Guerre nucléaire Flux

La guerre nucléaire a-t-elle commencée ?...

 

Cet été,

La guerre !

 

Et si vous avez du bol, elle se sera pas nucléaire…

Seulement si vous avez du bol, parce que rien n’est moins sûr.

 

C’est un « twist » de John Schindler (conférencier à l'École navale US, ex de la NSA et analyste géopolitique réputé) qui nous a alertés quand il déclare tenir cette information d'un officiel de l'OTAN : Il y aura une guerre cet été !

En fait, nous sommes déjà en guerre : Entre Daech, Boko Aram, le Sahel, la Syrie, l’Irak, le Yémen, l’Afghanistan, la mer de Chine, l’Ukraine et les tensions entre deux superpuissances (nucléaires) autour des pays Baltes qui montrent chacune leurs muscles, celles dans l’Océan indien, en méditerranée orientale et encore ailleurs, les nouveaux accords en perspective avec les asiatiques et l’Amérique du sud, les mains tendues à la « Grèce-it », ce pachyderme impotent qu’est devenu l’Europe avec ses divisions, il ne manque plus que les munitions nucléaires pour franchir le pas.

 

Les Russes multiplient en effet les manœuvres d'intimidation à l'égard des pays baltes qu'ils voient comme une Ukraine potentielle.

Du coup, l'OTAN (Gaulois, Britanniques, US-Navy en tête) organise des exercices militaires en mer Baltique et dans l'Arctique, alors que cet hiver des avions militaires russes mettaient en émois nos médias quand ils se promenaient jusqu’au Açores.

Situation tendue et inflammable.

La mer de Chine, elle est aussi le théâtre de l'affrontement de plus en plus frontal entre USA et Chine. Cette dernière y étend ses eaux territoriales en y construisant des îles artificielles, ce à quoi les USA s'opposent.

Si ça continue comme ça, le Global Time (proche du PC chinois) prévient : « La guerre est inévitable ».

Assez clair pour vous ?

Et d’ajouter que « l’intensité de ce conflit serait plus forte que ce que les gens entendent généralement par le terme de “frictions” ».

Les coréens du nord de « Kim-tout-fou », devenu des nains de la provocation ?

 

Alors pour vos prochaines vacances, ni l’Europe, ni l’Asie ne vous sont recommandées, il vous reste … le Moyen-Orient !

 

Bon, il faut se calmer, mais juste un peu et rester en veille : Les kapitales d’Europe ne sont pas encore vitrifiées et ce n’est pas la première fois que les esprits s’enflamment !

Je me souviens parfaitement vous avoir prévenus en 2012, à l’approche de l’été, d’un possible attentat sur la cérémonie d’ouverture des JO de Londres.

C’était tellement « évident », avec tous ces bruits de bottes autour du Golfe Persique – pas moins de 30 % des munitions, toutes catégories confondues et y compris nucléaires tactiques – convergeaient vers les rives de l’Iran, qu'il a sans doute fallu un quasi-miracle…

Je vous en ai même fait un « roman-complet », en me réservant deux fins possibles (ou encore. http://flibustier20260.blogspot.fr/2013/09/parcours-olympiques-sommaire.html)

Et puis ça fait si longtemps qu’il ne se passe aucun été sans qu’un conflit éclate sur la surface de la planète !

Mais il est ici question d’une guerre de grande ampleur, qui pourrait être nucléaire.

 

Le pas semble avoir été franchi la semaine en quinze avec des attaques d’installations militaires au Yémen, devenu une zone d’exclusion aérienne saoudienne, par des F16 repeints aux couleurs des Forces aériennes royales saoudiennes qui ne possèdent que des … F15 !

Des F5 et des Tornado… pas de F16 qui pourraient être alors d’origine israélienne ou directement américaine (Mais il y en a tellement dans plusieurs dizaines d’armées de l’air…) .
Les films de ces séquences, disponibles sur Internet, ou vous pouvez distinguer des images « pixelées » de petites taches blanches sur les images, signes de saturation électromagnétique provoquée par des particules à haute énergie (ou ici : Allez-y tant que ce n’est pas censuré), présument de l’emploi soit de « très grosses bombes », que ne soulèvent pas le F16, soit … de bombes à neutron comme le laisse penser ces « pixels » saturés !

Si de ce conflit-là, vos médias ne vous en causent jamais, c’est qu’il y a comme une lourde chape de plomb de la censure qui vous interdit d’en juger, sans même avoir à vous mentir, en pense-je…

 

Depuis des mois, les Norvégiens suspectent des sous-marins russes de croiser au large d’Oslo, dans les profondeurs de la Baltique, et l’Alliance atlantique, Britanniques en tête, a décidé de réagir début mai, expliquait The Telegraph.

Dix-huit vaisseaux ont participé à un exercice naval de grande envergure dans cette mer du nord-est de l’Europe. Dans le même temps, des troupes britanniques étaient envoyées en Estonie pour accomplir des manœuvres militaires de concert avec l’armée du pays.

Des Rafale sont, à la demande de la Pologne, stationnés à proximité de ses frontières orientales.

Des avions de l’USAF le sont dans les pays baltes ; des « instructeurs » parachutistes américains ont débarqué en Ukraine avec armes et bagages…

 

L’intention est claire : Montrer que les Républiques baltes, craignant que leur voisin russe ne leur réserve le même sort qu’à l’Ukraine, seront protégées par leurs alliées en cas d’attaque. Car il s’agit de l’exercice militaire le plus important dans cette région du monde depuis la fin de l’URSS.

 

Plus au nord, au niveau du cercle arctique, neuf pays, dont la « Gauloisie-gelée », les États-Unis et la Grande-Bretagne, ont lancé l’opération « Artic Challenge » : 4.000 hommes et 90 avions y ont été mobilisés pendant douze jours. Cette initiative a trouvé une réplique côté russe, où 250 appareils, assistés par 12.000 hommes en armes, survolent le ciel sibérien et les cols de l’Oural.

 

La situation asiatique a aussi de quoi interpeller. D’autant plus qu’on assiste au renouvellement d’une union entre la Russie et la Chine, observe The L.A Times.

En plus de divers partenariats commerciaux établis au moment de la récente visite de Xi Jinping à Moscou, les deux pays ont passé un cap, entamé en mars 2014, ces dernières semaines dans le domaine de la coopération militaire.

Une opération bilatérale, longue de dix jours, a eu lieu… en pleine Méditerranée.

 

Le rapprochement sino-russe est lié à la hausse du ton entre les Chinois et les Américains. Pékin mène une politique de constructions d’îles artificielles, au sud de la mer de Chine, des eaux particulièrement disputées.

Les États-Unis cherchent à obliger la Chine à renoncer à cette démarche. Une exigence qui passe mal là-bas, souligne l’agence Reuters en citant les médias chinois. 

 

N’oublions pas aussi que cette année, lors de la conférence de Munich sur la sécurité on a vu un auditoire d'ordinaire des plus sérieux rire aux éclats durant l'intervention du ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov qui, à un moment donné, semblait remettre en question jusqu’à la légalité de la réunification allemande !

Quant au vrai débat sur l'Ukraine et la Russie, il n'a pas encore commencé.

 

Avant l'an dernier, il n'y avait pas de conflit ethnique dans l'histoire de l'Est de l'Ukraine. Des « séparatistes », militairement très bien équipés, n'ont surgi sur la scène que lorsque le président russe leur a donné l'ordre de s'y rendre.

La « guerre civile » qui s'en est suivie est un conflit artificiel, orchestrée par les services de sécurité russes et exacerbée par une campagne de désinformation pan-européenne des plus travaillées. Un conflit qui durera aussi longtemps que le voudront les Russes.

Les Russes y ont déployé leurs systèmes de défense antiaérienne et de guerre électronique les plus sophistiqués, un équipement « bien au-delà » de tout ce qu'une armée insurrectionnelle peut rêver.

Même si les passagers du MH17 en ont fait les frais bien involontairement.

 

Le but de cette guerre n'est semble-t-il pas la victoire, mais d'éviter l'émergence de tout ce qui pourrait ressembler à une Ukraine prospère et européenne, vu qu'un tel État serait une menace idéologique au « poutinisme-impérialiste » qui tente de son côté de desserrer l’encerclement de son pays.

En suivant cette logique, même le cessez-le-feu négocié lors du sommet de Minsk n'aurait pas la « paix » comme conséquence, mais bien un « conflit gelé », et ce conformément à une bonne vieille technique du KGB : Il y a eu la Transnistrie en Moldavie, l’Ossétie du Sud en Géorgie, il y a maintenant la Novorossia en Ukraine.

Une fois cette Novorossia opérationnelle, la Russie pourra y implanter une nouvelle police secrète, y créer de nouvelles bases pour l'armée russe et peut-être même y entraîner des cellules terroristes.

De mystérieuses bombes ont d'ores et déjà explosé à Kiev et à Kharkiv.

En décembre dernier, ce ne sont pas moins de six bombes qui ont explosé à Odessa.

Depuis, on assassine des opposants en toute impunité sur les ponts de la Moscowa, on massacre « Big-Moustache » en maquillant cet attentat en accident, alors qu’on reste sans nouvelle des 4 personnes arrêtées ce jour-là.

Notez que personne n’a été dupe : La cérémonie de funérailles du bonhomme en l’église Saint-Sulpice de Paris réunissait tout ce qui compte de ministres pour un simple patron du CAC 40, de cette haute-finance détestée par notre « capitaine de pédalo-national » présent également, jusqu’à en dire qu’il s’agissait de « funérailles nationales ».

Je ne sais pas, je n’y étais pas…

 

De son côté, comme d’une confirmation, l’Arabie saoudite réclame que le Pakistan lui retourne une faveur en lui procurant des armes nucléaires pakistanaises prêtes à l’emploi, écrit le Sunday Times qui tient cette information de sources auprès du ministère américain de la Défense.

Il semble que le royaume saoudien soit sur le point d’engager une course nucléaire avec son ennemi juré, l’Iran.

Selon la même source, rien ne prouve que ce transfert d’armes nucléaires ait déjà eu lieu, mais selon un officiel de la défense à Washington, « les Saoudiens ne parlent pas à la légère et ils feront ce qu’ils ont dit ».

« Un accord de long terme a été conclu avec les Pakistanais, et la Maison des Saoud a maintenant pris la décision stratégique d’aller de l’avant ».

 

Notez que les Saoudiens se méfient de la façon dont l’Occident et l’Iran se sont rapprochés concernant le programme nucléaire de la République islamique.

Et qu’ils ont changé de souverain régnant en début d’année et de prince héritier en avril 2015… pour mieux se « durcir ».

Les Saoudiens sunnites et l’Iran chiite sont des ennemis jurés de longue date.

L’Arabie Saoudite n’aurait officiellement pas d’armes nucléaires, mais elle aurait financé 60 % du programme nucléaire pakistanais en échange de la possibilité de se procurer des ogives nucléaires à court terme pour elle-même, avait affirmé le journal The Guardian en 2010.

Depuis, les deux pays entretiennent d’excellentes relations.

Ces dernières années, l’Arabie saoudite a livré des milliards de dollars de pétrole bon marché au Pakistan. En retour, les Pakistanais ont officieusement accepté de vendre du matériel nucléaire au royaume, et notamment ses missiles mobiles balistiques Shaheen, qu’il est possible d’armer avec des têtes nucléaires.

 

En 2012, un responsable saoudien avait déjà fait allusion à un possible programme nucléaire de son pays : « La politique deviendrait totalement inacceptable si l’Iran était doté de la capacité nucléaire, et non notre royaume ». En outre, le mois dernier, le Prince Turki bin Faisal, qui a dirigé les services secrets saoudiens et qui a été ambassadeur au Royaume Uni et aux États-Unis, a déclaré sans ambages : « Quoi que les Iraniens aient, nous l’auront aussi ».

Le Pakistan disposerait d’un stock de 80 à 120 têtes nucléaires destinées à faire contrepoids à l’arsenal indien.

 

« L’Opération Tempête décisive », ces bombardements du Yémen à la manière du Pentagone glorifié par la maison des Saoud, se résume en un paragraphe : « rafale-avion-combat-bombardement ».

Le pire, c’est que cette absurdité ne serait qu’un prélude.

 

La haute représentante de l’UE pour les Affaires étrangères, Federica Mogherini, semble légèrement inquiète. Elle a signalé que le bombardement d’hôpitaux par les Saoudiens et le fait de prendre délibérément pour cible et détruire des résidences privées, des établissements d’enseignement et des infrastructures de base ne peuvent être tolérés.

N’empêche que l’UE tolère exactement la même chose lorsqu’elle est perpétrée par Kiev dans le Donbass.

La Croix-Rouge et la Fédération de Russie, pour leur part, en appellent au moins à un cessez-le-feu temporaire pour assurer une aide humanitaire. Sauf que l’aide humanitaire, la maison des Saoud n’en a rien à cirer. Ce qui fait qu’après un peu plus de deux semaines de combats, le bilan (qui ne manquera pas de s’alourdir) se chiffrait déjà à au moins 560 civils yéménites tués et à 1.700 blessés, dont des dizaines d’enfants.

 

Bombarder le Yémen, c’est la nouvelle donne, mais pour quelle raison ?

La volonté de bombarder l’Iran peut revenir à la vitesse de l’éclair. Ash Carter, le grand manitou du Pentagone, a confirmé récemment que toutes les options étaient envisagées, même si l’Iran et les pays du « Groupe 5+1 » finissent par parvenir à un accord sur le nucléaire. Ainsi, pour que tout soit clair, le Pentagone affirme que les négociations sur le nucléaire ne sont que des bruits de fond qui ne dissuadent en rien la perspective d’une autre belle guerre au Moyen-Orient.

 

Notez que l’Occident n’a pas bronché lorsque la maison des Saoud a envahi le Yémen désœuvré : Aucune résolution au Conseil de sécurité de l’ONU. Pas le moindre mandat de la Ligue arabe, totalement discréditée.

Tous s’en balancent.

Toute l’hystérie qui fait rage à propos des Houthis sur le point de prendre le contrôle du détroit de Bab el-Mandeb, un des goulets d’étranglement stratégiques du transport de l’énergie dans le monde avec le détroit d’Hormuz, dont l’importance est aussi vitale que le canal de Suez, n’est toujours pas exposée dans les médias occidentaux.

Peu importe ce que fera la maison des Saoud, le dessein consiste à ne jamais perdre le contrôle du détroit de Bab el-Mandeb, du golfe d’Aden et de l’île Socotra.

 

La guerre et les manœuvres de pré-positionnement dans le détroit de Bab el-Mandeb, avec ses retombées sur le Yémen, la Somalie, l’Érythrée, l’Éthiopie et Djibouti, en sont en fait un seul et même axe de comportement « stratégique ». Il s’étend aussi dans le détroit d’Hormuz (objectif : l’Iran), dans le détroit de Malacca (objectif : la Chine), à Panama (objectif : le Venezuela), dans le canal qui sera construit au Nicaragua (objectif : la Chine), dans le détroit de Corée, dans le détroit de Taiwan, dans les îles Kouriles et, dernier lieu mais non le moindre, dans la mer Baltique.

Tous ces lieux qui deviennent poudrière à l’approche de l’été.

D’accord, ce n’est pas de la première évidence à admettre : Pour l’heure, ce que craignent par-dessus tout les Saoudiens, c’est que la rébellion des Houthis au Yémen, qui est soutenue par Téhéran, donne des idées lumineuses de rébellion au sein de la majorité chiite dans les provinces orientales de l’Arabie saoudite, là où se trouve la majeure partie du pétrole.

C’est ici que l’excuse des Saoudiens pour faire la guerre s’articule avec leur obsession paranoïaque d’empêcher l’Iran, la Russie et la Chine de s’assurer une éventuelle présence stratégique au Yémen, aux abords du détroit de Bab el-Mandeb, avec vue sur le golfe d’Aden.

Dès le mois d’avril, sur le théâtre des opérations, les Houthis avaient déjà commencé à lancer des missiles sur des installations pétrolières saoudiennes de l’autre côté de la frontière.

À partir de là, tous les paris sont ouverts et le pré-positionnement possible de missiles de longue portée devient plus crédible.

N’oublions pas que qui tient les détroits, détient le commerce mondial des hydrocarbures.

Pour l’heure, il coule à flot et à « pas cher ».

Mais pourrez-vous encore faire le plein au retour de vos vacances estivales ?

C’est dire qu’il y a lieu de s’inquiéter pour l’été…

 

D’autant plus si le verrou psychologique sur l’usage de l’arme nucléaire a pu sauter !

En conséquence de quoi, vous êtes priés d’éviter les grandes villes des puissances nucléaires, y compris Londres et Paris, si vous voulez avoir quelques chances de survie : On ne sait jamais, ils seraient capables d’en renouveler l’usage par inadvertance et à votre détriment !

Tous les ressorts d’un conflit majeur sont en place, pire qu’en 2012, parce que fragmentés, disséminés, démultipliés.

 

Vous êtes prévenus et Dieu que je prie pour avoir tort.

Je n’aime pas avoir tort, c’est pourquoi je prépare aussi « Mains invisibles II », un roman contemporain, où l’avenir se mêle de « contrôler », surveiller son passé, c’est-à-dire notre présent immédiat.

Je me veux rassurant, s'il y a un avenir, il faudra en passer par les étapes du présent qui se déroulent sous nos yeux.

 

I3

 

Source : http://flibustier20260.blogspot.fr/2015/06/cet-ete.html

 

Pas brillant…

Le « monde d’après » a du mal à apparaître et on reste avec des Etats encore obnubilés par le développement de leur puissance : les Américains qui veulent toujours être les Maîtres du Monde, les Russes qui ont encore des goûts expansionnistes, les Chinois qui veulent la place qui leur est dûe dans le concert mondial, les Saoudiens qui se voient puissance nucléaire, etc…

 

Une vraie « crise d’adolescence planétaire » où le goût du pouvoir et de l’influence mondiale le dispute à d’antiques théocraties capables de nous provoquer une guerre mondiale religieuse.

Des cinglés un peu partout, et des « militareux » qui ne pensent qu’à en découdre !...

 

Le plus grave semble être l’utilisation de l’arme nucléaire tactique au Yemen. La bombe à neutron devient la solution pour détruire totalement une base militaire !...

Du jamais vu depuis Hiroshima et Nagasaki !...

La porte est ouverte à toutes les folies dont sont capables les Humains.

 

Soulignons aussi que les manipulations peuvent aussi aller bon train surtout lorsque des « dossiers interdits » traînent sur le web.

Parce qu’avant la troisième guerre mondiale, car il s’agit bien de cela, on aura droit à des déstabilisations politiques des Etats.

 

Concernant notre pays, j’en reviens toujours au même sujet : « Les milliards disparus de la Division Daguet ».

Il n’y aurait rien de plus facile pour le FSB (ex-KGB) que de rendre public au niveau planétaire le détournement des sept milliards d’euros d’indemnités de la guerre du Golfe détournés par François Mitterrand en 1991/92 !...

Le gouvernement ne s‘en remettrait pas et l’ensemble de la classe politique non plus !...

 

Parce qu’avant l’utilisation de l’arme nucléaire, il y aura l’utilisation de « l’arme nucléaire politique », si elle est disponible.

Et là, ce sera vraiment facile.

 

Le pays serait neutralisé politiquement pour deux ou trois ans. L’Europe serait un peu plus affaiblie. Les Russes auraient un peu plus les mains libres pour leurs opérations de déstabilisation et de conquête de l’Ukraine et des Pays baltes.

Facile et sans effort…

 

Ce n’est pas faute d’avoir avertis nos dirigeants, mais « Quand on est kon, on est kon !... » comme me l’a souvent répété Bernard, un collègue captain de B747/400 !...

Et nos dirigeants le sont à un point que je n’avais pas imaginé.

Sur l’affaire du Golfe, l’addition risque d’être plus lourde que tout ce qu’ils craignent.

 

Dans un premier temps, il s’agit de voir comment vont avancer les négociations sur les Mistral

 

 

Jean-Charles DUBOC