La possibilité d’un contact extraterrestre ne doit pas faire oublier que le plus important est avant tout la recherche astronomique et que toute approche sur la vie extraterrestre, et les OVNI, ne peut être faite qu’avec une bonne connaissance en astronomie.
Il faut en effet avoir un minimum de connaissances scientifiques, suivre l’évolution des découvertes astronomiques, et pratiquer l’observation astronomique pour ouvrir progressivement sa conscience à l’infini et aux merveilles du Cosmos.
D’ailleurs, il me semble souhaitable que chaque village de France ait son petit observatoire astronomique de façon à ce que nos petits, les écoliers, et les lycéens, puissent pratiquer d’une façon concrète l’astronomie au sein d’une association.
Cela ne couterait pas bien cher – le prix d’une voiture – et satisferait la curiosité que manifestent nos enfants, dès le plus jeune âge, pour tout ce qui touche à l’observation du ciel.
Et il y aurait, de plus, de nombreux volontaires pour encadrer ce type d’activité qui attire les jeunes, mais aussi nos anciens…
Mais, une autre façon, tout à fait complémentaire, est d’être abonné à une revue astronomique comme « Ciel & Espace » :
Il faut avouer que je ne m’attendais pas à trouver une telle page de couverture pour le « Ciel & Espace » du mois de juillet 2010.
Un Extraterrestre à la une !...
Incroyable mais vrai…
Les rédacteurs de « Ciel & Espace » auraient-ils été approchés par des « Visiteurs » ?...
En attendant d’en savoir un plus sur la nouvelle approche de « Ciel & Espace » sur les ET, je me permets de mettre en ligne le début de la nouvelle de Laurent Genefort que vous trouverez à la page 58 de cette surprenante édition.
« Ciel & Espace » est disponible dans les Maisons de la Presse et autres points de vente publique.
Vous pouvez aussi vous abonner sur :
L’abonnement est fortement recommandé pour avoir un suivi de l’actualité astronomique
Bonne lecture à tous.
Jean-Charles Duboc
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CHAPERON
Une Fiction de Laurent Genefort
« Ce n’est pas possible », dit Méarc41698732, et par ces quelques mots, il s’attira l’attention de ses collègues présents dans la salle d’étude. Car jusqu’à aujourd’hui, sur l’échelle de l’émerveillement, il n’avait jamais été au-delà d’un « c’est vraiment bizarre » dubitatif.
Méarc41698732 appartenait à l’espèce qui se nommait elle-même les Vultiples : une espèce immensément ancienne et immensément étendue, et par-là immensément commune. Les Vultiples avaient commencé leur expansion interstellaire trois quarante mille ans plus tôt, et continuaient lentement de s’étendre à travers trois de quatre bras de la galaxie spirale où ils étaient nés. Ils avaient stabilisés définitivement leur génome, de sorte qu’ils n’évoluaient plus depuis lors. Ceux qui avaient suivi la voie de l’évolution avaient formés des rameaux secondaires ; la plupart n’avaient pas duré, mais les Vultiples, eux, perduraient et formaient la toile de fond de la société galactique. Ils vivaient pacifiquement dans de vastes ruches de cent milliards d’individus, reliquat de leur lointain passé d’insecte social. Méarc41698732 faisait partie de la subespèce des Archéos, dévolue à l’étude des civilisations disparues de la galaxie...
La suite dans la revue « Ciel et Espace » de juillet 2010.
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