Les OVNI observés dans l’atmosphère terrestre et qui présentent un aspect de « machine volante », aux performances stupéfiantes, sont très vraisemblablement des engins pilotés par des visiteurs extraterrestres ou bien encore des drones d’exploration envoyés par des civilisations plus avancées que la nôtre.
Mais nous devons admettre que les engins que nous construisons actuellement sont la première étape vers le voyage galactique et que toutes les espèces qui surveillent la planète sont passées, elles aussi, par cette phase initiale de la conquête spatiale.
Si ce blog aborde le développement d’une nouvelle science politique « l’Exopolitique », qui essaie d’anticiper les conséquences d’un contact avec une civilisation extraterrestre, nous devons malgré tout rester en contact avec la réalité et savoir apprécier les extraordinaires efforts technologiques déployés depuis des décennies pour faire nos premiers pas dans l’espace.
Et la plus fantastique de ces réussites technologiques est la navette spatiale, dont six exemplaires ont été construits depuis 1976, et je tiens ainsi à faire une note pour rappeler cette aventure et les exploits de ces héros modernes (et inconnus) que sont les astronautes.
Je reprends un article de France 24 / AFP (11 mai 2009) en ajoutant quelques vidéos.
La navette américaine Atlantis, avec sept astronautes à bord, a été lancée avec succès lundi vers Hubble pour une dernière mission attendue et risquée de réparation et modernisation du premier télescope spatial qui a révolutionné l'astronomie.
Vidéo du décollage dans le cockpit - Vol STS 118
Atlantis a pris son envol au dessus de l'Atlantique comme prévu à 18H01 GMT (14H01 locales) depuis le Centre spatial Kennedy près de Cap Canaveral (Floride, sud-est) dans un ciel bleu parsemé de nuages.
"C'est une belle journée pour voler et de la part de toutes les équipes de préparation du Centre spatial Kennedy et du télescope Hubble, je vous souhaite bonne chance et bon vent pour cette grande mission et nous vous reverrons dans onze jours", a déclaré à l'adresse de l'équipage Mike Leinbach, le directeur du lancement quelques minutes avant le décollage. "De la part de l'équipage, je vous remercie de tout cœur", a répondu le commandant de bord d'Atlantis Scott Altman.
Atlantis a atteint l'orbite terrestre en huit minutes et demi. Les deux fusées d'appoint, qui assurent 80% de la poussée peu après le lancement, se sont séparées comme prévu deux minutes après le décollage pour retomber dans l'Atlantique où elles seront récupérées. Peu avant d'atteindre l'orbite à 225 kilomètres d'altitude, le réservoir externe s'était détaché avant de se désintégrer en retombant dans l'atmosphère.
Spectaculaire : décollage de la navette avec prise de vues vers le bas !...
Atlantis va maintenant poursuivre son ascension pour un rendez-vous avec Hubble à 563 km d'altitude --soit quasiment deux fois celle (350 km) de la Station spatiale internationale (ISS)-- mercredi en début d'après-midi.
Les manœuvres d'approche pour atteindre le télescope de 12,5 tonnes doivent commencer à 11H41 GMT. "Si nous réussissons (cette mission), Hubble sera plus puissant et plus robuste que jamais et fonctionnera encore au moins jusqu'en 2014", avait expliqué récemment Ed Weiler, directeur des missions scientifiques à la Nasa.
Hubble sera pleinement opérationnel en attendant l'arrivée en 2013 de son successeur, le James Webb Space Telescope, capable de remonter jusqu'au "Big bang" qui a marqué la naissance de l'univers il y a 13,7 milliards d'années.
Vidéo du départ de la navette Atlantis
Au cours de cinq sorties orbitales de 7 heures chacune, les astronautes vont procéder à de multiples tâches dont certaines nécessitent des techniques de haute précision. Ils vont remplacer les six gyroscopes de Hubble, ses six batteries, sa protection thermique, son système informatique de secours et installer deux nouveaux instruments, le spectromètre des origines des rayonnements cosmiques (Cosmic Origins Spectrograph ou COS) et une caméra à champ large (Wide Field Camera 3). La puissance d'observation et de découverte de Hubble va ainsi être multipliée de dix à 70 fois.
Le télescope spatial Hubble
Le télescope Hubble, fruit d'un long travail de recherche entre la NASA et l'Agence spatiale européenne, a été lancé le 24 avril 1990 par la mission STS-31 de la navette spatiale Discovery.
Le télescope a été visité cinq fois par des astronautes opérant à partir de navettes spatiales afin de corriger les défauts de fonctionnement et d'installer de nouveaux équipements. De plus, en raison du freinage atmosphérique, le télescope perd lentement de l'altitude (et gagne de la vitesse). On profite donc de chacune de ces visites d'entretien pour replacer le télescope à une orbite plus haute à l'aide de la navette.
La mission d'entretien 1 (STS-61), en décembre 1993, a installé plusieurs instruments et d'autres équipements. Les plus importants du point de vue astronomique étaient : COSTAR, un ensemble de cinq miroirs correctifs ; et WF/PC-II, une version améliorée de caméra à champ large qui incorporait également un système de correction optique. Le 13 janvier 1994, la NASA déclara que la mission était un succès total et montra les premières nouvelles images qui étaient beaucoup plus nettes.
La mission d'entretien 2 (STS-82), en février 1997, remplaça le spectrographe haute résolution et le spectrographe pour objets faibles par un nouveau spectrographe et ajouta une nouvelle caméra infrarouge couplée à un spectrographe multi-objets (Near Infrared Camera / Multi-Object Spectrograph, NICMOS).
La mission d'entretien 3 A (STS-103), en décembre 1999, remplaça des gyroscopes et les senseurs de guidage précis qui étaient devenus défectueux et un nouvel ordinateur fut installé.
La mission d'entretien 3B (STS-109), en mars 2002, a permit de réparer et d'améliorer plusieurs pièces, mais en exigeant des sorties prolongées et délicates dans l'espace. Les opérations effectuées furent :
1/ La mise à jour des générateurs, ce qui fut particulièrement difficile car ceux-ci n'étaient pas conçus pour être remplacés en orbite et demandait aussi un arrêt total du télescope pour la première fois depuis sa mise en opération.
2/ Le remplacement de ses panneaux solaires. Les nouveaux panneaux sont basés sur ceux conçus pour les satellites de communication Iridium. Ils ont seulement les deux-tiers de la taille des anciens panneaux qui étaient abîmés, avec pour résultat une diminution du freinage atmosphérique tout en fournissant 30 % de puissance en plus. Cette puissance additionnelle permettra à tous les instruments à bord de Hubble de fonctionner simultanément.
3/ Le remplacement de la caméra pour objets faibles (Faint Object Camera) par une caméra de prospection avancée (Advanced Camera for Surveys). Ces deux instruments ont chacun la taille d'une cabine téléphonique.
4/ L'installation d'une unité de refroidissement dans la caméra infrarouge NICMOS qui était non-fonctionnelle. L'accomplissement de cette mission augmenta considérablement les possibilités de Hubble, quasiment un nouvel instrument selon certains fervents.
Vidéo de l’intervention sur Hubble lors de la mission STS 125
Outre la difficulté technique, la mission est plus risquée qu'un vol vers l'ISS, du fait du danger accru d'un impact catastrophique d'une micro-météorite ou d'un débris orbital à l'altitude plus élevée de l'orbite de Hubble. La Nasa estime ce risque à une chance sur 221 lors de ce vol contre près d'une chance sur 300 pour l'ISS. Une navette de secours, Endeavour, a été exceptionnellement placée sur un autre pas de tir du Centre Kennedy, prête à être lancée dans les sept jours avec un équipage de quatre astronautes pour une éventuelle mission de secours. Atlantis sera trop loin de l'ISS pour venir s'y amarrer.
Après cette mission, il ne restera que huit vols avant la mise en retraite des trois navettes en septembre 2010, une fois l'ISS achevée.
Ceci est la partie visible, officielle de la conquête spatiale, mais il y a ce qui est plus ou moins caché : l’intense surveillance par des civilisations extraterrestres à laquelle doivent faire face les premiers Terriens qui prennent la « Route des Étoiles ».
Le témoignage des Astronautes sur leurs observations d’OVNI.
Car si nos visiteurs extraterrestres sont fortement intéressés par nos armes nucléaires, puisque tous les sites de fabrications et de stockage d’armes atomiques sont visités depuis 60 ans, ils le sont aussi, bien sûr, par nos progrès dans la conquête spatiale.
De nombreux cosmonautes ont témoignés sur leurs observations d’objets spatiaux non identifiés.
Les cosmonautes américains qui ont déclaré avoir observé des OVNI sont Scott Carpenter, Eugene Cernan, James A. Lovell , John Glenn, Gordon Cooper, Donald Slayton, James Mc Divitt, Pete Conrad, Edgar D. Mitchell, et les cosmonautes russes qui ont fait de même sont notamment Yevegni Khrunov, Georgiy M. Grechko, Vladimir Kovalyonok, Pavel Popovich.
Parmi tous ces témoignages, j’ai retenu une vidéo de la chaîne « Discovery Channel » qui rapporte les observations des cosmonautes russes Musa Manarov, Gennadi Strekalov, et du cosmonaute américain Gordon Cooper ainsi que de plusieurs pilotes de ligne.
Je reprends quelques-uns des témoignages de cosmonautes disponibles sur :
http://www.ldi5.com/ovni/declar_ast.php.
Scott Carpenter, du programme Mercury, a déclaré : "A aucun moment, alors qu'ils étaient dans l'espace, les astronautes n'étaient seuls : ils étaient surveillés en permanence par les OVNI."
Durant le vol Gemini 12 en 1966, avec Edwin E. Aldrin, James A. Lovell dit avoir vu : "Quatre objets alignés. Je savais que ce n'était pas des étoiles."
Le Sénateur, colonel John Glenn, le premier astronaute américain a déclaré : "En ces jours glorieux, j'étais très mal à l'aise lorsque l'on nous demandait de dire des choses que nous ne voulions pas et d'en démentir d'autres. Certaines personnes nous demandaient, vous savez, étiez-vous seuls là haut ? Nous n'avons jamais répondu la vérité, et cependant nous avons vu des choses là bas, des choses étranges, mais nous savons ce que nous avons vu là haut. Et nous ne pouvions réellement rien dire. Nos supérieurs avaient vraiment très peur de cela, ils avaient peur d'un truc du genre de la guerre des mondes, et de la panique générale dans les rues. Donc, nous devions rester silencieux. Et maintenant nous voyons ces choses seulement dans nos cauchemars ou peut-être dans des films, et certaines sont très proches de la vérité."
Le Major Gordon Cooper a formellement démenti avoir vu un OVNI lors de son vol spatial, il a cependant vu des OVNI dans les années 50 alors qu'il était encore pilote de chasse en Allemagne. « Pendant plusieurs jours d'affilés nous avons observé des engins métalliques en forme de soucoupes, à de très hautes altitudes au-dessus de la base, et nous avons essayé de nous approcher d'eux, mais ils étaient capables de changer de directions beaucoup plus rapidement que nos chasseurs. Je crois vraiment que les OVNI existent et que les véritables cas inexpliqués proviennent d'une autre civilisation technologiquement avancée. Au vue de mon expérience aéronautique et spatiale, je pense avoir une idée assez précise de ce que tout le monde sur cette planète, a sur les capacités de leurs performances, et je suis sûr qu'au moins quelques uns de ces OVNI ne viennent pas de la Terre. »
En 1985, Gordon Cooper, fit une déclaration solennelle aux Nations Unies : "Je crois que ces vaisseaux extraterrestres et leurs équipages qui visitent la Terre à partir d'autres planètes sont d'une manière évidente un peu plus avancés technologiquement que nous. Je pense que nous avons besoin d'un programme coordonné de très haut niveau pour collecter et analyser scientifiquement les données de l'ensemble de la planète sur les différents types de rencontre afin de déterminer comment interagir au mieux avec nos visiteurs d'une manière amicale. Nous devrions tout d'abord leur montrer que nous avons appris à résoudre nos problèmes de manière pacifique plutôt que par la guerre, avant d'être acceptés en tant que membre à part entière de l'équipe universelle. Cette admission offrirait à notre monde de fantastiques possibilités de progrès dans tous les domaines. Il semblerait alors certain que les Nations Unies possèdent un droit acquis à traiter ce sujet de façon appropriée et rapide. Pendant des années, j'ai vécu avec un secret, le secret imposé à tous les spécialistes et les astronautes. Je peux maintenant révéler que chaque jour, aux Etats-Unis, nos radars repèrent des objets de forme et de nature inconnues. Et il y a des milliers de rapports de témoins et quantités de documents qui le prouvent, mais personne ne veut les rendre publics. Pourquoi ? Parce que les autorités ont peur que les gens imaginent une espèce d'horribles envahisseurs. Donc le maître mot demeure : Nous devons éviter la panique à tout prix."
Concernant les vidéos d’OVNI prises en orbite terrestre, il y en a quelques-unes de disponibles et je mets en ligne celle d’un Ovni filmé depuis la navette spatiale Discovery et présentée par Jimmy Gieu.
Autre témoignage d’astronaute : celui de Donald "Deke" Slayton, du programme Mercury, et qui a rapporté dans son livre la rencontre faite avec un OVNI lors d'un vol d'essai en 1951 : "J'effectuais un vol d'essais sur un chasseur P-51 à Minneapolis quand j'ai repéré cet objet. Il était environ à 10 000 pieds en ce bel après-midi ensoleillé. J'ai pensé que c'était un cerf-volant, puis j'ai réalisé qu'aucun cerf-volant ne pourrait voler aussi haut. Comme je me rapprochais, cela ressemblait à un ballon sonde, gris et d'un diamètre d'environ 1 mètre. Mais aussitôt que je me plaçais derrière cette sacrée chose, cela ne ressemblait plus à un ballon. Cela ressemblait à une soucoupe, un disque. Au même instant, je pris conscience qu'il s'éloignait de moi tout d'un coup - et j'étais là, volant à plus de 500 km/h. Je l'ai poursuivi pendant quelques instants et puis subitement cette fichue chose a simplement 'décollé'. Elle a grimpé avec un angle de 45° en virant et en accélérant et a tout bonnement disparu. Deux jours plus tard, je prenais une bière avec mon commandant, et je me suis dit, ' bon sang, je devrais lui en parler'. Je l'ai fait et il m'a dit d'aller aux renseignements et de leur faire un rapport. Je l'ai fait, et je n'en ai plus jamais entendu parlé."
Prise plus récemment, cette vidéo montre le passage de plusieurs objets près de la navette Colombia.
Mais revenons à la navette spatiale et au retour sur Terre.
La navette spatiale revient sur Terre en planant, de l'orbite à l'atterrissage! Lorsque vient le moment de quitter l'orbite, la navette spatiale est habituellement en position inversée. Elle est, de plus, positionnée la queue vers l'avant, et les moteurs sont mis à feu. C'est ce que l'on appelle une mise à feu des moteurs en vue de quitter l'orbite (en anglais: un "deorbit burn"). La mise à feu des moteurs a comme effet de ralentir la navette sur l'orbite et donc elle quitte tout naturellement celle-ci. La mise à feu des moteurs a lieu une demi-planète -et une heure- avant l'atterrissage; ainsi, pour un atterrissage au Kennedy Space Center, en Floride, la mise à feu pour quitter l'orbite doit avoir lieu au-dessus de l'Océan Indien. L'orbiter est alors retourné le nez en avant, en position normale (et non plus inversée) et il descend vers les couches hautes de l'atmosphère terrestre. La navette spatiale atteint le point de la descente où elle rencontre l'atmosphère 25 minutes plus tard.
Dans le cockpit pendant la descente et l’atterrissage du vol STS 98
Space Shuttle STS-98 Landing from Cockpit View
envoyé par shuttlesource. - Regardez plus de vidéos de science.
Vidéo extraordinaire que tous les pilotes apprécieront. Sur l’échelle verticale de gauche : vitesse indiquée en nœuds. Echelle verticale de droite : altitude en dizaines de milliers de pieds. Et en finale le plan de descente époustouflant !...
POUR LES PILOTES, UN LOGICIEL DE PILOTAGE DE LA NAVETTE SPATIALE EST DISPONIBLE SUR : http://orbit.medphys.ucl.ac.uk/
La navette est alors à 400 000 pieds (129 km, 80 miles) d'altitude et à 8000 km (5000 miles) du site d'atterrissage. La phase de rentrée dans l'atmosphère, stricto sensu, a commencé un peu plus tôt, à 557 000 pieds. Lorsque la navette atteint les 400 000 pieds, le nez est relevé à un angle de 40°, de telle sorte que le bouclier thermique, qui protège la navette, soit correctement orienté.
La rentrée dans l'atmosphère a lieu entre 265 000 et 162 000 pieds. Le contact radio avec la navette est alors interrompu, du fait de l'échauffement, pendant 16 minutes. Les tuiles du bouclier thermique sont portées à 1650°C (3 000°F). La navette accomplit alors une série de 4 virages serrés qui ont pour but de la ralentir. Ensuite, à 225 km (140 miles) du site d'atterrissage et à une altitude de 150 000 pieds, la navette intercepte le TACAN du site de l'atterrissage. Un TACAN est une aide militaire, aux avions, de radio-navigation. Il permet à la navette de prendre la direction du site. La vitesse de la navette descend à Mach 3 -vers 3000 km/h (1870 miles/h). Lorsque la navette arrive à 40 km (25 miles) de la piste d'atterrissage, à une altitude de 50 000 pieds et une vitesse qui est maintenant passée en-dessous de Mach 1, c'est le commandant de la mission qui prend les commandes de l'appareil.
Pour les pilotes : descente, approche et atterrissage de la navette Atlantis.
Jusqu'à présent, c'était le pilote automatique qui contrôlait la navette. Le commandant mène alors l'approche et l'atterrissage: en utilisant une aide à l'atterrissage appelée un "Scanning Beam Landing System", il s'aligne avec la piste. Pour ce faire, il est parfois nécessaire que la navette fasse un cercle complet de 360° et de 6,5 km (4 miles) de diamètre. L'altitude, pendant ce virage, passe de 50 000 à 10 000 ft. Puis, pendant la descente vers le seuil de piste, le nez de la navette peut avoir un angle d'incidence supérieur jusqu'à 19° -ou ne pas avoir d'angle du tout voire un angle inférieur. L'angle de la descente vers la piste est plus important que celui d'un avion de ligne: la navette descend ainsi 20 fois plus vite et sa vitesse est de l'ordre de 300 nœuds
A 2000 pieds d'altitude et 1,6 km (1 mile) de la piste, le commandant de la mission place la navette dans une position d'arrondi, avec le nez légèrement plus élevé que la queue. Cela ralentit aussi la descente. Le train est sorti. Et le toucher a lieu à une vitesse de 190 nœuds (354 km/h, 220 miles/h) -un avion de ligne se pose habituellement à 140 nœuds- sur le train principal! Un parachute se déploie. Il réduit encore la vitesse, amenant le nez à descendre et la roue avant à toucher la piste à son tour. La navette continue encore de rouler pendant 2,4 km (1,5 mile) et elle finit par s'arrêter en bout de piste. La navette vient ainsi, en un gigantesque vol plané, de passer de l'orbite au sol! (source)
Voilà très brièvement présentés la navette spatiale et les incroyables témoignages des cosmonautes américains et russes qui ont été confrontés à cette réalité : nos vols spatiaux sont surveillés par une ou plusieurs civilisations extraterrestres qui ont pu jouer parfois jouer le rôle d’un « Saint Bernard » spatial comme, semble-t-il, pour Apollo 13, dont les réserves de carburant ne permettaient pas une capacité d’accélération suffisante pour sortir de l’orbite lunaire…
En saurons-nous plus un jour ?
Jean-Charles Duboc
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