Humour Flux

Histoires Corses, les vraies : « Macagna » de Dumè.

Diverses…

   

Place San-Nicolao à Bastia, Ange sort du café des sports complètement « sborgné » (saoul).

Le lendemain il réapparait devant ses copains de comptoir, complètement platré de partout.

«  – Aò, Ange ! Qu’est-ce qui t’es arrivé ?

– Eh bè, il m’est arrivé qu’à peine sorti du café hier soir, j’ai trébuché et une moto m’a roulé sur le bras gauche.

– Et ensuite ?

– Ensuite ? Ensuite je n’ai pas eu le temps de me relever qu’un train me passe sur le bras droit. Là je tente de me redresser… et c’est un hélicoptère qui me percute la tête. Quant aux jambes, c’est la faute à la voiture de pompiers.

– Aiò , Ange ! Tu nous macagnes, là ?

– Ho dites, si vous ne me croyez pas, vous n’avez qu’à aller demander au type qui tient le manège, là-bas sur la place ! »

 

Le maître fait sa leçon d’arithmétique aux élèves de l’école municipale de Vivario.

« – Bien, maintenant nous allons passer aux exemples. Tiens, toi Mattèu. Ton père achète une bonbonne de vin de 10 litres. Sachant que le vin coût 1 euro le litre, combien ça fait ?

– Euh… ça fait, ça fait… trois jours !

– Comment ça « trois jours » ? Tu ne connais pas l’arithmétique ?

– Non, mais je connais mon père ! »

 

Trois copines font leur jogging sur la plage de Marana au sud de Bastia.

À un moment elles tombent sur un type allongé sur le sable, complètement nu, avec juste Corse-matin déplié sur la tête.

« – Mì comme il est beau ! Il est pas de Bastia, celui-là.

– Pfff, même pas Corsu, il sera !

– En tout cas, ce n’est pas ton mari ! »

 

Les trois même, une fois rabibochées, se retrouvent à la pause déjeuner pour papoter.

Elles discutent de tout et de rien, et souvent de sexe. Ce jour-là, il est question de fellation.

« – Je ne sais pas si ça vous fait pareil, mais moi quand je lui fais une fellation à Mattèu, eh bé il a le sexe chaud et les testicules froids.

– Tiens c’est vrai ça ! Moi aussi, quand je lui fais une fellation à mon Anton, il a le sexe chaud et les testicules froids !

– Eh bé moi, je ne sais pas. Je ne lui ai jamais fait. »

Le lendemain à l’heure du café matinal la troisième arrive avec des lunettes de soleil sur le nez.

« – Mì ! Pourquoi tu portes des lunettes de soleil, toi ? Il y’en a même pas ce matin !

– C’est pour cacher mon œil au beurre noir…

– Un œil au beurre noir ? Montres-nous ! Bouh ! Mais qu’est-ce qui s’est passé ?

– Eh bé, té ! J’ai fait la fellation à mon homme pour savoir s’il avait le sexe chaud. Mais bizarrement, les testicules aussi… Alors je le lui ai fait remarquer. Et comme il me demandait pourquoi, je lui ai dit que c’est pas comme Mattèu et Anton. Et je me suis pris un gros pattòne dans l’œil ! »

 

Deux carabins bastais font leur internat à la Timone.

Un jour, ils voient un type marcher péniblement devant eux dans le couloir. Et l’un dit à l’autre :

« – Mon cher confrère, cet homme qui marche devant nous souffre à l’évidence d’une hernie discale.

– Certainement pas, cher confrère, cet homme souffre indéniablement d’hémorroïdes ! »

Dumè se retourne pour avoir reconnu leur voix et leur fait :

« Vi sbagliate tutti duie, a-va mi scapà a càga ! »

(Vous n’y êtres pas du tout, j’ai juste besoin d’aller vite chier !)

 

Calvi, semper fidelis, sa citadelle et ses touristes.

L’un d’eux demande à Dumè si Christophe Colomb est bien né dans la citadelle, comme le prétendent les archives baptismales.

« Ah, ça je ne peux pas vous dire. Mais je peux vous montrer la maison où il est né ! »

 

Épitaphe à l’adresse de Tino Rossi : « Il marinait là » !

 

Dans le monde, il n’y a que deux sortes de gens : Les Corses et ceux qui rêvent de l’être !

 

« À Paris, vous avez les Bobos (Bourgeois-Bohèmes). Chez nous à Bastia, nous avons les « in-in », les intellectuels-intermittents ! »

 

« En Corse, tout le monde dit que son village est le plus beau. Sauf que le mien, c’est vrai… »

 

« Moi, je viens d’un petit village perdu au milieu de la Corse. Poggio di Verde. 32 habitants, 250 votants, 623 bulletins de votes…

Sur les 32, y’en a 5 qui se parlent !

On n’est pas nombreux, mais attention, c’est du concentré ! »

 

« En Corse, on a aussi une autoroute. Furiani-Furiani. On ne la prolonge qu’au mois de juillet. Comme ça les touristes voient qu’on travaille un peu ! »

 

Deux Natios en planque le long de la route que doit emprunter l’homme à abattre à la sortie de l’autoroute Furiani-Furiani.

Deux heures qu’ils se cachent, immobiles, à attendre.

Alors que la lune décline, l’un deux, impatient fait à l’autre :

« Ayò ! Tu ne vois pas qu’il lui sera arrivé un malheur ? »

 

Bon week-end à toutes et tous !

 

 

Reprise de http://infreequentable.over-blog.com/article-histoires-corses-les-vraies-macagna-de-dume-85821757.html

 


Humour corse (1)

Dumè « aux manettes » !

Préavis de grève à la SNCM et à la CMN

 

Le syndicat CGT de la SNCM et de la CMN a déposé un préavis de grève reconductible pour la journée du 1er janvier 2014.

Réaction de Dumè :

« Normal ! Ce jour-là, la sécurité à bord des ferries n’est pas assurée : Ils sont tous « sborgnés » (saouls) !

En attendant, « ils » tractaient sur les quais dans la semaine, vu le prochain dépeçage de leur outil de travail…

 

Dumè a un copain qui est maire du village.

Il lui demande s'il n'aurait pas un petit boulot pas trop dur pour lui.

Le maire le nomme surveillant du cimetière.

Quelques jours après, le maire le croise et lui demande :

« – Alors, ça va, ce n'est pas trop dur ? 

Non, ça ne va pas très bien. Je suis déprimé ! Partout je vois écrit : « Ici repose Untel, ici repose Unetelle »… Finalement, il n'y a que moi qui travaille, ici ! »

 

Alors le même maire nomme Dumè conducteur de travaux sur un chantier et repasse quelques jours après.

Il lui demande :

« – Alors, ça va mieux ?

Non, ça ne peut pas durer. Tous les autres ont quelque chose : Une pelle, une pioche, une brouette, et moi je n'ai rien pour me reposer dessus ! »

 

Jeux Olympiques – Un Corse champion du lancer du marteau.

Interview : « Ayo ! Quand j'ai vu cet outil de travail, je l'ai jeté le plus loin possible de moi ! »

 

Un Corse de Paris invite son cousin de Marseille.

Aux Invalides, il lui dit :

« Agenouille-toi, ici repose un grand Corse ! » (Napoléon).

Le cousin de Marseille l’invite quelques semaines plus tard et l'emmène à la Sécurité sociale :

« Voilà un coussin pour t'agenouiller longtemps : Ici il y a 150 Corses qui se reposent ! »

 

Un père Corse de Corti trouve que son fils, étudiant à Aix, dépense trop d'argent.

Alors il lui demande des comptes.

Le fils lui répond :

« – Je dépense mon argent avec parcimonie et à bon escient, Papa !

Ce Parcimoni, d'accord c'est un compatriote. Mais je ne veux pas d'un Arménien comme ce Bonnessian ! »

 

Un Corse va dans un bar à Marseille :

« Je veux un café, j'ai pas d'argent mais je suis fort et je n'ai pas peur ! »

On lui sert un café.

Il recommence comme ça tous les jours.

Au bout d'une semaine, le barman appelle un copain et lui raconte la chose.

Le copain lui dit : « Ne t'en fais pas, demain je m'en occupe ! »

Le lendemain, le Corse arrive et annonce :

« Je veux un café, j'ai pas d'argent mais je suis fort et j'ai pas peur ! »

Le copain du barman s'avance vers lui et lui dit :

« – Moi aussi je suis fort et je n'ai pas peur !

Bon, d'accord. Alors ce sera deux cafés ! »

 

On vient d'installer le téléphone chez le grand-père de Dumè et le technicien lui explique :

« – Vous prenez le récepteur de la main gauche et, de la droite, vous formez le numéro de votre correspondant sur le cadran.

Mais alors, quelle main me restera-t-il pour parler ? »

 

À la veille de Pâques, tous les confessionnaux sont occupés au village de Dumè.

Il s’agit d’être en règle avec le Bon-Dieu pour pouvoir communier à la messe de la résurrection de Son Fils.

Un jeune curé débutant entend sa pénitente lui avouer :

« Mon Père, pardonnez-moi, j'ai fait hier un pompier à un ami. »

Le jeune curé ne sait pas très bien quelle pénitence lui donner.

Il hésite entre 12 Pater-noster ou plutôt 12 Ave-maria.

Puis n’arrivant pas à se décider, il ouvre discrètement la porte et dit dans un murmure à l’adresse du confessionnal voisin, qui est tenu par un vieux de la vieille :

« – Dites-moi, qu'est-ce que vous donnez pour un pompier ?

Pas plus de 20 euros ! »

 

Deux Corses, le père et le fils, discutent à l’ombre d’un olivier.

« – Dis-moi, Dumè, mon fils, tu n’as jamais travaillé.

– Eh non, papa. Tu le sais bien que je n’ai jamais travaillé. Dans la famille, il n’y a que les femmes qui travaillent !

– Eh oui, mon fils, je le sais. Et justement, c’est de ça dont je voulais te parler. Tu as quarante ans, maintenant. Ta mère et moi nous nous faisons vieux, il serait peut-être temps que tu te trouves une femme. On peut t’en présenter, si tu veux. Elle pourrait travailler pour toi et avoir des enfants qui t’apporteraient le pastis, comme tu le faisais pour moi quand tu étais petit.

– Papa, c’est une bonne idée. Je vais me marier et avoir des enfants. Dis, tant qu’à faire, tu pourrais m’en présenter une qui soit déjà enceinte ? »

 

Un Jésuite et un Chartreux se retrouvent pendant une retraite au couvent de Corbara (en Balagne).

Ils n'ont le droit de parler qu'une minute par jour.

Finalement, ils découvrent qu'ils aiment tous les deux fumer la pipe de temps en temps.

Mais c'est strictement interdit dans le monastère.

Un jour, le Jésuite arrive avec la pipe allumée.

L'autre s'étonne et dit :

« J'ai demandé au supérieur si je pouvais fumer en lisant la Bible. Il a refusé avec indignation. Alors, comment avez-vous fait ? »

Le jésuite lui répond :

« Pour moi, c'est simple, j'ai plutôt dit au Père supérieur : Père, est-ce que je peux lire la Bible en fumant ? Il a accepté tout de suite ! »

 

« – Quel est le seul arbre qui ne poussera jamais en Corse ?

 – Le boulot, Dumè ! »

  

Un touriste entre dans une boutique calvaise dont l'affiche annonce : « Spécialités Corses »

Le touriste demande au vendeur du fromage Corse, du broccio.

Le vendeur est désolé, il n'en a pas.

Pas plus que du vin de Patrimonio ou de charcuterie de montagne, voire de canistrelli de Calenzana.

Le touriste s'étonne :

« – Mais qu'est-ce que vous vendez alors comme spécialités corses ?

– Uniquement des chaises longues et des hamacs corses, monsieur ! »

 

« En corse, y'a que le bois et les vers dans l'fromage qui travaillent. »

 

C'est l'histoire de 2 corses qui papotent.

Dumè dit à l'autre :

« – Si tu gagnais au Loto demain, que ferais-tu ?

– Rien, absolument rien ! »

 

Question idiote :

« – Pourquoi il est impossible que Claude François ait été corse ?

– Parce qu'aucun corse ne peut mourir avec une ampoule dans la main. »

 

Proverbe Corse pour votre week-end :

« Si tu as beaucoup de travail, allonges-toi au soleil et attends que ça passe ! »

 

Bien à toutes et tous !

 

I3

C’est une reprise de : http://infreequentable.over-blog.com/article-dume-aux-manettes-121645889.html


Humour japonais

 

 

 

Hop! : Vous la connaissez sûrement vu qu'elle tourne.

 

 

 

L'institutrice présente à la classe un nouvel élève arrivant du Japon :

 

«Les enfants voici un nouvel élève qui s'appelle Sakiro Suzuki. »

 

Le cours commence.

 

L'institutrice : « Bon, voyons qui maîtrise l'histoire de la culture franco-américaine. »

 

Qui a dit : « DONNEZ-MOI LA LIBERTE OU LA MORT ? »

 

Pas un murmure dans la salle. Suzuki lève la main : 

 

« Patrick Henry, en 1775 à Philadelphie. »

 

L'institutrice :

 

 « Très bien Suzuki !...»

 

Et qui a dit : « L'ETAT EST LE PEUPLE, LE PEUPLE NE PEUT PAS SOMBRER »

 

Suzuki lève la main :

 

« Abraham Lincoln, en 1863 à Washington

 

L'institutrice :

 

 « Excellent, Suzuki !….»

 

Maintenant, qui a dit :

 

« JE VOUS AI COMPRIS !... »

 

Suzuki lève la main et dit :

 

« Charles DE GAULLE !... »

 

L'institutrice regarde les élèves et dit :

 

« Honte à vous !... Suzuki est Japonais et il connaît l'histoire française et américaine mieux que vous !... »

 

On entend alors une petite voix au fond de la classe :

 

« Allez tous vous faire enculer, connards de Japonais !... »

 

« Qui a dit ça ? » S'insurge l'institutrice

 

Suzuki lève la main et, sans attendre, dit :

 

« Général Mc Arthur, 1942, au Canal de Panama et Lee lacocca, 1982, lors de l'assemblée générale de General Motors. »

 

Dans la classe plongée dans le silence, on entend un discret :

 

« Y'm'fait vomir... »

 

L'institutrice hurle : « Qui a dit ça ? »

 

Et Suzuki répond :

 

« George Bush Senior au premier Ministre Tanaka pendant un dîner officiel à Tokyo en 1991. »

 

Un des élèves se lève alors et crie :

 

« Pomp'moi l'gland !!!... »

 

Et Suzuki, sans sourciller :

 

« Bill Clinton à Monica Lewinsky, 1997 dans la salle ovale de la Maison Blanche à Washington et DSK à une femme de chambre du sofitel de New-York 2011 »

 

Un autre élève lui hurle alors : 

 

« Suzuki, espèce de grosse merde ! »

 

Suzuki :

 

« Valentino Rossi, lors du Grand Prix de Moto en Afrique du Sud en 2002... »

 

Un autre élève crie plus fort :

 

« Casse toi Pov'con !... »

 

Et Suzuki répond :

 

« Trop facile celle-là, Nicolas SARKOZY au Salon de l'Agriculture 23 février 2008 à Paris à un visiteur peu doué en grammaire ».

 

La salle tombe littéralement dans l'hystérie, l'institutrice perd connaissance, la porte s'ouvre et le directeur de l'école apparaît.

 

« MERDE, je n'ai encore jamais vu un bordel pareil !... »

 

Et Suzuki :

 

« Martine Aubry en arrivant à la tête du Parti Socialiste… »

 

 

 

 

 

D’autres blagues dans « Histoires d’en rire » :

 

http://infreequentable.over-blog.com/categorie-1128554.html

 

 

 


Humour « Metal »…

 

Après les notes sur l’incroyable « Affaire Basano/Ferrayé » qui révèle un détournement de fonds de près de 22 milliards de dollars réalisé lors de l’extinction des puits de pétrole en feu au Koweït en 1991, j’ai besoin de penser à autre chose, d’humoristique de préférence !...

Aussi, je reprends une blague de « I-Cube » disponible sur :

http://infreequentable.over-blog.com/article-jean-marc-deborde-de-nouveautes-121864789.html

 

Mais, si vous voulez quelques chose de plus ῝soft῝, par exemple pour les ῝petits z’enfants῝, ou même pour les plus grands, vous pouvez découvrir  « Les aventures de « Tintin » et de « l’Ami-râle Haddock » 

 

Mille sabords !...

 « L’Ami-râle Haddock »

………….

 

Vous avez déjà entendu parler du « Métal », ce genre de musique « à casser les oreilles » ou réveiller les endormis du réveillon, et ses différents styles ?

Jean-Marc nous a fait la démonstration qu’il connaissait ce sujet sur le bout des ongles de façon hallucinante :

 

« Une petite illustration à partir d’un exemple connu : Une histoire de chevalier qui doit combattre un dragon et sauver une princesse, vue à travers chaque type de métal. »

 

– Heavy metal : Le chevalier arrive en Harley, en pantalon de cuir avec les cheveux gras comme s’il ne se les était pas lavés de sa vie, il tue le dragon d’un gros coup de manche de Jackson randy roads « à l’ancienne ». Il commence à se désaper en buvant quelques bières, whisky/coca, vodka/orange et autres…

La princesse commence à s’impatienter alors elle enlève le pantalon de cuir et la veste à franges, elle découvre en fait que le chevalier à un corps minable qui ferait rire un paralysé facial.

Le chevalier, vexé, la sodomise, la prends, la retourne contre le mur, la défonce par les 7 trous… (façon : « Le père noël est une ordure »).

Enfin après avoir baisé la princesse, il remet son pantalon de cuir et sa veste à franges, il donne une fiole régénératrice au dragon, se barre dans la forêt, et reviens quelques instants plus tard pour renouveler la même histoire…

– Speed metal : Le Chevalier tue dragon, sauve la princesse, la baise.

– Hard rock : Le chevalier arrive en short avec une casquette. La princesse se casse dégoûtée.

– Black metal : Le chevalier arrive, tue le dragon et boit son sang, sodomise la princesse et boit son sang, puis la sacrifie à Satan.

– Symphonique black metal : La même chose mais en finesse.

– Hair metal : Le chevalier arrive avec une coiffure 80′s, envoie un baiser à la princesse et se fait croquer par le dragon.

– Folk metal : Le chevalier arrive avec des amis flûtistes et violonistes, le dragon s’endort, il sauve la princesse et l’épouse.

– Metal indus : Le chevalier arrive en porte-jarretelles, fait des gestes obscènes au dragon, et se fait jeter hors du château par la sécurité.

– Death metal : Le chevalier arrive, tue le dragon baise la princesse et la tue.

– Brutal metal : Le chevalier arrive, tue le dragon, tue la princesse et la baise.

– Gothic metal : Le chevalier arrive et tue le dragon. La princesse tombe amoureuse de lui, il l’épouse en grandes pompes, le roi lui donne son royaume, il est le héros du peuple, il se suicide sans qu’on sache pourquoi.

– Doom metal : Le chevalier arrive et se suicide. Le dragon mange son corps et la princesse.

– Gothic metal avec chanteuse : Elle charme le dragon par son chant, arrive devant la princesse, lui pique sa robe, lui pique sa place et attend que le batteur de son groupe vienne la délivrer.

– Alternative metal : Le chevalier arrive, refuse de faire partie du système, dit « Fuck-you » à la princesse et repart.

– Viking metal : Le chevalier arrive en bateau, tue le dragon avec une hache à deux mains, le cuit, le mange, viole la princesse et brûle le château.

– Progressive metal : Le chevalier arrive avec une guitare et joue un solo de 26 minutes, le dragon se tue lui-même par ennui, le chevalier arrive près du lit de la princesse, joue un autre solo, la princesse s’enfuit et va chercher le chevalier Heavy métal.

– Atmosphérique metal : Les écailles du dragon reflètent la lumière de la lune, la princesse est à son balcon et jette un regard mélancolique au loin, l’air souffle doucement dans les arbres de la forêt. Pas de chevalier.

– Glam metal : Le chevalier arrive en retard après s’être looké pendant 3 heures, entre pendant que le dragon se tort de rire à sa vue, vole le maquillage de la princesse et peint les murs du château en rose.

– Grind metal : Le chevalier arrive, crie quelque chose de parfaitement incompréhensible pendant 2 minutes et repart.

– Gore metal : Le chevalier arrive, tue le dragon en répandant ses entrailles devant le château, baise la princesse et la tue, rebaise le corps mort, tranche son estomac pour en bouffer les tripes, rebaise la carcasse une troisième fois, brûle le cadavre et le rebaise une dernière fois.

– Neo metal : Le chevalier arrive, il flippe quand il voit le dragon alors il reste devant les douves, en faisant des gestes obscènes à la princesse. Puis il repart dans la forêt se masturber.

– True black metal (à l’ancienne) : Le chevalier arrive bourré, vomit dans les douves. Sacrifie la princesse et commence à draguer lourdement le dragon.

– True black metal (nouvelle vague) : Le chevalier arrive et commence à expliquer au dragon qu’il n’a rien compris et qu’il n’est pas « evil ».

Il bute la princesse parce qu’elle l’a interrompu.

Le dragon, exaspéré, le bouffe malgré ses bracelets à piques.

Vous aviez déjà compris ?

 

 

D’autres blagues dans « Histoires d’en rire » !...