A la suite de la mystérieuse spirale
lumineuse qui est apparue dans le nord de la Norvège, mercredi 9 décembre au matin,
les journaux économiques russes Vedomosti
and Kommersant viennent de révéler que,
d’après des sources du complexe militaro-industriel, le test d’un missile
intercontinental Bulava
avait échoué mercredi (source)…
C’est lors de la mise à feu du troisième étage qu’un incident est survenu. Le missile s’est alors littéralement mis à partir en vrille. Les gaz échappés lors de cette spirale folle se sont ensuite répandus dans l’espace. Leur vitesse initiale importante explique la croissance rapide de la spirale. Pour bien comprendre ce que les observateurs ont vu, il faut préciser qu’ils se situaient proche de l’axe de tir, en direction opposée à la trajectoire du missile. Une fois les réservoirs du 3ème étage enfin vidés, le centre de la spirale est soudain devenu vide de gaz, formant ainsi un nouveau cercle sombre, de taille croissante à mesure que le gaz alentour s’éloignait (source).
Quelques heures plus tard, le ministère de la défense russe a admis l’échec du lancement du missile stratégique qui a eu lieu depuis le sous-marin Dimitri Donskoï en Mer Blanche.
Tests au sol, en surface puis immergé
du missile stratégique Bulava-30 SLBM (2005)
Le missile Bulava, de 37 tonnes et 12 mètres de long, est un missile balistique intercontinental connu sous le nom de Bulava-30 dans l’armée russe. Il est conçu pour emporter entre 6 et 10 têtes nucléaires (suivant les sources) à une distance de 8000 kilomètres.
Les missiles Bulavas doivent équiper
les sous-marins de la classe « Typhon », les plus grands sous-marins
au monde.
Equipage d’un « Typhon « : 150. Dimensions (mètres) : 175,0 x 22,8 x 11,5. Armement : 20/SS-N-20 (RSM-52) missiles balistique Esturgeon (Bulavas for the "Dimitri Donskoï") ; 20 Torpilles (533 & 650mm) and 8/SA-16 Igla-1 missiles (AAW). Chaque « Typhon » est capable de tirer 200 têtes nucléaires et pourrait anéantir les USA en cas de guerre nucléaire. Le déplacement maximum est de 48,000 tonnes.
Il a été établi que les deux premiers étages du missile ont fonctionné normalement mais qu’il y a eu un dysfonctionnement du troisième étage - celui de la trajectoire - a déclaré un porte-parole du ministère de la défense russe. Des onze tests précédents, au moins six ont échoué, en incluant celui du 15 juillet 2009 quand un Bulava s’est auto-détruit après d’une panne du premier étage ait été détectée lors du départ en Mer Blanche.
Les experts norvégiens ont rapporté avoir déjà observé le phénomène de spirale lumineuse dans l’atmosphère, près de la Mer Blanche, où des précédents tirs de Bulavas ont déjà eu lieu, et il semble ainsi que la magnifique spirale lumineuse très bien observée à Tromsø a la même cause : l’échec du lancement d’un missile stratégique Bulava !...
Le phénomène a également été observé
depuis la Russie, sous cette « vue de côté », il est plus facile de
reconnaître la trajectoire d’une fusée ou d’un missile :
Quelques explications sur le
fonctionnement d’un missile stratégique (source)
1/ Le moteur de l'étage A du missile est allumé alors qu'il se trouve encore dans son silo. Un revêtement spécial le protège de l'intense chaleur de ses propres moteurs réfléchie par les parois du silo.
2/ Pendant la phase de propulsion du moteur A, la trajectoire du missile est déterminée en agissant sur le positionnement de la tuyère d'éjection du moteur. Une minute plus tard, l'étage A ne contient plus de propergol et s'éteint. Il est alors éjecté : des explosifs se déclenchent et sectionnent l'interface entre l'étage A et B.
3/ Le moteur B se déclenche et accélère le missile. Une minute plus tard, c'est-à-dire deux minutes après le décollage, l'étage B ne contient plus de propergol et s'éteint. Il est lui aussi éjecté.
4/ Finalement, l'étage C fournit son énergie au missile est éjecté une minute plus tard, après exhaustion de son propergol. La vitesse du missile à ce moment est proche de 7 km/s.
5/ Le dernier étage, contenant la charge utile, continue sa trajectoire vers la cible de façon purement balistique. Le missile a quitté l'atmosphère à ce moment, ce qui permet à des leurres d'être déployés autour du missile afin que sa trajectoire (et donc son point d'impact) ne puisse être déterminée avec précision par radar ou encore pour confondre d'éventuels systèmes antimissiles.
6/ Peu avant la rentrée dans l'atmosphère, soit environ 30 min après le décollage, un petit moteur positionne l'étage supérieur et éjecte les véhicules de rentrée les uns après les autres, de façon à ce que chacun d'entre eux dispose d'une trajectoire propre.
7/ Les véhicules de rentrée pénètrent l'atmosphère. Le frottement aérodynamique les ralentit rapidement, tout en produisant une très grande quantité de chaleur qui est éliminée par l'ablation d'un bouclier thermique — le bouclier évacue la chaleur par sa propre évaporation tout au long de la rentrée.
8/ Quelques instants avant le point d'explosion, les bombes sont armées par un mécanisme de sécurité qui s'assure que le missile a suivi une trajectoire normale. Les bombes exploseront au sol dans le cadre d'une attaque contre des cibles blindées (silos de missiles) ou en l'air si l'attaque a lieu contre des infrastructures non blindées (infrastructures civiles).
La destruction de missiles par des OVNI
Il faut rappeler que des OVNI ont déjà été filmés lors du lancement de missiles et que ceux-ci ont été détruits quasi-immédiatement.
Les missiles Bulava russes subissent-ils l’assaut d’engins exotiques qui les détruiraient et neutraliseraient par là-même le programme de missiles balistiques russes en cours ?...
C’est une hypothèse comme une autre et qui est loin d’être anodine car nous savons que les pays de la planète qui possèdent des armes nucléaires ont fréquemment constaté que leurs installations étaient sous surveillance quand elles n’étaient pas carrément neutralisées lors de démonstration de puissance technologique absolument stupéfiantes (survol de silos Minuteman).
Je reprends les informations disponibles sur le cas du Professeur Robert Jacobs qui décrit l’interception d’un missile se déplaçant entre 17 000 km/h et 20 000 km/h après un départ de la base de Vendenberg.
Nié par l'USAF, l'incident de Vandenberg AFB est confirmé par ses deux principaux protagonistes. Après avoir observé le silence pendant 20 ans, un premier lieutenant témoigne : un OVNI a intercepté le tir d'un missile à la base de Vandenberg en 1964.
De 1963 à 1966, Robert Jacobs est en charge de l'instrumentation photo-optique à Vandenberg AFB. Sa mission consiste à photographier chaque tir de missile à la base. Le 15 septembre 1964 est une journée ordinaire : Jacobs immortalise le tir d'une fusée Atlas F et transmet le film pour développement.
Le jour suivant, le major Florenz J. Mansmann le convoque dans son bureau. Le film est projeté : on peut voir la fusée Atlas F, équipée d'une ogive nucléaire factice, décoller et poursuivre normalement sa course. Un objet apparaît alors dans le ciel et tire un rayon lumineux sur l'ogive à 4 reprises. ” Tout cela s'est passé alors que la fusée volait à 7 ou 8000 km/h “, se souvient Jacobs.
Le major stoppe la projection et lui demande : ” Qu'est ce que c'est que cela ? “. ” On dirait une OVNI ” répond Jacobs. Le fixant dans les yeux, le major lui rétorque : ” Ca, vous le gardez pour vous. Et vous concernant, lieutenant Jacobs, cela ne s'est jamais produit “. Avant de quitter la pièce, on lui ordonne de jurer le silence sur cet incident.
” Ce que j'ai vu, étaient 2 assiettes collées l'une contre l'autre avec une balle de golf au-dessus. Bref, une soucoupe volante classique, et qui tirait un rayon de quelque chose sur l'ogive de notre fusée ” expliquera Jacobs aux ufologues.
Aujourd'hui, Jacobs est professeur associé à la Bradley University de Chicago. ” A l'époque, j'envisageais une carrière à la NASA, j'ai donc observé le silence (…). Pendant 18 ans, je n'en ai parlé à quiconque. Ni à mes meilleurs amis, ni à ma femme “. En 1982, au terme de sa carrière militaire, il rompt son serment. Contacté par des enquêteurs, le major Mansmann, retraité, corrobore le récit de Jacobs : ” L'histoire racontée par Robert Jacobs est authentique (…). Après coup, je regrette de ne pas avoir pu visionner le film et l'ont emporté dans une attaché case (…). Je reçus l'ordre de mon chef de considérer cet incident comme ” top secret ” “.
Qui sont ces agents en civil, autorisés à confisquer le film ?. ” Ils n'étaient pas de l'Air Force mais d'un autre corps. Ils ne se sont jamais identifiés. Ils pouvaient bien être de la CIA, de l'OSI (Office of Special Investigations) ou l'OSS (Office of Strategic Services). Ou pourquoi pas de Disneyland, franchement je n'en sais rien ! ” se lamente le premier-lieutenant Jacobs (source).
Alors, un missile Bulava a-t-il ou non
été détruit par un OVNI le mercredi 9 décembre 2009 ?...
A vrai dire nous n’en savons absolument rien.
Les seuls qui peuvent savoir sont les Russes, et je doute qu’ils nous donnent la réponse prochainement.
Les interactions de missiles avec les OVNI sont classées au plus haut niveau et aucun pays ne tient à révéler son impuissance face à des technologies qui nous dépassent.
Jean-Charles Duboc
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