Une observation de plusieurs OVNI au-dessus de Paris a eu lieu le dimanche 2 mars 2014.
Après un contact téléphonique avec la personne concernée, je reprends – in-extenso - le mail que je viens de recevoir.
Lieu de l’observation
Paris, nuit du samedi 1 au dimanche 2 mars 2014, vers 0h15.
Balcon 8 ème étage, rue Archereau, dans le XIXème.
J'ai l'habitude de me brosser les dents en regardant le vaste ciel au-dessus de Paris.
J'y vois souvent quelques étoiles, un ballet d'avions plus ou moins important en fonction de l’heure et du vent dominant, un satellite parfois (ce que je crois à cause d'un déplacement linéaire orbital, plus brillant et souvent plus rapide que celui des avions), un ou des rayons laser projetés de je ne sais quel endroit et qui balayent le ciel répétitivement.
L'orientation de mon observation donne sur nord-est, est et sud. Les avions passent donc au-dessus de mon immeuble ou pour atterrir derrière, au nord de Paris, ou après en avoir décollé.
Le trafic aérien en liaison avec le sud est également observable, mais plus indéfinissable à cause de l'éloignement.
L'observation :
Cette nuit-là donc, voilà ce que j'ai vu...
À une altitude inférieure à celle des avions, deux lumières inhabituelles pour moi, très brillantes et constantes (sans aucun clignotement), et surtout parfaitement verticales, donc l'une au-dessus de l'autre.
La distance entre les deux lumières étant deux à trois fois supérieure à celle des feux d'un gros avion (ce qui je crois correspond aux extrémités des ailes ?).
La lumière supérieure était deux fois plus grosse.
L'impression pouvait faire penser à une sorte de parachute, ou de nacelle suspendue à un ballon, stylisée par ces seuls deux points lumineux... Un peu comme ces dessins pour enfants où il convient de relier des points pour voir ce que leur nuage ne permet pas de discerner a priori.
J'ai vu apparaître ce phénomène à "10h" (si l'on considère que j'avais devant moi un plan à 180° allant de "9h" (nord-est) à "15h" (sud) sur une pendule imaginaire.
Il n'y avait rien, puis il est apparu, comme s'il avait émergé de nuages...
Sauf que cette nuit-là, le ciel était clair sur Paris !
L'objet avançait à grande vitesse, bien que grossissant modérément (ce qui laisse à penser qu'il n'était pas très éloigné) au point de parvenir à "onze heures".
Là, avec la même soudaineté, émergeant du noir, au même endroit que le précédent, un deuxième objet, puis un troisième, en tous points similaires au premier, sont apparus.
C'est à ce moment que j'ai appelé ma compagne qui est arrivée à mes côtés vingt secondes plus tard.
Elle m'a confirmé voir la même chose que moi, à savoir trois objets inhabituels, tels que je viens de vous les décrire, se succédant maintenant selon un léger biais par rapport à nous, mais à la même altitude, ralentissant nettement, voire devenant quasi stationnaires pendant 3 à 5 secondes - ma compagne a relu cette description, et la corrobore pour la partie qui la concerne - je poursuis …
… Puis les trois objets vont s'éloigner un peu, gardant leur ordre et leur espacement.
La brillance du premier va s'estomper, comme accéléré maintenant dans son éloignement, puis disparaissant totalement, comme s'il s'éteignait.
Les deux autres vont suivre la même trajectoire, et "s'éteindre" de la même façon. Sur la pendule imaginaire, nous sommes à "midi".
Le phénomène a duré quelque 5 minutes au plus.
L'espace de l'observation peut s'inscrire dans un triangle, avec un sommet A ("10h") le plus éloigné de nous, mais situé au-dessus de la proche banlieue de Paris, un sommet B (11h), le plus proche de nous. Un troisième sommet C (midi) marque l'effacement ("extinction") du phénomène. Le côté A B est 5 fois plus grand que le côté B C.
Enfin, il est à noter que la figure dessinée par ces "objets" n'a pas varié durant l'observation.
Les seules variations concernent donc uniquement l'avancée, puis l'éloignement, qui vont modifier, légèrement encore une fois, la taille de leur figure, mais laquelle figure est restée inchangée dans sa forme (les deux points verticaux).
Conclusion de l’observateur
Voilà ! Nous ne savons pas comment interpréter cet événement, mais nous en mesurons l'originalité (loin d'être des spécialistes, nous regardons très souvent le ciel, et sommes habitués dans notre villégiature cauchoise, loin de tout éclairage urbain, à en contempler le spectacle stellaire infini et ô combien envoûtant... Naturellement ! ). C'est pour affiner ce sentiment et le comprendre, que je vous fais parvenir ce message.
Merci d'y avoir consacré le temps de sa lecture, et de bien vouloir le traiter dans la pertinence qu'il peut présenter pour l'intérêt commun.
Voilà une observation absolument remarquable qui a dû avoir d’autres observateurs.
A suivre…
Jean-Charles DUBOC
Bonjour,
Merci de votre message et de votre confiance.
Effectivement, votre observation a les caractéristiques de l'observation de lanternes thaïes : Lumières se déplaçant en formation, selon le vent, durant moins de 10 mn, une nuit de week-end
Voir la météo : http://www.meteociel.fr/temps-reel/obs_villes.php?code2=7156&jour2=2&mois2=2&annee2=2014&envoyer=OK
(léger vent de Nord, s'orientant à l'Ouest)
Voir ci-dessous les réponses à vos questions.
Sincèrement,
Xavier Passot
Responsable GEIPAN
Groupe d'Etudes et d'Information sur les Phénomènes Aérospatiaux Non identifiés
DCT/DA/GEIPAN
Centre National d'Etudes Spatiales
18 Avenue Belin
31401 TOULOUSE CEDEX 9
Rédigé par : JEAN-CHARLES DUBOC | 19 mars 2014 à 20:36
Ci-dessous un mail de l’observateur :
A- J’ai à nouveau consulté les photos exposées par le GEIPAN.
En fait, je n’avais pas compris que le second écran était une vidéo.
J’ai donc visionné cette vidéo, et là, je ne peux que revenir sur ma déclaration d’hier, désormais "faussement conclusive" !
Je m’explique : ce qui, sur une photo alignait des points lumineux, devient sur la vidéo des lampadaires éclairant une promenade.
Quant à la lanterne thaïe supposée, elle devient unique dans ce ciel, elle laisse apparaître un halo, interpelle les témoins de la scène (voix off), et manifestement tombe comme le feu de Bengale perfectionné qu’elle doit être.
Quant à sa luminosité et sa couleur, elles sont presque similaires à celles des lampadaires ???
B- Fort des précisions apportées hier par Xavier, fragilisées par ces images très décevantes, je maintiens qu’il demeure trois choses inexpliquées, qui ne s’annulent ni par les dites explications ni surtout par la photo et la vidéo du site :
1. la lumière émise, nette et sans aucun tremblement, et la couleur, blanche tirant peut-être très légèrement sur le jaune pâle, restent pour moi inexpliquées (Xavier doute également).
2. les 3 objets étaient constitués de deux points, l’un supérieur et 3 fois plus gros (dans ma déclaration initiale, je disais deux fois, c’était plutôt trois fois) que celui du dessous, situé à son exacte verticale.
Ces deux points sont restés liés dans cette position, sans aucune inclinaison l’un par rapport à l’autre, ni ensemble. Donc, trois lignes droites virtuelles, formant un angle de 90° avec notre plan d’observation (le balcon !), du début à la fin de l'observation.
3 . Le déplacement des "engins" a fait qu’ils se sont présentés à nos yeux, d’abord un, dont il était difficile d’apprécier s’il nous faisait face ou s’il était de biais.
Mais le deuxième et le troisième ont marqué une ligne de biais (étaient-ils frontaux face à nous, ou bien gardaient-ils une autre orientation, bref, celle-ci n’a absolument pas varié du début à la fin de l’observation).
En sorte que le seul intérêt d’avoir évoqué ce déplacement en biais est de montrer qu’au point A (l’origine du phénomène visible), nous sommes à 10h (mon horloge imaginaire), au point B (le plus proche de nous), nous passons à 11h, et au point C (le plus éloigné de nous, celui de l’extinction, brutale, j’y insiste !) nous finissons à 12h.
D’où ces section d’une dizaine de degrés, ce qui à la réflexion correspond assez justement à la part de ciel dans laquelle le phénomène a été observé (30° sur 180°, soit 1/6ème). Je vais faire une figure plus explicative dans l’après-midi.
C- Je reviens donc sur ma conclusion d’hier pour dire qu’il y a matière à creuser davantage.
En admettant qu’il y ait eu peu de vent, un vent nul en altitude semble exclu. Ces lanternes ne doivent pas peser très lourd, sinon comment auraient-elles tenu aussi longtemps en l’air ?
Et si elles sont légères, comment expliquer alors l’invariabilité de leur figure ?
Comment expliquer, sans vent, la vitesse vertigineuse, puis presque stoppée, puis à nouveau accélérée jusqu’à l’extinction ?
Comment expliquer, enfin, que cette extinction se fasse à une altitude supérieure et à une distance 5 fois plus grande, que le lieu d’apparition du phénomène ?
Ma rationalité et mon esprit matérialiste me conduisent à réfuter le scénario des lanternes chinoises, et à penser que nous avons affaire à des objets d’une tout autre nature.
Mais comment comprendre qu’un tel phénomène, présentement inexpliqué (c’est à nouveau ma conviction) ait pu être observé au-dessus de la proche banlieue parisienne, un peu après minuit un week-end, et pour l’instant, par deux personnes seulement ?
Mais trop de questions tuent la question... Je vais quand même me poster samedi soir au même endroit, et troquer ma brosse à dents contre un appareil photo !
À ce stade, je préfère barrer FIN et lui substituer À SUIVRE !
Rédigé par : JEAN-CHARLES DUBOC | 20 mars 2014 à 14:58
Jean-Marc na toujours pas retrouvé la "Bouée-rouge" qui apporte des nouvelles du cosmos délivré par les Kameulfs...
Mais promis, dès que ce sera fait et qu'il ait pu traduire, je vous mets en ligne les blagues cosmologiques sur les Ummos !
Vendredi 28, espère-je.
Bon, les autres informations, je les garde pour moi comme d'habitude, n'est-ce pas...
Rédigé par : I-Cube | 21 mars 2014 à 08:13
Super !...
Pour les autres informations, on attendra un peu...
Rédigé par : JEAN-CHARLES DUBOC | 24 mars 2014 à 11:09