Sélection et éducation de groupes d’extraterrestres dans nos universités.
Ainsi, nous devrions recruter des « Bonobos » qui possèdent les capacités intellectuelles nécessaires pour comprendre nos paradigmes scientifiques, philosophiques et spirituels. La recherche de ces « Bonobos » particulièrement intelligents se ferait à une période relativement précoce de leur évolution technologique, c'est-à-dire plusieurs siècles avant le développement des armes nucléaires.
Nous utiliserions nos drones insectoïdes capables d’évaluer toutes leurs facultés, mentales, intellectuelles, mais aussi celles concernant l'affectivité et la structure neuronique des « Bonobos » que nous choisirions. L'étude serait réalisée par l'évaluation d'une série de fonctions biologiques portées par les champs électrostatiques et magnétiques créés par le système nerveux du sujet et qui remplacerait avantageusement nos vétustes électro-encéphalogrammes.
Des sujets retenus, nous connaîtrions l’intelligence, le degré d'empathie, les tendances à la soumission, les capacités analytiques, le degré d’abstraction, la rapidité d’esprit, le degré de concentration et de disponibilité, la créativité, la rapidité pour prendre des décisions, le degré de résistance émotionnelle, la force musculaire, la résistance à la fatigue, la capacité au commandement, etc…
Nous choisirions de capturer des « Bonobos » isolés dans la nature alors qu’ils seraient confrontés à des conditions climatiques extrêmes, sans réserve de vivres, et condamnés à mourir rapidement de faim ou de soif. Cette sélection permettrait de ne pas modifier l’évolution de cette planète car les éléments choisis seraient sur point de mourir d’épuisement et nous ne ferions que les sauver d’une mort certaine. Cet épisode serait filmé de façon à ce que leurs descendants connaissent leurs ancêtres et réalisent les dramatiques conditions de vie qui ont concourues à l’abduction.
Sur notre planète, la Terre, nous devrions préparer un territoire pour les recevoir et sur lequel ils retrouveraient un environnement connu, avec l’inévitable champ de bananes. L’établissement de la colonie serait long, laborieux, parfois éprouvant, mais nous aurions choisis des spécimens particulièrement intelligents qui finiraient par s’adapter.
Au bout de quatre ou cinq générations, les descendants des « Bonobos » abductés seraient totalement accoutumés à la Terre, parleraient notre langue, seraient diplômés de nos universités et pourraient même participer à nos voyages spatiaux, quoiqu’il soit possible que des mutations génétiques commencent à séparer progressivement ce groupe des « Bonobos » de ceux qui sont restés sur leur planète.
Ils auraient atteints les niveaux scientifiques et culturels demandés pour être en mesure d’influencer l’évolution de leur planète, si cela devait s’avérer nécessaire.... Ils seraient totalement autonomes et capables de prendre les commandes d’un de nos vaisseaux spatiaux, de mener une exploration, de pouvoir organiser des opérations destinée à améliorer progressivement le réseau social de leur planète d’origine s’ils l’estiment nécessaire, et ceci tout en respectant notre éthique, qui serait aussi la leur…
C'est-à-dire, qu’en fait, ils feraient partie de l’élite de nos universités, et seraient totalement intégrés à notre civilisation.
Ils maîtriseraient l’ensemble de nos concepts scientifiques, économiques et spirituels mais garderaient un attachement et des réflexes de « Bonobos » par une immersion culturelle sur leur planète pendant leur formation. Leur lieu d’affectation galactique serait leur planète, qu’ils surveilleraient pendant plusieurs décennies. Cette surveillance serait particulièrement éprouvante pour eux, car ils auraient beaucoup de mal à supporter le niveau de barbarie de leurs congénères.
Mais, parfois, certains feraient le libre choix du retour et de l’installation définitive sur leur planète d’origine pour y être médecin, psychologue, religieux, scientifique, ou diplomate…
Il y a aussi d’autres possibilités comme d’inviter de jeunes « Bonobos » pour quelques années de formation dans une des bases que nous aurions établies sur leur planète, dans des lieux inaccessibles, ou bien encore en orbite.
Puis, au moment où cette planète de « Bonobos » parviendrait à s’équiper d’armes nucléaires, ils mettraient au point une stratégie d’influence progressive des pouvoirs civils, militaires et religieux en place, sans malgré tout en prendre le contrôle car cela serait alors une tyrannie – donc un échec.
Toute action de leur part serait destinée, avant tout, à améliorer la liberté des « Bonobos », à développer leur libre-arbitre, à améliorer le fonctionnement démocratique de leur société, à développer les droits des « Bonobos », à instituer une répartition équitable des richesses, etc…
Ceci ne pourrait être fait que lorsque le niveau technologique de la planète des « Bonobos » serait relativement élevé.
Un réseau de communication comme Internet devrait être disponible afin de permettre une diffusion rapide des nouveaux paradigmes scientifiques qu’il leur restera à découvrir et qui permettront de découvrir de nouveaux moyens de production d’énergie, illimitée et non-polluante.
A suivre…
jcd
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