Vous découvrirez sur ce site quelques amusantes blagues Kameulf disponibles sur le site de « I-Cube », I-Cube pour « L'Invraisemblable Ignoble Infreequentable ».
Ces plaisanteries concernent souvent les Ummos, des expéditionnaires d’une civilisation galactique qui sont en mission ethnologique sur Terre.
Vous pouvez découvrir les lettres ummites, les lettres expédiées par ces voyageurs de l’espace, sur ce lien:
Il y a beaucoup à dire sur le dossier UMMO et c’est d’ailleurs ce que fait « I-Cube » dans ses « Conversations…exotiques » :
http://infreequentable.over-blog.com/categorie-11743424.html
Je mets en ligne la deuxième « Conversation exotique » de « I-Cube » avec ses « on »…
Bonne lecture.
JCD
………………
Je reprends la présentation du « Blog » de « l’Invraisemblable Ignoble Infreequentable » afin que les lecteurs soient bien conscient que le monde qu’il évoque est imaginaire…
Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Invraisemblable Ignoble Infreequentable » !
Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet.
Certes, pour être « ignoble », Infreequentable écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques.
Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance !
Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite !
En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle !
Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…
................
Mardi 7 décembre 2010
Il n’y a vraiment qu’une seule chose qui les intéresse
Et ce n’est pas mes petites mesquineries de blogueurs qui les arrêtera. C’est le cycle Ummo et rien d’autres. Alors que moi « j’ »aimerai bien savoir qui m’a poussé à écrire « Kameulf », à quoi ça ressemble et pourquoi mon « subconscient » me joue des tours pendables à m’en rendre malade au plus mauvais moment de ma vie psychique.
« J’ »avais des « nœuds » à assumer, « je » me retrouve avec des montagnes d’entremêlements à la recherche d’un « fil rouge » très hypothétique !
Comment, chez une espèce qu’ils considèrent comme « intelligente » mais dont ils n’admirent franchement que la capacité d’imagination et de création « artistique », qu’ils n’ont pas aussi développée, manifestement, peut-elle se laisser « piéger » par quelques artefacts manipulateurs ?
« Faut dire que les OVNI et autres UFO qui viennent visiter la planète, ça met un peu en émois l’intellect de quelques-uns » avance-« je » imprudemment…
« Et alors ? On ne peut plus faire du tourisme ? » (Ou quelque chose d’approchant…)
Si encore ça pouvait développer l’artisanat local, mais même pas. « J’ »apprends dans la foulée que « les contacts doivent être strictement limités et réservés à de la recherche scientifique » ou un « truc » semblable ou équivalent.
Si « j’ »admets ne pas être complètement cinglé à me parler à moi-même, qu’est-ce que vous foutez dans mon esprit à m’en gâcher mes nuits de sommeil ?
Grand silence.
Le coup d’après c’est quelque chose comme : « C’est pas pareil ! » Noooooooon ! Bien sûr !
Et qui en fait les frais en attendant ?
Mais ça ne les émeut pas, mes « on », ce genre de problème.
« Tu devrais manger moins, boire moins et arrêter de fumer ! »
On dirait ma mère, là, sur le moment.
Trop jeune pour faire régime toute ma vie restante, me priver de nicotine à pas cher, et de toute façon, si ça doit abréger mon « rab » et expulser mes « on », un peu que « je » vais redoubler de comportements déviants !
« Le polonium 210 des feuilles de tabac fait des ravages en transitant durant 15 jours dans tout ton corps avant que d’être expulsé par tes urines. Et ça trouble l’écoute ! »
L’écoute de quoi ?
« On » me fait remarquer que quand « je » fume, « j’ »ai soif un peu après. Et quand « je » bois, « je » pisse.
Bon. Exact et après ?
C’est bon pour les « messages », mais la radioactivité induite trouble l’écoute, même si ça permet une « identification » (ce n’est pas tout-à-fait la notion exprimée, il manque le mot « récupération » ou quelle que chose d’approchant) plus facilement.
« Et puis les goudrons encrassent tes poumons. Tu finiras par ne plus pouvoir respirer normalement ! »
Genre, apprends-« je » dans l’instant (enfin, plutôt prends-« je » conscience… Charnellement, presque, en dialogue, en symbiose avec toutes ces petites choses qui font « moi »), que mes milliards de petites cellules ont besoin des réactions d’oxydation avec les autres composants de mon organisme pour continuer d’être « animées » à travers leurs réactions nanométriques et chimiques…
Comme si « je » ne savais pas déjà ça, au moins dans les grandes lignes !
Mais « animées » au sens de la conscience de soi, semble-t-il. Là, ça me dépasse.
Que « j’ »en crache déjà pas mal, par sinus encombrés, me rappelle-« je » sur le moment.
Et puis, « on » me fait savoir que « j’ »ai une infection dans la dent de sagesse de droite, en haut.
« Ah oui ok ! Comme ça, « je » vais pouvoir dégager plus vite, si je persiste à ne pas soigner ça », autrement qu’avec de la poudre de perlimpimpin.
Que du coup, « on » semble contrarié.
« On s’en occupe. »
Grrrr !
« Avant, il faut démonter ce mythe ! »
« L’ummonerie » serait donc un mythe. Mais qu’en ai-« je » donc à cirer, « moi » ?
M’en tamponne complètement, des ummoristes !
Bé, pas eux, mais « je » ne saurai pas pourquoi…
Et de comprendre que le besoin de « croyance » est inné à la matière vivante du cycle carboné. Autant celle de la silice est plus proche de la matière inerte et est moins sujet à ces échafaudages cognitifs hautement spéculatifs, autant le carbone représente bien un « puits de densité » (spéculatives) qu’on ne retrouve pas non plus dans d’autres éléments plus légers.
Ou quelque chose comme ça, crois-« je » comprendre.
Une spécificité qui comble l’étroitesse des raisonnements, de la connaissance (et de l’apprentissage).
« C’est un raccourcis de l’esprit quand il ne peut pas tout déduire de son environnement. »
« On » m’avait déjà dit que ça venait du cerveau reptilien. « On », le « deuze » semble confirmer.
Et « je » comprends tout d’un coup ce qu’ils voulaient dire une des nuits précédentes…
Fournir un « modèle de perfection » exotique à des humains, forcément leur esprit le rendra fécond jusqu’à en faire un corpus religieux, un nirvana à atteindre dès lors qu’on le met à leur portée.
« Dis donc, et mes posts du mois d’août 2008, c’est encore une ânerie de votre part ? » pense-« je » furieusement sur le moment.
« Une incongruité ! » (ou quelque chose d’équivalent…)
Alors que « je » reste persuadé qu’il s’agit d’un piratage totalement humain et que « j’ »en ai deux suspects en ligne de mire depuis l’été dernier (2010), dont un finira bien par cracher le morceau.
Ce n’est pas le sujet du moment, car « l’incongruité » explique le renfort de « On un » par « On deux », qui n’a pas d’explication à donner.
« Vous avez mis le temps ! Plus de 30 mois ! »
Que sais-« je » de l’écoulement du temps, au juste ?
Euh, sur le moment, que ça va du passé vers le futur en passant par l’instant présent, qui est déjà du passé alors que l’avenir s’y engouffre à son tour…
Reste « l’ummonerie ». « Comptez pas sur moi pour aller jouer les enquêteurs ! Puisque je suis encore en vie, faut que « je » puisse croûter, ce qui veut dire bosser comme un dératé sur cette foutue planète ! »
Ils en sont bien conscients et me laissent reprendre le cours normal de mes rêveries nocturnes.
Pourtant l’idéal, selon eux, ce serait quand même de prendre connaissance des lettres-ummites : Chaque chose laisse des traces. Et chaque trace est une signature en soi.
Soit ! Mais « je » ne vais pas y perdre ma jeunesse : Ce n’est décidément pas mon problème.
Peut-être me faire aider ?
Mais par qui, Grand Dieu ?
« J’ »ai déjà tellement de choses à finir de faire…
Et puis ce qui m’intéresse, « moi », à part les femmes, la bouffe et les boissons, pour ce qui est des ovnis, ce sont les visiteurs éventuels… N’y a-t-il pas un inventaire quelle que part ?
« Ça existe. Mais de toute façon, les « visiteurs exotiques », (sous-entendu « matériels » dois-« je » comprendre, qui peuvent s’appréhender avec nos sens et instruments de terriens), c’est par période, en fonction des plis et des passages ouverts ou non ! »
Les « plis »… de l’espace ?
Pas de réponse.
Quels passages ?
Pas de réponse.
Et qu’est-ce qui empêcherait les Ummos de s’en servir ?
« Ils ne savent pas. En revanche, d’autres savent et peuvent se faire passer pour eux. »
Et pour l’essentiel, c’est le fait de machines, actuellement, crois-« je » comprendre sans qu’« on » ait besoin de me le préciser : Apparemment plus simple, plus facile et moins dangereux.
Moins dangereux pour qui et pour quelle raison, mystère…
Ce qui semble les intéresser le plus, c’est d’identifier ce qui relève de la « machinerie » de l’intelligence artificielle (pour avoir été créé par une « intelligence naturelle », ou un truc approchant) à distinguer des visites autorisées (celles sans contact ou à des fins « scientifiques »).
Et « je » fais ça comment, « moi » ?
« Moi » qui n’ai aucune culture scientifique, comment « je » mets fin à ce délire de mes « on » ?
Et pourquoi moi, au fait ?
« Une opportunité ! »
La deuxième fois que « je » n’en saurai pas plus.
M’énervent !
Et le jour suivant, « je » retrouve assez facilement les textes ummites regroupés sur un site que « je » parcoure à l’allure de la molette de la souris et des clics successifs sur la table des matières.
Sans vraiment lire (il y en a déjà pour des plombes à jouer de l’index main-droite, alors lire et comprendre, il ne faut même pas y penser !) espérant que les « on » soient capables d’enregistrer sans que « j’ »ai à surcharger mon « pauvre et unique neurone » déjà mal en point.
Pas de verdict immédiat, mais seulement à l’occasion d’une des « nuits agitées » suivantes, « me » semble-t-il (en fait, « je » ne sais plus dans quel ordre…), une réponse.
« Fumisterie » ! En fait, pas tout-à-fait. Le bon qualificatif serait plutôt « intéressant », pas quant au fond, mais quant au mécanisme de la montée en puissance du mythe…
Ah ?
Et comment ça ?
Il suffit de partir d’une « blague », de lui donner un semblant de mystère, de l’ancrer dans quelques réalités méconnues, et l’imagination du cerveau reptilien, épaulé par le néocortex fait le reste. C’est en ça que c’est intéressant.
La question que « je » me pose c’est alors, par qui, pour quoi, comment et est-ce que « on » n’est pas en train de me faire la même chose ?
« « On » ne fait que passer ! », genre, « on » ne va pas rester éternellement dans « cette pauvre épave » que constitue mon corps-à-moi, support provisoire de ce qui me reste d’intelligence et d’âme…
Merci pour « l’épave » !
Et « je » comprends aussi sec, qu’au moment de mon « invasion » par « on un », « j’ »étais plus jeune et que jamais « on » aurait pu imaginer que « je » me transforme ainsi de la sorte.
Bé, si « j’ »avais dû faire un régime dès mon plus jeune âge, « je » me serai sans doute déjà suicidé plusieurs fois, pense-« je » sur le moment en réponse…
Ça ne ricane pas vraiment en retour, mais « je » ressens comme de la perfidie… Et « on » me laisse me rendormir tranquillement.
Cette nuit-là, « je » rêve de mon « papa à moi », celui qui me fait encore frémir (et non plus pleurer) quand « je » l’évoque. Il me demande si « je » suis heureux.
Ouiiiiiiii, tu parles !
« J’ »ai passé « mon cap », celui de mes nœuds en rapport avec son décès, et l’écriture romancée et vengeresse de mon roman d’été est en route, mais ça va être plus long que je ne le pensais pour le terminer : C’est que « j’ »en mélange des choses pour retomber sur mes pieds au final !
« J’ »ai d’ailleurs commencé par un bout de la fin : Le prix d’« une balle. Pas plus ! » Que Paul tire d’abord sur le Professeur Risle, en pleine tête qui explose sous l’impact dans son casque, puis le pilote de l’hélicoptère tente de sortir une arme. Paul recule vivement de quelques mètres, se retourne et tire sur la turbine qui explose au nez du crépuscule avançant, dans un vacarme épouvantable et un enfer de feu précédant le « blast » qui va le renverser…
Et voilà que le lendemain, « je » me retrouve une fois de plus confronté au phénomène UFO et Ummite.
Ummite, ce n’est pas compliqué, il y a un site dédié ai-« je » déjà dit.
En furetant sur la toile, « je » crois comprendre – mais ne me trompe-« je » pas ? – que ces dizaines et dizaines de textes ont été mises en ligne par quelques « allumés », plus ou moins « contactés ».
« Je » cite en vrac (et pas tous) : Jean-Pierre Petit, qui persiste à donner des conférences sur la MHD à travers la planète, autrement dit, comment expliquer le comportement bizarre d’OVNI supersonique sans « bang » associé.
La MHD apporte la réponse.
« Je » sais par ailleurs, que la MHD, ça marche sur les avions, notamment le « B2 » américain (il a fallu que je me renseigne auprès du Capitaine de frégate Paul de Bréveuil pour inclure ces informations dans le roman de l’été prochain) et sur les bateaux.
Les japonais font se balader un aviso léger sans pièce mobile, rien qu’avec de gros aimants !
Vitesse de pointe : 5 nœuds ! À la voile, les clippers de « l’ami-râle » iront plus vite…
Il reçoit même une lettre ummite (NR-19, non disponible) postée de Ryad en 1992… non authentifiée (par quelle « autorité auto-sachante », au juste ?)
Bref, il en a fait des bouquins et s’inscrit maintenant en faux pour se considérer complètement dépassé par le phénomène…
« On » me dit que c’est intéressant, mais que ce n’est pas un mode de déplacement. Juste une façon de s’exempter des contraintes de la mécanique des fluides, ose-« je » quémander ?
Pas de réponse…
Jean Pollion : Vous l'aurez deviné, c'est un (joli) pseudonyme par inversion d’initiale (toujours actif même qu’il en change…).
Ce monsieur n'est pas linguiste (mais un « brillant » cerveau de « Gauloisie éclairée »), qui a entrepris de rédiger un ouvrage en 2002 (UMMO : « De vrais extraterrestres ») dans lequel il prétend restituer le langage ummite et sa prétendue cohérence à partir des mots transcris phonétiquement dans ses lettres.
Il définit la notion de « soncept » autrement dit l'association d'un son à un concept...
Ça fait plus sérieux et même très « scientifique ».
Or, leur « code », c'est à peu près du même niveau que les prétendus codes cachés de la bible, aux idéogrammes chinois ou japonais et ça ne ressemble à rien mais ça se vend très bien.
« Faudrait avoir des cordes vocales, pour que ça marche » me fait-« on » remarquer.
Ah ? Parce qu’on peut aussi vivre sans air, « par ailleurs », chez les Ummos ?
Pas de réponse…
Agaçant !
Claude Poher : Chercheur fonctionnaire-scientifique, qui nous a laissé la théorie de « l’Universon » pour être un « trouveur émérite » et contesté, autre explication des voyages extra-planétaires à vitesse hyperrapide, trouvant la réponse à la question posée de savoir comment se prendre des accélérations phénoménales sans être aplati comme un feuillet d’or sous le maillet d’un fondeur au fond de son fauteuil et surtout, « ravitailler » en permanence dans un voyage de plusieurs dizaines d’années-lumière sans décélérer pour refaire les niveaux.
Il paraît que ça marche, même qu’on n’a pas encore su faire.
Notez au passage, que les croquis des vaisseaux ummistes, font état de la présence de liquide antigravitation dans les soutes, n’est-ce pas…
Donc rien à voir avec l’Universon.
« D’autant que c’est débile. » Pas tout-à-fait comme ça que « On » l’exprime.
Disons plutôt que c’est « arcahïque ».
Et je crois comprendre que dans un « champ fermé » (de ceux qui glissent sur les champs plus vastes des géodésiques des champs gravitationnels ?), tout ce qui est « dedans » ne subit aucune accélération.
André-Jacques Holbecq : Un ancien pilote de Concorde de chez « Air-transe » (la même boutique qui faisait voler deux fois moins vite « l’Ami-râle »), qui met en forme le site dédié aux ummites.
Un gros boulot.
C’est l’altermondialiste inspiré qui avec d’autres pro font dans « l’écolosociétalisme ».
Je vous laisse découvrir.
Ou « Michel », celui qui vient de temps à autre commenter jusqu’ici, vous expliquera ce « futurisme » de notre vie idéalisée d’humain, plus ou moins inspirée par les lettres-ummistes…
Mais ce n’est pas tout.
Parce que « l’ummisme », c’est un vrai roman qui s’étale sur six décennies, qui démarre à Madrid dans les années 50 et continue d’emballer les ufologues de toutes nations et générations, avec des hauts et des bas, jusqu’à en faire de vrais sectes (notamment au Chili), genre « Temple solaire », autour des « crops circles » locaux.
Vous en verrez de très jolis en faisant une petite recherche sur « Gogol-fantastic »…
Même les potes de « l’ami-râle » s’y fourvoient à prendre des vessies pour de lanternes…
Ah ?
Re-silence, sur le coup.
« J’ »attends la nuit suivante, espérant qu’« on » va me lâcher la grappe, maintenant.
I-Cube
Texte original sur :
http://infreequentable.over-blog.com/article-sont-tetus-mes-on-64290337.html
Bé !
Si vous commencez à démonter l'ummisterie, vous n'allez pas vous faire que des amis !
Parce qu'il y en a des posts qui vont nourrir votre ambition.
Notez quand même, qu'en ce qui me concerne, je persiste à n'y rien comprendre de toutes ces "conversations exotiques".
Et ce n'est pas le moindre des paradoxes !
Rédigé par : I-Cube | 04 mai 2011 à 09:44