Socialisme Flux

Charte des socialistes pour le progrès humain

 

Gourgandine ! Gigolette ! Jambonnette ! Que c’est beau…

 

Alors que 5 de leurs candidats à la candidature viennent de se faire éliminer (on va y revenir demain), j’ai eu du mal à m’en remettre tellement c’est si beau…

Pour quelle raison obscure je n’ai donc jamais adhéré à cette magnifique déclaration ?

Extraits :

« Unis contre l’injustice et pour une vie digne, notre combat depuis qu’il y a des socialistes, forts des contributions militantes à nos États généraux, nous proclamons la Charte de l’identité socialiste.

PRÉAMBULE

Socialistes, nous sommes fiers de nos valeurs. (…). Nées avec les idées des Lumières, les idéaux de la Révolution française et les luttes du mouvement ouvrier, elles conservent leur force : la liberté et la justice, l’égalité et la citoyenneté, la fraternité et la solidarité, la laïcité et la responsabilité, l’Europe et l’internationalisme. Indissociables de la République, ces valeurs inspirent des luttes et des lois sur tous les continents, guident notre action et donnent un sens à nos vies.

Nous inscrivons notre engagement dans le cadre européen. Nous agissons pour construire un espace politique qui incarne l’intérêt général des citoyens.

Nos valeurs sont au service du progrès humain dans toutes ses dimensions : l’émancipation individuelle, la redistribution des richesses, la préservation écologique, la souveraineté démocratique, la conquête de nouveaux droits. Les bouleversements à l’œuvre dans le monde impliquent que les socialistes reformulent leur conception du progrès face aux nouveaux défis que constituent le réchauffement climatique, des technologies inédites aux conséquences multiples, une nouvelle donne géopolitique, mais aussi l’affirmation d’un bloc réactionnaire et antirépublicain en France.

Pour que nos valeurs éclairent le nouveau siècle, nous avons un devoir de fidélité et d’inventivité.

Fidélité à ce qui est le cœur du socialisme.

Nous voulons l’émancipation. L’émancipation de la personne humaine va de pair avec l’émancipation collective. Elle conjugue autonomie individuelle et justice sociale, reconnaissance personnelle et solidarités collectives, réalisation de soi et bien commun qui commence par le respect de la planète.

Nous chérissons la démocratie. Notre vision de la démocratie représentative est exigeante. Nous renvoyons dos à dos les tentations oligarchiques et populistes. Les citoyens doivent pouvoir participer, être informés, associés, actifs. La réforme est notre méthode de transformation sociale : elle vise toujours le progrès humain.

Nous construisons l’égalité réelle. C’est d’abord dans l’aspiration à l’égalité que se forge la séparation entre la gauche et la droite. Pas d’humanité libre sans individus libérés des inégalités de situation, de revenus, de destin ! Pas d’humanité libre sans égalité entre les femmes et les hommes : le socialisme est un féminisme.

Nous croyons au progrès. Contre les idéologies du déclin, nous avons confiance en l’avenir et dans le génie humain. Pour nous, si la connaissance et la science contribuent à l’épanouissement individuel et collectif, elles doivent servir dans leurs usages à préserver la planète et à lutter contre la pauvreté, l’oppression, les préjugés, l’obscurantisme.

Nous œuvrons pour la justice sociale. Nous voulons transformer la société au service du plus grand nombre.

Nous affirmons le primat du politique sur l’économisme. Nous agissons dans le cadre de l’économie de marché. Nous agissons à tous les niveaux pour mobiliser les énergies afin de faire prévaloir l’intérêt général. Nous refusons la société de marché où tout s’achète et se vend.

Nous avons l’énergie du collectif. L’humanité s’éprouve dans l’altruisme, pas dans l’égoïsme. L’individu ne peut pas être solitaire, il doit être solidaire.

En ce début de XXIe siècle, nous devons aussi faire preuve d’inventivité.

(…)

L’identité socialiste est vivante. Elle tient compte du contexte, mais elle doit toujours chercher à transformer le réel et servir notre projet d’émancipation : que toute personne puisse décider sa vie dans une société solidaire. Unité des finalités, pluralité des moyens, telle est notre perspective. En toute occasion et partout où ils se trouvent, les socialistes doivent dire ce qu’ils font et faire ce qu’ils disent.

Pour sortir de la crise, il faut prendre la mesure de ce qu’elle est : un changement de monde, dont l’évolution du capitalisme contemporain est une dimension qui met d’abord en péril la planète.

(…)

La planète atteint un point de non-retour écologique. L’accélération du réchauffement climatique est sans équivoque, sans précédent et sans conteste d’origine humaine (…). 

Le nouveau monde est connecté et complexe, porteur d’espoirs et de convulsions. (…)

La fragmentation du salariat fragilise la social-démocratie traditionnelle (…).

L’individualisme étend son empire (…).

Les grands récits hérités du XIXe siècle sont brouillés (…).

La démocratie est médiatique et numérique. Nouveaux médias et réseaux sociaux modifient le débat public (…).

Dans ce monde et dans ce moment, l’identité socialiste renouvelée est irremplaçable.

Parce que le marché veut régir la vie et pas seulement l’économie (…).

Parce les enjeux sont mondiaux et que notre parti est internationaliste (…).

Nous voulons bâtir un éco-socialisme (…).

Nous voulons humaniser la mondialisation (…).

Nous voulons bâtir une alter-Europe (…).

Nous voulons l’éducation à tous les âges de la vie (…).

Nous voulons une nouvelle croissance : productive, qualitative, coopérative (…).

Nous voulons une puissance publique active (…).

Nous voulons développer et moderniser : l’État protecteur (…).

Nous voulons une société du bien vivre (…) : Nous portons un projet de civilisation (…). 

Nous voulons la République toujours recommencée : Les socialistes sont profondément, passionnément républicains. (…).

Nous voulons la démocratie accomplie (…).

Vouloir le progrès humain, c’est vouloir la démocratie.

Nous, socialistes, à l’issue de nos États généraux organisés en 2014, année où nous célébrons l’œuvre et la vie de Jean Jaurès assassiné il y a un siècle, nous adoptons la Charte de notre identité. 

Elle est notre référence collective. Elle nous rassemble, éclaire nos débats et oriente notre action. Elle est une indispensable contribution au rassemblement de la gauche et des écologistes, comme le dit notre Déclaration de principes. Elle est le socle fondamental de notre identité politique pour le peuple français et les peuples du monde. Elle est l’emblème dont peuvent se saisir les femmes et les hommes qui refusent que la pensée et la planète soient livrées à l’égoïsme, au fatalisme, aux fanatismes. 

L’humanité aspire à de nouvelles Lumières. Elles justifient le progrès humain autant qu’il les fonde. »

Bon, sympa avec vous, je vous épargne les « détails » de la logorrhée : Ça prendrait plusieurs heures de lecture, même si c’est beau à en pleurer !

C’est simple : On dirait presque une prière universelle de chez les « papistes ».

Or, je sais que votre temps est précieux, accaparé en quasi-totalité par vos activités lucratives individuelles à tenter de gagner un peu de votre croute quotidienne pour payer aussi tout ça…

J’en retiens pour ma part que si ce n’est pas une utopie, c’est cher.

Une seule vie n’y suffirait pas…

D’ailleurs cinq années de toutes les vies de toutes les personnes n’y ont pas suffi, loin de là : Même vos gosses et les gosses de vos gosses pas encore nés n’y suffiront pas !

Et encore, comme ils font référence à Jaurès (Jean-le-totem), ça fait plus d’un siècle qu’ils auraient dû se réveiller…

Autrement dit, ça confirme que le « socialisme-Gauloisien », c’est bien un « Mythe-errant » depuis si longtemps…

Quand même dommage de ne pas s’adapter au « temps humain »…

Certes, on peut avoir des idéaux comme guides de nos actions, du « vouloir tendre vers… », je n’en disconviens pas, mais encore faudrait-il être raisonnable et mesuré.

Ah oui, c’est sans doute pour cette raison que je n’y adhère pas finalement, même si c’est si beau que, raisonnablement, j’aimerai tant y adhérer de toute mon âme !

Mouscaille, fèces, bran, cagade, étron : Vraiment pas de chance…

Source : http://flibustier20260.blogspot.fr/2017/01/gourgandine-gigolette-jambonnette-que.html

 


La mort de Fidel Castro !

 

L’incontournable de la semaine dernière :

 

Et hop : Un de plus qu’il y a en moins…

Dommage qu’il ait pu faire chier la planète durant plus d’un demi-siècle, et ce n’est pas terminé, en en profitant pour martyriser son peuple au nom d’une Révolution qui n’a jamais apporté la moindre félicité à personne, sauf aux « dictateurs » du peuple qui la portaient.

Il y a bien sûr d’autres sujets d’actualité à parcourir ensemble : Le sort des « grosses-coupures » de la Roupie-indienne, parce que c’est ce qui va se passer en Europe, tôt ou tard, un vrai laboratoire in vivo ; les « gros-mensonges » de « Fifi-le-vainqueur » ; la « goche-soce » qui serait au bord de l’explosion, de l’éparpillement, la lecture des « dossiers scolaires » demandés au corps enseignant, une véritable entreprise de « mise en fiche » de vos « chères-têtes-blondes », et puis « Das-Groβ-Paris » sur la Seine, que j’ai pu parcourir un tout petit-peu les deux derniers week-ends, qui me semble atteint du syndrome du « baiser-de-la-mort » administré par « Sœur-âne »…

C’est fou celle-là : Elle emmerde le chaland, le rackette toujours plus étroitement, mais comme « De-la-Nuée », elle ne pense qu’au spectacle d’une cité festive avec les JO de 2024 et l’expo-universelle de 2025 : C’est dire toute l’ambition des « soces » en ce pays-là !

Nous y reviendront peut-être, car pour l’heure, je voudrai revenir sur le « marigot » des « néo-kons-de-la-pensée-unique-soce ».

Ceux-là, ils vivent je ne sais pas où, ni sur un nuage, ni au fond des mines de leur « paradis-soce », ça devient une certitude de plus en plus affirmée.

Que le secrétaire général du PCF salue à travers la mort (lente) du Lider máximo  un « artisan de l’une des plus importantes révolutions initiées au XXème siècle » et voit dans le castrisme « la démonstration de la possibilité de bâtir une société juste et souveraine pour tous les peuples », c’est dans l’ordre des choses.

J’aurai tendance à en dire que la seule possibilité démontrée est celle de bâtir une société totalitaire particulièrement injuste, mais ça, on savait déjà.

Que « Mes-Luches » sorte ses bougies et ses fleurs, passe encore : Il signe bien ce qu’il est, tendance dictatoriale-dogmatique « raclure de l’humanisme », on va y revenir.

Mais que « Tagada-à-la-fraise-des-bois » parle juste de « manquements aux droits de l’homme » et de « désillusions » à propos des crimes de ce qui restera comme un l’un des pires régimes policiers de la planète, c’est navrant, horripilant même pour cet homme qui parle décidément trop !

« Manquements aux droits de l’homme », les milliers d'opposants emprisonnés, torturés, fusillés ?

« Manquements aux droits de l’homme », les homosexuels persécutés ?

« Désillusions », le traitement inhumain réservé aux malades mentaux et aux malades du sida ?

Et j’en passe : La ruine de tout un peuple et un pays entier, il peut le revendiquer pour le sien aussi, effectivement.

Un tyran vient de mourir. Son survêtement est maculé de sang, le sang de ses opposants, et même le pédégé de l’UE s’incline au nom de tous devant « un héros pour beaucoup » tandis que le canadien loue « un leader remarquable », là, ça fait beaucoup.

Tous acceptent ainsi d’honorer l’horreur totalitaire.

Quand, et pas les moindres, ils n’ont pas sanctifié la terreur.

« Incroyable aveuglement de Sartre et, à sa suite, de toute la mitterrandie (béate et)touristique abusée par les langoustes, les bananiers, et les havanes du dictateur, comme ailleurs par les datchas des maîtres du Goulag ! ».

Rappelez-vous qu’en 1995, la « Gauloisie-des-droits-de-l’homme » déroulait le tapis rouge pour Fidel.

« Qu’aurait-on dit d’un Pinochet en visite à l'Élysée ? »

Un mort dans une prison de droite efface cent morts dans une prison de gauche dans mon pays (celui que j’aime tant et me le rend si mal…) dirait-on !

Du moment qu’il aura su défier la superpuissance américaine pendant plus d'un demi-siècle, ça leur suffit à tous, ces « bien-pensants »… 

L’homme aux 634 tentatives d’assassinat, selon l’ancien chef du renseignement cubain Fabian Escalante, ne se séparait jamais de son pistolet Browning et ne dédaignait pas de participer aux exécutions sommaires.

« C’est l’homme des « É »: Égotiste, égoïste et égocentrique », en dit une dissidente des plus « soft ». Ceux qui ont osé lui résister, ajoute-t-elle, ont connu « l’emprisonnement, les passages à tabac et les actes de répudiation ».

« Il restera comme un dictateur (…) d’une tyrannie dynastique ».

Le co-fondateur du collectif Solidarité Cuba libre souligne « l’exil de près de deux millions de Cubains, ainsi qu’une répression impitoyable qui s’est traduite par des centaines de fusillés et des milliers de personnes condamnées à des peines démentielles, pouvant aller jusqu’à trente ans de prison » pour de simples opinions.

Merci « Mes-Luches » pour cet hommage  glorieux à la souffrance humaine…

Même ses plus proches alliés n’auront pas été épargnés. En 1959, le commandant Huber Matos, compagnon de lutte qui s’était rebellé, a été condamné à 20 ans de prison. Puis, rien qu’en 1960, la répression qu’il avait ordonnée a entraîné l’arrestation de 70.000 prisonniers politiques et 631 condamnations à mort (146 personnes furent exécutées).

Merci au PCF de se montrer solidaire jusqu’après sa mort.

Tortures psychiques et physiques sont pratiquées et, selon un rapport d’Amnesty International, il y aurait eu plus de 20.000 prisonniers politiques cubains en 1961. Lors du « printemps noir » de 2003, 75 dissidents seront incarcérés et trois personnes fusillées sommairement.

Merci à « Tagada-à-la-fraise-des-bois » pour rappel de ces bienfaits-là…

Dans les années 2000, il y avait environ 300 prisonniers politiques. Encore aujourd’hui, plus de 20.000 Cubains s’expatrient chaque année aux États-Unis.

Merci à Junker de ses hommages vibrants.

En revanche, si la fortune de celui qui affirmait se contenter d’un salaire de 40 dollars par mois, a été évaluée à 900 millions de dollars, en 2006 par le magazine Forbes, on dira merci à Trudeau de ne pas nous l’avoir rappelé !

Manquerait  plus que le pape, là…

Son garde du corps personnel, qui a vécu dix-sept ans au service rapproché du maître de Cuba, confirme de son côté que le Lider máximo avait une île à son usage exclusif comme maison de campagne, à 15 km de la baie des Cochons. Sur cette île de Cayo Piedra, « un paradis pour millionnaires », son homme de confiance décrit une vie entourée de yacht, de parties de chasse sous-marine, piscine d’eau douce et une armée de gardes et de serviteurs.

Il disposait selon lui d’une vingtaine des résidences réparties à Cuba. Moscou, dénoncera son train de vie ses 3 yachts, ses 32 résidences et ses 9.700 gardes du corps personnels.

Souffrant de troubles digestifs, Fidel ne mangeait que des produits frais et ne buvait que du lait de la même vache gardée dans une étable privée, alors que le reste de la population cubaine était rationnée…

Fidel Castro était par ailleurs entouré en permanence par deux hommes du même groupe sanguin que lui, le très rare O-négatif, en cas de problème de santé.

Une image qui tranche franchement avec celle du révolutionnaire et tiers-mondiste véhiculée par le mythe Castro et qui ressemble à n’importe quel autre tyran. 

Dans les années soixante, il aide des guérillas en Argentine, en Bolivie ou au Nicaragua. Fin des années 1990, il adopte politiquement le Vénézuélien Hugo Chavez.

Aujourd’hui, Cuba a hébergé les pourparlers de paix entre les Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc) et le gouvernement colombien. Sa révolution donne « l’envie de lutter, de prendre le maquis, de saisir un fusil pour essayer de changer les choses », affirmait il y a encore peu le numéro deux des Farc.

Il s’est aussi marié à deux reprises et a eu sept enfants de trois femmes différentes. Cinq fils. Et puis au moins trois autres enfants, dont une fille exilée à Miami…

Laissez-moi donc rire aux éclats, SVP !!!

On se rappelle que le cubain aura eu la peau du pouvoir d’un autre dictateur, Batista. Un a priori favorable pour toute l’intelligentsia de « Gauloisie-gôchiste » dès la fin des années 50.

Depuis lors, la population avait été solidement encadrée par les Comités pour la défense de la révolution, ou CDR. L’opposition a été décimée et ne pourra jamais relever la tête. La presse est aux ordres. Fidel Castro lance des « plans grandioses » et la foule sur la place de la Révolution applaudit. Elle n’a pas le choix. Lorsqu’il accueille les intellectuels qui se précipitent vers la nouvelle Mecque, sa faconde et sa verve font merveille. La gauche occidentale voit en lui une sorte de Gargantua de la révolution avec son éternel treillis vert olive, sa casquette et ses gros cigares. Personne ne remarque les gusanos, ces malheureux qui cherchent à fuir le « paradis » cubain, les prisons où croupissent des milliers de détenus politiques, les granjas, ces fermes collectives qui sont en réalité des camps de travail forcé.

Tant que Moscou subventionne Cuba – de 1959 à 1989, La Havane aurait coûté 100 milliards de dollars à l’URSS, participant à son effondrement –, il peut donner le change et vanter à la face « des capitalistes » le système éducatif qu’il a mis en place – les enfants sont en effet tous scolarisés –, les programmes de santé publique et les succès des sportifs cubains.

En oubliant de dire que les chirurgiens faisaient aussi taxi ou chanteur de rue pour acheter des médicaments de contrebande ou seulement mettre un peu de beurre dans les pâtes.

Mais la Perestroïka, que le Lider máximo refuse d’appliquer dans son île, va dévoiler le véritable visage de la révolution cubaine. Sans aide soviétique, tout s’écroule très vite. Le pétrole va bientôt manquer, mais aussi le savon, les légumes, la viande. La pénurie devient endémique, le marché noir aussi.

Sourd et aveugle, Fidel Castro joue encore au matamore, mais l’affaire Ochoa, en 1989, révèle les dessous mafieux du régime, un de plus.

Accusés d’avoir organisé un trafic de drogue international que Fidel Castro ainsi que son frère ne pouvaient ignorer, le général Ochoa, héros des campagnes africaines, le colonel Antonio de la Guardia, un James Bond local, et deux autres officiers seront exécutés à l’issue d’un procès stalinien qui touchait à la caricature ou à un remake de « L’aveu ».

Et là, dans le tas, grosse rigolade à l’occasion de mes lectures dans l’avion du week-end : « On-Fraie », celui que je n’aime pas trop bien en entendant la salve d’hommages qu’une partie de la classe politique a rendue au défunt, a vu rouge !

Enfin un !

Il ne décolère pas contre « Mes-Luches » qui se lamentait hier matin en apprenant la mort de Castro.

Ouf, y’en a au moins un qui n’a pas que du « kaka-dans-les-yeux » !

« Mes-Luches » se serait précipité à l’ambassade de Cuba pour manifester son émotion.

Il est fou, ce gars-là, ce n’est pas possible autrement…

Même la date de mort du commandant de la révolution semble suspecte aux yeux du « philosophe » normand. Le 25 novembre 1956 marque le début de la guérilla menée par Castro : « Cela tombe bien d’un point de vue de la mythologie et de l’histoire », affirme-t-il sceptique.

Nous on chambrait nos « catherinettes », à Monac’.

Il rappelle au passage que le chef d’État décédé se comportait « comme un nabab qui vivait comme un prince des monarchies pétrolières. Rien ne manquait à sa table. Il vivait de manière somptuaire alors que les Cubains manquent de beurre ! » Pour le « philosophe », l’aveuglement a ses limites : « Un dictateur est un dictateur, quels que soient les buts qu'il propose. » 
Merci ! 

Et de conclure : « Sale temps pour la démocratie, sale temps pour la liberté ! »

Eh oui, le prochain G7 de fin d’année 2017 risque d’en faire rire plus d’un : « Marinella-tchi-tchi », « Poux-tine », le chinois, « Mac-Donald-Trompe », il ne manquera plus que le nord-coréen, « Air-dos-gan » et « Bachar-el-chimique » pour changer la face du monde…

Parce que bon, façon succession digne du régime stalinien le plus caricatural, celui de la Corée du Nord, de la Syrie de père en fils ou de la République démocratique du Congo de la famille Kabila, Cuba rajoutera au côté folklorique.

Et on aurait pu également faire référence à des exemples plus anciens, tel le Haïti de Papa Doc et Baby Doc.

Ainsi finit la révolution cubaine, si romantique, si anti-impérialiste, aux yeux de tant d’intellectuels et d’idéalistes de tous bords toujours aussi kons derrières leurs dogmes, ce n’est, tout bien considéré, qu’une tyrannie dynastique de plus, le frangin prenant le relai.

Dans ces conditions, l’armée cubaine et les autres organes de répression de l’État n’attendraient qu’un prétexte pour faire usage de leur force et pour démontrer que, à Cuba, tout est bien amarré, comme l’on disait au cours des dernières années de l’Espagne franquiste, et que rien ne doit bouger.

Souvenez-vous-même de la visite du Pape François en septembre 2015 : « Raul Castro avait annoncé la libération de plus de 3.500 prisonniers, notamment chez les plus de 60 ans, mais en même temps, il y a eu 8.600 personnes arrêtées l’année dernière, et rien qu’au mois de septembre, pendant la visite du Pape, plus de 800 personnes ont été arrêtées », s’est étonnée Genneviève Garrigos.

La porte-parole d’Amnesty International France insiste : « Il n’y a pas de jugement, pas d’enregistrement. Quand les chefs d’État (qui vont à Cuba) demandent la libération de prisonniers d’opinion et demandent à Amnesty International des noms, nous avons du mal à suivre, d’autant que l’on ne peut pas aller sur place ».

« Cette politique de harcèlement permanent qui ne permet pas de donner des chiffres tend à dissimuler la réalité tout en maintenant cette pression sur la société civile », s’indigne-t-elle.

Un « harcèlement permanent » qui peut viser des blogueurs, des journalistes ou encore des artistes qui ont « des opinions divergentes » de celles du régime.

« Cuba n’a toujours pas ratifié à la fois le pacte international sur les droits civils et politiques, mais pas non plus celui sur les droits économiques, sociaux et culturels », a également souligné la même.

Merci à « Mes-Luches » de me rappeler tout ça et pour quoi tu te bats : Une prochaine copie à suivre à « Marinella-tchi-tchi », peut-être ?

Va falloir me dire si je transforme ce blog-ci en « pro-Marinella-tchi-tchi » ou « pro-Mes-Luches » si je veux rentrer mourir au pays un jour ou l’autre.

Je ne suis pas encore prêts à les nommer, à les surnommer « Vénéré-Président(e) », mais ça paraîtrait de toute façon suspect, puisque pendant 5 ans le titulaire c’était « Bling-bling ».

Voilà en quelques mots, mais on devrait en faire des tonnes pour les hommages au « dernier des Mohicans » qui faisait surveiller chacun par son voisin, que la jeunesse de son pays, lasse de ses slogans éculés, ne l’appelait plus que « el loco », le fou.

Muré dans un orgueil hypertrophié, le Lider máximo ne voulait plus rien entendre, rien voir et surtout pas les façades lépreuses de La Havane. Il était devenu une statue qui devait briller pour l’éternité comme un « phare devant les yeux du monde ». Pour laisser à la postérité l’image d'un révolutionnaire pur et dur qui aura été trahi par ses amis –  les Soviétiques –  comme par ses ennemis – les Yankees –, toujours prêt à y sacrifier tous les Cubains pour « la cause ».

Sur la fin, tout échappe au vieux potentat. Lui-même, en triturant un mouchoir blanc que lui a offert mère Teresa, parle à ses visiteurs de l’enfer. En 1996, Fidel Castro, qui a été excommunié, insiste pour rencontrer le Pape au Vatican et l’invite à venir à La Havane. Au mois d’août 1997, la rumeur court à travers toute l’île : « el loco » est malade.

Au 5ème congrès du Parti communiste, en octobre de la même année, il apparaît très affaibli. En 2001, il s’évanouit au milieu d’un de ses interminables discours. Mais ce n’est qu’en 2006, à la suite d’une hémorragie intestinale qui nécessite une opération chirurgicale, que le Lider máximo délègue ses pouvoirs à son frère cadet, Raul, alors numéro 2 du gouvernement.

En 2008, Fidel ne se représente pas à l’élection présidentielle et laisse donc Raul lui succéder à la tête du régime.

La dictature persiste à survivre sous le soleil des tropiques.

Voilà ce qu’aurait dû en dire « Mes-Luches » et rien d’autre.

Source : http://flibustier20260.blogspot.fr/2016/11/lincontournable-de-la-semaine-derniere.html

 


Moi, si j’avais été fonctionnaire…

 

Je vous aurai écrit une belle bafouille ! 

 

Rassurez-vous, si j’ai été admissible à plusieurs concours de la haute fonction-publique dans mes jeunes années – il y a longtemps, quoi – j’ai (presque) toujours boycotté les épreuves d’admission : Les filles étaient vraiment trop moches !

Alors j’ai suivi deux superbes blondes (c’était ma période blonde), une en fiscalité chez Cozian, mon pape-à-moi, une réfugiée politique d’Allemagne de l’est : Elle a décroché avant la fin d’année et j’ai persisté ; l’autre en expertise-comptable (une fille de réfugié d’Allemagne de l’est également : C’était ma période teutonne, mais juste après-guerre)…

Et puis je suis passé à autre chose.

Notamment, je bossais déjà, à temps-partiel, pour une agence publique qui faisait dans le droit-pointu, où j’ai découvert l’univers des énarques et où il y avait une rousse du meilleur effet, avec des taches de rousseur tout partout qui rigolait quand elle se laissait toucher.

C’était avant l’ère « Mythe-errant ».

Après, je me suis éclaté dans « le privé » à la plus grande-joie des clients de mes boss successifs et des tendres portions de celle qui allait devenir la mère de « ma nichée ».

C’est un résumé, bien-sûr…

Il vaut ce qu’il vaut, pas plus, pas mieux.

Donc :

« 

Moi, fonctionnaire assermenté,

Et fier de l’être, je vous emmerde et j'ai fait grève le 26 janvier dernier !

Je fais un métier de con après avoir passé de durs concours d’admission, où il a fallu que je fasse la preuve de ma maîtrise de la langue de Molière, de quelques notions d’Histoire et des opérations arithmétiques, là où n’importe quelle calculette fait mieux que moi et ne se trompe jamais.

Mon principal boulot consiste à remplir des « fiches de synthèse », pour avis, de dossiers qu’on me soumet le matin et qui s’empilent au fil des semaines et saisons.

J’en ai d’autres, mais plus accessoires, comme veiller sur le paquet de café du service, éplucher la presse et les notes de services pour tenir informer nos chefs qui n’ont pas le temps, papoter avec ceux du service voisin pour récolter quelques informations sur leurs « performances » et humeurs, aller fumer avec les collègues dans la cour, se restaurer à la cantine, faire des permanences téléphoniques quand l’informatique veut bien fonctionner.

Globalement, je coche des cases : Le dossier est-il complet ? Les pièces justificatives sont-elles présentes ? Leur analyse correspond-elle aux demandes de la candidature ? L’impétrant a-t-il un casier judiciaire vierge ? Ses diplômes sont-ils suffisants ? Ses certificats sont-ils valides ?

Le plus difficile, c’est quand même de repérer dans ce fouillis la présence des clauses obligatoires dans tel ou tel document.

Notez que je m’en balance : Parfois je coche la case de présence, parfois non.

Je pourrai toujours dire que c’est une erreur, que je n’avais pas vu.

Mais je reste plutôt consciencieux, préférant prendre tout mon temps que de bâcler. 

Si c’est un peu trop le foutoir dans le dossier, je fais une fiche de rappel à l’ordre – en cochant les cases prévues à cet effet – affirmant qu’il manque le modèle Cerfa n° x.

S’il y est, je le perds dans la corbeille où affirme que j’ai besoin d’un original ou d’une copie certifiée conforme par un agent-public, mais ça, c’est quand je suis de mauvaise humeur.

Si je veux être vraiment méchant, au retour du document signé et tamponné, j’affirme que le dossier est perdu et qu’il faut le reconstituer pour l'instruire.

En fait il est en-dessous de la pile, mais j’ai la flemme de me noyer sous le déluge de poussière à prévoir.



Je vous le dis, un métier de con, contrôlé par un chef encore plus con que ça, qui de toute façon a des boutons insupportables sur la tronche, sent pas bon et est toujours de mauvaise humeur quand il fait les statistiques du service, parce qu’il sait qu’il va rendre de mauvaise humeur sa cheffe à lui (celle qui signe notre travail), qu’est moche comme une vache affublée de bretelles, mais qu’il se verrait bien la niquer hors les heures de service … Ce qui reste dans l'ordre de l'impossible : Il risquerait de mourir étouffé et de toute façon, elle paye déjà de sa personne quand le directeur du service lui remonte les dites bretelles à l'occasion d'un coup de téléphone du ministère qui s'impatiente qu'un citoyen n'ait toujours pas vu son dossier être accepté !

Ceci dit, c’est un enfer sans perspective, sans sortie permise, hors une mutation qui n’est jamais celle à laquelle vous aspirez, même légitimement, mais qui est compensé, au moins un peu et à la marge par une série d’avantages que tout le monde nous envie :

– Emploi à vie : Pour 80 % des 6 millions d’agents publics, ou alors il faut vraiment défénestrer un agent supérieur !

Un « administré », on peut encore faire passer ça pour de la légitime défense…

On peut compter sur les témoignages des collègues pour ce genre de situation : Après tout, nous sommes assermentés, pas le citoyen d'usager ordinaire !

– Rémunération moyenne : Le salaire moyen dans l’administration est de 2.153 euros net par mois dans le public (2.434 euros dans la fonction publique de l’État) contre 2.130 euros net dans le privé, en comptant une ou plusieurs des 262 types de primes.

Mais dedans, il n’y a aucun patron du Cac40, juste des « hors-cadres »…

– Jours de congés : Les fonctionnaires sont crédités de 45 jours de congés par an avec les « journées enfants-malades » et « de convenances », alors que la moyenne est de 36 jours dans le privé.

En fait, on peut aussi rajouter 2 à 4 jours de « délais de route » pour les îliens…

– Jours de carence : En cas de maladie, les fonctionnaires sont indemnisés dès le premier jour, tandis que les salariés du privé sont soumis à trois jours de carence.

C’est d’ailleurs pour cette raison que nous sommes plus souvent malades, toujours au bord du « burn-out » (avec nos chefs débiles, il faut bien ça !) même si finalement il y a moins de suicide chez nous que partout ailleurs (même chez les flics).

– Absentéisme : Un agent du secteur public prend d’ailleurs en moyenne 27,7 jours de congés maladie (hors maternité/paternité), tandis qu’un salarié du privé en prend 15,5 jours.

Nous, si on se détache à d’autres tâches, on peut revenir quand on veut sans repasser les concours d’entrée. Dans le privé, ils refont le parcours du « outsider » quand l'absence est trop longue, dépassé par les évolutions de poste.

– Retraite : En 2014, l’âge moyen des départs en retraite était de 60 ans et 10 mois en moyenne dans la fonction publique, de 62 ans et 4 mois en moyenne dans le secteur privé. Les fonctionnaires cotisent moins longtemps, avec un système de calcul plus avantageux.

Notez que nos retraites sont meilleures (de 75 à 80 % du traitement indiciaire après 150 trimestres de présence aux effectifs), mais hors nos différentes primes, alors que dans le privé, il s’agit de 50 % des 25 meilleures années, plafonnées, plus les complémentaires au-delà du plafond de la SS…

– Pension de réversion : Veufs et veuves du public peuvent obtenir la pension de réversion du régime de base sans condition d’âge ou de ressources, tandis que dans le privé, veufs et veuves n’ont droit à rien en dessous de 55 ans quand ils disposent de revenus annuels supérieurs à 20.000 euros par an : Z'ont qu'à crever! 

– Prestations familiales : En 2014, le gouvernement a taillé dans les allocations familiales, tandis que pour nous, les fonctionnaires, quel que soit notre traitement, nous percevons en parallèle un supplément familial de traitement (SFT) qui n’est pas modulé selon le revenu. 

– Logement social : Afin de loger les fonctionnaires de l’État (agents civils et militaires), le préfet peut réserver 5 % des logements dont la construction ou la réhabilitation ont été subventionnées par les contribuables.

Moi, je dispose ainsi d’une GLM, une garçonnière à loyer modéré à proximité du lieu de mon travail. Et comme mon lieu de travail est en centre-ville, je loge au cœur de ma ville, dans les meilleurs quartiers.

Ce qui me permet de disposer de plus de temps en soirée pour mes loisirs, me détresser et revenir le lendemain en plein forme, ainsi que de m’occuper pendant mes week-ends et ponts de ma résidence principale, sise à la campagne.

Mais pour en profiter pleinement et éviter les embouteillages sur les routes, je dois partir en début d’après-midi du vendredi et rentrer en milieu de matinée, le lundi.

Notez que mes chefs en font autant, alors pourquoi se gêner puisqu’ils ne contrôlent rien ?

– Bien sûr, il y en a bien d'autres, les tarifs réduits, l'équivalent du comité d'entreprise, les voyages à prix cassés, les plans de formation-bidons qui ne servent à rien sinon à se la couler douce, les villages-vacances pour les mômes, et j'en passe tellement je ne lis pas tout, faute de temps et d'intérêt des notes internes traitant de ces sujets…

Et c’est finalement bien peu pour ce qu’on a à supporter, même si ça aide.

Parce que, que croyez-vous ?

Nous sommes les garants du « service publique ». Et dans la loi, que dis-je, la constitution de ce pays, tous les citoyens (et résidents) doivent tous être traités de façon « égale ».

Et pas seulement dans leur contribution à la finance publique, mais dans tous les aspects de la loi et des règlements.

C’est d’ailleurs pour cette unique raison que vos élus – et les miens aussi – nos chefs et toute forme d’autorité étatique, encadre si étroitement mon activité et celle de tous mes petits camarades, chacun avec les formulaires idoines, avec des normes toujours plus nombreuses et complexes et tout plein de cerfa aux multiples entrées : Je suis chargé, à mon petit niveau, d’en vérifier la bonne application par le citoyen qui demande une permission de faire, ni plus ni moins.

Du contrôle a priori alors que d’autres de mes collègues sont chargés du contrôle a posteriori.

En bref, nous sommes les garants de la conformité à la loi et de l’égalité de tous !

Sans nous, ce serait la jungle qui menacerait vos libertés et vous nous payez, lourdement d’ailleurs, pour vous garantir tout ça.

Or, ma situation n’évolue plus : Hors le jeu de l’ancienneté, en termes de pouvoir d'achat ma situation est absolument inédite avec un point d'indice gelé depuis près de six ans ce qui ne m'était jamais arrivé auparavant.

La valeur de notre point a ainsi décroché de plus de 7 % de l'indice des prix à la consommation alors que parallèlement, nos cotisations progressent.

Les cotisations retraite ont ainsi augmenté d'un peu plus de 2 % depuis 2010 dans le but de les aligner sur celles du privé.

Soit en tout une baisse de 9 % à 10 % en moyenne du pouvoir d'achat pour nous, les fonctionnaires.

Êtes-vous sûrs d’en vouloir encore autant alors que le déluge de normes nouvelles s’abat sur nous tous les ans, ralentissant notre travail, sans que nous soyons secondés utilement par des effectifs nouveaux ?

Quel intérêt aurai-je d’en faire plus pour un traitement identique, voire déprécié ?

Expliquez-moi un peu, svp !

Après tout, c’est de votre faute si je croule sous les normes et le travail : Vous n’aviez qu’à pas être aussi exigeants jusque dans les menus détails de votre vie-citoyenne de « con-somma-tueur » et interdire à vos députés et sénateurs d’en rajouter jusqu’à 1.800 lois nouvelles par an pour corriger les effets des précédentes, mal conçues, mal écrites, mal-votées.

Aussi, ne comptez pas sur moi pour rattraper ma journée de grève : Les dossiers à traiter ont attendu jusque-là, ils attendront bien une journée de plus.

Et si demain mon syndicat appelle à une autre grève, j’en serai : Au moins, hors les plus farfelus d’entre nous qui vont défiler sous la pluie, pour moi, c’est « journée-libre » : Que du bonheur, pensez bien !

» 

Mais bon, je ne suis pas fonctionnaire, alors je ne vous ai rien écrit : Au contraire, je me bidonne de l’immense fatuité de tous ceux-là !

Les uns se considèrent indispensables, les autres trouvent utile d’en rajouter pour mieux réglementer les activités des troisièmes qui en plus payent pour subir tout ça !

C’est vous dire si on marche sur la tête dans ce pays qui est le mien (et que j'aime tant) !…

« I-Cube »

Source : http://flibustier20260.blogspot.fr/2016/02/moi-si-javais-ete-fonctionnaire.html

 


Les « Soces » ?... Des esclavagistes !...

 

Les « Soces » sont en train de recréer une société esclavagiste où l’être humain est une marchandise.

En effet, dans les sociétés primitives, l’esclave est la propriété de son Maître qui peut le vendre, ou vendre ses enfants…

Avec la gestation pour autrui (GPA), c’est exactement la même chose !...

UN BÉBÉ DEVIENT UNE MARCHANDISE VENDUE AU PLUS OFFRANT.

Cette incroyable régression barbare est considérée comme une avancée par nos « Bobos soces », imbus de leur personne, bouffis de suffisance moralisatrice et de contradictions.

Quelle tristesse.

Mais cela est malheureusement dans continuité de la dégradation du sens de l’intérêt général, et du bon sens, où il est possible qu’un président de notre « Raie-Pue-Blik-Bananière » détourne des milliards d’euros en toute impunité.

D’ailleurs, je viens de rappeler au gouvernement un dossier particulièrement scandaleux, connu de toute la classe politique.

C’est juste une demande de prime d’aviseur :

http://euroclippers.typepad.fr/alerte_ethique/2014/01/indemnit%C3%A9s-de-la-guerre-du-golfe-1991-demande-de-prime-daviseur.html

Jean-Charles Duboc