Nos généraux sont géniaux !...
Le 9 mai 1945

Fin des hostilités en Europe il y a 70 ans de ça

 

Ça ce commémore aussi en blague !

 

Que diable, on est vendredi ou non ?

Et les traditions, ça se respectent : Les semaines sont assez difficiles comme ça, alors on a bien le droit d’en rire au bout du bout.

Même un 8 mai !

Et puis cette année, nos bidasses ont réussi à obtenir quelques milliards de plus que prévu.

Après le financement de la mise à niveau du Rafale, la sanctuarisation de la force de dissuasion (malgré l’échec du tir de 2012), les sous pour le grand-carénage du CDG, la suspension des dissolutions de régiments, la LMD, les budgets pour mener la cyberguerre contre le terrorisme (ce qui n’a pas manqué de faire sauter les plates-formes de TV5…) et j’en passe, ça se fête, n’est-ce pas ?

Alors allons-y :

 

Un soldat américain, à la fin de la dernière guerre, sirote son coca à la terrasse d’un café sur les champs Élysées. Passe un français qui voit une fourmi qui va se noyer dans le verre de l’américain.

Le français pointe le verre du doigt et dit à l’américain : « Fourmi … fourmi »

L’américain : « Naoo fooor miiii »

Le français : « Oui c’est ça, fourmi ! »

Et l’américain : « No for me ! »

Excédé il se lève et colle une châtaigne au français.

Le garçon de café qui parle un peu l’anglais explique à l’américain ce qui s’est passé.

Celui-ci est vraiment navré.

Le lendemain il sirote de nouveau son coca à la terrasse du bar. Il aperçoit le français qui repasse sur les champs Élysées.

Il veut absolument lui payer à boire pour s’excuser.

Il appelle le français : « HELLO, COME HERE, COME HERE ! »

Et le français : « Comme hier ? Ça va pas non ! »

 

Un jeune éphèbe, tout mignon, arrive en tortillant du cul au bureau de recrutement des parachutistes.

« Bonzour, monsieur l'officier, ze voudrais m'engager chez vous et avoir un zolie béret rouge. »

Le capitaine le toise, et lui lance :

« – Dis-moi, p’tit gars, tu serais capable de tuer un homme ?

– Oh, ze pense que oui, mais en plusieurs nuits ! »

 

Un militaire aborde une prostituée.

« – Dites-moi… Est-ce que pour 100 euros vous accepteriez ma compagnie pour la nuit ?

– Oh, eh bien oui, bien sûr, sans problème ! »

Alors le soldat se retourne et crie :

« COMPAGNIE ! EN AVANT, MARCHE ! »

 

Un dictateur passe ses troupes en revue. Tout à coup, il entend quelqu'un éternuer.

« Qui a éternué ? » demande-t-il.

Silence…

« Je répète : Qui a éternué ? »

Silence…

« Bon, tout le premier rang en prison ! Qui a éternué ? »

Silence…

« Les cinq premiers rangs en prison ! Qui a éternué ? »

On entend alors une petite voix :

« – C'est moi, votre Excellence !

– À vos souhaits ! »

 

Le commandant d'une compagnie de parachutistes avertit les bleus :

« Le règlement m'oblige à vous signaler qu'ici, la proportion des accidents mortels est de un pour mille…

De toute façon cela ne vous concerne pas puisque vous n’êtes que trente ! » 

 

Pendant la guerre, un allemand rentre en enfonçant la porte d'une maison, se précipite sauvagement dans la pièce, casse tout, et aperçoit, dans le grenier, une adolescente, très belle, et sa grand-mère apeurées.

Alors il se rue sur la jeune fille et abuse d'elle violemment.

Puis, il se dirige vers la porte pour sortir.

Alors, la grand-mère lui crie :

« Eh ! Pas si vite ! C'est la guerre pour tout le monde, non ? »

 

« Une petite unité de temps ? La milliseconde. »

« Une petite unité de longueur ? Le millimètre. »

« Une petite unité d'intelligence ? Le militaire ! » 

 

Pendant la première guerre mondiale, il y a un type, rusé comme tout, qui a trouvé comment tuer facilement les boches : Il suffit de gueuler : « C'est toi, Franz ? » (parce que beaucoup d'Allemands s'appellent Franz) et à chaque fois un Allemand se lève et fait « Ja ! » et il se fait descendre.

Alors, au bout d'une semaine, les Allemands se réunissent et leur chef dit :

« Il faudrait arrêter de se faire avoir par ces putains de Français ! On va jouer à leur propre jeu… »

Un soldat allemand commence à crier : « Marcel, t'es là ? » (parce que beaucoup de français s’appellent Marcel), et le Français lui répond : « Oui, c'est moi. Pourquoi, c'est toi Franz ? »

Alors, l'Allemand se lève et fait : « Ja ! »

 

Deux militaires à l'entraînement :

« – Pourquoi t'es-tu engagé dans l'armée…

– Parce que je suis célibataire et j'aime la guerre… Et toi ?

– Moi, je suis marié et je voulais la paix ! »

 

C'est un gendarme qui fait signe à un automobiliste de s'arrêter et qui lui dit en le saluant réglementairement :

« Bonjour, gendarmerie nationale. »

Et Marcel lui répond :

« T'avais qu'à travailler à l'école ! »

 

Sur le front, c'est la nuit. Les déflagrations se succèdent, les cadavres jonchent le sol.

Un obus vient d'exploser près du soldat Mitchell, envoyant en l'air des tripes et des morceaux de membres sanglants de ses camarades.

Pris de panique, Mitchell s'enfuit.

Il court, court, puis soudain, dans l'obscurité la plus totale, il heurte un militaire campé fièrement sur ses deux jambes.

« –  Pardon, mon lieutenant ! » s'exclame Mitchell.

« – Je ne suis pas lieutenant, soldat !

– Excusez-moi, mon commandant, » bafouille Mitchell.

« – Je ne suis pas commandant, je suis général !

– Ah ? » dit Mitchell. « Je suis déjà si loin du front ? »

 

« Qu'est-ce que deux officiers intelligents dans la rue ?

Deux personnes qui vont au bal masqué. »

 

Question de l'adjudant à ses recrues au garde-à-vous :

« Qu'est-ce qui bout à 90 degrés ? »

Silence général.

« Ben c'est l'eau, bande de nazes ! »

Un bidasse agrégé de physique et préposé au nettoyage des chiottes reprend alors l'adjudant :

« Mon Adjudant, si je peux me permettre, vous faites erreur, mon adjudant. L'eau bout à cent degrés. »

L'adjudant, se frappant le front :

« Ah oui ! Que je suis bête ! C'est l'angle droit qui bout à 90 degrés. »

 

À l'armée, pendant les classes, le sergent fait passer aux recrues un test de lecture.

C'est au tour de Luigi :

« – Le pe..........tit laaaaaaaaaaaapin mar...cheux…

– Soldat, vous êtes con, plus con qu'un wagon !

– Comment ça sergent ?

– Parce qu'un wagon lit ! » (Là, tout le régiment rit du gars).

Un peu plus tard, à la fin des exercices, le sergent lance :

«  Rompez ! »

Tout le monde rompt, sauf Luigi.

« – Soldat ! J'ai dit rompez

– Je ne peux pas, Sergent !

–  Et pourquoi donc ?

– Parce qu'un wagon reste au rang ! »

 

Dans une région ravagée par le choléra, un officier du service de santé des armées visite une caserne.

Il interroge un sous-officier :

« – Quelles précautions observez-vous pour rendre l'eau potable ?

– Eh bien, d'abord nous la filtrons.

– Très bien. Et après ?

– Nous la faisons bouillir.

– Parfait. Et ensuite ?

– Pour ne courir aucun risque, nous buvons de la bière ! »

 

Un bataillon de paras revient d'une mission de 6 mois en Afrique. Ils sont tous félicités, un par un, par le général qui a un petit mot ou une question pour chacun.

« – Avez-vous eu peur ?

– Non mon général, des paras comme nous n'ont peur de rien. »

Il poursuit :

« –  Et vous qu'auriez-vous fait si votre parachute ne s'était pas ouvert ?

– Je serais descendu en chercher un autre, mon général, parce des paras comme nous ne vont pas se faire emmerder par un parachute ! »

Il passe ainsi tous les gars en revue en y allant de sa petite question.

Arrivé à l'avant dernier para il est à cours d'idée.

Ce para mesure 2 m et est drôlement bien baraqué.

Il finit par lui demander :

« – Faisiez-vous l'amour de temps en temps ?

– 5 à 6 fois par jour mon général. C'est normal mon général. Des paras comme nous ont la santé ! »

Et arrivé au denier, le petit gringalet du groupe, le général pose la même question.

Le para lui répond :

« 5 à 6 fois sur les 6 mois mon général. »

Le général, très surpris lui dit son étonnement.

« – Pour un para vous m'étonnez.

– Je comprends votre étonnement, mon général, pour un para normal c'est peu. Mais pour l'aumônier, c'est pas mal. »

 

Et puis quelques citations avant de se quitter :

 

« Pour marcher au pas d'une musique militaire, il n'y a pas besoin de cerveau. Seule la moelle épinière suffit. »

(Albert Einstein)

 

« Pourquoi les généraux sont-ils si bêtes ?

Parce qu'on les choisit parmi les colonels. »

(Anatole France.)

 

« La justice militaire est à la justice ce que la musique militaire est à la musique »

(Clémenceau)

 

« À tout problème il y a 2 solutions :

La bonne et celle de l'École de Guerre. »

(Foch) 

 

Bon week-end à toutes et à tous.

N’oubliez pas que nous commémorons aujourd’hui la fin définitive d’une guerre mondiale – au moins en Europe – particulièrement meurtrière !

Ça vaut bien d’essayer d’en rire, en contre-point de la sauvagerie, l’inhumanité totale, que l’espèce humaine est capable de générer contre elle-même.

Merci aux alliés, résistants, soldats et autres qui ont su rendre à mon pays sa dignité.

 

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Source : http://flibustier20260.blogspot.fr/2015/05/fin-des-hostilites-en-europe-il-y-70.html

 

Commentaires

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I-Cube

Rhôôôô !

Elles me font toujours autant rire après les avoir écrites il y a plusieurs semaine de ça.

Bonne journée !

I-Cube

JEAN-CHARLES DUBOC

Elles sont très bonnes et fort "à propos" !...

Bonne soirée à vous !...

« L’Ami-Râle »

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