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MEDIAPART : Seuls nos lecteurs peuvent nous acheter ! (II)

 

Je reprends, ci-dessous, la note « Seuls nos lecteurs peuvent nous acheter ! » qui sera mise en ligne le mardi 7 janvier sur le site de « I-Cube ».

« L’Ami-râle Haddock »

 

 

Les vœux de Plenel

Seuls nos lecteurs peuvent nous acheter !

 

Comme dirait l’autre, il y a le « feu au lac » depuis peu…

D’où mes 4 derniers posts de dimanche et lundi.

 

Rien de bien grave, comme chacun peut s’en douter.

Tout commence par un billet de la rédaction de Mediapart du 31 décembre de l’année dernière (2013, n’allez pas chercher plus ancien).

 

Je vous passe le premier des délires de celui qui a bouffé à tous les râteliers, auréolé de ses propres certitudes (vous savez que je n’aime pas le bonhomme, pour des tas de raisons très personnelles et parfaitement justifiées au moins de mon point de vue) :

« La France, grande personne, a droit à la vérité », disait Albert Londres… etc. », c’est dégoulinant à souhait.

 

D’ailleurs ça continue sur le même registre : « Mediapart n’accuse pas, Mediapart informe : Jérôme Cahuzac, Christine Lagarde, Bernard Tapie, le couple Balkany, Nicolas Sarkozy, Serge Dassault… », et blablabli et blabla-là, la meilleure eau c’est la « bad-oie » !

« …un message d’optimisme … un journalisme libre, indépendant, dynamique et pluraliste… enjeu citoyen… durable et solide. »

(Pas si solide que ça : Il faut lire jusqu’au bout…)

Et de finir par une offre alléchante de « payer pour voir » 3 mois à 20 €, au tarif supportant de la TVA à 20 % !

Au lieu de 90 €/l’an : La bonne affaire, n’est-ce pas ?

Non mais allo, quoi ? Ils délirent là !

Pas du tout, pas du tout.

 

Parce que bon, c’est justement le cœur du problème révélé quelques jours plus tôt (et dont plus personne ne se fait le relais depuis, la trouille aux fesses).

D’ailleurs, nous-mêmes avions averti Plenel qu’il avait intérêt à tirer toutes ses cartouches avant de mourir (que encore, chrétien comme pas deux, dans ce cas-là de menace imminente, il trouverait une porte ouverte chez moi : Même post du 11 avril dernier).

Bé ça n’a pas loupé.

Mais façon vacharde assez extraordinaire, faut-il reconnaître !

Parce que bon, rappelez-vous, tous « ces-gens-là » logent dans les mêmes … « loges » et qu’en plus Plenel est pote avec « François III » comme le kul de sa chemise, nous avait-on avertis…

 

Je reprends donc l’essentiel : Qui veut tuer Mediapart, du 27 décembre 2013 :

« Mediapart a reçu, jeudi 26 décembre, la première notification de redressement fiscal : pour nos trois premières années d’exercice (2008, 2009 et 2010), l’administration nous réclame déjà plus d’un million d’euros. À l’application d’une TVA discriminatoire sur la presse en ligne s’ajoute une pénalité de 40 %, augmentée d’intérêts de 4,8 % par an. Ce contrôle, imposé d’en haut et fait dans l’urgence, est donc bien destiné à tuer Mediapart (…)

 

Après une inhabituelle signification par voie d’huissier, reçue le mardi 17 décembre, le contrôle fiscal de Mediapart s’est pour l’instant limité à deux rendez-vous expéditifs, les vendredi 20 et lundi 23 décembre. Sans chercher à vérifier outre mesure et en s’appuyant sur des documents déjà préparés par les services de Bercy, les deux contrôleuses du fisc nous ont donc signifié, toujours par voie d’huissier, un redressement pour les trois premières années d’existence de Mediapart. Leur précipitation s’explique par leur volonté d’interrompre une éventuelle prescription en agissant avant le 31 décembre 2013. »

Y’a pas de prescription si il y a des déficits fiscaux (et crédits d’impôt) reportables… Mais on va apprendre qu’ils les ont « nettoyés » et utilisés, au moins partiellement.

 

« (…) Le document de vingt-quatre pages, daté du 24 décembre (Elles bossent vite, les « mignonnes » dites donc), que nous avons reçu le surlendemain n’est évidemment pas le fruit des brefs rendez-vous formels tenus, en présence de nos conseils, avec les inspectrices. Déjà préparé en haut lieu, puisque s’appuyant en partie sur une consultation des services du ministère des finances dont feront état oralement les deux inspectrices, cette notification ne tient aucun compte, au point de ne même pas les mentionner pour mémoire, de nos protestations écrites (procédure contradictoire oblige : S’il n’est pas fait mention des arguties du kontribuable, c’est une violation de la procédure qui entraîne une annulation des redressements quasi-automatique…)

 

Comportant des erreurs grossières sur la genèse de notre société, (…) il se fonde essentiellement sur l’application d’une TVA discriminatoire à la presse en ligne, condamnée depuis cinq ans par tous les pouvoirs publics au point que trois ministres viennent de répéter cet engagement de « neutralité fiscale » entre presse numérique et presse imprimée, mais il y ajoute de très lourdes pénalités comme si Mediapart avait été de mauvaise foi et avait dissimulé son combat pour l’égalité fiscale. »

Les pénalités de mauvaise foi, c’est mortel… Surtout quand on y applique des taux d’intérêt usuraires ci-dessus et dessous !

 

« C’est ainsi que nous nous voyons appliquer des pénalités de 40 % pour « manquement délibéré », anciennement qualifié de « mauvaise foi », auxquelles s’ajoutent des intérêts de retard de 4,8 % par an. Comme si nous étions des fraudeurs et des menteurs, alors que nous avons agi au nom du droit et en toute transparence ! De plus, sans vérification aucune auprès du ministère de la recherche, seul habilité à le valider s’agissant d’un secteur novateur et d’une entreprise pionnière, la même haute administration de Bercy entend annuler purement et simplement le modeste crédit impôt recherche dont a bénéficié Mediapart. »

Rhôôôô : Encore une erreur de procédure ! Les redressements sont donc nuls …

Pas la peine de pleurer, c’est déjà pesé et emballé avec un bon avocat !

 

« Au total, pour nos trois premières années d’existence, le fisc nous réclame (…) précisément 1.059.277 euros. Or ces trois premiers exercices furent déficitaires même avec la TVA légitime à 2,1 % : comme nos lecteurs le savent, nos comptes étant mis en ligne chaque année en mars, nous avons fini 2008 avec un résultat négatif de 2.825.229 euros, 2009 avec un résultat négatif de 2.133.196 euros et 2010 avec toujours un résultat négatif de 1.335.675 euros. Ce n’est qu’à partir de 2011 que Mediapart est devenu bénéficiaire, en ayant dépassé 40.000 abonnés individuels actifs payants. Si donc le fisc nous réclame déjà un million pour des exercices déficitaires, on imagine ce qu’il en sera pour les trois années suivantes – 2011, 2012, 2013 – qui furent bénéficiaires et qui feront l’objet des contrôles suivants à partir du 13 janvier prochain. »

Putain, Purée de péripatéticienne !

Ils en ont claqué du pognon (6.294.100 €) en trois ans…

Pas vraiment un modèle économique « durable », ça !

 

« Selon nos propres calculs, en appliquant le même dispositif punitif et discriminatoire, ce sont près de 6 millions d’euros que le fisc pourrait ainsi nous réclamer. Un chiffre faramineux à comparer à notre chiffre d’affaires probable de 2013, quand nous finissons l’année avec plus de 81.000 abonnés individuels payants : 6,8 millions de CA avec un résultat net au-dessus de 800.000 euros. Autant dire qu’il ne s’agit plus d’un contrôle mais d’une mise à mort.

Même si les contentieux nous laissent un délai, cette épée de Damoclès placée au-dessus de notre tête met en péril Mediapart, sa survie et son indépendance. »

Là, il rêve les yeux grands-ouverts !

Dans un redressement « de mauvaise foi », le fait de réclamer l’application du droit fiscal dans son entier, ce n’est pas du tout suspensif des paiements des droits et pénalités dues.

Déjà que quand la « bonne foi » est retenue, il faut payer, consigner d’abord et discuter ensuite (fallait râler déjà avec les radars automatiques quand « ils » ont apporté ce « magnifique progrès » à la loi pénale), là, l’épée, elle va tomber dans le délai de mise en recouvrement… et les têtes vont tomber.

 

« (…) La survie de Mediapart est réellement menacée par cette agression aussi illégitime qu’illégale. C’est comme si l'on ne voulait pas seulement nous faire payer nos audaces éditoriales, mais aussi notre succès entrepreneurial. Mediapart a montré, en peu d’années, que l’on pouvait réussir, créer des emplois (50 emplois en CDI au 1er janvier 2014 plus une vingtaine de collaborateurs réguliers, contre seulement 27 salariés au tout début), produire une richesse collective, construire une indépendance économique, par la seule vertu du travail journalistique.

(…)

Appliquer à un journal en ligne une TVA neuf fois supérieure à celle de la presse imprimée, c’est rien moins que lui mettre des fers aux pieds. C’est rendre impossibles sa progression et son développement face à la presse existante. (… Le type qui cause, là, il ne connaît décidément rien à la TVA qui reste un impôt-neutre, déductible pour n'être pas une charge et imputable sur la TVA amont : Il ne fera pleurer que les béotiens, et les nains du neurone, là ?)

Nos gouvernants savent-ils, par exemple, qu’en Belgique, pays qui abrite la capitale de l’Union européenne, le ministre des finances a fait savoir depuis octobre 2012, donc depuis plus d’un an, qu’il appliquerait une TVA à 0 % pour les journaux numériques ? Oui, un taux zéro, le même que pour les journaux et magazines imprimés ! »

Bon alors quoi ? S’il connaît la solution fiscale, la même qui poussait encore Robert Hersant à faire imprimer son canard en Belgique, alors que les bureaux sont avenue Matignon et les ateliers rue d’Aboukir en plein paris, qu’est-ce qu’il veut nous faire pleurer, là !

Mais bon dieu, qu’il tire ses exocets avant de ne plus pouvoir le faire : On attend que ça …

Et personnellement, je lui conseillerai de faire une association loi de 1901 pour la diffusion, cotisation 90 euros/an pour avoir accès au « bulletin » internet : C’est exonéré de TVA.

Et puis mes 80 salariés, j’irai les domicilier dans une société située dans un pays sans taxe sur les salaires (Irlande : Le niveau des charges sociales y est plus fort qu’aux Bermudes, ou Belgique) pour mieux les « détacher » dans une annexe à Paris comme actuellement…

La paix avec les Urssaf jusqu’en 2017, renouvelable jusqu’en 2020, et plus jamais ni d’IS ni de TVA en « Gauloisie-fiscale ».

Mais bon, il n’est pas mon client et n’est pas prêt de le devenir tellement il est trop kon, celui-là !

 

« (…) Nous hésitons à trouver le bon qualificatif pour juger l’attitude de nos gouvernants dans cette affaire. Impéritie, inconscience, indifférence, irresponsabilité, paresse, malignité, perversité ? Ou bien un peu de tout cela à la fois ? »

Plus que cela, jeune-homme qui veut nous faire prendre des vessies pour des lanternes : Règlement de comptes à « OK-Corral » !

En « Corsica-Bella-Tchi-tchi », ils usent de pains de plastic. Sur le continent, de l’armée du fisc…  

Mais j'avoue que de cirer les pompes de « L’Humanité » en effaçant sa dette au nom du pluralisme démocratique et faire caguer une boutique qui s'en sort, je ne vois pas très bien la logique, sauf à parler de censure dictatoriale et liberticide, naturellement !

 

Et tu n’as pas encore compris que tes « frangins-trois-points » (sans doute états-uniens) quand ils t’ont demandé d’allumer « Cas-zut-hack » en violation de toutes les lois du serment de « solidarité-infinie » qui lient tous les francs-maçons du monde, tu étais en service commandé d’intérêts-supérieurs qui te dépassent de la tête et des épaules.

Et que les mêmes, chez nous, ils n’ont pas compris et ont répondu à la détresse du ministre fraudeur par une vacherie-fiscale qui te tombe sur le râble.

 

Que toi-même, si tu veux t’en sortir, faut que tu montres tes muscles et tires tes exocets.

Sans ça, « kass-toi » vite-fait pour mettre juridiquement une frontière entre ceux-là et toi : Le « frangin-jéjé » et ses potes, ils ont encore des munitions et des paquets de dollars…

Et comme ils ont toutes les chances d’être des asociaux pathologiques, au moins autant que toi, ça peut faire mal.

 

À ma République : Elle est pourrie, il est vrai, jusqu’à la moelle et depuis le sommet, bien malgré lui peut-être, mais j’y tiens encore !

 

 

« Tintin » a trois exocets à sa disposition :

Lettre humoristique à Edwy Plenel

Guerre du Golfe et capitulation sans condition de Bercy !...

Les Vœux de « L’Ami-râle Haddock » à « François III » !...

 


Les Vœux de « L’Ami-râle Pad-Ock » à « François III » !...

 

 

Les aventures de « Tin-tinne » et de « l’Ami-râle Pad-Ock »   (III)

 

 

AVERTISSEMENT : Les noms de lieu et des acteurs de ce billet humoristique ne désignent absolument personne en particulier.

 

Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite !    

 

En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou humoristique ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle !

 

Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

 

 

Cher Président,

Vous avez adressé tous vos vœux aux « Gaulois » et aux « Gauloises », et je vous en remercie !...

Comme vous êtes un fervent humoriste, je me permets de vous adresser, en retour, mes vœux sous le pseudo humoristique de « L’Ami-râle Pad-Ock » que vous connaissez puisque vous êtes un ami de 30 ans de « Tin-tinne » !...

« Tin-tinne » qui n’est pas très content, d’ailleurs, puisqu’il commence l’année par un redressement fiscal qui devrait atteindre 6 millions d’euros !...

Et, comme nous avons eu tellement d’aventures ensemble du temps où j’étais le « Capitaine Pad-Ock », vous pensez bien que je ne peux qu’accourir à son secours !...

« L’Ami-râle Had-Ock » a en effet adressé, le 22 décembre dernier, une « Lettre humoristique à Edwy Plenel » dans laquelle il raconte comment il a déposé des informations, le 19 janvier 1998, à la Brigade de contrôle et de recherche (BCR) du Havre, dépendante de la Direction nationale des enquêtes fiscales (DNEF), au sujet du détournement par « Myth-Errant » et ses mafieux des 3,5 milliards de dollars d’indemnités de la guerre du Golfe de 1991 !...

Il faut aussi ajouter à ce montant les fonds de l’escroquerie à 21 milliards de dollars réalisée lors de l’extinction des 1164 puits de pétrole en feu au Koweït en 1991.

Ces deux dossiers forment en valeur 2014 un total de près de 55 milliards d’euros.

Une valeur réaliste si les fonds détournés ont été bien placés, notamment auprès de l’Allemagne qui empruntait au début des années 1990 à un taux de 4,9% pour sa réunification.

Compte-tenu de ces dossiers dignes d’une véritable « Raie-Pue-Blik-Bananière » - vraiment désolé d’écrire cela - « L’Ami-râle Pad-Ock » a mis ensuite en ligne une note intitulée « Guerre du Golfe et capitulation sans condition de Bercy !... » pour signifier qu’une action d’envergure serait entreprise si la « Forteresse Bercy » ne cédait pas !...

Mais, pour une opération très lourde, il faut au moins compter sur « Tin-Tinne », « L’Ami-râle Pad-Ock », les policiers « Du-Pont et Du-Mont », le capitaine de corvette « Paul de Bréveuil », le « colonel KOS », et surtout sur « maître Rouflaquette » accompagné du « terrible bichon Léon » !...

En effet, il faut rappeler que le « terrible bichon Léon » a déjà cruellement mordu « Jack-Ouille !.. », un tenancier précédent du Château, et qu’il a ainsi su montrer qu’il était vraiment féroce !...

Ouaf !... Ouaf !...

Après avoir été mis à la porte de « Château », et être devenu un « Sans niche fixe », il avait été sauvé de la misère par « maître Rouflaquette » qui passait par là à la recherche des indemnités de la guerre du Golfe !...

Fort heureusement, un solide régime « Bœuf-carottes » imposé par son nouveau maître a permis au « bichon Léon » de se refaire une santé !...

Mais le « terrible bichon Léon » n’a pas du tout apprécié qu’à la date du 1er janvier 2014, MEDIAPART n’ait pas encore reçu la capitulation de la « Forteresse Bercy », car son maître ne le caresse plus, tellement il est de « mauvais poil » !...

Ouaf !... Ouaf !...

Le redressement fiscal n’est toujours pas annulé !...

C’est dommage, parce que, cher « François III », vous êtes un grand humoriste qui est absolument pour rien dans cette affaire que vous essayez de régler discrètement avec « Jean-Marc Héros », Premier ministre, « Jean-Yves Le Drie-an », ministre de la défense, ainsi qu’avec des inspecteurs généraux de la « Forteresse Bercy », tous embêtés par ces épouvantables détournement de fonds publics.

Parce que ce n’est quand même pas un cadeau d’hériter de ces dossiers, surtout qu’il y a encore près de 11 milliards d’euros à récupérer.

Car, d’après certaines informations, l’opération de récupération des fonds détournés est toujours en cours après avoir été initialisée par « Bling-bling », notre « ex-Divin-et-Ô-combien-vénéré-Président ».

Celui-ci en a placé une première tranche de 35 milliards d’euros dans le grand emprunt 2010, comme c'est raconté dans le roman « Opération-Juliette-Siéra ».

La deuxième tranche, qui devrait être débloquée cette année, se monterait ainsi à 11 milliards dont une partie serait notamment destinée aux recettes exceptionnelles de la Défense pour 2014 !...

Dans la Tribune du 2 juillet 2013 il est précisé que :

 « Selon des sources concordantes, le ministère de la Défense travaille en étroite relation avec Matignon et Bercy, sur des recettes exceptionnelles provenant du programme d'investissement d'avenir (PIA) pour compléter le budget 2014 ».

Le ministre de la Défense avait été clair, très clair même. "Les recettes exceptionnelles seront au rendez-vous", avait assuré en dépit d'une contrainte budgétaire de plus en plus forte Jean-Yves Le Drian, un peu avant le salon aéronautique du Bourget (17-23 juin).

"J'ai besoin de 1,3 milliard en 2013, je les ai, et j'ai besoin de 1,8 milliard en 2014, je les aurai".

Car l'élaboration du projet de budget de la défense à hauteur de 31,4 milliards d'euros reste très liée à l'obtention de recettes exceptionnelles, les fameuses REX.

En revanche, il n'avait pas été très disert sur la provenance de ces REX… »

Il n’y a pas de danger que le ministre « Jean-Yves Le-Drian » commence à causer sur la provenance des REX car il lui faudrait, peut-être, remonter jusqu’en 1991 et dévoiler que l’opération de récupération des indemnités de la guerre du Golfe et de l’escroquerie sur l’extinction des puits de pétrole en feu au Koweït est en cours !...

Tonnerre de Brest !...

En attendant, nos soldats qui souffrent du syndrome de la guerre du Golfe peuvent continuer à mourir, sans reconnaissance de l’Etat et encore moins avec des indemnités !...

J’accepte très mal cette situation car j’ai écrit maintes fois que les indemnités de la guerre du Golfe devaient, d’une façon ou de l’autre, revenir à la Défense pour notamment indemniser nos soldats dont certains ont payé de leur vie, et d’autres de leur santé, le fait d’avoir participé à l’Opération Tempête du désert.

Tout cela pour défendre un monde libre, débarrassé d’un totalitarisme guerrier qui s’était développé au Moyen-Orient !...

Mille millions de mille sabords !...

 

Aussi, lorsque les fonds seront récupérés, j’espère que vous interviendrez, en tant que chef suprême des Armées, afin d’en consacrer une partie pour :

1/ Payer la prime de guerre promise à nos soldats qui ont participé à l’Opération « Tempête du Désert », avec une majoration de 40% pour avoir pris nos militaires pour des « Pov’kons », et avec une autre majoration de 4% par année de retard !...

C’est ce qui a été appliqué pour le redressement fiscal de MEDIAPART et c’est ce qui doit logiquement être appliquée par Bercy, en sens inverse !...

Un juste retour des choses !... ;

2/ Indemniser décemment nos soldats qui sont victimes du syndrome de la guerre du Golfe ;

3/ Créer la « Fondation Division Daguet », destinée à nos soldats tués ou blessés en opération, et la capitaliser à hauteur d’environ 73 millions d’euros (1% des fonds détournés) ;

4/ Construire 3 grands voiliers-écoles de 85 mètres au pont pour la formation maritime et humaine des jeunes.

 

Voilà ce que je voulais, cher Président, vous dire d’une façon humoristique tout en vous adressant tous mes vœux pour cette nouvelles année, qui, je l’espère, vous apportera de nombreuses satisfactions.

« L’Ami-râle Pad-Ock »

 


Guerre du Golfe et capitulation sans condition de Bercy !...

 

 

Les aventures de « Tin-tinne » et de « l’Ami-râle Pad-Ock »   (II)

  

 

AVERTISSEMENT : Les noms de lieu et des acteurs de ce billet humoristique ne désignent absolument personne en particulier.

Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite !    

En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou humoristique ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle !

Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

 

J’ai adressé, le 22 décembre dernier, un courrier humoristique à « Tin-tinne », rédacteur en chef de MEDIAPART :

http://blogs.mediapart.fr/blog/jean-charles-duboc/221213/lettre-humoristique-edwy-plenel

Dans cette lettre, je raconte comment « L’Ami-râle Pad-Ock » a déposé des informations, le 19 janvier 1998, à la Brigade de contrôle et de recherche (BCR) du Havre, dépendante de la Direction nationale des enquêtes fiscales (DNEF), au sujet du détournement, par « Myth-Errant » et ses mafieux, des 3,5 milliards de dollars d’indemnités de la guerre du Golfe de 1991.

Une affaire incroyable digne d’une « Raie-Pue-Blik-Bananière » !...

Mille millions de mille sabords !...

L’enjeu est tout simplement la survie de MEDIAPART, pris à la gorge par Bercy qui a lancé un redressement fiscal portant sur l’application de la TVA à la presse électronique.

En effet, d’un côté, la presse est taxée au taux de 2,1%, tandis que, d’après Bercy, la presse du web doit être taxée au taux de 19,6% !...

Une sacrée différence, avec un redressement qui se monterait à près de 6 millions d’euros !...

 

Dans ce courrier humoristique à « Tin-tinne », je rappelle les 14 courriers, relatifs au détournement des indemnités de la guerre du Golfe que j’ai envoyés, depuis 1998, aux ministres des finances qui se sont succédé à Bercy !...

Et je n’ai jamais eu de réponse !...

La somme dérobée se monte à 7,3 milliards d’euros, en valeur 2010, année où « Bling-bling » notre « ex Divin-et-Ô-combien-vénéré-Président » a organisé le rapatriement des fonds qu’il a placés dans le « Grand Emprunt 2010 ».

Parce que le « Grand Emprunt 2010 » n’est qu’un montage financier !...

On peut avoir une idée du génie des inspecteurs généraux des finances de la forteresse Bercy dans le roman « Opération Juliette-Siéra » de « I-Cube », qui raconte cette affaire :

http://infreequentable.over-blog.com/article-operation-juliette-siera-xix-53521846.html

 

Mille sabords !...

Le « Grand Emprunt 2010 » se monte à 35 milliards d’euros.

Les fonds auraient été récupérés sur un trust à Londres où se trouvaient  les indemnités de la guerre du Golfe, plus de 7 milliards d’euros, auxquels se sont ajouté une partie des fonds escroqués lors de l’opération sur l’extinction des puits de pétrole en feu au Koweït.

En effet, le Koweït a signé un contrat de 22 milliards de dollars avec Joseph Ferrayé et Christian Basano pour éteindre les puits en feu avec la technologie à l’azote liquide (-200°).

Le contrat se monte à 21 milliards de dollars de l’époque, soit 43 milliards en valeur actuelle.

Ils n’ont rien touché.

Grâce à cette technologie, l’extinction des puits en feu a coûté seulement un milliard de dollars, ce qui explique les 21 milliards de dollars escroqués au Koweït en 1991.

En valeur actuelle on approche les 43 milliards d’euros.

Avec de l’argent bien placé à 4,9% auprès de l’Allemagne, qui cherchait des fonds après la réunification, on approche les 48 milliards d’euros en valeur 2013 !...

 

Il faut bien différencier les deux dossiers :

1/ Le détournement des indemnités de la guerre du Golfe 1991 qui représentent 7,3 milliards d’euros ;

2/ L’escroquerie sur l’extinction des puits de pétrole en feu au Koweït qui atteint les 48 milliards d’euros.

On arrive ainsi à un total de fonds détournés qui atteint 55 milliards d’euros.

 

Ça a tellement hurlé, notamment à la « CYA » qui avait avancé 15 milliards pour calmer les Koweitiens, que « Bling-bling » a organisé la récupération d’une partie de ces fonds.

Ceux-ci ont été placés ensuite dans le « Grand emprunt 2010 » pour un montant de 35 milliards d’euros.

Une partie a servie à rembourser les Américains qui avaient mis la pression sur le gouvernement.

C’est-à-dire qu’il y a encore 20 milliards d’euros qui se baladent dans la nature !...

D’où, peut-être, les 15 millions d’euros sur le compte de « Cas-zut-hac », et les 7 millions d’euros de l’appartement du fils de « Laure-Rend-Fafa » !...

Amusant, n’est-ce pas ?...

Par contre, ce qui est moins amusant, c’est que Bercy va faire un redressement fiscal de près de 6 millions d’euros à MEDIAPART alors qu’ils laissent dans la nature, sans broncher, des milliards d’euros !...

D’où le courrier humoristique à « Tin-tinne », car « L’Ami-râle Pad-Ock » est franchement de « mauvais poil » !...

Trop, c’est trop !...

 

Logiquement, Bercy va tout faire pour éteindre l’incendie.

En effet, le ministère des « Phynances » va tout faire pour éviter que « Tin-tinne » sorte du bois pour mettre son nez dans ce « Méga-bourbier » que constitue la disparition des indemnités de la guerre du Golfe ainsi que l’escroquerie sur l’extinction des puits de pétrole en feu au Koweït !...

Parce que là, la publicité qui serait faite sur ces deux affaires provoquerait dans l’opinion publique des dégâts considérables pour l’image d’un des principaux ministères de notre « Raie-Pue-Blik-Bananière » (RPBB).

Aussi, je prévois une capitulation sans condition de Bercy, et cela pour le début de la prochaine semaine.

En effet, j’ai l’expérience de l’arrêt de la grève des pilotes de ligne de juin 1994.

C’était l’époque où je n’étais que le « Capitaine Pad-Ock » dans mes interventions humoristiques auprès des politiques et des journalistes.

Depuis, j’ai pris du grade !...

Mille sabords !...

J’ai détaillé mon action dans ce courrier :

http://euroclippers.typepad.fr/alerte_ethique/lettre_dsk_du_8_juin_1998_grve_des_pilotes/

A l’époque, en tant que commandant de bord B747 à « Air Transe », j’étais en contact constant avec les dirigeants du syndicat national des pilotes de ligne (SNPL), notamment avec « Jean-Charles Corps-Bête », président du Bureau « Air Transe » et  « Carre-Los Garre-SIA » qui était un camarade de ma promotion EPL A14, à ENAC, en 1971.

Dès janvier 1998, je les ai informés du dépôt à la BCR du Havre de mes informations sur le détournement de plus d’un milliard de dollars, par « Myth-Errant », des indemnités de la guerre du Golfe de 1991.

Une grève très dure a été lancée par le SNPL le 1er juin 1998, c'est-à-dire une semaine avant le Mondial de Football, un événement planétaire sur lequel les médias du monde entier étaient focalisés.

J’ai ouvert les hostilités le 2 juin en envoyant un courrier à « Jean-Pascal Beau-fret », directeur général des impôts.

Lorsque j’ai transmis cette lettre à « Jean-Charles Corps-Bête », il m’a déclaré qu’il allait révéler le détournement des indemnités de la guerre du Golfe par « Myth-Errant » si la direction « d’Air Transe » lançait « ses chevaux de guerre » dans les médias !...

Compte tenu de la détermination du président du SNPL, et de la probabilité d’une semaine très dure, j’ai envoyé, le 8 juin 1998, un courrier à « Déesse-Kha », ministre des Finances, lui rappelant le dossier.

J’ai aussi faxé cette lettre aux syndicats de pilotes puis au syndicat des mécaniciens navigants (SNOMAC) dont le président, Michel Drouard, était un ami, aujourd’hui décédé et à qui je dois de rendre hommage pour son courage et sa ténacité.

Mais j’ai aussi envoyé ce courrier à la présidence « d’Air Transe », au cabinet de « Déesse-Kha », à l’AFP et à l’ensemble de la presse !...

Et le résultat a été immédiat, impensable…

En effet, lorsque j’ai écouté la radio le matin du 9 juin, j’ai eu l’incroyable surprise d’entendre qu’un accord avait été conclu pendant la nuit entre le SNPL et la direction « d’Air Transe » et que la grève s’arrêtait !...

C’est ainsi que la grève des pilotes de ligne de juin 1998 s’est arrêtée d’une façon que tous les acteurs et les observateurs ont qualifié ῝d’incompréhensible῝ !...

Il a fallu une semaine pour que Bercy capitule en rase campagne.

C’est le temps qu’il va falloir pour que Bercy cède face à MEDIAPART.

Aussi, j’anticipe une capitulation de Bercy pour le lundi 30 décembre ou le mardi 31 décembre 2013.

Car plus le temps passe et plus la note « Lettre humoristique à Edwy Plenel » risque de passer à la « Une » de MEDIAPART.

Dans ce cas-là, la situation sera ingérable et explosive car ce sont des dizaines de milliers de lecteurs qui vont prendre connaissance d’un seul coup d’une affaire d’une gravité extrême qui ne pourra pas rester bien longtemps ignorée des médias.

Mille millions de mille sabords !...

 

« L’Ami-râle Pad-Ock »

 


Lettre humoristique à Edwy Plenel

 

 

Les aventures de « Tin-tinne » et de « l’Ami-râle Pad-Ock »   (I)

 

 

AVERTISSEMENT : Les noms de lieu et des acteurs de ce billet humoristique ne désignent absolument personne en particulier.

Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite !    

En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou humoristique ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle !

Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

 

  

Cher « Tin-tinne »,

 Je suis de « mauvais poil » !...

Mille sabords !...

Je suis de « mauvais poil » parce que je n’admets pas que le ministère des finances essaie de te museler – de te faire disparaître ?... – alors que j’ai mis en ligne des notes sur MEDIAPART sous le pseudo de « Capitaine Haddock » ou encore de « l’Ami-râle Pad-Ock » !...

Tonnerre de Brest !...

J’ai bien pris connaissance du texte « Presse en ligne: les ministres interpellés », du 20 décembre 2013, qui explique que l’administration fiscale désire appliquer une TVA à 19,6 %, c’est-à-dire installant une distorsion de concurrence par rapport à la presse imprimée taxée à 2,1 %.

Absolument injustifiable !...

De plus, j’ai comme l’impression que les deux inspectrices qui sont venues te voir ne réalisent pas que tu as une « bombe thermonucléaire politique » entre les mains et qu’elles font tout pour taper sur le détonateur !...

En effet, elles semblent ignorer que sur le site MEDIAPART se trouvent les courriers que j’ai adressés, depuis 1998, aux différents ministres des finances au sujet du détournement, par « Mythe-Errant », des 3,5 milliards de dollars d’indemnités de la guerre du Golfe de 1991 !...

Je me dois de faire un rappel pour les lecteurs qui ne connaissent pas cette affaire absolument ahurissante.

Il faut savoir, en effet, qu’au titre de l'indemnisation des dépenses militaires de l'opération Tempête du Désert, les USA ont reçu du Koweït 13,5 milliards de $, le Royaume Uni 1,4 Md$, la Turquie 1,4 Md$, l'Égypte 970 millions de $, le Zaïre 20 millions de $, et que 6,89 milliards de $ ont été attribués en "dépenses extraordinaires et d'urgence". (Courrier International du 28 novembre au 2 décembre 1998).

Et rien pour la France ?...

D’après une information que j’ai eue en novembre 1997, l’argent aurait été détourné par « Mythe-Errant » et quelques complices !...

La première réaction d'incrédulité passée, j'ai pu faire, un peu plus tard, une confirmation de cette information au plus haut niveau de l'État-major des Armées.

En effet, par mes activités professionnelles de commandant de bord B747 à « Air Transe », et associatives, en tant que président du laboratoire d’idées les « Clippers de Normandie », j’étais en contact avec de très hauts gradés de l'État-major de la Marine nationale, et de l'Armée de l'Air.

J’ai été immédiatement révolté, car ces indemnités de guerre sont celles du sang de nos soldats !...

Tonnerre de Brest !...

Une réunion a eu lieu le 19 janvier 1998 à la Brigade de Contrôle et de Recherche (BCR), de la Direction Générale des Impôts, à l'Hôtel des Finances du Havre, pour déposer cette information sur un détournement que je savais supérieur à un milliard de dollars.

Elle a été enregistrée par « Pascal Ajour » et « Bernard Bon », inspecteur et contrôleur à la Brigade d'Intervention Interrégionale de Lille, ainsi que par « Philippe Coi-l’eau » et « Michel Mare », contrôleurs divisionnaires à la Brigade de contrôle et de recherche (BCR) du Havre, dépendante de la Direction Nationale des Enquêtes Fiscales (DNEF).

 

Afin de ne pas laisser moisir ce dossier dans un tiroir, j’ai envoyé ensuite un courrier :

1/ Le 22 février 1998, à la BCR du Havre ;

2/ Le 02 juin 1998, à « Jean-Pascal Beau-fret », Directeur Général des Impôts.

Ce courrier a été envoyé pendant la première journée de grève des pilotes de ligne de la compagnie « Air Transe », pendant le Mondial de Football.

J'étais en contact constant, à l'époque, avec des collègues de promotion responsables du Syndicat National des Pilotes de Ligne ;

3/ Le 08 juin 1998, à « Déesse-Kha », ministre de l'Économie des Finances et de l'Industrie.

Ce courrier a été faxé, lors de la première journée de la deuxième semaine de la grève des pilotes, au ministre mais aussi à une grande partie de la Presse.

Il avait été entendu, auparavant, avec « Jean-Charles Corps-Bête », président du Bureau « Air Transe » du SNPL, que si la Direction de la compagnie déclenchait une forte offensive dans la Presse et les Médias, le SNPL allait lâcher sur les ondes, en mondovision, l'information du vol des indemnités de la Guerre du Golfe par l'Arsouille.

L'effet était garanti. La grève s'est arrêtée dans la nuit du 8 au 9 juin. Nous avons été tous très surpris de la rapidité de la capitulation en rase campagne du gouvernement.

Le dossier était vraiment très chaud ;

4/ Suite à ce courrier, et à l'arrêt de la grève, j'ai reçu le 6 juillet 1998, un courrier de « Bernard Paie-hisse » », du bureau CF 1 de la sous-direction du Contrôle Fiscal à la Direction Générale des Impôts, qui m'informait que « je comprendrais que la règle légale du secret fiscal ne me permet pas d'être informé des suites des faits dont j'ai avisé les services fiscaux du Havre ».

En bref, j'ai le devoir de payer des impôts, la possibilité d'être contrôlé fiscalement, mais pas de demander des comptes sur la gestion de l'État, s'il y a des anomalies ;

5/ Le 29 août 1998, de nouveau à « Déesse-Kha » ministre de l'Économie et des Finances ;

Ce courrier demande au ministre de transmettre les résultats de l'enquête au SNPL. Sans réponse ;

6/ Le 23 novembre 1998, encore à « Déesse-Kha ».

Je réitère ma demande sur l'enquête en cours en précisant que « Bernard Paie-hisse », de la sous-direction du Contrôle Fiscal, responsable du dossier, m'a confirmé que je n'ai pas accès aux résultats de cette enquête. Sans réponse ;

7/ Le 27 décembre 1999, à « Christian Sauté », ministre de l'Économie et des Finances.

Je demande simplement que le ministère me communique la somme reçu par la France au titre des indemnités de la Guerre du Golfe. Sans réponse ;

8/ Le 21 février 2000, de nouveau à « Christian Sauté », sous forme d'une lettre ouverte envoyée à la Presse. Question identique, toujours sans réponse ;

9/ Le 3 avril 2000, à « Laure-rend Fafa », ministre de l'Économie, des Finances et de l'Industrie, sous forme d'une lettre ouverte. Sans réponse.

10/ Le 20 juillet 2000, à « Laure-rend Fafa », une nouvelle fois, et toujours sans réponse ;

11/ Le 20 avril 2006 à « Thierry Breu-thon », ministre de l’Economie et des Finances où je l’informe que cette affaire pourrait être liée à l’apparition du « Groupe de pression à caractère terroriste AZF »

Petit succès avec le déclenchement de l’affaire Clearstream quelques jours après;

12/ Le 20 juin 2008, à « Christine Regarde-là », ministre de l’Economie ;

13/ Le 14 août 2009, de nouveau à « Christine Regarde-là », sans réponse ;

14/ Le 12 mai 2010, encore à « Christine Regarde-là » et toujours sans réponse !...

 

En fait, je n’ai jamais eu de réponse, en 15 ans, d’un ministre des Finances sur ce détournement de fonds !...

Fort heureusement, je suis rentré en contact avec « L’Invraisemblable Ignoble Infreequentable » qui a rédigé un roman intitulé « Opération Juliette-Siéra », lequel raconte comment les fonds de la guerre du Golfe ont été placés dans un trust à Londres, puis récupérés dans le grand emprunt 2010 !...

Dans ce roman, l’hypothèse développée est que « Mythe-Errant » a détourné les fonds en question pour porter un coup définitif à l’ultralibéralisme financier !...

Serait-ce stupéfiant de la part du « Florentin » ?...

Pour ma part, je privilégie l’hypothèse mafieuse, bien je n’ai pas d’idée précise sur les voyous qui ont fait le coup car l’organisation dépassait « Mythe-Errant », lequel n’a pu que suivre, en acquiesçant.

Il y a plusieurs célébrités qui ont pu prendre la direction de l’affaire comme, par exemple, le « chimpanzé-en-rut-du-Soft-y-tel », « Bernard Attila », « Laure-rend-Fafa », ou d’autres encore…

Car c’est quand même curieux cette affaire de l’appartement à 7 millions d’euros du fiston de « Laure-rend-Fafa » !...

D’où vient le pognon ?...

Ce n’est pas MEDIAPART qui pourrait se payer un siège social à 7 millions d’euros, surtout après le redressement fiscal sur trois ans qui vous attend !...

Bizarre !... Bizarre !...  Comme pourraient dire les policiers « Du-Mont et Du-Pont » !...

Car il faut que tu saches que le dossier du détournement des indemnités de la guerre du Golfe était sur le bureau du préfet de la « DS-Thé » dès le milieu 1998.

Et puis, maintenant, il doit être en bonne place dans les dossiers ultra-sensibles de la « DCR-Hips !.. » (tous bourrés, de voir un tel bordel) !...

Fort heureusement, les Du-Mont et Du-Pont vont arriver au bon moment pour mettre les pinces aux voleurs lorsque nous les aurons identifiés !...

Enfin !...

Mille millions de mille sabords !...

Tout cela est repris sur mon blog « Alerte éthique », spécialement dédié à cette affaire : http://euroclippers.typepad.fr/alerte_ethique/

Et n’imagines pas que je suis un « antisocialiste primaire » !...

Tonnerre de Brest !...

Je m’attaque simplement à la corruption de nos élites, à gauche comme à droite !...

D’ailleurs, j’ai mis une note intitulée « Demande de prime d’aviseur sur le trafic de diamants de « Gys-Car-Le-Viandard », au sujet d’un vieux mafieux de droite !...

Et celui-là, j’aimerais bien l’avoir à mon tableau de chasse !...

Il trônerait bien dans mon salon !...

Tonnerre de Brest !...

Car, de la même façon, je n’ai jamais eu de réponse de Bercy sur la véritable affaire des diamants de « Beau-Kassa »!...

J’ajoute, qu’afin d’éviter toute interprétation hasardeuse, tu peux découvrir un aperçu de ma sensibilité politique ici.

Pour revenir à la guerre du Golfe, il faut savoir que la demande de prime d’aviseur que j’ai faite, suite à mon dépôt d’information, lève la prescription des dix ans ; il est encore temps de transmettre le dossier à la justice.

Cette demande de prime d’aviseur se monte à 1% des 7,3 milliards d’euros détournés, en valeur 2010, soit 73 millions d’euros.

Une très grande partie, c’est-à-dire 72,8 millions d’euros, est destinée à la création de la « Fondation division Daguet », laquelle aura pour objet d’indemniser nos soldats tués ou blessés en opération.

En fait, j’ai l’intention de ne garder que l’équivalent d’une année de salaire d’un inspecteur général des finances. C’est tout à fait raisonnable, puisque, depuis 1998, je fais leur travail qui consiste souvent à récupérer des fonds non-encaissés !...

Et puis, il faut quand même que, pour sa retraite, « l’Ami-râle Pad-Ock » puisse se constituer une sérieuse réserve de Loch Lomont !...

Mille sabords !...

Enfin, puisque tu es en contact avec deux charmantes inspectrices des impôts, peut-être pourras-tu obtenir une réponse à cette fameuse interrogation : « Où sont passées les indemnités de la guerre du Golfe de 1991 ?... ».

Tu risques d’avoir du succès, mais tu n’auras aucune réponse, ni de Bercy, ni des inspectrices. Celles-ci deviendront subitement muettes comme le sont devenus les quatre inspecteurs à qui j’ai transmis le dossier et qui ont été persécutés par leur hiérarchie.

D’ailleurs, « Michel Mare », contrôleur divisionnaire à la Brigade de contrôle et de recherche du Havre, y a, apparemment, laissé sa peau !...

Tandis que « Philippe Coi-l’eau » a dû s’arrêter en raison du harcèlement de ses supérieurs qui lui ont reproché de « connaître trop de monde ! » … Il a été mis dans un placard, puis recasé dans une perception de Haute-Normandie après avoir menacé de saisir les syndicats.

Quelle honte !...

Et oui, Bercy et sa haute hiérarchie musèle les inspecteurs trop curieux, ceux qui font leur travail.

Comme ils essaient de faire taire les journalistes qui ne sont pas ῝aux ordres῝ !...

Mais il y a d’autres méthodes : il suffit que tu te rappelles les suicides de Pierre Bérégovoy et François de Grossouvre.

Les crapules sont prêtes à tout, et c’est la raison pour laquelle il est nécessaire d’apporter au public un peu plus d’information sur cette affaire qui signe le développement d’un « totalitarisme mafieux », lequel peut très bien évoluer vers une dictature.

C’est l’objet de ce courrier.

Pour terminer, cher « Tin-tinne », si tu passes par mon petit village du Pays-de-Caux, sache qu’il y a une bouteille de Loch Lomont, mon nectar favori, qui t’attends !...

Mille millions de mille sabords !...

Joyeux Noël à toi et à ton équipe !...

 

« L’Ami-râle Pad-Ock »