lui en parler directement, seul à seul. Trudeau n'avait rempli aucun bordereau pour le transfert de l'armoire. Donc quoi que ce fût, c'était certainement sérieux et très secret.
Corso se rappela le 6 Juillet 1947, au Kansas, où il avait vu la « Chose » dans la caisse, à Fort Riley et espérait que ce qui se trouvait dans l'armoire n'ait pas de lien avec tout ça.
Corso ouvrit l'armoire et il eut immédiatement la ῝chair de poule῝. Il savait déjà, en regardant les boîtes à chaussures pleines de circuits et de fils enchevêtrés ainsi que l'étrange morceau de tissu de la visière nocturne et bien d'autres choses encore, qui y étaient mêlées, que sa vie allait radicalement changer.
C’était donc ça : du matériel récupéré à Roswell. Corso entendit des pas et Trudeau, passa la tête par la porte, "Vous avez regardé à l'intérieur ?..." demanda-t-il.
"Qu’êtes-vous en train de me faire, mon Général ?..." répondit Corso, "Je pensais que nous étions amis !..."
"C'est justement pour cela que je vous ai donné tout ça…" dit Trudeau. "Vous savez combien tout cela est précieux ?... Vous savez ce que feraient toutes les autres agences pour l’avoir en main ?..."
"Ils me liquideraient !..." dit Corso. "Ils voudraient vous éliminer, de toute façon… " répondit Trudeau, "L'Air Force le voudrait parce qu'elle pense que c'est à elle. La Navy le voudrait également parce qu'elle veut tout ce qu'a l'Air Force. La CIA le voudrait aussi pour pouvoir le donner aux Russes."
"Que voulez-vous que je fasse, mon Général ?...", demanda Corso.
"J'ai besoin d'un plan, Phil, pas seulement de savoir à qui sont ces éléments, mais surtout ce que nous pouvons en faire…"
Cela ressemblait tout simplement à un complot. "Quel est notre plus grand problème ?..." demanda Corso.
"Les mêmes que ceux qui ont contribué à nous faire perdre la Guerre de Corée et que vous avez combattu à la Maison Blanche." dit Trudeau, "Vous savez exactement ce que je veux dire. Cela ne doit pas tomber dans de mauvaises mains sinon, bien que nous soyons dans le Pentagone, cela ira directement au Kremlin."
"Nous devons d'abord savoir ce que nous avons. C'est donc votre travail. Avons-nous quelque chose d'utilisable ?..."
"Est-ce que quelqu'un sait déjà ce que j'ai ?..." demanda Corso.
"Ils vous épient comme ils m’épient moi-même. " répondit Trudeau.
D'abord, il y avait un filament clair et flexible composé de fils, ressemblant à du verre, entortillés dans une espèce de gaine grise comme si c’étaient des câbles de jonction.
C'étaient des filaments étroits, plus fins que des fils de cuivre. Quand Corso tenait la gaine à la lumière du bureau, il pouvait voir une lueur passer au travers comme s'ils la transportaient et la cassaient en différentes couleurs.
Quand le personnel trouva ceci à côté de l'épave, ils ont dû penser que c’était un relais électrique.
Ensuite, il y avait le mince morceau gris mat, en forme d'ouvre-huître de 5 cm de diamètre qui ressemblait à du plastique mais qui révélait de minuscules empreintes de fils électriques, à peine en relief à la manière d’un réseau routier sur sa surface.
Ces traces avaient la taille d'une pièce de 25 cents, mais la gravure qui en résultait rappelait à Corso celle de corps d'insectes plaqués/écrasés à sa surface, en raison des centaines de pattes étalées qui en partaient à angle droit.
Quelques-unes de ces formes étaient arrondies et d'autres elliptiques. C'était un circuit, comme il était possible de le constater à travers une loupe, mais un circuit inconnu de Corso. C'était un morceau de circuit qui provenait d'un grand tableau de bord du vaisseau.
Corso était aussi intéressé par un dossier descriptif qui accompagnait deux parties d'une sorte de peau noire. Comme une lentille d’œil, de forme elliptique.
Les médecins pathologistes de Walter Reed prétendaient que ces lentilles adhéraient aux yeux des créatures extraterrestres et semblaient réfléchir la lumière existante. Même s'il faisait sombre, cela illuminait et intensifiait les images afin de permettre aux porteurs de voir les objets.
Les rapports disaient que les médecins pathologistes de l'hôpital de Walter Reed qui avaient pratiqué l'autopsie d'une de ces créatures avaient essayé de regarder au travers en pleine nuit afin de voir les sentinelles et les aides médicales marcher dans un corridor adjacent au laboratoire.
Les silhouettes étaient illuminées d'une lueur orange, selon la façon de tenir ces lentilles. Les médecins pathologistes ne pouvaient voir que les silhouettes, mais, avec les lentilles, ils pouvaient voir les rangées de fournitures accrochées aux murs et les objets sur les bureaux.
Corso pensa que, peut-être, les soldats pourraient porter une lunette de vision qui intensifierait les images afin de permettre la navigation dans l'obscurité. Ces choses ne transformaient pas la nuit en jour, elles illuminaient seulement les silhouettes des objets.
Il y avait une feuille argentée, terne, que l’on pouvait tordre, plier, comprimer et qui reprenait sa forme originale, sans aucuns plis. C'était une fibre métallique qui avait les caractéristiques de ce qui s’appellerait plus tard, "super résistant ". Quand Corso essayait de couper la feuille avec des ciseaux, les lames glissaient dessus. Les fibres semblaient aller dans une même direction.
Pour Corso, c'était un vêtement avec des fibres métalliques qui avait la douceur et la malléabilité d'un tissu mais aussi la force et la résistance d'un métal.
Il y avait une description et un croquis d’un autre objet. Comme une sorte de lampe torche avec sa propre source d'énergie qui n'était pas une pile.
Les scientifiques de Wright Field qui l’avaient examiné disaient qu'ils ne pouvaient pas voir le rayon de lumière sortir de l'objet mais que, lorsqu'ils le tenaient face à un mur, ils pouvaient voir un petit rond rouge de lumière sur celui-ci. Quand ils faisaient passer un objet entre le mur et la lampe, le rayon était si intense que l'objet commençait à fumer. Ils jouèrent longtemps avec avant de comprendre que c'était un couteau extraterrestre.
Lorsque de la fumée passait dans le rayon, celui-ci devenait tout à coup visible.
Pourquoi les occupants du vaisseau avaient un couteau de cette sorte ? C'est plus tard que Corso, en lisant des rapports militaires sur les mutilations de bétail durant lesquelles des organes étaient retirés sans traumatisme des tissus, réalisa que le rayon de lumière était un scalpel qui avait été utilisé par les extraterrestres lors d'expériences médicales sur les troupeaux.
Cette traduction est, parfois, assez éloignée du texte original en anglais.
Pour ceux, et celles, qui veulent en savoir plus, il est possible de se reporter à « The day after Roswell ».
Néanmoins, voici une vidéo où le colonel Philip Corso s’exprime :
Philip Corso - 2de3 par RIM952
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On ne connaît pas tout ça dans les moindres détails (ou presque), par ailleurs ?
Rédigé par : I-Cube | 07 mars 2014 à 15:42
Absolument, mais je ne me suis jamais penché dessus…
Il n’est jamais trop tard pour bien faire.
Cela va peut-être me permettre de comprendre un peu mieux le reste…
Rédigé par : JEAN-CHARLES DUBOC | 07 mars 2014 à 17:22