Les observations d’OVNI sont parfois très surprenantes comme celle dans la zone d’approche de l’aéroport d’Oslo Gardermoen, le 24 mars 2011, ou encore celle en Sibérie, au-dessus de Khabarovsk, le 16 mai 2011.
Des révélations récentes confirment la présence d’OVNI lors de la mission spatiale de septembre 2006 de la navette Atlantis qui a dû retarder d’une journée sa rentrée atmosphérique en raison de la présence d’objets inconnus qui suivaient la station orbitale !...
Les observations les plus indiscutables sont celles des cosmonautes et des pilotes civils et militaires qui sont de véritables privilégiés pour l’observation d’OVNI.
D’ailleurs le catalogue Weinstein rapporte près de 1.300 observations d’OVNI par des pilotes de 1916 à 2000 !...
Certains cas sont spectaculaires et parmi ceux-ci je me dois de signaler l’observation faite par l’équipage d’un vol Iberia au-dessus de l’Espagne en juillet 1985.
Vous trouverez ci-dessous la relation de l’événement par le commandant Carlos Garcia Rodrigo tel qu’il l’a racontée à Juan Jose Benitez, célèbre auteur espagnol dans le domaine des OVNI.
« Teruel, juillet 1985
C’était une splendide matinée. Le ciel était bleu, sans un seul nuage. Nous faisions la liaison aérienne Barcelone-Madrid. C’était l’IB-1331. Nous volions décontractés, sans aucune préoccupation. Notre altitude était de 29.000 pieds (9700 mètres).
Vers les 13 h 45, au-dessus de Maella (Teruel), au loin et à environ 15 degrés au- dessus de l’horizon, quelque chose de semblable à une lentille est apparu. Elle avait une couleur titane.
Mais ça n’était pas un avion. La « lentille » évolua en prenant une forme sphérique. « Ceci n’est pas un avion, ça doit être un ballon-sonde ». Et nous avons commencé à lui prêter toute notre attention. Alors, conformément à notre approche, nous avons vu avec clarté que « cela » était totalement sphérique et d’une couleur quelque peu plus sombre que l’aluminium.
Je décidai d’en faire part au Contrôle de Barcelone. La vérité est que c’était énorme et pouvait constituer un risque potentiel pour la navigation.
Barcelone répondit « Négatif, nous n’avons rien ». Cela se trouvait très haut. Nous avons calculé environ vingt-cinq ou trente mille mètres. Barcelone nous conseilla de le notifier au contrôle de Madrid.
« Négatif – répondit Madrid -, nous n’avons rien de rapporté ». C’était étrange. Madrid aurait dû l’avoir enregistré. Mon avion apparaissait sur le radar. « Appelez les militaires pour qu’ils pistent la zone… ».
Nous avons alors communiqué avec Saragosse et leur avons fait part de la présence de cet objet. Bref, alors que nous étions en train de nous en rapprocher, « cela » continuait « à grossir et à grossir ».
D’après moi, il se tenait stationnaire ou presque. Il se présentait à ce moment-là comme une grande balle métallique. Comme tu pourras l’imaginer, l’ambiance dans la cabine s’est échauffée. « Cela » n’était pas normal. Et nous avons découvert que ce n’était pas un ballon-sonde. Il lui manquait l’instrumentation typique qui pend habituellement de ces artefacts. Mais, alors, qu’était-ce ?
J’appelai de nouveau le radar militaire de Calatayud (« Sieste »), mais la réponse fut également négative. Il n’avait rien sur son écran. Sur ce, un autre collègue est entré sur la fréquence : un avion qui volait de Valence à Madrid. Et il communiqua : « Affirmatif. Nous le voyons aussi. Vous avez un objet là haut…Je l’ai en visuel et je vous confirme que ce n’est pas un ballon-sonde ».
Alors j’ai décidé d’appeler le reste de l’équipage. Ils sont tous passés par la cabine, confirmant nos impressions : c’était une sphère, ça n’avait pas d’ailes ni de gouvernail, c’était énorme et de couleur sombre. En tout, neuf témoins.
C’était comme trois ou quatre fois un Jumbo. Et nous étions en train de filer sous cette « chose ». Elle restait immobile, majestueuse. Le soleil, au zénith (c’était midi, heure solaire), illuminait la calotte supérieure de la sphère. L’inférieure, évidemment, paraissait plus foncée. Et nous nous sommes mis sous « cela ».
Nous avons à nouveau appelé Madrid et les militaires. Nous avons confirmé la position et leur avons annoncé que nous l’avions à notre verticale. Réponse négative. L’objet continuait à ne pas être détecté sur les radars…
Dès que nous sommes passés en dessous, nous l’avons tous observé par les hublots supérieurs du poste de pilotage.
Et la tension s’est multipliée en découvrant ce signe sur la partie inférieure de la sphère. Nous n’avions alors aucun doute. « Cela » était quelque chose d’anormal. Sur le ventre, pour l’appeler comme ça, apparut une sorte de « H », avec une autre barre verticale au centre. C’était quelque chose d’insolent, en noir ressortant avec une netteté absolue.
A cet instant, j’ai eu peur. Un champ d’énergie ? Pouvait-il affecter l’avion ? Cette « chose » gigantesque, immobile dans le ciel, devait se sustenter de quelque manière. Heureusement l’instrumentation ne s’est pas vue affectée, à aucun moment. Nous n’avons pas eu de problèmes.
Que pouvait être ce « H » ?...
Je ne sais pas. Peut-être des portes fermées. Peut-être une marque ou une protubérance peinte en noir. Ce qui était clair c’est que c’était quelque chose d’artificiel et parfaitement défini. Malgré l’ombre de cette zone, on le distinguait avec une clarté absolue.
Je me rappelle que j’ai dit : “Madrid, je fais rapport d’un phénomène OVNI. Prenez note. Je vais faire un rapport officiel…”
Et je l’ai fait ainsi. Il y a eu une copie pour la compagnie Iberia et une autre pour l’Aviation Civile. Tout cela reste, naturellement, enregistré dans les tours de contrôle respectives et stations de radar avec lesquelles nous avons établi le contact.
Une sphère métallique. De ceci il n’y a pas de doute. Si cela avait été un ballon stratosphérique, nous aurions distingué les déformations typiques sur les côtés. De plus, comme je te le dis, « cela » n’était pas elliptique.
C’était une sphère parfaite. J’ai activé le radar de l’avion mais, de même que « Siesta » et Madrid, il n’a rien capté. Selon mes calculs, l’observation a pu durer environ de sept à huit minutes. C’est-à-dire, durant un peu plus de cent kilomètres. Je ne l’oublierai jamais… »
Ce qui est absolument extraordinaire, c’est que ce trouvait sous cet OVNI un H avec une barre au milieu et que c’est le sigle d’UMMO !... N’oublions pas, de plus, que c’est en Espagne que s’est développée tout d’abord « l’affaire UMMO ». Un hasard ?...
J’avoue que si le dossier UMMO est un canular, il est franchement stratosphérique !...
Car il y a bel et bien une possibilité de canular sur cette affaire – même si les courriers sont bien souvent très évolués - et c’est ce qu’explique l’ami « I-Cube » dans un billet du vendredi 10 décembre 2010.
Je reporte cette « deuxième preuve de canular » ci-dessous.
Jean-Charles Duboc
…………….
Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Invraisemblable Ignoble Infreequentable » !
Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet.
Certes, pour être « ignoble », Infreequentable écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques.
Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance !
Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite !
En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle !
Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…
Vendredi 10 décembre 2010510/12/Déc/201016:45
Deuxième « preuve » du canular…
Parce que dans la foulée,
« Je » retrouve nombre de documentations planquées dans un dossier archivé sur mon disque dur : Pas de doute, c’est « moi » qui l’y ai mis, même si sur le coup, « je » n’en garde aucun souvenir… Qui reviennent en les lisant.
Faut revenir sur l’apparition de San José de Valderas, celle avec photos à l’appui.
Un désastre en rase-campagne telle qu’on n’en a jamais connu de pareil depuis la bataille de Waterloo.
C'est par téléphone que Fernando Sesma (le fondateur de la secte « ummiste ») reçoit ses messages cosmiques. Au mois de décembre 1965, va débuter un contact. Le temps d'une sonnerie de téléphone et, à l'autre bout de la ligne, une voix au timbre électronique annonce tout de go son origine extraterrestre. « Ummo », tel est le nom de la planète dont serait descendu sur Terre un corps expéditionnaire... « ummite » comme il se doit !
Dès janvier 1966, le « terrien allumé » aux conversations exotiques (un peu comme « moi » ces derniers temps, mais sur le mode « exit-transe-télécom ») relate les exploits de nos « visiteurs ».
En 1967, un courrier annonce le prochain atterrissage d'un vaisseau « d'Ummo » près de Madrid. Il se produira effectivement à San José de Valderas, près de la capitale, dans la fourchette des dates indiquées...
Et le 2 juin 1967, le journal du soir hispanique « Informaciones », annonce l'observation, dans la soirée de la veille, jeudi 1er juin, d'une soucoupe volante au dessus du château de San José de Valderas, en banlieue de Madrid.
De nombreux témoins auraient pu observer pendant de longues minutes un énorme engin lenticulaire baignant dans une lumière orangée, et il y a même des photos !
Les photos montrent que l'engin porte sur sa face ventrale un mystérieux dessin évoquant le schéma d'un changement de vitesse pour le lecteur moyen, mais évoquant le sceau « d'Ummo » pour les initiés.
Ce n'est pas tout ! Le journal « Pueblo » du même jour confirme que dans la nuit de la veille, plusieurs personnes ont appelé la rédaction prenant de l'intérêt à donner des informations sur un étrange objet qu'ils avaient vu survoler la promenade d'Extramadure. Le passage de la « soucoupe » a été témoigné, semble-t-il, en divers faubourgs : San José de Valderas, Aluche, Santa Monica, Mirador de la Casa de Campo, etc…
Et le journal « Madrid » du lendemain renchérit :
Don Fernando Sesma l'affirme LA SOUCOUPE VOLANTE VUE A MADRID PROVIENT DE LA PLANETE URANO !
Cinq photos d'un mystérieux photographe, apparemment un simple amateur qui se trouvait sur place avec sa fiancée et a eu le réflexe d'utiliser son appareil. Mais un amateur qui a cependant réussi à développer ses photos et à en faire des tirages suffisamment vite pour qu'elles paraissent dans le journal du lendemain.
Photographe qu’on ne retrouva jamais, faut-il préciser.
Mieux, l'objet observé à San José aurait atterri à Santa Monica, près du restaurant « La Ponderosa », et Antonio Pardo mentionne dans une communication aux autorités d'autres témoignages et la présence d'étranges tubes métalliques. D'étranges tubes qui contenaient (au moins pour l'un d'entre eux) des lamelles d'une fine matière plastique portant le sceau « d'Ummo »
On ne retrouva jamais non plus le Antonio Pardo (équivalent hispanique d’Antoine Dupont dans le bottin téléphonique de « Gauloisie frénétique »).
L'affaire se corse quand on apprend à l’époque qu'un certain Henri Dagousset écrit à divers commerçants en offrant 18.000 pesetas pour chacun de ces tubes (plus 7.000 pesetas au commerçant qui aurait permis de retrouver le détenteur). Là encore, on ne retrouva jamais Henri Dagousset.
José Luis Jordan Péña, le témoin qui l'année précédente avait déjà observé l'OVNI d'Aluche, offre son aide en rapportant d'autres témoignages.
Cette affaire parait alors irréfutable. Il semble y avoir eu beaucoup de témoins, des photos prises indépendamment, des traces qui intéressent des gens importants.
De plus, cette observation recoupe celle de l'atterrissage du 6 février 1966, à Aluche, non loin de San José. Atterrissage qui avait laissé des traces indubitables.
Et de noter que les photos, étrangement mal développées, ne se suivaient pas sur le négatif laissé à la disposition de la presse.
Elles ne semblent pas avoir été prises par un homme debout. Contre toute logique, l'engin n'était même jamais cadré au centre.
Le diamètre apparent de l'objet sur les clichés était bien plus grand que dans le récit d'Antonio Pardo. Aucun des nombreux témoins de ce jeudi 1er juin n'apparaisse sur les photos, pas plus que l'un des photographes qui aurait dû se trouver dans le champ de l'autre.
Et pourquoi les deux photographes restaient ils introuvables ?
Et puis le premier « couac » en 1972. Dans son numéro du mois d'août, la revue « Stendek » sort une étude du météorologiste Oscar Rey Brea tendant à montrer que les photos de San José étaient truquées. Après calcul, il conclue qu'il n'y a en fait qu'un seul photographe qui avait pu photographier une maquette en utilisant un pied.
Mieux, en 1977, Claude Poher, du GEPAN, montre qu'un traitement approprié des photos prises à San José met en évidence le fil de suspension de la soucoupe (un cliché de ce traitement fut exposé au stand du Geipan lors d'un salon du Bourget).
Cela expliquait pourquoi l'engin était toujours cadré bizarrement : Pour ne pas montrer le support de la maquette (probablement une canne à pêche).
Selon Poher, la soucoupe n'était qu'un assemblage de deux assiettes en plastique.
Et les deux photographes n'en faisaient qu'un : On pouvait superposer l'un des clichés pris par le premier à l'un des clichés pris par le second.
Les photos de San José ne sont donc qu'une supercherie.
Une autre enquête fut faite par William Spaulding, expert en analyse photo du Ground Saucer Watch, à partir d'une copie provenant d'Antonio Ribera confirme l’analyse de Poher. Là aussi, le traitement révélera un fil de suspension.
Ce détail du fil de suspension a été contesté depuis. L'enquête de la Guardia civile espagnole sur cinq négatifs originaux, a confirmé que les négatifs étaient authentiques (ce qui n'avait jamais été contesté) et n'a pas trouvé trace du fil de suspension.
Il paraîtrait qu'il s'agissait en fait d'une rayure sur le négatif.
Une rayure qui se serait trouvé opportunément à l'endroit pile où devait se trouver le fil de suspension, et avec la bonne longueur, en plus !
Et alors l’extraordinaire parvient par le biais des « lettres-ummites », qui ne cherchent pas à nier le faux, mais expliquent même que cela entre dans leur stratégie : « Des années plutôt, mes frères ont diffusé, conjointement à des arguments en faveur de la thèse de l'identité ummiaoo, de fausses preuves qui pouvaient servir de couverture face à un degré élevé de crédulité de la part du réseau social de la Terre » (Lettre D116 du 23 mai 1979).
Doit-on en induire que la fausseté des photos prouvait l'authenticité des « ummites » ?
À en croire ce raisonnement, les « ummites » auraient volontairement fabriqué des photos truquées pour les divulguer si leur incursion à San José avait été trop remarquée…
L’art d’avoir toujours raison, même le nez dans ses propres étrons !
Car pour tout dire, c’est que ce sont précisément les photos qui déclenchèrent l'affaire de San José !
À me relire, « je » me demande où « je » suis allé chercher toutes ces informations, sur un problème dont « je » me tamponne éperdument ?
En 66, quelque remarquable institutrice totalement dévouée à contrer mon ignorence indubitable de mono-neuronique, tentait vainement de m’apprendre que deux et deux font quatre, qu’on les additionne ou qu’on les multiplie, que « j’ »en concluais naïvement à l’époque que ce n’était pas la peine de faire des additions si on apprenait par cœur les tables de multiplications…
Et en 79, j’étais licencié en droit et apprenti expert-comptable après de dures années de labeur inutile, et avoir réappris à faire des additions autrement qu’avec mes doigts (ou des allumettes) : « Je » faisais encore des multiplications en additionnant des logs grâce à une règle à calcul sans curseur (pété à en jouer à d’Artagnan avec mes potes de l’époque), puisque les calculettes étaient interdites pendant les examens…
Tout juste, on pouvait se promener avec sa table « Boulevard-et-gratiné », qui ne sert strictement à rien quand il s’agissait de commenter un arrêt ou de passer des écritures de consolidation de comptes « réfléchis »…
Pas suffisant me font savoir mes « on ».
Pourtant, l’affaire est entendue depuis des lustres, non ?
I-Cube
Source : http://infreequentable.over-blog.com/article-deuxieme-preuve-du-canular-64692984.html
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