Pédophilie Flux

L’affaire de pédophilie à Lyon

 

En ce lundi de Pâques : L'affaire de pédophilie à Lyon…

 

Je vous explique : Les vendredis, il y a réunion de travail à Monaco. J’ai du mal à m’y faire, mais le Rocher a des charmes incontestables, notamment les week-ends.

Hors les jours de grand-prix, parce que là, c’est franchement inaccessible. Même si je fais l’effort quand même : 580 km, dont 180 sur les autoroutes côtières italiennes qui demandent bien deux heures de conduite fatigante à traverser quantité de « Galleria » et autres viaducs tout en courbe, après avoir fait 400 km en à peine 3 heures 30 quasiment en ligne droite à 6,5 l/100 km où la troisième voie, « de gôche », n’est pas limitée…

En principe, je pars en fin d’après-midi le jeudi pour arriver à l’heure du dîner… quand ça roule bien.

Retour le dimanche soir ou le lundi à potron-minet : Les lumières sont splendides quand il ne pleut pas et je suis un lève-tôt.

Parfois, je ne déboule que pour le déjeuner de vendredi et je rattrape la séance de travail autour d’un verre : Je me suis mis à boire des sirops « sans sucre », grenadine, fraise, agrume, menthe pour calmer mon pancréas (diabète de type 2 oblige) et le forcer à aller « bouffer » la surcharge pondérale adipeuse : Géant !

Parce que bon, je m’emmerde sévère coincé entre quatre murs à Monaco à éplucher la presse après avoir fait le point sur les dossiers du moment.

Et l’autre jour, je tombe sur un vieux numéro de « Libé-ce-torchon ». La secrétaire n’avait qu’à planquer ses fesses, parce que depuis un édito (ancien) traitant de l’assassinat de mon Papa-à-moi (celui qui persiste à me faire « frémir » quand je l’évoque…) de façon éhontée, j’ai gardé une dent qui me rend de mauvaise humeur.

Mais là, j’éclate de rire bruyamment, au risque de m’éventrer, la faute à ma côte manquante !

J’ouvre donc « le torchon » et mon regard se pose sur un article sur les curés pédophiles de Lyon pour y lire une sorte de pamphlet « petit-bourgeois » des plus drôles car manifestement, ils n’ont aucune mémoire éditoriale, que s’en est lamentable à un point incroyable, et en plus ils bénéficient largement de subventions et autres niches sociales et fiscales volées au contribuable pour ce faire !

Bon, soyons très clairs tout de suite : La pédophilie est un crime terrible, abominable, odieux et honteux !

Surtout commis par des « personne ayant autorité », parentale, familiale, morale ou d’ordre public et Barbarin, le cardinal, est responsable hiérarchique de ses troupes qui ne méritent aucune indulgence : Lui demande pardon aux victimes, mais doit bien se douter que le pardon est uniquement d'essence divine, et sûrement pas propre aux communs de ses mortelles créatures même en ce bas-monde. 
Il n’a pas à laisser passer ces comportements criminels condamnés vertement et clairement par ailleurs et de tous temps par la doctrine de la foi !

L’absolution ecclésiaste, même cardinalesque, ne peut pas ne pas protéger les victimes, passées, présentes et même futures, même au nom de la rédemption !

C’est aux antipodes de l’enseignement christique et justement, la rédemption promise en passe obligatoirement par ces chemins de vérité et de repentance.

Je cite : « D’où vient la réponse du cardinal ? De quelle irresponsabilité ? De quel sentiment d’impunité ? De quelle hypocrisie ? Comment un homme de Dieu peut-il témoigner aussi peu de compassion ? Autant de perversité ? Comment un homme tout court peut-il ne pas dénoncer pareil crime ? Comment n’admet-il pas qu’il a mis en danger la vie d’autrui ? Et comment, dans le silence revenu, s’arrange-t-il avec sa conscience ? Se dit-il, pour se rassurer, que ça n’existe pas tant qu’on n’en parle pas ? » en reprenant les interrogations d’une des victimes devenue adulte, qui interpelle le primat des Gaules rencontré au « Train Bleu », gare de Lyon à Paris.

Et le « torchon » de rajouter un peu plus loin : « Nous sommes en droit d’exiger que l’Église catholique de France nettoie ses écuries d’Augias. Et qu’elle dénonce et répudie tous ces prêtres souvent âgés, qui sont passés à travers les mailles du filet, parce qu’ils n’ont jamais fait l’objet de plaintes en justice. Qu’elle applique à son tour une sorte de principe de précaution, afin qu’aucun de ceux-là ne soit plus en contact avec des enfants. Jamais. »

Attend, attend : De quel « droit d’exiger » il parle, l’analphabète plumitif ?

C’est à la justice de passer, à elle seule et pas à des procureurs d’opérette autoproclamés d’avoir des exigences…

D’autant qu’il oublie ce qui se sont permis ses employeurs, en 1977, alors que trois inculpés pour attentat à la pudeur sur mineur de moins de 15 ans croupissaient à la place qui est la leur, à savoir en prison, et ce depuis trois ans, une affaire qui date de 1973, de publier un certain nombre de personnages, parmi lesquels Hocquenghem, Chéreau, Sollers et Matzneff, des grands penseurs « Gaulois », mais aussi « D’Jack-Langue », « Nanar-Couche-nerf », ex-ministres de la République eux, « Momone deux Beaux-Voir » et « J’y-pète-Sarre-tre », des philosophes portés au pinacle pour leurs combats ainsi que leurs écrits, signant une tribune de soutien dans Le Monde, parue le 26 janvier 1977 sous le titre « Trois ans de prison pour des caresses et un baiser, ça suffit ! ».

Je ne suis pas abonné à cet autre « torchon », plus light il faut dire, mais vous pouvez vérifier pour ceux qui claquent leur fric en konneries.

Si mes souvenirs sont encore bons, en novembre 78, « Libé-ce-torchon » (mais je n’étais pas encore « fâché-tout-rouge ») avait publié un papier titré « Apprenons l’amour à nos enfants », avec l’illustration montrant une fellation réalisée par une petite fille !

Je rappelle qu’il mettait en scène des personnalités diverses (BHL, Louboutin, Antoine de Caunes, Christian Lacroix, Erik Orsenna, Roselyne Bachelot, Olivier Besancenot,…), tous ces cancres de la pensée « unique-vertueuse » qui toutes s’extasiaient sur le rôle de ce journal qui fut maoïste à ses débuts, avant de devenir « libéral-libertaire » selon les mots de Serge July son « rédac’-en-chef » co-fondateur.

Qu’en mai 1977 (republié ensuite dans le numéro du 1er mars 1979), « le torchon » annonçait avec une complaisance révoltante la « Naissance du front de libération des pédophiles » : « Le FLIP (Front de Libération des Pédophiles) dont vous pourrez lire ci-dessous la plate-forme constitutive. Qui sont-ils ? Pour l’essentiel, des lecteurs de Libération qui à la suite d’une « lettre ouverte aux pédophiles » dans notre édition du 9/2/77 nous firent parvenir un courrier. »

Quelques objectifs essentiels avaient déjà pu être lancés :

« – Combattre l’injustice pénale et mener une réflexion critique sur la famille et l’école, fondée sur une analyse politique de la sexualité entre mineurs et adultes.

– S’associer à la lutte des enfants qui veulent changer leur mode de vie et de tout groupe politique qui vise à l’établissement d’une société radicalement nouvelle où la pédérastie existera librement.

– Développer une culture pédérastique qui s’exprime par un mode de vie nouveau, et l’émergence d’un art nouveau.
– Prendre la parole dans des organes d’information qui lui en donnent les moyens et par les voies qui s’imposent.

– Manifester sa solidarité avec les pédophiles emprisonnés ou victimes de la psychiatrie officielle. 

La « tyrannie bourgeoise » fait de l’amoureux des enfants un monstre de légende qui croque les chaumières. Nous casserons ensemble monstres et chaumières. »

Oui, cette annonce ignoble a été publiée telle quelle dans « le torchon », sans aucune retenue et sans la moindre vague d’opinion, l’État, vous, persistant dans l’arrosage de subventions avec votre propre pognon !

Il faut aussi se rappeler qu’en mars 1979, pour soutenir Gérard R., un pédophile qui attendait depuis dix-huit mois son procès, une lettre publiée dans la page Courrier du « torchon » accusait la « morale d’État » : « Ce que vise l’ordre moral, c’est le maintien de la soumission des enfants-mineur(e)s au pouvoir adulte ». L’auteur de la lettre appelle les lecteurs, en particulier les femmes, apparemment rétives, à signer le texte suivant : «L’amour des enfants est aussi l’amour de leur corps. Le désir et les jeux sexuels librement consentis ont leur place dans les rapports entre enfants et adultes. Voilà ce que pensait et vivait Gérard R. avec des fillettes de 6 à 12 ans dont l’épanouissement attestait aux yeux de tous, y compris de leurs parents, le bonheur qu’elles trouvaient avec lui ».

Non mais : Et le consentement éclairé à cet âge-là, SVP ?

Au bas de ce texte, 63 signatures. Parmi elles, Pascal Bruckner, Georges Moustaki, Christiane Rochefort,…

Et j’en passe, comme ce numéro du 10 avril 1979, où on retrouve le plaidoyer de Gabriel Matzneff et Tony Duvert en faveur des « amours minoritaires » (article titré « Année de l’enfance », il faut quand même oser !) voire l’horreur absolue (n° du 25-26 janvier 1979) avec l’interview pleine page de Jacques Dugué, violeur d’enfants (dont ses propres gamins) que le journal ne manque pas de louer pour « sa franchise quant à la sodomie » !

Une interview à vomir ! 

Militer ouvertement pour la sexualisation des enfants à travers des articles de son fondateur Serge July, qui défendait l’idée que l’on puisse aimer des enfants physiquement et s’insurger aujourd’hui (et là à juste titre) en se faisant procureur de causes dégueulasses, c’est un manque d’à-propos qui en dit long sur l’éthique desdits journalistes et lignes éditoriales.

Et dans le tas, on ne manquera pas de citer « Dany le rouge », chef de file des Verts et député européen, qui faisait encore récemment la promotion de son dernier bouquin, jamais interdit d’antenne, qui se vantait à travers son livre « Le Grand Bazar » se faire ouvrir la braguette et chatouiller par des enfants, et d’en être tout excité.

Un type qui à œuvré dans un jardin d'enfants…



Et pour ceux qui ont pu oublié, les Anonymous viennent de mettre en ligne ce petit rappel-vidéo : 

https://www.dailymotion.com/video/x2q43me_anonymous-daniel-cohn-bendit-quand-une-petite-fille-de-5-ans_news

Le même gugusse qui se permet, plus tard, de tancer « Bébé-Roux » parce qu’il avait balancé une claque à « un plus petit que lui » qui tentait de lui faire les poches, souvenez-vous…

« Mon boss à moi » a passé la tête dans le couloir, se demandant bien ce qu’il m’arrivait. Je lui explique : « L’ignoble, c’est plutôt bon signe : La morale « bourgeoise » a eu le dessus, maintenant qu’ils sont au pouvoir dans ton pays ! »

D’accord, lui ai-je répondu en me disant dans ma « Ford-intérieur » qu’il n’avait rien compris à rien.

Tout cela participe en fait à une vaste intoxication intellectuelle de soi-disant « penseurs » qui va jusqu’à imposer des cours d’éducation sexuelle dans les écoles et dans les maternelles et veulent encore faire avaler la « théorie du genre » comme d’une norme incontournable, même aux plus petits.

Qui sont ces personnes pour le moins dangereuses qui affirment que tous les petits enfants sont curieux en matière de sexualité ?

J’ai été gosse et si je me rappelle bien, « le sexe », c’est venu à la puberté dans le cadre de mes préoccupations majeures, pas à « l’ékole-mater-n’elle », et ça ne m’a plus jamais quitté, mais jamais à l’égard de « plus jeune que moi ».

D’ailleurs, la première plus jeune, de quelques mois, je l’ai épousée puis engendré « ma nichée » à moi.

Alors quels étaient, et sont encore, leurs buts ? 

Lorsqu’on analyse les idéologues de la « théorie du genre » les plus influents, on se rappelle découvrir des liens surprenant pour ma « morale bourgeoise » : Magnus Hirschfeld (1868-1935) par exemple, avait la réputation d’un « pionnier de la sexologie ». Pour pouvoir vivre librement son homosexualité, il a voulu effacer l’identité sexuelle !

Alfred Kinsey (1894-1956), le « père de la sexologie », était un sadomasochiste, qui a abusé d’enfants et de prisonniers.

Son successeur John Money (1921–2006) se faisait passer pour un scientifique en public, alors qu’en même temps il prônait les rapports sexuels en groupe et les « Fucking Games », qui sont des jeux pervers adressés à des enfants.

« Momone deux Beaux-voir » elle-même (1908–1986) a créé la formule suivante : « On ne naît pas femme, on le devient ». La grossesse n’était rien de moins, pour elle, qu’une mutilation et le fœtus un « parasite » !

La philosophe américaine Judith Butler, encore en vie, est elle-même lesbienne, ressent toujours l’hétérosexualité comme une prison, comme une discrimination de la nature. Selon elle les enfants ne sont pas conçus mais créés comme par un designer.

En outre elle revendique vigoureusement la suppression du tabou d’inceste.

Des penseurs de « progrès social » à utiliser en rempart de Daech, peut-être ?

Le pire, c’est que ces « idéologues-déjantés » ont tous une chose en commun : Malgré des infractions lourdes et incontestables à la loi commune, ils sont traités presque partout en experts reconnus, encensés et ne sont jamais accusés par la justice. 

Helmut Kentler (1928–2008) était un psychologue allemand et professeur en pédagogie sociale à l’université de Hanovre.

Il affirmait que :

– Un rapport sexuel avec un enfant n’est pas un délit quand on n’use pas de violence.

– Le tabou de l’inceste entre les parents et leurs enfants devait être supprimé.

– Chaque petit enfant aurait le besoin de masturbation. 

Là encore, c’est assez drôle : Je n’ai découvert que « jeune adulte » quand on me la pratiquait. Même que je trouve toujours ça « incomplet »…

Le professeur Uwe Sielert (né en 1949) pédagogue de la sexualité et professeur en chaire à l’Université de Kiel :

– Son livre « Lisa et Jan », un ouvrage d’éducation sexuelle pour des enfants de 4 à 8 ans, montre des actes sexuels entre enfants.

– « Il faut que les enfants expérimentent cette énergie vitale qu’est la sexualité, en « la palpant, la regardant, la ressentant, la goûtant et en l’écoutant ».

La professeure Elisabeth Tuider (née en 1973) sociologue, enseignante à l’Université de Kassel, aspire à atteindre son but, qui est de semer la confusion dans l’esprit des enfants :

– Des objets tels que des fouets en cuir, des menottes, des godemichés, etc. doivent faire partie du cours.

– Il faut que les adolescents organisent des « bordels pour tous » en cours.

Moi, c’était dans les couloirs du bahut, hors les cours, avec la prof’ d’Allemand à peine plus âgée que nous, qui était une « chaude-nature »…

Le professeur Stefan Timmermanns (né en 1968), professeur, a pour spécialité la pédagogie de la sexualité et l’éducation sexuelle :

– « Il faut que les enfants explorent leur corps mutuellement dans des coins à câlins.

– Il faut leur parler de la fellation et de la sodomie, des rapports sexuels en groupe et de la déglutition de sperme. »

Fascinant comme programme éducatif … !

Pourquoi ne poursuit-on pas en justice ces pédagogues de la sexualité s’ils font de telles déclarations, de véritables « pousse-au-crime » ?

Ursula Enders de l’association allemande « Zartbitter », un centre de contact et d’informations contre les abus sexuels de garçons et de filles, donc au contact avec les réalités-terrain et les victimes en dit que : « Une ‘‘pédagogie sexuelle de pluralité’’, qui travaille avec des méthodes sexuelles qui dépassent les limites porte une étiquette trompeuse.

C’est une nouvelle forme de violence sexuelle, qui de plus favorise les abus sexuels commis par des adolescents. »

Les tournantes dans les caves des zones, quoi !

En bref, on marche sur la tête depuis des décennies : Les bourreaux deviennent juge et procureur, les dangereux psychopathes érigent des règles à partager pour assouvir leurs propres perversités au lieu de se soigner, et à mon sens, il serait temps que l’on fasse taire tous ces fats !

Car en plus, le tout est fait au détriment des enfants, ces « petits-d’homme », à l’âge où ils sont les plus fragiles tels qu’ils ont besoin de leurs deux parents pour protéger leur développement.

Comment voulez-vous qu’on avance autrement pour en faire des adultes « hommes responsables » ?

Alors, imaginez-vous bien que de voir « ce torchon », tout d’un coup s’ériger en défenseur des droits des gosses après avoir été si longtemps, et avec constance, avoir été le procureur de la « morale bourgeoise », il y avait franchement de quoi se bidonner à en avoir le souffle coupé.

D’autant qu’ils en deviennent procureur des déviances d’ecclésiastes : C’est ce qui doit tant les motiver ! 

Et que pour bien faire, ils auraient simplement dû rappeler Matthieu (25:40) : « Je vous le dis en vérité, toutes les fois que vous avez fait ces choses à l'un de ces plus petits de mes frères, c'est à moi que vous les avez faites ».

Ça aurait eu plus de panache que de vouloir bouffer du curé, fut-il en pourpre.

Source :http://flibustier20260.blogspot.fr/2016/03/eclats-de-rire.html