Les seules informations qui pourraient avoir pour origine une civilisation extraterrestre sont les mystérieuses lettres ummites, envoyées depuis 1954 à différents destinataires dont principalement le groupe de « La Baleine Joyeuse » à Madrid.
Les lettres reçues peuvent être consultées sur le site Ummo-sciences :
Ces "extraterrestres" se présentent comme un groupe faisant des études ethnologiques sur notre planète et décrivent même leur arrivée près de la Javie, dans les Alpes de Haute-Provence, et leur installation dans une grotte !...
Une grotte qui aurait été, par la suite, découverte !...
Un spécialiste du dossier, René Voarino, nous apporte quelques précisions sur cette affaire:
« France-Spiritualités : Selon vous, les autorités françaises sont-elles particulièrement intéressées par ce coin des Basses-Alpes, ainsi qu'on peut le lire par ailleurs ?
René Voarino : Absolument. Absolument... Je ne voudrais pas trop me lancer, mais lorsque vous étudiez quelque chose, si l'on nous ne vous apporte aucun élément, vous finissez par vous dire : "Ce n'est pas la peine que je continue, il n'y a rien". Par contre, si vous insistez un petit peu et que vous trouvez quelqu'un de bien placé, en l'occurrence un colonel de Gendarmerie, qui vous dit : « M. Voarino, je suis au courant de cette affaire ; à l'époque, Claude Poher, le Préfet et d'autres personnes ont fait des reconnaissances sur le Cheval Blanc en hélicoptère, ils ont trouvé la grotte ummite et le matériel et ils ont fait sauter la grotte. Je ne sais pas qui l'a fait. Mais vous avez raison de chercher », cela vous incite à poursuivre. Ce colonel était en activité à l'époque ; il m'a dit : « Moi-même, lorsque je suis en vacances, je suis au Col de la Cîme et je fais des recherches ». Ceci m'a bien sûr décidé à persévérer, car je me suis dit que je n'étais pas le seul à m'intéresser à ce coin.
Ce colonel est toujours en activité et je respecte donc son anonymat. Il sera bien sûr plus libre de parler lorsqu'il sera en retraite. En attendant, je suis toujours en contact avec lui, et il continue de m'indiquer des pistes de recherches. Ce que je vous dis est sérieux, et tous les documents sont là. Mais vous comprenez que je ne puisse pas préciser davantage.
Par ailleurs, vous savez, lorsque j'ai rencontré M. Poher, qui est maintenant à la retraite, il m'a dit la chose suivante : « M. Voarino, l'affaire Ummo, c'est du pipeau ! » Bien évidemment, je n'en crois rien ; mais peu importe. Il a ajouté : « Ca s'est passé du côté de Tartonne. Nous avons trouvé une grotte avec le préfet ; c'était une grotte en béton dans laquelle on ne pouvait pas pénétrer ». Je lui ai répondu : « Mais M. Poher, est-ce que vous avez lu le livre où vous dites que la ferme que les Ummites ont visitée se trouvait à 4 kms de La Javie ? Tartonne est à 18 kms de La Javie ! Ca n'a rien à voir ! » Il a répondu : « Vous savez, on raconte n'importe quoi dans les livres ! » Source
Très curieusement, « I-Cube » s’exprime à ce sujet dans une note du 9 décembre 2010 :
http://infreequentable.over-blog.com/article-on-veut-que-je-publie-et-sur-ce-blog-64676249.html
Pour tous ceux qui sont intéressés par le dossier Ummo, je reprends ci-dessous ce texte.
Mais, en début de note, vous trouverez l’avertissement de « l’Invraisemblable Ignoble Infreequentable » afin que les lecteurs soient bien conscients que le monde qu’il évoque est imaginaire.
Bonne lecture
JCD
Bienvenue !
Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Invraisemblable Ignoble Infreequentable » !
Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet.
Certes, pour être « ignoble », Infreequentable écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques.
Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance !
Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite !
En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle !
Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…
Jeudi 9 décembre 2010
« On » veut que je publie et sur ce blog !
Complètement débile !
Faire de la « contre-ummisterie », à mon âge ?
Mais « on » ne sait pas que ça va me gâcher le reste de ma vie (que sur le coup « j’ »espère courte) à me tamponner 1.001 « croyants » qui vont venir assiéger mon pauvre petit « miroir sur l’extérieur » qu’est ce blog ?
« J’ »ai qu’à bloquer les commentaires.
Un, ce n’est pas mon genre ; deux, ça n’empêchera rien des commentaires dans « mon » dos ; trois, « je » n’ai aucune autorité ou compétence quelconque, même pas une once, pour paraître un tant soit peu crédible à ce jeu-là.
Autant pisser dans un violon en espérant qu’il en fera de la lumière ou un dos d’escalope de foie gras poêlé au vinaigre balsamique !
Et puis « je » suis désolé, mais il « me » reste bien plus intéressant de comprendre qui et pourquoi la planète est soudainement visitée par des « aliènes », quels qu’ils soient et quelles que soient leurs intentions.
Justement, comprends-« je » dans un éclair (pas forcément génial) : Ummo est un mythe.
S’il est endogène, ce n’est juste qu’une arnaque gentille, plus ou moins instrumentalisée par la suite.
S’il est exogène, c’est pour mieux cacher autre chose. L’arbre qui cache la forêt.
Dans cette hypothèse, il y a « manipulation » et qui dit manipulation dit intentions « opaques ».
Autrement dit, potentiellement dangereuses.
Euh… Pour qui ? Pour quoi ? Et… Pourquoi ?
Un « blanc » dans la nuit noire, de la part de mes « on » pour toute réponse.
« Je » crois que « je » me lève une fois de plus à ce moment-là, pour soulager ma vessie et vais pour retourner à mes rêves que « j’ »espère être érotiques : Ça compensera un peu, au moins.
Et voilà que le lendemain, « je » vaque apparemment à autre chose, vu les dates de créations de ces lignes sous Word…
« Je » rappelle que, pour « moi », c’est un « grand blanc », une sorte d’amnésie totale, de l’absentéisme d’un nouveau genre, celui de la mémoire active, à cette époque-là…
Alors, d’abord l’apparition de La Javie.
Désespérant de bon sens quand on fait une petite recherche sur le sujet, où l’on retrouve divers noms déjà précités.
Les « ummites » s'ingénient déjà à mêler des affirmations vérifiables à d'autres invérifiables qui bénéficient ainsi d'un préjugé favorable.
En racontant leur première descente sur Terre, le 28 mars 1950, ils décrivent très précisément les détails de l'atterrissage, sur un contrefort alpin voisin de la montagne du Cheval Blanc, à quelques kilomètres de la commune de La Javie, près de Digne.
Ces détails concernent la flore, la faune, la forme du terrain, et divers détails topographiques, proches ou lointains qui auraient dû permettre de retrouver l'endroit pour constater qu'ils n'avaient pas menti.
En particulier, ils ont donné un détail vérifiable n'importe où : La description d'une page du « Figaro » trouvée sur place.
On a quand même mis 25 ans pour penser à vérifier.
« Donne plein de détails invérifiables » eusse dit Le Vicomte de Villiers à son fils. « Ton histoire n’en sera que plus crédibles ».
Une vieille recette de romancier.
Mieux, sur les lieux de leur atterrissage, dans la galerie qu'ils ont creusée à 8 m de profondeur, les « ummites » disent avoir laissé une partie de leur équipement scientifique.
« Comme information intéressante nous vous dirons que l'historique galerie existe encore, renfermant à l'intérieur une partie de l'équipement scientifique d'origine qu'emmenèrent nos frères ».
Pour mieux permettre de retrouver le lieu de leur atterrissage, les « ummites » donnent divers renseignements topographiques et des indications sur les détails visibles du paysage, comme la cathédrale de Digne : « La forme anarchique des étranges constructions attira puissamment notre attention. Dans Digne apparaissait dominante, une étrange tour que nous sûmes bientôt correspondre à une ancienne Cathédrale Catholique de style roman du XIIIème siècle. »
Vérifiable, mais faux.
Il y a deux « cathédrales » à Digne. La cathédrale Saint Jérôme, qui a une tour, n'est pas de style roman, et « Notre Dame du Bourg », qui est de style roman, mais n'a pas de tour…
La lettre « ummite » originelle parle d'une cavité creusée artificiellement, sur un contrefort alpin d'où on voyait la vallée de la Bléone et la montagne du Cheval Blanc.
Mais les ufologues ne se basèrent pas sur les textes originaux pour leur recherche : Ils cherchèrent opiniâtrement ce que disait la rumeur.
Est-ce la puissance évocatrice de ce nom qui a égaré une génération d'ufologues ?
Toujours est-il que toutes les recherches furent systématiquement faites du mauvais coté de la vallée
« Nous avons appris que des manœuvres militaires ultrasecrètes, (puisque les administrations municipales n'ont même pas été averties à cette occasion,) ont eu lieu justement dans la montagne du Cheval Blanc et que les curieux étaient impitoyablement écartés à ce moment là. Cela « prouve sans l'ombre d'un doute » que l'on recherchait cette fameuse galerie qui a été probablement découverte avec les moyens sophistiqués et autres radars que possède l'Armée »…
Autrement dit, la preuve que l'armée a trouvé la fameuse galerie, c'est qu'on n’a entendu parler de rien !
Jacques Vallée partit en expédition en 1974 avec Fernand Lagarde et Aimé Michel (qui était de la région). Il emportait un dessin d'une zone de la montagne où le « voyant » Pat Price pensait avoir décelé une caverne. Suivant la route jusqu'au bout, ils arrivèrent jusqu'à un hameau à flanc de montagne. Ils ne trouvèrent rien.
« Nous parlâmes aux habitants d'un hameau accroché au flanc de la montagne, où la route s'arrêtait. Ils n'avaient jamais entendu parler de cavernes dans la région. »
Ce n'est qu'après avoir découvert la supercherie de San José de Valdéras que les ufologues espagnols du « groupe U3 », de Barcelone, qui commençaient à avoir de sérieux doutes, montèrent une expédition à La Javie. Ils grimpèrent sur la montagne du Cheval Blanc et furent surpris de ne pas voir ce que les « ummites » avaient décrit.
C'est un peu comme si un touriste s'étonnait de ne pas découvrir la Tour Eiffel dans le paysage parisien qu'il observe...
Les ufologues espagnols publièrent leurs conclusions, et titrèrent dans leur bulletin, « Les impostures d'Ummo ».
Les « ummites » auraient pu divulguer les coordonnées exactes de leur lieu d'atterrissage (avec un petit GPS qui n’existait pas alors, on ne leur en veut pas eux qui voyagent sur des milliards de km…), mais ils gardèrent le secret, et laissèrent les ufologues chercher.
C'est dans leur logique de l’administration d’une preuve irréfutable, bien évidemment.
Claude Poher, lui, étudia la carte. Les « ummites » déclaraient s'être posés en un point situé à 13 km de Digne et 8 km de La Javie. Il lui suffit d'un compas, pour trouver le lieu présumé : Le col de la Cine, qui est effectivement situé près du Cheval Blanc.
Mais de ce col, on ne voit pas plus de cathédrale de Digne que de tour Eiffel.
Plus sérieuses furent les recherches menées par Jean-Pierre Petit. Son ami Maurice V. eut même l'excellente idée de monter sur la tour de la cathédrale, pour voir quels points hauts du relief étaient en vision directe. Mais de là haut, on ne voit pas la montagne du Cheval Blanc.
Jean-Pierre Petit fit plusieurs expéditions sur les points hauts de la région, en comparant les détails du panorama avec ceux décrits par les « ummites ».
Premier suspect : Le sommet de Pompe.
On voit une cathédrale, une cathédrale romane, Notre Dame du Bourg, mais ce n'était pas la bonne, pour ne pas avoir « l'étrange tour » décrite par les « ummites ».
Mais peut-être que les deux distances indiquées n'étaient valables que depuis le point fixe que les « ummites » avaient fait à 7.336 m au-dessus du sol.
Le calcul indique alors la crête de la Blache comme point idéal.
Et cette fois, on voit la cathédrale de Digne, avec sa curieuse tour.
Mais, mais… Tout le monde à faux dans la mesure où aucune des localisations présupposées ou post-calculées ne satisfait toutes les exigences du problème ! À savoir :
1) C'est un contrefort alpin près du Cheval Blanc.
2) Son altitude probable est de 1.664 m.
3) Le pic du Cheval Blanc.
4) La vallée de la Bléone.
5) Le village de La Javie.
6) Le Bès, à moins que les « ummites » n'ait confondu avec l'Arigeol, plus proche.
7) La cathédrale St-Jérôme, à Digne.
8) Le chemin de fer.
9) D'humbles demeures à 1,3 et 1,9 km.
10) Une ruine prismatique à 200 m.
De ces dix conditions, seule la crête de la Blache en remplit à peine huit, alors que le sommet de Chappe, de l'autre côté de la vallée, les remplit toutes les dix : Or, ce n’est pas ce qui est dit avec insistance par les lettres « ummites ».
Par ailleurs, et en lisant attentivement le texte « ummites », on y trouve des erreurs :
1 – Digne n'est pas proche de la Suisse, mais de l'Italie.
2 – La précision de l'altitude du point fixe jure avec les distances arrondies au kilomètre.
Mais tout s'expliquerait s'il s'agissait d'une différence entre l'altitude réelle et l'altitude du sol.
On aurait alors un point fixe à 9 km au-dessus d'un sol à 1.664 m d'altitude.
Avec un petit travail de recoupement, il est évident que du col de la Cine on ne peut voir la ville de Digne : La carte montre clairement qu'elle est cachée derrière des contreforts plus élevés de 300 m que le col. Donc, le lieu exact se trouvait là où personne n'a cherché : Sur l'autre rive de la Bléone !
Bref, un « beau mensonge » qui ne fera que raviver le « mythe » et renforcer ses partisans qui y voit « une preuve » de la démarche : Un peu, mais pas trop, mêlés avec beaucoup invraisemblances !
Le cerveau reptilien et son cortex feront le travail de « refondation » avec autant de contradictions…
Pour « ma » part, « j’ » arrête là : C’est « fouzy n’importe quoi » (du verbe « foutre », accolé à « z’y », genre « dis-z’y ce que tu veux, ça ne changera pas la face de l’univers ! » Un truc dans lequel nos politiciens habituels et rémunérés fort cher depuis bien longtemps sont presque tous passés maîtres…).
J’aime bien relire ainsi la presse parue lors de « mon évanouissement » et de citer l’inénarrable « Barre-oint » avec son fameux « Moi j'ai toujours pensé qu'une société transparente, c'était une société totalitaire ».
Alors qu’est-ce qu’une société « totalement opaque » ? Une démocratie avancée, peut-être ?
Il faudra que « j »’y revienne.
I-Cube
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