Presse et Médias Flux

Lettre ouverte à Madame Élise LUCET

 

Chère Madame,

 

Restant toujours réjoui (et même fier) de vos enquêtes, je tenais à vous remercier par courriel (https://fr-fr.facebook.com/EliseLucetOfficiel/ &https://www.facebook.com/cashinvestigationfrance2/?fref=mentions) et féliciter vos équipes et vous-mêmes : vous faites honneur à votre profession de journalistes d’investigation !

Et je dois dire que c’est assez rare pour être dignement salué, en cette époque de reprises de « communiqués » qui tournent en boucle, rédigés par les toujours mêmes agences de communication.

 

Toutefois, il est une question que je me (et vous) pose : pour quelle raison vous n’êtes pas encore « aller au bout » d’un scandale vraiment extraordinaire qui devrait secouer l’opinion publique quant à la fabuleuse possibilité permise par nos institutions (démocratiquement contrôlées) de dissimuler encore et toujours des détournements majeurs, vraiment « très majeurs », d’argent public ?

J’évoque là les détournements de l’argent de la guerre du Golfe de 1991…

Et ils se montent à plusieurs dizaines de milliards de dollars de l’époque : Ce qui est pour le moins CONSIDÉRABLE.

 

Version courte : « L’affaire » est très documentée sur au moins deux sites parmi des dizaines d’autres, notamment dans la presse francophone helvétique et Belge.

Alerte éthique de Monsieur Jean-Charles DUBOC :http://euroclippers.typepad.fr/alerte_ethique/ qui a découvert ce dossier par hasard en 1998 et (je vous recommande de prendre langue avec lui, même si je ne suis pas toujours d’accord avec ses analyses…) ;

Et sur celui de Monsieur Christian BASANO, BASA CODE : http://basacode.blogspot.fr/) qui a été au cœur du second volet de ces gigantesques détournements d’argent (lui-même devenu « très méfiant » depuis quelques « alertes » quant à la sécurité de sa personne).

 

Pour votre information –  car il y a « des risques » à soulever ce type de scandale « stratosphérique » – votre confère Julien COURBET avait déjà préparé un reportage sur le second sujet en l’an 2000. Son émission annoncée par l’opérateur télévisuel a été retirée du programme de la soirée au dernier moment…

Il en a dit que c’était la seule fois où il a été censuré par sa direction (qui est d’ailleurs la même que la vôtre…) et que c’est à cette occasion-là que ses locaux ont été dévastés par des « plombiers » nocturnes qui n’aurait emporté qu’un seul document…

Je vous laisse le soin de prendre langue avec lui-même.

 

Version moins courte : En août 1990, Saddam Hussein envahit le Koweït dont il sera délogé après seulement 100 heures de combats au sol par les troupes de la coalition après une longue préparation d’intenses bombardements aériens.

Il laisse un État dévasté avec près de 1.200 puits de pétrole en feu.

Coût des opérations militaires pour les koweïtiens : officiellement 84 milliards de dollars (http://www.nytimes.com/1992/09/08/world/gulf-war-s-cost-to-arabs-estimated-at-620-billion.html) pris en charge et depuis remboursés par les irakiens, via la CINUD, sis à Genève.

 

Au passage, la France reçoit 1 milliard de dollars en février 1991 (https://www.lesechos.fr/26/02/1991/LesEchos/15836-009-ECH_le-koweit-donne-un-milliard-de-dollars-a-la-france.htm). L’émir régnant en sera remercié par le ministre des affaires étrangères du moment (http://discours.vie-publique.fr/notices/912007900.html).

Sachez seulement que depuis, une poignée de députés de la précédente mandature demandaient quelques éclaircissements sur l’affectation de ces sommes, tant à l’ex-ministre de la défense (aujourd’hui ministre des affaires étrangères) qu’à l’ex-ministre des finances (dont l’un est désormais Président de la République) qui faisaient répondre officiellement et systématiquement par leurs services qu’il n’y avait AUCUNE TRACE DE SES FONDS en comptabilité publique…

 

À ce stade-là, sachez que vous vous attaquerez à « du lourd » si vous souhaitez aller plus loin dans vos « investigations » !

Car il tombe sous le sens que s’il n’y a aucune trace en comptabilité publique, c’est que ces fonds n’ont jamais franchi la frontière de notre pays bénéficiaire…

 

D’autant que certaines sources « autorisées » (mais encore à recouper) ont fait mention de divers « dédommagements » de l’engagement de nos troupes à hauteur de 7,5 milliards de dollars.

Vous n’étiez peut-être pas encore au fait de l’actualité du moment à cette époque-là, mais on retrouve une partie de ces données dans les débats – un peu confus il est vrai – de fin d’année 1991 au JO des débats de l’AN à l’occasion du vote de la loi de finances de 1992, où il est indiqué par un député en réponse au ministre concerné que finalement, cette opération « guerrière » aura été « une bonne affaire » pour les finances du pays.

Effectivement, à l’époque, contribuable encore assidu à mes devoirs de citoyen, je m’attendais soit à une contribution exceptionnelle, soit à un « grand-emprunt » à souscription obligatoire (façon « impôt sécheresse » de Monsieur GISCARD-D’ESTAING) et je n’ai rien vu venir.

 

Avant d’aller plus en avant – mais vous vous ferez confirmer cette « affaire » par votre confère J. COURBET – il faut noter que les incendies des puits de pétrole koweïtiens, étouffés en un temps record, ont fait l’objet d’une escroquerie montée par des notaires et juristes français et suisses, sous couvert du ministre de l’économie et de l’industrie de l’époque.

Il s’agit d’un contrat de 22 milliards de dollars qui ont également disparus.

Probablement, je suppose que l’émir régnant à fait lui aussi « une bonne affaire », s’il ne s’était pas aperçu par la suite qu’il avait payé deux fois : une fois en Suisse où il se faisait soigner, et une autre fois au Koweït aux mains d’un de ses héritiers aujourd’hui à la tête d’un des premiers « fonds souverain » du monde, doté de … 22 milliards de dollars dès sa constitution !

 

Enfin, encore une mention passée inaperçue à l’époque, mais retrouvées depuis : les irakiens ne sont pas repartis de Koweït-City les mains vides en février 1991.

La « menue-monnaie » nécessaires aux dépenses courantes de l’émirat était entreposée dans le Palais et comptait quelques 48 milliards de dollars au dernier inventaire (billets, or, pierres précieuses, valeurs, etc.).

Les irakiens n’en auront restitués que 8…

Un milliard de dollar de billets de 100 dollars, c’est un mètre-cube, une tonne de papier imprimé.

Vous vous souvenez que le frère de l’émir (grand admirateur de Monsieur Michel PLATINI) aura été abattu au moment de la prise dudit palais.

Où quand on vous prévient que c’est « du lourd »…

 

Version plus longue : Découvrant cette « affaire » pour le moins « rigolote » en 2008, je n’adhère pas du tout à la version qu’on m’en donnait sur le moment, à savoir un enrichissement personnel du Président de la République de 1992 (qui s’était déplacé à Ryad et probablement à Doha juste avant l’offensive terrestre, pour ensuite faire une escale passée inaperçue à Luzerne : des officiers ont payé de leur vie pour « savoir » ce détail).

Pas lui, absolument impossible et ça se serait vu, telle a été ma réaction.

D’ailleurs même sa fondation n’est pas si richement dotée. Quant à ses proches…

Et l’argent, ça ne disparaît pas comme ça, par magie !

Les « éliminations », naturellement, il y en a eu jusqu’en son palais (Messieurs BÉRÉGOVOY, GROSSOUVRE et j’en passe une tripotée), pour protéger « son secret » : on sait depuis bien longtemps que la « raison d’État » peut parfois amener à commettre l’irréparable, même à son corps-défendant, et au moins depuis l’affaire BOULIN.

C’est que logiquement, il poursuivait un autre objectif.

 

Politique celui-là : abattre la Vème République, son ennemie intime, en montrant et démontrant qu’elle pouvait être « pourrie », et facilement en plus, depuis sa tête. Son testament politique devant l’éternité. Après sa mort, après son centenaire.

Mais la Vème République est « plus forte » que son principal détracteur…

Il y en a eu d’autres qui ont espéré reprendre le flambeau. Je vous passe le camarade Mélenchon qui a probablement perdu son avenir dernièrement, mais je vous fais remarquer qu’il y en a eu au moins deux autres, tous deux devenus ministres démissionnaires et candidats lors de la primaire socialiste de 2017 qui ont en commun d’avoir participé activement à la commission d’enquête parlementaire sur la moralisation de la finance dans les années 2000 : également tous les deux de fervents promoteurs de la VIèmeRépublique… restée depuis dans le flou des « cartons ».

Pas vraiment un hasard. Vos équipes peuvent confirmer mon propos assez facilement : tous les deux avaient d’excellentes raisons pour avoir été « bien formés »…

Les minutes des auditions de cette commission d’enquête sont d’ailleurs d’une lecture passionnante : feu Joël BLUCHER (un de plus de ces « disparus prématurément »…) me les a fait découvrir.

 

D’ailleurs, vous aurez aussi noté que l’entrée dans le IIIème millénaire aura été justement marquée par des « affaires » de corruption graduellement de plus en plus intenses : on est parti d’Urba et des lycées d’Île-de-France, en passant par les obus iraniens, pour aller vers les frégates taïwanaises, les sous-marins pakistanais, les mirages également taïwanais, les systèmes de télécommunications militaires d’Arabie-Saoudite et même jusqu’aux « Mistral » russes.

On continue probablement avec les Rafale égyptiens, indiens, les mêmes « Mistral » égyptiens, etc. Mais peu importe.

Ce qui est important, c’est le processus et le déclenchement par vos confrères de la presse écrite des deux affaires « Clearstream », la banque des banques et ses comptes fantômes.

La piste est bonne, puisque tout transite à travers les compensations interbancaires.

 

Il en manque d’ailleurs, même s’ils sont postérieurs (et actuellement à l’instruction) sur les comptes de campagne de 2007 et même de 2012 d’un ex-président. D’autres devraient vous intéresser comme le financement du « Bling-bling-au-thon » (*) où on n’a pas bien vu comment la trésorière de l’époque a pu s’emmêler les pinceaux dans les chiffres (au point que les comptes ont été séquestrés par le président d’alors du parti avant « épuration ») ni comment il se fait que le Trésor public n’a toujours pas vu l’équivalent en demande de crédit d’impôt au titre de l’IR de l’année suivante (comme la loi le prévoit).

Bien sûr, il y en a d’autres à venir, comme « Providence LLC » (cf.http://flibustier20260.blogspot.fr/2017/05/la-providence-llc-et-les-macrondleaks.html) ou comme le financement du parti et de la campagne de l’actuel locataire de l’Élysée qui devrait vous émouvoir, puisqu’il y en a été obligé de rester ministre jusqu’à la fin juillet 2016, alors qu’on le pressait de passer à l’action depuis plusieurs mois…

(Premiers posts à venir sur le sujet le 10 décembre prochain sur mon blog :http://flibustier20260.blogspot.fr/ (**).)

Nous vous attendons tous sur ces dossiers-là, naturellement.

 

Mais ça ne répond toujours pas à cette question-première : où sont donc passés les « Milliards de la division Daguet » (d’autant que les vétérans, lâchés dans la nature ne sont toujours pas soignés des effets délétères sur leurs organismes des poussières d’obus anti-char à l’uranium appauvri employés sur le théâtre d’opération et qu’ils se réveillent) ?

Car l’armée, ses soldats, ses sous-officiers, ses officiers, ses généraux sont tous impliqués à des degrés divers – même si les générations passent, les dossiers restent – au point que la « grande-muette » a obtenu ce qu’elle voulait de l’ex-ministre de la Défense durant 5 ans et à peu près ce qu’elle veut dès le budget 2018.

Un hasard ou une nécessité ? Je vous laisse juge.

 

Pour ce qui est des fonds « français », ils ont probablement été utilisés pour financer la réunification des deux Allemagnes.

Ce que Berlin a remboursé depuis, et avec des taux d’intérêt qui étaient à l’époque de l’ordre de 5 à 6 % par an, soit entre 55 et 57 milliards d’euros actuels.

Et plus tard comme fonds de la BERD, dirigée à son origine par Monsieur « D’Jack-@talus » (*), ex-sherpa et conseiller du premier-cercle du Président « Mythe-errant » (*).

Depuis, ils ont été recyclés dans le « Grand-Emprunt » du Président « Krabe-zozo-ski » (dit aussi « Bling-bling », notre ex-« vénéré-président ») (*).

On les retrouve d’ailleurs encore aujourd’hui dans la Caisse des dépôts et consignations (http://www.caissedesdepots.fr/investissements-davenir).

Il faut se rappeler la façon dont le premier « PIA » a été présenté à la presse le lundi 14 décembre 2009 (loi de finances rectificatives de mars 2010) : « C’est 13 milliards de remboursement attendus des banques au moment de l’effort de refinancement du début d’année (le plan de relance de 26 milliards de Monsieur « Dévide-gens » (*).)

C’est un peu plus de 10 milliards de rachat de papier arrivé à terme effectué sur les marchés par l’Agence France-Trésor depuis quelques semaines.

C’est donc seulement entre 11 et 12 milliards empruntés directement sur la place. »

Très fort : tu empruntes pour te faire rembourser et en redonner à peu-près autant…

 

Les 10 milliards de rachat, c’est probablement l’équivalent de 15 milliards de dollars prêtés secrètement par une agence américaine (les taux de change du moment s’y prêtent) pour « calmer » l’émir en 1992 ou 1993 quand il s’est aperçu qu’il s’était fait roulé par « ses alliés » (cf. ci-avant).

Une exigence de Messieurs « Bou-bouche » (*), père et fils, rencontrés « hors de vue » par le Président français lors de ses courtes vacances sur la côte-Est, qui venaient solder les comptes du vainqueur du moment qu’ils avaient consciencieusement soutenu (cf. le désistement de Monsieur « Déesse-Khâ » (*) à la primaire socialiste au profit de la « cruchitude », Miss « Ségololo » (*)…).

Pour ce qui est des fonds « recueillis » par « les alliés », nous en avons perdus la trace. Une partie a probablement servie à « calmer » l’émir koweïtien en 1992 ou 1993. L’autre sert tout aussi probablement à financer des missions secrètes, « hors-budget ».

C’est « anesthésié ».

Or, justement…

 

Justement, après les affaires « Cleastream », dont on rappelle que ce sont justement les agents de la CIA qui en sont à l’origine pour avoir « cornaqué » Monsieur « La-Houde » (*), ce qu’ont montré les enquêtes judiciaires, l’affaire des fuites de la HSBC-Swiss par un informaticien « travaillé » par les mêmes à Genève, l’arme des « Wikileaks » à travers le consortium des journalistes dont vous faites partie, nous sort successivement les « Panama-papers » puis les « Paradise-papers ».

La première bordée dénonce des fraudes, la seconde des « optimisations » légales. Le point commun des deux (et de tous les autres) reste la recherche de « l’argent ».

Et vous savez naturellement qui finance ces recherches que vous vous chargez d’exploiter avec d’autres, pour notre « bonne information » à tous.

 

On en attend d’autres, puisque pour l’heure, il n’y a pas la trace des « milliards disparus ».

Si 57 sont localisés à la Caisse des Dépôts et Consignations française, on en attend plus du double, voire le triple en comptant les « intérêts », situés « par ailleurs ».

 

Ce modeste courrier n’a d’autre vocation que de vous mettre sur la piste des premiers, hors vous indiquer que les « citoyens-lambda » que nous sommes ne sont « pas dupes ». On sait avant que vous nous le disiez.

 

Mais aussi de vous mettre en garde : L’actuel Président de la République française n’est pas un « élu du hasard » et seulement de l’inconsistance (pour ne pas dire pire) du personnel politique français.

Il est en « mission-commandée ». Il a donc « son calendrier ». Et vous pourriez lui être utile, comme vous pourriez le « contrarier ».

À vous de voir et de nous le faire découvrir.

 

Des suites données à ce message dépendront ce qu’il faudra en conclure.

Je ne vous cache pas qu’à mon âge (avancé) ça n’a plus aucune espèce d’importance : j’ai fait mon temps.

En revanche, je « romance » et j’aimerai donner un sens cohérent au prochain opus (**), par simple respect pour mes quelques lecteurs.

 

Très respectueusement à vous et vos équipes,

Je vous prie d’agréer, Chère Madame, l’expression de mon infinie gratitude.

I(***)

 

(*) Je « maquille » les noms propres : je ne suis pas comme vous à pouvoir m’abriter derrière une carte de presse et une audience flatteuse et méritée, pour assumer des procédures oiseuses pour diffamation. Tout rapprochement avec des personnes, des lieux, ou des organisations existants par ailleurs ne peut donc qu’être absolument fortuit.

(**) Dans la droite ligne de ce qui vient d’être dit, je ne peux pas non plus faire autre chose que des « romans », pures constructions de l’esprit, soumises au régime des droits d’auteur et de la création « artistique ».

Absolument pas diffamatoire ni même injurieuse.

(***) Je me cache également depuis toujours derrière un « pseudonyme-absurde » (à l’origine « I² », un nombre « imaginaire ») devenu « incroyable » depuis que j’ai inventé la « Cotisation Sociale sur les Produits Manufacturés » (CSPM) et que, miracle, mes pauvres simulations ont pu montrer tout le bénéfice pour mon pays : c’est aussi une question de respect pour mes divers employeurs, fonctions et clients.

De plus, je communique depuis l’étranger où je trouve un refuge très relatif pour ma sécurité personnelle, et communique en usant du serveur d’un ami qui serait bien surpris d’apprendre l’usage que j’en fais…

Pas possible de me joindre autrement que par courriel.

Et je réponds seulement si « je le veux bien ».

Et le peux encore…

I3

Source : http://flibustier20260.blogspot.fr/2017/11/lettre-ouverte-madame-elise-lucet.html

 


Guerre du Golfe 1991 : Lettre à l’hebdomadaire LE POINT

 

Vous trouverez ci-dessous une lettre de Vincent FILIMOEHALA, vétéran de la Division Daguet, à la rédaction de l’hebdomadaire LE POINT.

 

  Le 13.02.2015

                                 Monsieur FILIMOEHALA     Vincent

                                à

                                Monsieur Christophe LABBE

                                Madame   Mélanie  DELATTRE

                                La rédaction du Journal

                                « Le Point »

                                Rédaction

                                74, avenue du Maine

                                75014 PARIS.

 

 Ps : (Suite à mon appel téléphonique ce jour auprès du standard de la rédaction du Journal).                                                                                    

OBJET : Sortie du Livre « Les Milliards disparus de la division DAGUET ».auteur :  (Mr Jean-Charles DUBOC).

 

                      Monsieur & Madame les rédacteur en Chef,

 

            Dans le cadre de la sortie du livre « Les Milliards disparus de la division DAGUET », que j’ai l’honneur de bien vouloir vous solliciter toute votre attention  à l’égard de l’histoire du livre qui révèle l’affaire de lambda celui des « Indemnités de la guerre du Golfe 1991, dérobés sous l’ère (Mitterrand) et dont l’auteur  est  (Mr Jean-Charles DUBOC) un commandant pilote de ligne en retraite.

           En effet ! c’est  en tant que ‘vétéran’ de la guerre du Golfe 1991, que je me permets très personnellement de vous interpeller sincèrement dans l’espoir  de convié parmi  vos prochains invités de la rédaction du journal « le Point », l’auteur du livre (Mr Jean-Charles DUBOC) qui aura le privilège de vous exprimer toutes ces années d’actions et d’abnégations relative aux indemnités de la guerre du Golfe 1991, dont aucun de nous a perçus dès le retour de conflit il y a plus de 23 années maintenant.

         Ps : A l’époque de la première guerre du Golfe 1991,  j’ai servi au sein du (2ème Régiment d’Infanterie de Marine) basé au Mans(72) à la 4°Compagnie de combat, pour un séjour dans le désert d’Irak de plus de quatre mois là-bas.

              Dans l’attente de vous lire ou de vous entendre dès lors d’un éventuel entretien avec vous et votre équipe, que je vous adresse a mon courrier les quelques documents suivants :

 -          LIVRE « Les Milliards disparus de la division DAGUET ».  (Mr Jean-Charles DUBOC)

-          Audio (mp3) : l’interview de Mr Jean-Charles DUBOC sur le plateau de radio (Bob vous dit tout).

-          Documents (copies) sur les différents documents…

 

             En vous souhaitant une très bonne réception de mon courrier et documents, que je souhaite de tout cœur avoir retenu toute votre attention à l’égard de ma requête.

 Je vous prie d’agréer, Monsieur & Madame les rédacteurs en Chef, l’expression de mes respectueuses salutations.

 

                                Mr FILIMOEHALA  Vincent

                               (Membre des OPEX-UNC du Val d’Oise-95).

 


Guerre du Golfe 1991 : Information générale à la Presse et aux Médias français et étrangers

 

Pendant la semaine du 9 février, j’ai envoyé à 45 quotidiens et hebdomadaires Français, Suisse, Belges, Québécois, Britanniques et Américains, un courrier de présentation du dossier du détournement des 7,6 milliards d’euros des frais de guerre de « l’Opération Tempête du Désert ».

 

 

Madame, Monsieur,

 

 Vous trouverez, avec la présente, quelques documents concernant un très important détournement de fonds publics qui a eu lieu en 1991/1992 en France :

 

1/ « LES MILLIARDS DISPARUS DE LA DIVISION DAGUET », disponible chez Amazon (12,57 euros) ;

 2/ Un courrier adressé au Président de la République Française le 16 janvier 2015 à ce sujet ;

 3/ Un courrier adressé à Michel SAPIN, ministre des Finances et des Comptes publics, le 26 janvier 2015.

 

Il est possible de consulter sur le site « Alerte éthique » l’ensemble du dossier.

 

 Les lettres adressées aux différents ministres des Finances depuis juin 1998 sont disponibles sur demande. Ces courriers, et la demande de prime d’aviseur, lèvent la prescription des dix ans.

 Je vous en souhaite bonne lecture de ces documents, et je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de mes meilleurs sentiments.

 

 Je me pose juste une question : combien de temps encore l’Omerta va-t-elle durer…

 Jean-Charles DUBOC

 

Réponse de Gérard LARCHER, président du Sénat

 

  LARCHER Sénat Réponse 2015 02 21 .0001

 

 

Réponse reçue de la Présidence de l’Assemblée Nationale le 25 février 2015

Lettre de Jean-Michel BOUCHERON, Conseiller chargé des Affaires Stratégiques et de Défense

ASSEMBLEE NATIONALE Bartolone 2015 02 28 .0001

 

Suite au courrier de Jean-Michel BOUCHERON, voici quelques informations sur sa carrière politique :

Né en 1948 au Havre, député (PS) d’Ille-et-Vilaine de 1981 à 2012.

 

A l’Assemblée Nationale il a eu les responsabilités suivantes :

1988-1993 : président de la Commission de la Défense

1997-2012 : rapporteur du budget de la Défense

2012 - : conseiller affaires stratégiques et défense du Président

 

Autres affiliations :

  • Cofondateur de la fondation d'Intelligence économique « Prométhéus »

http://www.fondation-prometheus.org/wsite/

  • Vice-Président du parlement de l'OTAN.

http://www.nato-pa.int/Default.asp?COM=0&LNG=1

  • Rapporteur « défense » de la commission des affaires étrangères à l'Assemblée nationale.

 

http://www.assemblee-nationale.fr/connaissance/delegation_renseignement.asp

  • Membre de la commission consultative du secret de la défense nationale.

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Commission_consultative_du_secret_de_la_d%C3%A9fense_nationale