Ce matin, j’ai fais un bien étrange rêve.
Je faisais partie d’une équipe d’exploration spatiale et nous visitions un vaisseau extraterrestre que nous avions découvert.
Mais, très curieusement, les membres de l’équipage étaient tous debout, mais ficelés, attachés aux montants de la paroi, et muets, totalement incapables de parler.
Ils semblaient parfaitement humains, tout du moins à première vue, et nous en avions déduits qu’ils avaient été faits prisonniers par une race ennemie.
Puis, je me suis dis que nous devions essayer d’en libérer au moins un pour voir s’ils n’étaient pas dangereux.
Et j’ai choisi celui qui semblait être le commandant de bord.
Certainement un réflexe d’ancien pilote de ligne qui ne voulait pas laisser un collègue dans un tel état, ficelé comme un saucisson !...
Et, malgré quelques inquiétudes de mon équipe d’exploration, j’ai coupé le petit anneau en plastique qui était passé dans son nez, et au bout duquel pendait une étiquette…
Parce qu’en fait, le commandant de bord était étiqueté comme une vulgaire marchandise de supermarché…
Puis j’ai défais ses liens.
Et là, surprise !... Il s’est mis à me parler parfaitement en français, et à tenir des propos tout à fait cohérents.
Je me suis dis que je pouvais prendre le risque de l’emmener au poste de pilotage pour voir ce qu’il allait faire.
Et, d’une façon tout aussi surprenante, il s’est installé à la place du commandant (le siège de gauche), moi-même étant sur le siège de droite (le copilote), et a commencé à mettre en route, un à un, progressivement, tous les systèmes de l’appareil, électrique, hydraulique, etc…
Puis il a commandé la fermeture des portes de l’appareil.
C’est à ce moment là qu’un membre de mon équipe d’exploration, un barbu inquiet, qui était aussi dans le poste, m’a dit : « Ils vont tous nous tuer !...».
Et je lui ai répondu : « Pour l’instant cela se passe bien, nous continuons ».
Puis le vaisseau spatial s’est élevé tranquillement (tous les autres membres de l’équipage du vaisseau étaient toujours ficelés) et s’est rapproché de l’aérogare, car nous étions sur un aéroport international.
Et le pilote a commencé à discuter, tranquillement, avec une femme qui était attablée dans un restaurant de l’aéroport !!...
Et j’ai dis au barbu inquiet qui était dans le poste de pilotage « Tu vois bien, ils ne sont pas dangereux… ».
Voilà, mon rêve s’est terminé à ce moment là.
Ce matin, dans mon rêve, j’étais copilote d’une soucoupe volante de 300 à 400 mètres de diamètre…
Jean-Charles Duboc
Merci pour cette experience dans les rêves..
Rédigé par : Zarchos | 28 avril 2008 à 13:26